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R&D : 234 article(s).
2,5 milliards d’euros pour la maîtrise du big data en Europe

Filière électronique>Europe>R&D>Grands Programmes
13-10-2014 19:46:23 :

La Commission européenne et le secteur européen des données se sont engagés à investir 2,5 milliards d’euros dans un partenariat public-privé (PPP) visant à renforcer le secteur du big data en Europe. Avec la maîtrise des mégadonnées, les fournisseurs européens pourraient conquérir jusqu’à 30% du marché mondial des données; 100 000 nouveaux emplois pourraient être créés en Europe d’ici à 2020, estime la Commission …
 
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Un protocole d’accord pour la mise en place du PPP sur les mégadonnées a été signé hier par Neelie Kroes, vice-présidente de la Commission européenne, et par Jan Sundelin, président de la Big Data Value Association, qui agit au nom de sociétés, parmi lesquelles Atos, Nokia Solutions and Networks, Orange, SAP et Siemens, et d’organismes de recherche tels que Fraunhofer et le centre allemand de recherche sur l’intelligence artificielle.

L’Union Européenne a prévu d’investir plus de 500 millions d’euros sur cinq ans (2016-2020) au titre du programme Horizon 2020, tandis que les partenaires privés devraient apporter une mise de fonds au moins quatre fois plus importante (soit 2 milliards d’euros).
Le PPP doit aider à concentrer les efforts du secteur public, du secteur privé et des universités sur la recherche d’idées novatrices sur les mégadonnées et l’innovation en la matière, dans des secteurs tels que l’énergie, l’industrie manufacturière et la santé, pour fournir des services, par exemple, d’analyse prédictive, de logistique agroalimentaire et de médecine personnalisée.

Chaque minute, le monde génère 1,7 million de milliards d’octets de données, ce qui représente plus de 6 mégaoctets de données par personne et par jour. Ces données proviennent de différentes sources (personnes, machines, capteurs...). Il peut s’agir d’informations climatiques, d’images satellite, de photos et de vidéos numériques, d’enregistrements de transactions ou de signaux GPS.

En conséquence, le secteur des données connaît une croissance de 40% par an, sept fois plus rapide que celle du marché de l’information et des communications dans son ensemble. Les entreprises qui bâtissent leurs processus décisionnels sur des connaissances produites à partir de données voient leur productivité croître de 5 à 6%, assure la Commission.

Une étude mondiale de GE et Accenture, intitulée « Industrial Internet Insights for 2015 », (Perspectives de l’Internet industriel pour 2015) révèle notamment qu’il devient de plus en plus urgent pour les organisations d’embrasser l’analyse des données volumineuses pour faire avancer leur stratégie d’Internet industriel. Mais moins d’un tiers des entreprises possèdent actuellement des capacités d’analyse prédictive bien que l’analyse des données volumineuses soit une priorité pour 88% des 250 cadres interrogés dans le cadre de l’étude.

Télécharger l’étude de GE et Accenture ICI.


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La FIEEC récompense trois chercheurs créateurs d’emplois dans les PME-ETI

Filière électronique>France>R&D
09-10-2014 13:46:28 :

Pour la quatrième année, les Prix FIEEC/F2I de la recherche appliquée ont été décernés hier à trois chercheurs dans le cadre des Rendez-vous Carnot 2014. Ces prix visent à récompenser des travaux de recherche, menés dans le cadre d’un partenariat avec une PME-ETI, ayant directement contribué à générer de la croissance et des emplois sur le territoire français …

Le premier prix a été attribué à Jean-Luc Danger, de l’institut Carnot Télécom & Société numérique, directeur d’études à Télécom ParisTech, responsable d’un groupe de recherche sur les architectures des systèmes électroniques numériques et les systèmes embarqués. Il travaille depuis l’origine avec la société Secure-IC, fournisseur de solutions de sécurisation des composants électroniques. Les produits développés en commun exploitent les technologies permettant de lutter contre les attaques des circuits intégrés sensibles, comme les cartes à puce. 8 brevets de Télécom ParisTech sont exploités par Secure-IC au travers des développements de nouveaux produits. Secure-IC est une entreprise rennaise et parisienne qui compte 27 employés et a généré 2 M€ de chiffre d’affaires en 2013.

Le deuxième prix récompense Jean-François Pintos, chercheur à l’institut Carnot CEA-Leti dans le domaine des télécommunications. Il a collaboré avec TPL Systèmes, leader français dans la conception et la fabrication de pagers et d’équipement embarqués. TPL Systèmes est l’un des principaux distributeurs de matériel Tetrapol fabriqué par Airbus Defence and Space (ex Cassidian) pour le marché ANTARES (réseau national destiné aux acteurs de la sécurité civile). En réponse à une demande client, TPL Systèmes a travaillé avec le CEA-Leti sur une évolution d’un de ses terminaux sans fil : amélioration des performances et disparition de l’antenne externe du terminal. De fortes contraintes de miniaturisation d’antenne et d’intégration sur un terminal compact étaient nécessaires. Cette collaboration a donné lieu au développement d’un nouveau produit chez le client. TPL Systèmes est une PME localisée à Sarlat, qui comprend 40 employés et génère un chiffre d’affaires de 23,3 M€.

Le troisième prix est attribué à Vincent Roca, titulaire d’une thèse de doctorat en informatique, d’une Habilitation à Diriger des Recherches et chercheur à l’institut Carnot Inria. Il travaille avec Expway, entreprise qui développe et commercialise des logiciels pour optimiser la diffusion sur réseaux IP et mobiles de services tels que la télévision en direct, l’OTT ou des services de Datacasting. La collaboration avec l’Inria a porté sur l’amélioration de la fiabilité de ces systèmes de diffusion de contenus multimédias vers des terminaux légers (smartphone et tablettes). Expway, PME parisienne, compte aujourd’hui 40 employés et réalise la quasi-totalité de ses 4 M€ de ventes à l’export (Japon, USA, Inde, Chine et Corée principalement).

Le prix FIEEC/F2I a été remis par Joseph Puzo, vice-président de la FIEEC (Fédération des Industries Electriques, Electroniques et de Communication) et Bernard Bismuth, Président du Club Rodin, think tank de la FIEEC. Le Fonds pour l’innovation dans l’industrie (F2i) a sponsorisé le premier prix. La société Axon Cable a sponsorisé les deux autres.

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Thales Avionics va regrouper sa R&D sur quatre sites en France

Filière électronique>Aéronautique>France>Restructurations>R&D
09-10-2014 13:43:26 :

Début octobre, Michel Mathieu, p-dg de Thales Avionics, a présenté lors d’un CCE la décision de l’entreprise de regrouper d’ici à 2017 les opérations de R&D de la filiale avionique de Thales sur quatre sites au lieu de deux actuellement, afin d’être plus compétitif et de réduire les coûts. Les sites de Meudon et de Vendôme feraient les frais de cette restructuration, même si la direction exclut leur fermeture …

L’éclatement des sites de Thales Avionics est issu de son histoire : anciennement Sextant Avionique, la société est née en 1989 de la fusion des sociétés Crouzet, EAS et SFENA avec la division aéronautique de Thomson-CSF.

Selon le syndicat CFE-CGC, le projet de la direction est de regrouper la R&D de Thales Avionics sur quatre sites d’ici à 2017 en les spécialisant :
• Un site spécialisé dans les systèmes de cockpits (ingénierie système, plateforme de calcul et interfaces hommes/système) à Bordeaux (nouvel établissement de Mérignac prévu pour 2017)
• Un site principal pour les fonctions complexes (logiciel de gestion de vol) à Toulouse
• Un site spécialisé dans les systèmes de navigation à Valence
• Un site spécialisé dans les centrales inertielles à Châtellerault La Brelandière

Pour l’organisation syndicale, cette restructuration aboutit mécaniquement à la suppression du site de Meudon (580 salariés) et de la R&D de Vendôme (60 salariés concernés).

Toutefois, le p-dg de Thales Avionics a affirmé à Reuters qu’aucun site ne sera fermé. Le site de Vendôme poursuivra ses autres activités, tandis que les activités de Meudon déménageront dans quelques semaines sur le nouveau site de Thales à Vélizy. A suivre.


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Un projet de très haut débit dans les trains à très grande vitesse

Télécoms>Industriel>France>Accords>R&D
07-10-2014 13:37:59 :

200 Mbits/s à une vitesse de 300km/h! C’est l’objectif que se sont fixé les deux industriels français Acksys Communications & Systems et Luceor WiMesh Systems qui ciblent principalement avec ces performances le marché des opérateurs et des exploitants de réseaux ferrés …
Cette nouvelle génération de réseaux sans fil reposera sur une technologie Mesh Cellulaire exploitée notamment dans les bandes de fréquence libres et des équipements certifiés aux normes ferroviaires.

Spécialisé dans les solutions de communication WiFi, Acksys Communications & Systems propose une gamme complète de produits spécifiquement conçus pour le ferroviaire et équipe aujourd’hui plus de 5000 voitures de trains et permet ainsi la création de réseaux WiFi haute-disponibilité dédiés au transfert de données d’applications critiques (CCTV, CBTC, VoIP…).

Luceor développe, pour sa part, des solutions innovantes de communication dans les bandes de fréquences libres. Grâce à sa technologie WiMesh, la start-up française Luceor propose déjà des réseaux sans fil en mobilité jusqu’à 150 Mbits/s utiles (Voix sur IP, Vidéo HD, etc.) sans coupure, que ce soit en environnement extérieur ou à l’intérieur des bâtiments.

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Akka Technologies et Dassault Systèmes montent à bord de la voiture autonome et connectée

Automobile>Logiciels>France>Accords>R&D
06-10-2014 14:55:23 :

Akka Technologies, groupe français d’ingénierie et de conseil en technologies, et Dassault Systèmes annoncent la mise en place d'un partenariat à long terme, visant à promouvoir l'innovation sur le marché des véhicules autonomes et connectés. Grâce à ce partenariat, Akka et Dassault Systèmes s’estiment être en mesure d'offrir au secteur automobile des solutions et services d'ingénierie de pointe …

Les deux sociétés partagent la même volonté de répondre à la hausse de la demande en connectivité et au défi posé par la mise en place de services automobiles orientés cloud. Pour Akka, cela passe par le développement du concept-car connecté et autonome Link&Go. Pour Dassault Systèmes, cela passe par la mise à disposition de sa plateforme 3DExperience, une plateforme collaborative basée sur le Cloud, aussi bien pour Akka que pour l'ensemble de l'industrie du transport et de la mobilité.

Les ingénieurs d'Akka vont donc poursuivre le développement de la Link&Go nouvelle génération en s'appuyant sur la plateforme 3DExperience et en utilisant les applications de Dassault Systèmes pour concevoir, créer, simuler et valider sur une seule et même plateforme collaborative hébergée sur le cloud. Ce nouveau partenariat doit être un véritable levier d'accélération pour le développement du prochain concept Link&Go, dont les avancées technologiques se concentreront principalement sur la personnalisation des services proposés aux adeptes de la mobilité.

Le thème des véhicules autonomes et connectés constitue l'un des 34 plans du « nouveau visage de l'industrie » promu par le gouvernement français.

Le groupe Akka Technologies emploie près de 11 000 personnes et est présent dans 20 pays. Le groupe, qui vise 1 milliard d'euros de chiffre d’affaires dont 50% en France, accompagne les grands comptes industriels et tertiaires sur les différentes étapes de leurs projets, de la R&D et l'étude, à l'industrialisation.


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Un projet européen pour l’électronique ultra-basse consommation

Filière électronique>Semiconducteurs>Europe>R&D>Grands Programmes
02-10-2014 14:57:31 :

Financé à hauteur de 4,3 millions d’euros sur une période de 42 mois dans le cadre du 7e programme-cadre de recherche et développement de l’Union européenne, le projet européen E2SWITCH s’attelle au développement de l’électronique ultra-basse consommation et réunit neuf partenaires – universités, instituts de recherche et entreprises. L’objectif est de préparer la prochaine génération de transistors, capables de fonctionner en dessous d’une tension de 0,3 volts …

E2SWITCH aura pour mission de développer une électronique d’ultra-basse consommation basé sur la technologie Tunnel FET à hétérostructures sur substrat silicium, exploitant un phénomène de mécanique quantique pour la conduction et fonctionnant à des tensions jusqu’à cinq fois plus faibles que ceux des circuits des téléphones portables d’aujourd’hui, permettant ainsi d’accroître l’autonomie et les fonctionnalités des dispositifs portables du futur.

L’EPFL (Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne) coordonne ce nouveau programme de recherche européen qui implique six universités et instituts de recherche, ainsi que les entreprises IBM, CCS et Sciprom. Du côté académique, E2SWITCH réunit l’EPFL, les universités d’Udine et de Bologne (Italie), l’IMEC (Belgique), le Jülich Fochschungzentrum (Allemagne), l’université de Lund (Suède) ainsi que l’ETH Zurich (Suisse).

«Notre objectif est de préparer la prochaine génération de transistors, capables de fonctionner en dessous d’une tension de 0,3 volts et aller même vers le 0,1V», explique Adrian Ionescu, professeur EPFL et coordinateur de E2SWITCH.

Les dispositifs mobiles de type smartphone ou montre intelligente seraient les premiers éléments à profiter d’une telle optimisation de l’électronique qui minimisera la dissipation thermique. Mais l’enjeu va au-delà. «Entre 125 et 150 degrés, les circuits numériques commencent à perdent leur fonctionnalité. Or, notre nouvelle technologie ne consommera pas seulement moins, mais elle sera plus stable sur un large éventail de températures, ouvrant des applications plus robustes dans les domaines de l’automobile et aéronautique», explique le communiqué du consortium.

« Pour répondes aux besoins actuels, Cambridge CMOS sensors (CCS) fabrique des capteurs à basse consommation et à basse tension destinés aux smartphones et aux applications automobiles du futur. Participer à E2SWITCH nous donne l’occasion d’opérer une transition naturelle vers une technologie allant au-delà du procédé CMOS, sur lequel notre travail est principalement basé. Ce projet nous amènera à concevoir des appareils de détection de gaz à basse tension, de tester des composants de base utilisant les solutions TFET et de démontrer la viabilité de capteurs de conditionnement du signal à basse tension pour des utilisations dans la détection de gaz ou les mesures de températur e», explique Foysol Chowdhury, directeur des projets R&D chez Cambridge CMOS Sensors.

« La dissipation de l’énergie est un défi majeur en matière de réalisation de circuits nanoélectroniques. Avec E2SWITCH, nous comptons réduire drastiquement la consommation d’énergie des appareils électroniques TFETs grâce à une hétérostructure de nanofils directement intégrée sur un substrat de silicium standard », déclare Heike Riel, IBM Fellow au centre de recherche IBM à Zurich. L’ambition d’IBM est ainsi d’intégrer cette technologie dans les centres de données, très consommateurs d’énergie.

Plus d’infos sur le projet E2SWITCH

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