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R&D : 234 article(s).
Lancement des études industrielles du futur drone aérien de combat franco-britannique

Défense>France>Europe>R&D>Grands Programmes
06-11-2014 14:18:30 :

La France et la Grande-Bretagne ont procédé hier officiellement au lancement industriel du projet de drone de combat futur (FCAS - Future Combat Air System). La DGA et son homologue britannique (DE&S) ont remis aux partenaires industriels du projet (Dassault Aviation - BAE Systems, Rolls-Royce - Safran et Selex ES - Thales), les contrats d’études de la phase de faisabilité du FCAS …
 
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La signature de ces contrats FCAS intervient à l’issue d’une phase préparatoire de deux ans qui a réuni sur ce projet Dassault Aviation et BAE Systems comme systémiers, Thales et Selex ES pour l’électronique embarquée et les capteurs, ainsi que Safran et Rolls-Royce pour la propulsion.

L’engagement conjoint, d’un montant de 120M£ (150M€) également répartis entre les partenaires, est complété par des études nationales lancées en parallèle, pour un montant d’environ 40M£ (50M€) par pays. Cette phase de faisabilité conjointe de deux ans qui débute aujourd’hui portera plus particulièrement sur les architectures de drones de combat, sur certaines technologies-clés et sur la définition des moyens de simulation destinés à valider les choix techniques et les concepts d’emplois. La France comme le Royaume-Uni mettront également à profit l’expérience acquise dans le domaine des drones aériens de combat avec les démonstrateurs technologiques NEURON et TARANIS, projets conduits respectivement par Dassault-Aviation et BAE Systems.

La phase de faisabilité prépare le lancement du développement et de la réalisation d’un démonstrateur de drone de combat prévu début 2017.

Capteurs multifonction et sous-systèmes de communication attribués à Thales et Finmeccanica–Selex ES

Dans le cadre de la phase de faisabilité, des contrats portant sur la spécification et la définition de la suite de capteurs multifonction dont sera doté le système FCAS, ainsi que des sous-systèmes de communication, ont été attribués à Thales et Finmeccanica–Selex ES.

Au cours de cette période contractuelle de deux ans, les deux Européens collaboreront à parts égales. Outre la spécification des capteurs et des systèmes de communication du futur drone, ils établiront les feuilles de route relatives à ces systèmes, et identifieront les coûts associés à la production d’un FCAS opérationnel. Cette coopération inclut également des activités conjointes de maturation technologique qui soutiendront les activités de conception. Les deux entreprises pourront faire appel à d’autres secteurs industriels français et britanniques, selon les nécessités.

« En fournissant des solutions innovantes en matière de capteurs, les deux partenaires soutiennent et développent des technologies souveraines et une base de compétences stratégique dans les deux pays, qui bénéficieront aux plateformes de combat avec ou sans pilotes », affirment les deux industriels.

Finmeccanica-Selex ES est un fournisseur de systèmes, produits et solutions dans les domaines de la Défense et de la sécurité nationale, ainsi que dans la gestion des infrastructures civiles complexes. Avec 17 000 collaborateurs, Finmeccanica-Selex ES est implanté en Italie et en Grande-Bretagne où se trouvent ses principaux centres d’opérations. La société bénéficie également d’une forte présence industrielle et commerciale dans de nombreux autres pays – États-Unis, Allemagne, Turquie, Roumanie, Brésil, Arabie saoudite et Inde.

Thales est un leader mondial des hautes technologies pour les marchés de l’aérospatial, du transport de la défense et de la sécurité. Fort de 65 000 collaborateurs dans 56 pays dont 25 000 ingénieurs et chercheurs, Thales a réalisé en 2013 un chiffre d’affaires de 14,2 milliards d’euros.



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Un millier de salariés fêtent les quarante ans d’Intel France

Semiconducteurs>France>Etats Unis>R&D>Stratégie
05-11-2014 13:42:42 :

Intel France a fêté le 29 octobre ses quarante ans. D’une seule structure en 1974, basée à Rungis, Intel France se départage en six entités aujourd’hui à Meudon, Sophia-Antipolis, Toulouse, au campus Teratec dans l’Essonne, à Montpellier et à Nantes. Cette évolution, qui s’est pour beaucoup inscrite depuis 2009 dans une accélération marquée vers la R&D en matière de technologies mobiles et d’infrastructures du calcul intensif, permet à Intel France de compter aujourd’hui près d’un millier d’employés, dont plus de 80% de chercheurs et ingénieurs travaillant en R&D

De façon chronologique et thématique, le groupe Intel France se compose aujourd’hui des sites suivants :
Meudon : inauguré au début des années 2000, il est actuellement le siège social d’Intel France et le bureau central des ventes et du marketing du groupe. Depuis septembre 2008 Stéphane Negre en est l’actuel directeur ainsi que le président d’Intel France.

Sophia-Antipolis : créée en 1999, cette entité est la structure qui a le plus évolué depuis ses débuts. De dix personnes au départ, spécialisées dans les certifications télécom, le site regroupe aujourd’hui près d’un tiers des effectifs du groupe en France, partagés entre deux entités : les groupes MCG (Mobile Communication Group) et IMC (Intel Mobile Communications – né du rachat en 2011 de la division sans fil pour téléphonie mobile d’Infineon). Ensemble, ils œuvrent au sein d’un laboratoire de R&D dédié à l’intégration des composants de connectivité et à l’architecture des composants logiciels de communication (Modem, Wi-Fi, GPS, NFC…) afin d’établir des modèles de référence pour les smartphones et les tablettes. Bruno Bocaert (pour MCG) et Stephan Klingler (pour IMC) se partagent la direction des différentes activités de ce laboratoire.

Toulouse : né en 2009 de l’intention d’Intel de développer un site de référence dédié à l’ultra-mobilité, ce laboratoire de téléphonie mobile est au point de départ de l’ascension prise par le groupe Intel France dans la R&D des technologies mobiles. Composé à l’origine par le rachat d’une partie du pôle téléphonie de Freescale avec la reprise de quelques 50 salariés, le site de Toulouse s’est agrandi en 2012 et représente plus de 200 personnes. En relation étroite avec le centre de Sophia-Antipolis, il travaille aussi avec d’autres sites Intel de par le monde (Etats-Unis, Chine, Inde, Finlande). Thierry Cammal en est l’actuel directeur.

Laboratoire ECR (Exascale Computing Research) : inauguré en 2010 à Versailles, en partenariat avec le CEA, le GENCI et l’Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, l’ECR vient de déménager au sein de la technopole Teratec (dans l’Essonne), consacrée à la simulation numérique haute performance. Composé d’une trentaine de chercheurs et doctorants du public et du privé, l’ECR travaille sur l’optimisation des logiciels pour les futurs supercalculateurs exascales, soit le prochain grand palier dans le calcul intensif. Sa mission, partagée avec deux autres Intel Labs spécialisés en Allemagne et en Belgique : préparer les supercalculateurs qui demain génèreront des milliards de milliards d’opérations par seconde (l’exaflop) pour nombre de nouvelles applications dans la Recherche. Marie-Christine Sawley en est l’actuelle directrice.

Montpellier : ouvert en 2010 dans le cadre d’un OTC (Open Source Technology Center), le site de Montpellier est le pôle de recherche et d’optimisation des logiciels d’applications du groupe Intel France pour les terminaux mobiles. Jacques Bourhis en est l’actuel directeur.

Nantes : né du rachat en 2011 de la start-up CoFluent Design, le laboratoire de Nantes des outils de modélisation et de simulation pour les systèmes embarqués. Vincent Perrier en est l’actuel directeur.

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Crocus Technology va développer un microcontrôleur pour applications sécurisées avec cellule mémoire multi-bits

Sécurité>Semiconducteurs>France>Accords>R&D
27-10-2014 11:49:52 :

Le Grenoblois Crocus Technology, spécialisé dans les technologies de semiconducteurs magnétiques, lance le projet Multismart pour développer la première technologie Multibit destinée aux applications dans les transactions sécurisées et l’Internet des Objets. En adossant sa technologie Magnetic Logic Unit à l’architecture Multibit, Crocus compte doubler la densité de mémoire par zone sur une simple puce, permettant d’y héberger deux fois plus de données et d’applications. Pour développer ce nouveau microcontrôleur, Crocus a fait alliance avec Gemalto, ainsi qu’avec les laboratoires LIRMM et l’IM2NP …

En augmentant la densité de mémoire sans compromis sur la taille de l’élément, Crocus compte ainsi obtenir deux avantages majeurs pour les utilisateurs. Le premier est une plus grande flexibilité dans l’ajout de nouvelles fonctionnalités. L’autre avantage est la compacité du produit qui va faciliter son intégration dans des dispositifs complexes.

Aujourd’hui, les éléments sécurisés sont basés sur des mémoires flash ou EEPROM, qui ne stockent qu’un bit de mémoire par cellule. Crocus compte ainsi devenir la première société du marché des cartes à puces et des éléments sécurisés à lancer un produit intégrant une cellule mémoire multi-bits. Ce type de mémoire n’existe que dans des applications de stockage autonomes type NAND ou NOR, qui nécessitent toujours une plus grande densité.

Les équipes d’ingénieurs de Crocus, au sein de la division sécurité de Rousset, en France, vont développer ce nouveau microcontrôleur sécurisé doté d’une plus grande capacité de stockage, par le biais du consortium Multismart. Le pôle de compétitivité SCS (Solutions Communicantes Sécurisées), spécialisé dans le sans-contact, le M2M (machine to machine), les services mobiles, la sécurité numérique et l’identité, ainsi que la région PACA, la Communauté du Pays d’Aix et la ville de Rousset soutiennent ce projet collaboratif coordonné par la Direction Générale des Entreprises au sein de l’appel à projet « FUI 18 » (Fonds Unique Interministériel).

Les partenaires de Multismart sont Gemalto, le LIRMM (Laboratoire d’Informatique, de Robotique et de Microélectronique de Montpellier), et l’IM2NP (l’Institut Matériaux Microélectronique Nanosciences de Provence) à Marseille.

Gemalto prévoit de développer un nouveau système d’exploitation pour les fonctionnalités spécifiques du Multibit. Le LIRMM et l’IM2NP vont tester, qualifier et caractériser le produit final, un microcontrôleur comportant un élément sécurisé.

Crocus vise des applications dans le NFC (Near Field Communication ou Communication en Champ Proche), les transactions sécurisées et l’Internet des Objets. Le marché des éléments sécurisés devrait atteindre 900 millions d’unités en 2017 pour les applications NFC, par rapport à un total de 245 millions d’unités en 2013, selon ABI Research.

La technologie MLU de Crocus est une technologie magnétique non-volatile qui offre des avantages en termes de performance, de sécurité et de rapport qualité-prix. La MLU nécessite l’ajout de trois à quatre couches sur un CMOS standard, et apporte de nombreux bénéfices, comme la capacité à embarquer des mémoires sécurisées et des capteurs magnétiques dans les systèmes intégrés.

Créé en 2004, Crocus a des bureaux à Santa Clara, en Californie et dispose également de bureaux en France, à Grenoble et Rousset. L’entreprise est actionnaire avec Rusnano de Crocus Nano Electronics, une unité de production de semiconducteurs magnétiques installée en Russie.



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67 nouveaux projets pour les pôles de compétitivité

Filière électronique>France>R&D>Politique
23-10-2014 13:32:34 :

Le 18e appel à projets des pôles de compétitivité a permis le financement de 67 nouveaux projets collaboratifs de R&D impliquant 49 pôles de compétitivité, 260 entreprises et 150 laboratoires publics de recherche, pour un montant d’aide de 42,8 millions d’euros de la part de l’Etat et de 45,7 millions d’euros de la part des collectivités territoriales et des fonds communautaires (FEDER) …

Sélectionnés parmi les 128 dossiers présentés au 18e appel à projets du Fonds unique interministériel (FUI), ces projets sont pilotés par une entreprise et associent au moins deux entreprises et un laboratoire de recherche.

Parmi les dossiers retenus (voir la liste), citons le projet Box@pme, soutenu par le pôle Aerospace Valley, qui conçoit une solution globale incluant produit, service et processus de protection visant à lutter contre le cyber-espionnage à destination des PME et ETI françaises.

Le projet Tomos, soutenu par le pôle Eurobiomed, envisage de développer de nouvelles tables d’imagerie médicale équipées de dispositifs alternatifs à la radiologie classique.
Le projet Damav, labellisé par le pôle Pégase, vise une solution de détection automatisée des maladies de la vigne par le survol des parcelles au moyen de l’utilisation d’un micro-drone.
Le projet POWER-C, labellisé par le pôle Mer Méditerranée, propose de lever un verrou essentiel de la compétitivité des énergies marines renouvelables, celui de la connexion sous-marine pour les éoliennes offshore et les hydroliennes.

Un 19e appel à projets est en cours. Les projets, qui doivent être soumis d’ici au 28 novembre, seront sélectionnés avant la fin du premier trimestre 2015.

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Marie-Noëlle Semeria succède à Laurent Malier à la tête du CEA-Leti

Filière électronique>France>R&D>Nominations
16-10-2014 16:40:05 :

Depuis le 1er octobre 2014, Marie-Noelle Semeria a pris la direction de l’Institut de recherche CEA-Leti au sein de la Direction de la recherche technologique et succède à Laurent Malier, qui occupait ces fonctions depuis 8 ans. Laurent Malier est appelé à d’autres responsabilités au sein de la Direction de la recherche technologique …

Marie-Noëlle Semeria a obtenu son diplôme de docteur en sciences à l’Université Joseph Fourier de Grenoble en 1987, en physique des solides. Elle a commencé sa carrière à la Sagem dans la fabrication des mémoires et des média magnétiques avant de rejoindre en 1994 la start-up Pixtech sur une technologie d’écrans plats émissifs. En 1996, Marie-Noëlle Semeria rejoint le CEA-Leti : elle s’occupe en particulier de la stratégie de l’Institut en microélectronique, et à partir de 2010, en tant que Directeur Adjoint, de la stratégie de recherche amont et de sa mise en œuvre, en particulier dans le cadre du dispositif Carnot.

En janvier 2012, Marie-Noëlle Semeria rejoint la Direction Technologique du CEA comme Directrice Scientifique. Elle y est chargée de construire la vision scientifique et technologique de CEA Tech en mettant en œuvre des missions de prospective et d’expertise, en préparant l’offre technologique de CEA Tech en amont des partenariats industriels, et en mettant en place les partenariats stratégiques avec les laboratoires académiques.

Marie-Noëlle Semeria est membre de la Société Française et de la Société Européenne de Physique, auditrice de l’IHEST dans la promotion Lévy-Strauss. Elle a été membre du Comité National du CNRS, du Conseil Supérieur de la Recherche et de la Technologie et est actuellement membre du CA de l’ANR, du CA du CNRS, du Comité de Coordination de l’alliance Allistene. En 2011, elle reçoit le grade de chevalier de la Légion d’Honneur.

En créant et transférant l’innovation à l’industrie, l’Institut Carnot CEA-Leti fait le lien entre la recherche fondamentale et la production de micro et nanotechnologies. Fort d’un portefeuille de 2200 brevets, le Leti façonne des solutions avancées pour améliorer la compétitivité de ses partenaires industriels: grands groupes, PME ou startups. A ce jour, plus de 50 start-up ont été créées. Implanté à Grenoble en Isère, le Leti compte plus de 1700 chercheurs dont 200 personnels issus de ses entreprises partenaires et des représentants dans la Silicon Valley et à Tokyo.

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Thales inaugure à Singapour son premier centre d’innovation hors d’Europe

Sécurité>Défense>Aéronautique>France>Reste du monde>Investissements>R&D
14-10-2014 08:51:32 :

Spécialiste des hautes technologies pour les marchés de l’aérospatial, du transport, de la défense et de la sécurité, Thales vient d’inaugurer son hub innovation à Singapour, premier centre d’innovation pluridisciplinaire du groupe français hors d’Europe. Thales investit 20% de son chiffre d’affaires annuel dans la R&D …

Avec ce hub, Thales vise à s’inspirer des concepts, innovations et modes de pensée asiatiques, afin de mieux analyser encore les besoins opérationnels de ses clients dans la région. Le groupe pourra ainsi concevoir de nouveaux produits et services, qui répondront à leurs exigences spécifiques.

Dans cette quête d’idées et de concepts novateurs centrés sur l’utilisateur, l’équipe Thales implique ses clients au niveau de la conception, du prototypage et des essais, et ce dans différents domaines, notamment la défense, la sécurité maritime, l’aéronautique, la gestion du trafic aérien et les villes intelligentes.


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