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GRANDS PROGRAMMES : 58 article(s).
26 millions d’euros pour étendre le projet européen Lab4MEMS aux mems optiques

Capteurs/mems/Opto>Europe>R&D>Grands Programmes
05-02-2015 08:01:21 :

Chef de file du projet européen de R&D Lab4MEMS démarré en avril 2013, STMicroelectronics annonce le lancement du projet LabMEMS II, qui capitalise sur les résultats du projet initial pour s’attaquer au développement de mems optiques ou MOEMS pour Micro-Opto-Electro-Mechanical Systems. Lab4MEMS II mobilise 26 millions d’euros et associe 20 industriels et partenaires de recherche en provenance de neuf pays …
 
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Avec plus de 1000 brevets liés aux technologies mems, plus de quatre milliards de produits livrés et d'importants moyens de fabrication internes capables de produire actuellement plus de 4 millions de mems par jour, ST dispose d’atouts solides pour diriger les travaux de recherche européens dans les mems. Le projet Lab4MEMS II s’attaquera à développer, fabriquer et tester une variété de composants incluant des commutateurs optiques, des réseaux de micro-miroirs, des interconnexions optiques, des lasers, des micro-lentilles optiques, faisant appel aux technologies des microsystèmes et de la micro-optique pour miniaturiser et construire des systèmes optiques avancés de type MOEMS.

La ligne pilote pour le projet Lab4MEMS II étendra les volumes de production de la ligne de production sur tranches de 200 mm de diamètre de STMicroelectronics à Agrate Brianza, en Italie, tout en ajoutant des technologies optiques à la boîte à outils de technologies mems du fabricant. L’impact d’un transfert de ces technologies pour une production sur tranches de 300 mm de diamètre sera également étudié.

Comme le projet initial, LabMEMS II est l'un des projets de lignes-pilotes de fabrication de technologies clés (KET) lancés dans le cadre d'un partenariat public-privé (Joint Undertaking - JU) de l'ENIAC, le conseil consultatif pour l'initiative européenne des nanotechnologies.
L'entreprise commune ENIAC-JU est un partenariat public-privé impliquant des États membres de l'ENIAC, l'Union européenne et l'Association pour les activités européennes dans le domaine de la nanoélectronique (AENEAS). Elle participe actuellement à hauteur de quelque 1,8 milliard d'euros au budget des projets de R&D, qu'elle sélectionne dans le cadre de ses appels à propositions.

Les partenaires de ST dans le projet Lab4MEMS II sont : the Politecnico di Torino and di Milano; Consorzio Nazionale Interuniversitario per la Nanoelettronica; CNR-IMM MDM; le CEA; Arkema; University of Malta; Okmetic; Murata Electronics; VTT Memsfab; Teknologian tutkimuskeskus VTT; Aalto University; KLA-Tencor ICOS; University Politehnica of Bucharest - CSSNT; Instytut Technologii Elektronowej; Warsaw; Stiftelsen SINTEF; Polewall et Besi Austria.

Plus d’infos sur le projet initial Lab4MEMS

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10 PME françaises lance un projet de 56 M€ en circuits et équipements pour objets connectés en 4G

Télécoms>Semiconducteurs>France>Politique>Grands Programmes
26-01-2015 12:15:36 :

Le projet FELIN « Futur Equipement LTE Intégré avec virtualisatioN », doté d’un budget global de 56 millions d’euros et dont Parrot est le chef de file, a pour objet de développer des circuits intégrés et des équipements de nouvelle génération pour les objets connectés en 4G, notamment pour l’automobile …

FELIN est un projet de recherche et développement structurant pour la compétitivité (PSPC) de 56 millions d’euros, financé à hauteur de 23 millions d’euros, via Bpifrance, dans le cadre du Programme d’investissements d’avenir, piloté par le Commissariat général à l’investissement (CGI). Démarré en novembre 2014, il durera 36 mois. Il a obtenu l’appui de la Direction générale des entreprises ainsi que des pôles de compétitivité Systematic et Minalogic.

Les objets connectés et le développement de la 4G représentent un potentiel de marché très important. Selon les analystes, ce sont 50 à 80 milliards d’objets connectés qui devraient être utilisés dans les 10 ans à venir, dont 2 milliards le seraient directement en 4G. Dix PME et ETI françaises, reconnues sur ce marché des télécoms, ont ainsi décidé d’unir leurs efforts et de collaborer sur un projet commun à fort potentiel, susceptible de redonner à la France une vraie part de marché dans les télécoms.

Grâce à ces financements, Parrot, chef de file du projet FELIN, va pouvoir proposer des offres de nouvelle génération permettant d’ajouter à son offre actuelle (modules d’antenne intelligente) l’accès à Internet pour le réseau de la voiture à travers une connexion sécurisée à la 4G. Les modules actuels de Parrot permettent déjà de créer un réseau synchronisé dans la voiture pour offrir du divertissement multimédia local (USB, Bluetooth) et diffusé (radio, TV) à tous les passagers du véhicule, ainsi qu’une connexion Internet par le Smartphone en mode « tethering » (connexion via Bluetooth ou wifi à son Smartphone).

Grâce au projet FELIN, cette connexion se fera directement via l’antenne intelligente 4G. Combiné à de la virtualisation, ceci permettra également de connecter d’autres organes du véhicule au « Cloud » pour des services avancés (aide à la conduite, contrôle moteur, mises à jour…) sans nécessiter plusieurs modems, réduisant ainsi significativement à l’avenir le coût des véhicules connectés.

Le cœur du module 4G sera fourni par Sequans et ACCO, sociétés basées en Ile-de-France, spécialisées dans les circuits intégrés des modems 4G, respectivement dans la partie numérique et radio-fréquence pour Sequans, et dans le front-end dont l’amplificateur de puissance pour ACCO. Ces deux PME vont développer dans le cadre du projet FELIN des circuits intégrés spécialisés pour les objets connectés en 4G. Actuellement, les objets connectés sont principalement connectés au « Cloud » à travers une interface locale vers le smartphone ou vers la box de la maison (par wifi, zigbee ou autres). Ceci ne permet pas de déployer des objets connectés directement en 4G partout, autonomes et à faible coût.

L’objectif de FELIN est de pouvoir offrir des solutions de nouvelle génération, déployables en volume, partout dans le monde, en 4 G. ACCO a été créée en 1994 pour répondre à des besoins spécifiques de RF et, depuis 2007, conçoit une nouvelle génération d’amplificateurs de puissance pour la téléphonie portable. ACCO emploie à ce jour plus de 35 ingénieurs en électronique, tous basés à Louveciennes (région parisienne) et au total environ 60 salariés, dont une dizaine de personnes aux Etats-Unis (pilotage des opérations et de la production) et 5 en Asie (commercial et support).

Enfin, les PME Qualtera et Presto Engineering, spécialisées respectivement dans l’analyse « Big Data » de données industrielles et dans les techniques de test et d’industrialisation de circuits intégrés, vont permettre d’optimiser une grande partie du coût des composants développés dans le cadre de FELIN ainsi que leur fiabilité pour l’application radio automobile. La PME Virtual Open Systems interviendra sur la partie virtualisation du projet (fonctionnement de plusieurs systèmes d’exploitation indépendants dans le même équipement offrant une grande robustesse en terme de sécurité).

Le projet FELIN est également accompagné d’universités et de laboratoires de recherche, notamment le CEA-LETI, le laboratoire de recherche IMS unité mixte de recherche du CNRS dépendant de Bordeaux INP et de l’Université de Bordeaux, le laboratoire XLIM-CNRS de l’Université de Limoges qui contribuent à innover sur la partie RF de la 4G avec Acco.

Par ailleurs l’IRT SystemX, à travers le projet ELA (Electronique et Logiciel Embarqué), permet à FELIN d’être en connexion avec la filière automobile française (Renault, PSA Peugeot Citroën, Valeo, Continental…).


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Le plan d’investissement européen de 315 milliards d’euros mis sur les rails

Filière électronique>Europe>Investissements>Politique>Grands Programmes
14-01-2015 14:03:47 :

50 jours après avoir annoncé son plan d'investissement pour l'Europe destiné à favoriser la croissance et l’emploi, la Commission européenne vient d’adopter la proposition législative établissant le Fonds européen pour les investissements stratégiques, qui sera mis en place en partenariat étroit avec la Banque européenne d’investissement (BEI). Ce fonds est au cœur de l’offensive pour l’investissement, qui doit mobiliser au moins 315 milliards d’euros d’investissement privé et public dans l’Union européenne …

Il soutiendra en particulier l’investissement stratégique, notamment dans le haut débit et les réseaux énergétiques, ainsi que dans les entreprises de moins de 3000 salariés. La proposition établit également une plateforme européenne de conseil en investissement, qui aidera à sélectionner, préparer et développer des projets dans toute l’Union. Enfin, une réserve européenne de projets d’investissement permettra aux investisseurs de s’informer plus facilement sur les projets existants et futurs.

« Je compte maintenant sur la responsabilité politique du Parlement européen et du Conseil, pour que la proposition soit adoptée rapidement, de manière à ce que le Fonds soit opérationnel en juin et que les nouveaux investissements puissent être lancés », a déclaré Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne.

Détails de la proposition de la Commission.

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Véhicule autonome : SystemX lance le projet ISE de sécurisation des données

Automobile>France>R&D>Grands Programmes
01-12-2014 13:13:08 :

L’Institut de Recherche Technologique francilien SystemX continue d’explorer les enjeux du véhicule autonome et connecté en lançant le projet ISE (ITS SEcurité). Ce projet de trois ans, initié en juillet 2014 avec 21 partenaires dont Opentrust, PSA Peugeot Citroën, Renault, Trialog, Valeo et l’Institut Mines-Télécom, porte sur le développement d’applications coopératives de sécurité routière et de mobilité …

« Le déploiement des véhicules autonomes et communicants requiert de nombreux préalables. Avant même de parler de l’acceptation par l’utilisateur de « lâcher son volant », il est essentiel de garantir la sécurité des données qui transitent entre plusieurs véhicules - ou entre un véhicule et son environnement. Pour cela, il faut se pencher sur les systèmes d’authentification et de chiffrement des données (PKI), sur la gestion des Big Data générées par le réseau routier au sens large, et sur les architectures de systèmes qui supportent ces flux », explique Paul Labrogere, Directeur du programme Technologies et Outils de l’IRT SystemX.

Les applications ITS développées dans le cadre du projet ISE exploitent les données diffusées entre les véhicules entre eux, et entre les véhicules et les infrastructures routières (position, vitesse, direction, etc.). Elles reposent sur les technologies sans fil ITS G5 et 802.11p. Le projet se base également sur les standards ETSI et CEN/ISO pour les aspects liés à la sécurité.

D’un point de vue technique, l’objectif est de démontrer la sécurité, la fiabilité et l’adaptabilité des systèmes coopératifs ITS en garantissant le respect de la vie privée. Ces ITS doivent donc être capables de traiter les milliers de messages échangés par seconde sur la route. Ils doivent aussi améliorer la sécurité active des véhicules en complément des systèmes de perception installés sur les véhicules (radar, caméra, etc).

Les équipes de recherche de l’IRT, en collaboration avec les chercheurs des différents partenaires industriels et académiques, exploreront 3 sujets :
• La gestion des identités en travaillant à la fois sur des certificats de sécurité qui garantissent l’authenticité des messages utilisés par la voiture, et qui apportent des services de confidentialité en protégeant l’identité et l’accès aux données du véhicule (position, vitesse, direction mais aussi données personnelles intégrées dans les systèmes embarqués).
• Le dimensionnement des systèmes et plateformes pour assurer un passage à grande échelle sans heurt en dépit des grands volumes de données qui transitent, et pour un coût total abordable.
• La conception et la certification des systèmes ITS apportant l’assurance de sécurité, de performance et de passage à l’échelle des systèmes.
Implanté sur le Plateau de Saclay, l’Institut de Recherche Technologique SystemX dédié à l’ingénierie numérique des systèmes du futur constitue un levier d’innovation aux croisements des filières transport et mobilité, communication, sécurité numérique et énergie.

Le projet d’IRT s’est vu attribuer une dotation de 336 M€ dans le cadre des « Investissements d’Avenir » et bénéficie de la labellisation principale du pôle Systematic Paris-Region et du soutien des collectivités territoriales.

Les membres fondateurs sont : Alstom, Renault, Bull, Kalray, Sherpa, OVH Global Solutions, Systematic Paris-Region, Inria, Institut Mines-Telecom et Campus Paris-Saclay.

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315 milliards d'euros pour relancer la croissance en Europe

Filière électronique>Europe>Politique>Grands Programmes
26-11-2014 14:27:08 :

La Commission européenne a annoncé ce matin un plan d'investissement qui doit libérer au moins 315 milliards d'euros d'investissements publics et privés pour l'économie réelle au cours des trois prochaines années (2015-2017). Chaque euro d'argent public mobilisé par le Fonds doit générer au total 15 euros d'investissements qui, à défaut, n'auraient pas été réalisés …

Le nouveau Fonds soutiendra les investissements stratégiques dans les infrastructures, notamment les réseaux à haut débit et les réseaux d'énergie, le transport, dans les centres industriels, ainsi que l'éducation, la recherche et l'innovation, les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique, sans oublier les PME et les entreprises à moyenne capitalisation.

Selon les estimations de la Commission européenne, les mesures proposées pourraient, prises dans leur ensemble, accroître le PIB de l'UE de 330 à 410 milliards d'euros au cours des trois prochaines années et créer jusqu'à 1,3 million d'emplois.

Le plan comporte trois volets principaux la création d'un nouveau Fonds européen pour les investissements stratégiques (FEIS), garanti par de l'argent public, afin de mobiliser au moins 315 milliards d'investissements supplémentaires au cours des trois prochaines années (2015-2017) ; la mise en place d'une réserve de projets crédibles, associée à un programme d'assistance afin de canaliser les investissements en fonction des besoins les plus pressants ; une feuille de route destinée à rendre l'Europe plus attrayante pour les investissements et supprimer les obstacles réglementaires.

« L'heure est venue d'investir dans notre avenir, dans des secteurs clés pour l'Europe, comme l'énergie, les transports, le haut débit, l'éducation, la recherche et l'innovation. Je compte à présent sur le Parlement européen et les États membres pour s'atteler à la tâche et faire en sorte que le nouveau Fonds européen pour les investissements stratégiques soit opérationnel le plus rapidement possible », a commenté Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne.

Un nouveau Fonds européen pour les investissements stratégiques (FEIS) sera mis sur pied, en partenariat avec la Banque européenne d'investissement (BEI). Il comprendra une garantie de 16 milliards d'euros provenant du budget de l'UE, combinée à 5 milliards d'euros engagés par la BEI. Selon des estimations fondées sur les enseignements du passé, le Fonds aura un effet multiplicateur de 1 à 15. En d'autres termes, chaque euro d'argent public mobilisé par le Fonds générera au total 15 euros d'investissements qui, à défaut, n'auraient pas été réalisés.
La totalité des mesures correspondantes devraient être adoptées de manière à ce que le nouveau Fonds européen pour les investissements stratégiques puisse être mis en place d'ici la mi-2015. À la mi-2016, la Commission européenne et les chefs d'État et de gouvernement feront le point sur les progrès réalisés et, le cas échéant, envisageront d'autres options.


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Lancement des études industrielles du futur drone aérien de combat franco-britannique

Défense>France>Europe>R&D>Grands Programmes
06-11-2014 14:18:30 :

La France et la Grande-Bretagne ont procédé hier officiellement au lancement industriel du projet de drone de combat futur (FCAS - Future Combat Air System). La DGA et son homologue britannique (DE&S) ont remis aux partenaires industriels du projet (Dassault Aviation - BAE Systems, Rolls-Royce - Safran et Selex ES - Thales), les contrats d’études de la phase de faisabilité du FCAS …

La signature de ces contrats FCAS intervient à l’issue d’une phase préparatoire de deux ans qui a réuni sur ce projet Dassault Aviation et BAE Systems comme systémiers, Thales et Selex ES pour l’électronique embarquée et les capteurs, ainsi que Safran et Rolls-Royce pour la propulsion.

L’engagement conjoint, d’un montant de 120M£ (150M€) également répartis entre les partenaires, est complété par des études nationales lancées en parallèle, pour un montant d’environ 40M£ (50M€) par pays. Cette phase de faisabilité conjointe de deux ans qui débute aujourd’hui portera plus particulièrement sur les architectures de drones de combat, sur certaines technologies-clés et sur la définition des moyens de simulation destinés à valider les choix techniques et les concepts d’emplois. La France comme le Royaume-Uni mettront également à profit l’expérience acquise dans le domaine des drones aériens de combat avec les démonstrateurs technologiques NEURON et TARANIS, projets conduits respectivement par Dassault-Aviation et BAE Systems.

La phase de faisabilité prépare le lancement du développement et de la réalisation d’un démonstrateur de drone de combat prévu début 2017.

Capteurs multifonction et sous-systèmes de communication attribués à Thales et Finmeccanica–Selex ES

Dans le cadre de la phase de faisabilité, des contrats portant sur la spécification et la définition de la suite de capteurs multifonction dont sera doté le système FCAS, ainsi que des sous-systèmes de communication, ont été attribués à Thales et Finmeccanica–Selex ES.

Au cours de cette période contractuelle de deux ans, les deux Européens collaboreront à parts égales. Outre la spécification des capteurs et des systèmes de communication du futur drone, ils établiront les feuilles de route relatives à ces systèmes, et identifieront les coûts associés à la production d’un FCAS opérationnel. Cette coopération inclut également des activités conjointes de maturation technologique qui soutiendront les activités de conception. Les deux entreprises pourront faire appel à d’autres secteurs industriels français et britanniques, selon les nécessités.

« En fournissant des solutions innovantes en matière de capteurs, les deux partenaires soutiennent et développent des technologies souveraines et une base de compétences stratégique dans les deux pays, qui bénéficieront aux plateformes de combat avec ou sans pilotes », affirment les deux industriels.

Finmeccanica-Selex ES est un fournisseur de systèmes, produits et solutions dans les domaines de la Défense et de la sécurité nationale, ainsi que dans la gestion des infrastructures civiles complexes. Avec 17 000 collaborateurs, Finmeccanica-Selex ES est implanté en Italie et en Grande-Bretagne où se trouvent ses principaux centres d’opérations. La société bénéficie également d’une forte présence industrielle et commerciale dans de nombreux autres pays – États-Unis, Allemagne, Turquie, Roumanie, Brésil, Arabie saoudite et Inde.

Thales est un leader mondial des hautes technologies pour les marchés de l’aérospatial, du transport de la défense et de la sécurité. Fort de 65 000 collaborateurs dans 56 pays dont 25 000 ingénieurs et chercheurs, Thales a réalisé en 2013 un chiffre d’affaires de 14,2 milliards d’euros.



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