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SEMICONDUCTEURS : 1153 article(s).
Le marché mondial des semiconducteurs devrait progresser de 4,4% cette année grâce aux mémoires

Semiconducteurs>Monde>Europe>Conjoncture>Etude de marché
03-12-2013 15:26:07 :

Le WSTS, qui rassemble 55 entreprises et représente plus de 70% de l’industrie du semiconducteur, vient de publier ses prévisions d’automne ; elles sont bien meilleures que ses prévisions de printemps. Ainsi, l’organisation professionnelle prévoit une hausse de 4,4% du marché mondial des semiconducteurs, qui atteindrait ainsi 304,3 milliards de dollars en 2013, grâce à la croissance à deux chiffres (+18,1%) du marché des mémoires. Au printemps dernier, le WSTS tablait sur une progression des ventes de seulement 2,1% pour cette année …
 
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Pour sa part, le marché européen, qui avait décroché de 11,3% en dollars en 2012, à 33,16 milliards de dollars, devrait regagner 4,3% cette année, à 34,6 milliards, puis 1,8% en 2014 et 2,9% en 2015. En fait, à l’exception du Japon dont le marché devrait s’écrouler 14,5% cette année, à 36,45 milliards de dollars à cause de la dépréciation du Yen face au dollar, toutes les autres grandes régions du monde devraient afficher une croissance en 2013 : +10,3% pour le continent américain ; +7,2% pour la zone Asie-Pacifique.

Côtés produits, toutes les familles de produits devraient enregistrer une croissance de leurs ventes en 2013, à l’exception des discrets (-4,8%, à 18,22 milliards de dollars), des microcontrôleurs et microprocesseurs (-2,6%, à 58,67 milliards) pénalisés par les microprocesseurs pour PC, ainsi que des capteurs (-0,7%, à 7,96 milliards).

Les plus fortes croissances devraient concerner les mémoires (+18,1%, à 67,31 milliards), suivies de très loin par l’optoélectronique (+4,9%, à 27,46 milliards), les circuits logiques (+3,8%, à 84,80 milliards), et les circuits analogiques (+1,5%, à 39,89 milliards).
Pour 2014 et 2015, le WSTS prévoit une progression des ventes pour toutes les familles de produits et dans toutes les régions du monde, tablant sur une reprise de l’économie mondiale sur la période. Ainsi, le marché des semiconducteurs devrait progresser de 4,1% à 316,6 milliards en 2014 et de 3,4% à 327,3 milliards en 2015. Selon l’organisation professionnelle, les marchés du sans fil et de l’automobiles devraient croître plus vite que l’ensemble du marché, alors que les consommations de semiconducteurs pour l’informatique et le grand public devraient demeurer stables. Au vu de la révision de ses prévisions de printemps, le WSTS semble toutefois plus apte à entériner le présent qu’à prédire l’avenir.


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Chine et Etats-Unis dopent la reprise dans l’industrie des semiconducteurs

Semiconducteurs>Monde>Europe>Conjoncture>Etude de marché
03-12-2013 15:25:04 :

Exprimés en euros, les ventes de semiconducteurs en Europe ont représenté 2,259 milliards d’euros en octobre, en progression de 0,8% en un mois et de 7,2% par rapport à octobre 2012, selon les statistiques du WSTS relayées par l’ESIA. Sur les dix premiers mois de l’année, le marché européen des semiconducteurs affiche ainsi une quasi-stabilité (+0,4%) par rapport à janvier-octobre 2012, loin des envolées enregistrées en dollars en Chine (+27,4%) et sur le continent américain (+11,8%) …

L’envolée du marché chinois profite à l’ensemble du Sud-est asiatique (+6,7% sur 10 mois). Seul le marché japonais fait moins bien que l’Europe : -16,6% à cause de la dépréciation du yen, contre +3,4% en dollars pour le Vieux Continent.

Exprimées en dollars, les ventes d’octobre en Europe progressent de 1,7% en un mois et de 8,6% sur un an, à 3033 M$. Les principaux vecteurs de croissance par rapport au mois précédent ont été les capteurs & actuateurs, les discrets l’optoélectronique, les microcontrôleurs et les mémoires. Concernant les circuits dédiés à une application, la plus forte croissance au niveau mondial a été obtenue pour les circuits pour télécoms fixes et mobiles.

Globalement, les ventes mondiales de semiconducteurs en octobre ont représenté 27,06 milliards de dollars, en hausse de 0,8% en un mois et de 7,2% sur un, portant ainsi à 3,9% la croissance sur les dix premiers mois de l’année.


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Kingbright récompense à nouveau Avnet Abacus

Capteurs/mems/Opto>Distribution>Europe>Taïwan
29-11-2013 14:26:13 :

Avnet Abacus, distributeur spécialisé dans les composants passifs, les connecteurs et les composants électromécaniques (IP&E), a reçu, du fabricant de DEL taiwanais Kingbright, le prix Platinum pour une croissance des ventes exceptionnelle. Pour la quatrième année consécutive, les ventes de produits Kingbright réalisées par Avnet Abacus ont généré la plus forte croissance de chiffre d’affaires en Europe par rapport aux autres circuits de distribution pour ces produits, avec un doublement des ventes annuelles sur cette même période …

Distributeur paneuropéen le plus important des produits Kingbright, Avnet Abacus propose une large sélection de DEL CMS et à trous traversants, d’écrans à diodes électroluminescentes ou autres produits DEL du fabricant pour applications industrielles.

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Chiffre d’affaires annuel en hausse de 17,7% pour Dolphin Intégration

Semiconducteurs>France>Résultats financiers
29-11-2013 14:24:22 :

Pour son exercice annuel clos le 30 septembre, le Grenoblois Dolphin Intégration, spécialisé dans le développement de blocs de propriété intellectuelle en semiconducteurs, annonce un chiffre d’affaires annuel de 14,789 M€, en croissance de 17,7% par rapport à celui de l’exercice précédent. Le résultat d’exploitation est positif à 205 k€, contre une perte de 568 k€ au cours de l’exercice précédent, et le résultat net est positif à 1,108 M€ contre les 217 k€ l'an passé, grâce à un second semestre qui révèle une forte dynamique de progrès …

La forte progression des ventes annuelles se traduit ainsi par une amélioration significative de la rentabilité, et en particulier de la marge brute d’autofinancement.

Pour l’exercice en cours, les prévisions commerciales et le portefeuille de commandes permettent à Dolphin Intégration de tabler sur une nouvelle croissance à deux chiffres des ventes.

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Internet des objets : des opportunités, mais aussi bien des défis pour les industriels

Filière électronique>Semiconducteurs>France>Stratégie
29-11-2013 14:20:18 :

Le mois dernier, le fabricant américain de semiconducteurs Freescale a organisé à Paris une table-ronde sur les opportunités et les défis de l’Internet des Objets pour les industriels. Des représentants d’Orange, de Schneider Electric, de TÜV SÜD (expert allemand en sécurité industrielle), de PSA et de l’association Agora Réseau Domiciliaire ont permis de mieux cerner les enjeux et les freins de cette révolution industrielle. Industriels traditionnels qui mettent de l’Internet dans leurs produits, opérateurs à l’affut des opportunités de trafic, experts en tous genres : tous sont condamnés à s’asseoir autour de la même afin de définir leur domaine d’intervention et standardiser leurs champs de compétence pour éviter que l’espoir suscité par l’Internet des Objets ne retombe comme un soufflé …

Le premier constat est que pour chaque participant de la chaîne de valeur, l’Internet des Objets est une évolution naturelle de son métier existant et qu’il est donc exclu de laisser à d’autres la maîtrise de ce champ d’investigation. Ainsi, par exemple, Jean-Pierre Desbenoit de Schneider Electric rappelle que l’électronisation des disjoncteurs date d’une dizaine d’années avec le recours croissant à des Asic, des DSP, du traitement du signal, etc. « Le disjoncteur n’est déjà plus aujourd’hui un simple composant de protection, mais sait « combien et comment on consomme » ; il est donc naturel d’y rajouter une fonction de connectivité pour le faire communiquer avec une infrastructure intelligente », explique le responsable de Schneider Electric qui rappelle que l’ajout d’une communication radio peut coûter aujourd’hui moins de 1 dollar. De fabricant de produits, Schneider Electric entend ainsi se muer en fournisseur de produits mis en solutions avec offre de services. Pour le fabricant de matériels électriques, la solution est de raccorder les produits au cloud et de distinguer les besoins d’infrastructures intelligentes d’une connaissance fine du terrain et des spécificités des objets. « L’intelligence doit être répartie entre le terrain et le cloud », assure-t-il. Pour y parvenir, des obstacles restent à surmonter et des challenges à relever au niveau de la standardisation, de l’interopérabilité, et bien évidemment de la sécurité.

L’Internet des Objets est propre également à révolutionner le monde de l’automobile. PSA Peugeot-Citroën, qui revendique 1,2 million de véhicules connectés au service d’appel d’urgence lancé il y a une dizaine d’années, explique comment l’IoT va modifier sa façon de concevoir des véhicules. L’explosion de l’usage des smartphones et leur facilité d’utilisation obligent désormais les constructeurs à s’engouffrer dans la brèche des véhicules connectés, afin de proposer un accès aux services d’info-divertissements, relier les véhicules connectés aux villes intelligentes pour éviter la congestion du trafic, etc. Pour les usagers les plus jeunes,- les « digital native »-, la connectivité du véhicule n’est déjà plus accessoire, mais est devenue aujourd’hui un critère d’achat non négociable ; ils sont d’ailleurs déjà de moins en moins intéressés à être propriétaire de leur véhicule. Même si le processus sera long, PSA admet que son métier ne sera pas plus à terme de produire des voitures, mais de passer du produit à la fourniture d’un service de mobilité. Sa cible de clientèle s’agrandit également : « les passagers deviennent également des clients, avec un « temps de cerveau disponible » pour les services d’infotainment que nous saurons leur proposer », assène avec un brin de provocation, Frédéric Lassara de PSA. La difficulté est que les temps de développement dans l’automobile et les temps de cycles dans l’info-divertissement (Apple, Android, etc.) sont très différents. En élargissant un peu le cercle, l’IoT devrait aussi beaucoup secouer le monde de l’assurance. Avec la multitude de données proposées par la voiture connectée, l’assurance comportementale, qui calcule au plus juste les risques liés au comportement de conduite du conducteur, devrait révolutionner la façon d’assurer les conducteurs.

Si la domotique n’a pas eu jusqu’ici le succès escompté par ses promoteurs, l’avènement de l’IoT pourrait là aussi changer la donne. A l’aide de capteurs, d’actionneurs, de serveurs domestiques, de compteurs intelligents, des portes, des fenêtres, des volets, des PC, des tablettes, des téléviseurs présents au sein du foyer, il est possible de bâtir des scénarii de comportement pour faciliter la vie des usagers. C’est le sens des travaux menés par l’Agora Réseau Domiciliaire, l’association française qui regroupe grandes entreprises et opérateurs (notamment Freescale, ST, Bouygues Telecom, EDF, France Telecom, Legrand France, Numericable, Sagemcom, Schneider Electric, SFR et Technicolor) pour promouvoir un cadre de développement pour les réseaux et services de la maison. Et Jean-Pierre Lacotte, Président de l'Agora du Réseau Domiciliaire et Directeur des relations institutionnelles Europe de Technicolor de citer l’exemple d’un mode « home cinéma » qui se traduirait par un série d’actions : la fermeture automatique des volets, la modification de l’éclairage de la pièce, la coupe de la sonnerie du téléphone sauf pour les messages prioritaires relayés sur l’écran du téléviseur avec mise en pause automatique du film en cours, etc. Cette séquence d’actions, qui n’est plus de la science-fiction, constituerait ainsi les prémices à des scénariis plus sophistiqués de maintien à domicile des personnes âgées (un marché solvable par rapport au coût de l’hospitalisation). « Un suivi fin de la consommation électrique sur le lieu résidentiel permet de savoir assez précisément ce que la personne est en train de faire », assure le représentant de Schneider Electric. On peut très bien imaginer qu’une fuite d’eau détectée dans une salle de bain coupe le compteur d’eau et appelle automatiquement un service de dépannage ; l’information pourrait être affichée sur le téléviseur du salon avec demande d’action. Sans réponse, un service centralisé pourrait comprendre que le problème est peut-être plus grave et dépêcher un service d’urgence au domicile du patient… Là encore, bien des obstacles restent à surmonter, le plus délicat étant d’assurer une continuité de services temporelle et spatiale : un système de maintien à domicile qui « planterait » au fin fond de la campagne est impensable pour la sécurité du patient. Pour autant, ce système en réseau implique des acteurs de secteurs industriels aujourd’hui très cloisonnés, ce qui dilue la chaîne de responsabilité. Et ce système devrait fonctionner, même s’il est perturbé par une action inappropriée de la faute de l’utilisateur lui-même …

On le voit, les applications de l’IoT sont multiples et hétérogènes. Si chaque corps de métier se met à développer son propre système vertical, l’ensemble risque rapidement de devenir anarchique, ingérable et exponentiellement coûteux. Pour Orange, répondre par des niches verticales n’est pas la solution. « Faut-il continuer de laisser les applications de l’IoT dans des bandes de fréquences libres ou faut-il réguler le système dans des bandes de fréquences réservées et opérées, s’interroge Roland Airiau, directeur de recherche Digital Society chez Orange ? L’opérateur télécoms estime qu’on ne coupera pas à la deuxième solution d’ici 5 à 10 ans et appelle de ses vœux des places de marché de données partagées et ouvertes dont l’opérateur ou ses confrères garantiraient l’intégrité de l’information et la robustesse des données. Pour Orange, cette infrastructure de communication de large échelle de gestion de données hétérogènes garantit le développement du marché de l’IoT et abaisse le coût d’entrée pour de nouveaux acteurs. Schneider Electric va dans ce sens en soulignant que l’enjeu est dans le cloud et qu’il faut faire le juste nécessaires en local, tout en rappelant que les protocoles et les bus de terrain ont leur spécificité « pour de bonnes raisons ». Le président de l’Agora estime, pour sa part, qu’il faut découpler la partie capteurs-actionneurs de l’application proprement dite en séparant dans le développement logiciel les deux aspects et en développant l’application uniquement dans la couche middleware.

Ce partage des tâches dans un environnement hétérogène où il y a beaucoup de normes et où « l’espace commun à toutes ces normes est vide » renvoie bien évidemment à la sécurité des applications, véritable fil rouge de la table-ronde. D’aucuns pensent que trop de sécurité constituent une entrave à l’essor de l’IoT et au développement d’une nouvelle industrie pour y répondre. D’autres pointent les failles de sécurité béantes d’applications mal conçues et les risques qu’elles font courir aux utilisateurs. C’est notamment le cas de Roland Fiat, expert sécurité Industriel IT chez l’Allemand TÜV SÜD, dont c’est le métier. Ce dernier met en garde contre les hackers qui, si rien n’est fait, ne manqueront pas d’ouvrir les portes et les volets des appartements d’un quartier dont le système de gestion les aura préalablement renseignés sur l’absence des occupants, de créer des pannes géantes dans les réseaux d’énergie ou de prendre le contrôles des organes vitaux de conduite des véhicules connectés. Un cauchemar auquel tous les acteurs sont sensibilisés. Pour Roland Fiat, « il faut considérer la sécurité dès la phase de conception du produit ». On en est loin. Il rappelle que depuis que l’on est passé des protocoles propriétaires au protocole IP pour la connectivité des systèmes industriels, des failles de sécurité sont connues et répertoriées depuis 5 à 10 ans, notamment dans les systèmes de gestion SCADA, mais elles ne sont toujours pas réparées. Un brin désabusé, il assure que les équipements industriels vont continuer néanmoins à se vendre, qu’ils soient sécurisés ou pas, simplement parce que le monde en a besoin. Et sans occulter le manque de discipline des usagers, l’expert pointe la légèreté accordée à la gestion des mots de passe par les utilisateurs. Les enjeux que pose la sécurité sont vitaux : confidentialité, disponibilité des informations, intégrité des données. Mais assure l’expert, dans le monde industriel, 95% des attaques malveillantes ne sont à l’heure actuelle tout simplement même pas détectées. D’autres mettent en avant la nécessiter de placer le curseur de la sécurité au bon endroit : « pour des applications basse consommation qui réclament une puissance de calcul limité, il n’est pas possible d’avoir une clé de chiffrement à 256 bits ». A méditer.



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Towerjazz pourrait reprendre trois usines de Panasonic au Japon

Semiconducteurs>Europe>Japon>Restructurations>Revue de presse
28-11-2013 13:25:02 :

Un mois après avoir annoncé que Panasonic pourrait restructurer à la hache sa division semiconducteurs, allant jusqu’à réduire de moitié les effectifs de la branche qui emploie 14 000 personnes, la presse nippone revient à la charge en indiquant que le fondeur israélien Towerjazz devrait racheter trois usines de Panasonic au Japon avant fin mars 2014, date de clôture de l’exercice annuel du groupe nippon …

Ces trois usines emploient 2500 personnes. Par ailleurs, le groupe nippon serait également en négociation pour céder des usines d’assemblage et de test de semiconducteurs en Indonésie, en Malaisie, à Singapour et en Chine.

Comme il y a un moins, Panasonic a rétorqué que rien n’était décidé, tout en reconnaissant réfléchir à la meilleure stratégie pour son activité dans les semiconducteurs.

En 2012, Panasonic était classé 21e fournisseur mondial de semiconducteurs par IHS avec des ventes annuelles en baisse de 15%, à 2881 M$. Rappelons qu’en début d’année, Panasonic avait conclu un accord avec son compatriote Fujitsu pour mettre en commun dans une co-entreprise leurs activités dans les systèmes-sur-une-puce.

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