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R&D : 234 article(s).
Dépôt de brevets aux Etats-Unis : seulement 5 Européens dans le Top50

Filière électronique>Etats Unis>R&D
11-01-2013 11:38:34 :

Selon IFI CLAIMS Patent Services, une division de Fairview Research, IBM a déposé 6478 brevets aux Etats-Unis en 2012 (+5% par rapport à 2011), se classant pour la vingtième année consécutive à la tête des entreprises les plus innovantes. Avec 5081 brevets, Samsung conserve la deuxième place (+4%), devant Canon (+12%, à 3174 brevets), Sony (+33%, à 3032 brevets), Panasonic (2769 brevets) et Microsoft (2613 brevets) …
 
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Parmi les 50 premières entreprises du classement IFI, 26 sont asiatiques (Japon, Corée, et Taïwan) contre 17 sociétés américaines, 1 société canadienne (RIM) et 5 sociétés européennes.

Parmi le classement des 50 premiers déposants, téléchargeable ICI, les seuls Européens sont : Siemens (30e), Ericsson (35e). Philips (36e), Robert Bosch (42e) et Alcatel-Lucent (49e). Par rapport à 2011, Infineon et Nokia sortent du classement.

La plus forte progression du classement incombe à Google (+170%, à 1151 brevets) qui dépasse d’une courte tête son rival Apple (+68%, à 1136 brevets).

Globalement, 253 155 brevets ont été déposés aux Etats-Unis en 2012, soit 13% de plus que l’année record de 2011.

Liste des sociétés ayant obtenu le plus grand nombre de brevets aux Etats-Unis en 2012.
1 IBM 6 478
2 Samsung 5 081
3 Canon 3 174
4 Sony 3 032
5 Panasonic 2 769
6 Microsoft 2 613
7 Toshiba 2 446
8 Hon Hai 2 013
9 General Electric 1 652
10 LG Electronics 1 624

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Chaque pôle de compétitivité devra s’engager sur un contrat de performance individualisé

Filière électronique>France>R&D>Politique
10-01-2013 14:31:11 :

Lors du conseil des ministres, le gouvernement a annoncé hier une nouvelle phase de développement pour les pôles de compétitivité, qui devront mieux intégrer l’objectif de mettre sur le marché et de diffuser les produits ou services innovants issus de leur activité. Chaque pôle présentera au nouveau Conseil national de l’industrie ses objectifs technologiques et d’innovation. Les objectifs seront fixés dans un contrat de performance individualisé. Cette troisième phase traduit les conclusions dégagées lors de la onzième journée des pôles de compétitivité organisée hier à Bercy, en décembre dernier, à l’appui du rapport d’évaluation des pôles (voir notre article du 5 décembre 2012) …

L’ambition nouvelle des pôles sera de se tourner davantage vers les débouchés économiques et l’emploi pour mieux participer à la structuration des filières industrielles et se mobiliser pour la réindustrialisation. Les pôles devront accompagner plus efficacement les petites et moyennes entreprises (PME) et les entreprises de taille intermédiaire (ETI) innovantes depuis la recherche et développement jusqu’à la commercialisation de leurs produits, en s’appuyant sur une gouvernance renouvelée associant l’Etat, les régions et les métropoles.

Chaque pôle présentera au nouveau Conseil national de l’industrie ses objectifs technologiques et d’innovation ainsi que ses marchés-cibles dans un projet comprenant des objectifs quantifiés et collectifs dont le suivi sera renforcé et les retombées économiques évaluées. Ils devront développer des liens étroits avec les acteurs du transfert et de l’innovation, dont les plateformes de recherche technologique, et permettre aux entreprises d’accélérer leur croissance par l’innovation.

L’accompagnement des PME sera renforcé dans quatre domaines principaux en lien avec les régions : l’accès au financement (capital investissement), l’internationalisation, l’accès aux compétences et le conseil. Ces services seront mis en œuvre en s’appuyant sur les acteurs de chaque territoire, en particulier la Banque publique d’investissement.
Les pôles de compétitivité devront également renforcer les relations entre les PME, les ETI et les grands groupes, et porter une attention particulière aux achats, à la sous-traitance, à la mise sur le marché et à l’accompagnement à l’export.
Les pôles les plus stratégiques, une vingtaine au maximum, devront permettre à la France de se positionner à l’échelle internationale sur des secteurs de pointe où le savoir-faire français est reconnu et participer activement à l’attractivité du pays.
Enfin, les investissements d’avenir seront mobilisés dès 2013 pour soutenir l’industrialisation des projets des pôles.

Les objectifs seront fixés dans un contrat de performance individualisé en fonction des ambitions et du potentiel de chaque pôle sur les six prochaines années, qui devrait être signé avant la fin du mois de juin 2013. Un bilan en sera effectué à mi-parcours.
Le Club des 18 Pôles Mondiaux s’est félicité de la nouvelle impulsion donnée à la politique des pôles de compétitivité par le gouvernement. Créé dès 2006 par les présidents des Pôles Mondiaux et à Vocation Mondiale, il rassemble plus de 3000 PME, plusieurs milliers de laboratoires publics de recherche, plusieurs centaines d'établissements de formation et autant de grands groupes et d'entreprises de taille intermédiaire. Il rassemble Aerospace Valley, Alsace Biovalley, Axelera, Cap Digital, Eau, Finance Innovation, Images & Réseaux, i-Trans, Industries & Agro-Ressources, Lyonbiopôle, Medicen Paris Région, Mer Bretagne, Mer PACA, Minalogic, Mov’eo, Solutions communicantes sécurisées, Systematic Paris-Region, Végépolys.

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Globalfoundries construit un centre de R&D de 2 milliards de dollars à New York

Semiconducteurs>Etats Unis>Investissements>R&D
09-01-2013 15:18:26 :

Globalfoundries construit un centre de R&D de 2 milliards de dollars à New York
Deuxième fondeur mondial, Globalfoundries annonce la construction d’un centre de développement technologique pour renforcer son écosystème de R&D mondial en semiconducteurs depuis les masques, le silicium jusqu’au packaging. Ce centre, qui sera construit sur le campus de Saratoga County, à New York, qui abrite déjà la Fab 8 du fondeur, va mobiliser près de 2 milliards de dollars …

La construction du centre de développement doit démarrer en début d’année et le centre de R&D devrait être opérationnel fin 2014. Le site de la Fab 8, dont la construction avait démarré en juillet 2009, représentera alors un investissement total de plus de 8 milliards de dollars. 2000 emplois directs ont été créés par Globalfoundries sur le site et ce centre de développement technologique devrait en créer 1000 de plus. Il est destiné à développer des technologies de production de semiconducteurs pour prendre en compte « le passage de l’ère du PC à celui des terminaux mobiles ». L’empilage de puces 3D et le développement de photomasques pour la lithographie EUV (Extreme Ultraviolet) feront partie de ses travaux de recherche.

La Fab 8 de Globalfoundries à New York peut disposer d’une capacité de production maximale de 60 000 tranches de 300 mm de diamètre par mois, pour produire des circuits en technologie 28 nm et moins. Au total, Globalfoundries, dont les usines sont également implantées à Dresde, en Allemagne, et à Singapour, dispose de 3 unités de production sur tranches de 300 mm de diamètre et de 5 fabs 200 mm.


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Le Grenoblois Maya Technologies acquiert AES Embedded Systems

Filière électronique>Sous traitance>France>Fusions Acquisitions>R&D
08-01-2013 14:37:05 :

La société grenobloise Maya Technologies, spécialisée dans la conception de composants microélectroniques embarqués, annonce l’acquisition d’AES Embedded Systems. Ce spécialiste de la conception de systèmes embarqués, implanté à Aix, Grenoble et Paris, vient compléter l’offre de Maya et renforcer ses positions en France …

En 2011, Maya Technologies avait réalisé une première opération de croissance externe en rachetant PSI-Electronics. Cette nouvelle acquisition stratégique va permettre à Maya de proposer à ses clients une offre globale dans le domaine de l’embarqué : la conception matérielle et le développement logiciel.

AES Embedded Systems a été créée en 2008 par Guy Quillien. Basée à Aix-en-Provence, Grenoble et Paris et forte d’une équipe d’une trentaine d’ingénieurs, elle intervient auprès de clients grands comptes en développement de logiciels embarqués pour l’industrie du multimédia (en TV numérique notamment) et celle du nucléaire.

« AES vient compléter notre offre en apportant son expertise dans le domaine de l’embarqué. Nous sommes très fiers de cette acquisition qui s’inscrit dans notre plan stratégique Maya 2013. AES est une très belle entreprise, qui ressemble finalement beaucoup à Maya par les valeurs qu’elle défend », commente Philippe Mattia, Président de Maya.

Le nouvel ensemble constitue un groupe de 150 personnes pour 12 M€ de chiffre d’affaires. D’autres investissements sont à venir en 2013 et 2014 pour Maya Technologies qui compte également accélérer sa croissance organique sur le territoire avant de s’attaquer à l’international.

Créée en 2007, Maya Technologies est spécialisée dans la conception de composants microélectroniques embarqués. Elle conçoit des systèmes complexes pour les marchés du multimédia & de la téléphonie, de l’aéronautique & du spatial, de l’énergie et de la santé ainsi que de l’automobile & des transports. Maya propose son expertise à ses clients aussi bien par des prestations sur site qu’en mode forfaitaire à partir de ses centres de conception basés à Grenoble, Valence, Sophia Antipolis, Aix-en-Provence, Toulouse et Paris.

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Altran rachète l’Allemand IndustrieHansa

Filière électronique>France>Europe>Fusions Acquisitions>R&D
04-01-2013 16:25:31 :

Altran, spécialiste du conseil en innovation et ingénierie avancée, a racheté le groupe IndustrieHansa, un acteur du conseil et de l’ingénierie en Allemagne. Cette acquisition stratégique en Allemagne place Altran dans le top 5 du pays …

Créée il y a 35 ans, IndustrieHansa est spécialisée dans le conseil et l’ingénierie dans les secteurs de l’automobile, de l’aéronautique et de l’énergie. Cette société allemande, basée à Munich, emploie aujourd’hui plus de 1800 personnes. Elle devrait réaliser en 2012 un chiffre d’affaires profitable d’environ 155 millions d’euros. IndustrieHansa compte parmi ses clients Audi, BMW, Daimler, EADS et Siemens Energy.

Cette opération de croissance externe répond à deux objectifs stratégiques d’Altran : la montée en puissance dans un de ses deux pays européens prioritaires (Allemagne et Royaume-Uni) et le renforcement de sa solution PLM (Product Lifecycle Management).

Le groupe Altran a réalisé en 2011 un chiffre d’affaires de 1420 M€. Il emploie plus de 17 000 personnes dans plus de 20 pays, dont 15 000 consultants, et compte 500 clients majeurs.

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Texas Instruments ferme son site de Villeneuve-Loubet

Télécoms>Semiconducteurs>France>Restructurations>R&D
18-12-2012 14:10:26 :

Lors d'un comité d'entreprise extraordinaire, la direction de Texas Instruments a annoncé ce matin aux salariés de Villeneuve-Loubet sa décision de fermer son centre de R&D dédiés aux communications sans fil et de supprimer 517 emplois sur un effectif de 544 salariés. Seule une équipe de 27 personnes, faisant du développement dans le domaine des télécommunications, n'est pas concernée par ce plan et sera reclassée ailleurs. C’est la consternation et la colère pour les salariés du site qui s’attendaient à être touchés par le plan de suppression mondial de 1700 emplois da la division « sans fil » de TI, mais pas avec une telle ampleur…

Texas Instruments avait en effet annoncé à la mi-novembre une restructuration et un repositionnement stratégique pour sa division « sans fil » qui devait conduire à la suppression de 1700 emplois à travers le monde. TI va repositionner ses processeurs OMAP et ses solutions de connectivité sans fils sur les applications de l’embarqué, délaissant ainsi le marché historique de la division des téléphones mobiles et des smartphones, un secteur où les grands clients développent de plus en plus leurs propres circuits pour asseoir leur différentiation. TI escompte 450 millions de dollars d’économies annuelles d’ici fin 2013 de ce repositionnement stratégique qui nécessite moins de ressources et moins d’investissement. Une charge de 325 M$ sera provisionnée pour financer ce plan de restructuration.

Au troisième trimestre, la division sans fil de TI (processeurs OMAP, circuits de connectivité et circuits large bande) a représenté un chiffre d’affaires de 325 M$, en baisse de 5% en trois mois et de 44% sur un an, pour une perte d’exploitation de 53 M$. Lors du trimestre, Texas Instruments avait réalisé un chiffre d’affaires de 3,39 milliards de dollars, en hausse de 2% par rapport au trimestre précédent et en baisse de 2% par rapport au troisième trimestre 2011 ; son bénéfice net a atteint 784 M$, en hausse de 76% en trois mois et de 30% sur un an. TI prévoit que son chiffre d’affaires du quatrième trimestre devrait se situer entre 2,89 et 3,01 milliards de dollars.


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