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R&D : 234 article(s).
AT&S et Epcos coopèrent dans l’intégration de composants dans les substrats

Composants passifs>Europe>Accords>R&D
10-07-2013 14:54:49 :

Premier fabricant européen de circuits imprimés, l’Autrichien AT&S vient d’annoncer un partenariat stratégique avec le fabricant de composants passifs Epcos, filiale du groupe japonais TDK, afin de développer des technologies de packaging permettant d’intégrer des composants passifs et actifs à l’intérieur des circuits imprimés ou d’autres substrats. Les deux partenaires visent les marchés des smartphones et des tablettes ou les gains de place offerts par la miniaturisation sont cruciaux …
 
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Le but des deux entreprises est de pousser à la standardisation de ces technologies, afin de favoriser le développement de modules extrêmement miniaturisés. A cette heure, aucun détail n’a été donné sur les technologies employées.

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Le Leti développe des capteurs miniaturisés pour un rein artificiel

Médical>Capteurs/mems/Opto>France>R&D
05-07-2013 14:32:46 :

Le CEA-Leti et neuf partenaires du projet NEPHRON+ développent actuellement un rein artificiel qui représenterait une avancée majeure dans le traitement des patients souffrant d'insuffisance rénale chronique. Leur objectif est de créer un système intégré de nouvelle génération permettant un monitoring continu en temps réel multi-paramétrique du patient et du dispositif grâce aux capteurs développés par le Leti et ses partenaires. Le système de dialyse portatif sera placé dans une sacoche portée sur le côté par le patient …

Cette collecte de données en continu permettra de détecter rapidement les anomalies du dispositif et d'effectuer une analyse de tendances de l'état de santé du patient, qui serait ensuite utilisée pour améliorer son traitement.

Le système de dialyse, présenté dans une sacoche rectangulaire portée sur le côté par le patient, améliore la filtration du sang et permet d'épargner aux patients les traitements de dialyse périodiques.

Le Leti contribuera également à la conception, au développement et à l'intégration de la plate-forme électrochimique du rein artificiel.

Le Leti a travaillé à la miniaturisation des capteurs nécessaire à leur intégration au dispositif, ainsi qu'à l'amélioration de la carte électronique qui convertit les signaux électriques du capteur en une concentration prête à l'emploi. Pour atteindre ces objectifs, les chercheurs ont développé une plate-forme électrochimique incluant cinq électrodes ioniques sélectives (EIS) biocompatibles pour le monitoring des concentrations d'ion, ainsi qu'une électrode de référence, un capteur de température et une mémoire EPROM permettant l'enregistrement des paramètres (courbes d'étalonnage).

Les partenaires du Leti au sein de ce projet sont Exodus (coordinateur), CSEM, TNO, Nierstichting Nederland, IMST, Nanodialysis, Danube University Krems, University Medical Center Ultecht et OFFIS EV.

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Partenariat Europe-Japon pour créer l’Internet à 100 Gbit/s

Télécoms>Europe>Japon>Accords>R&D
05-07-2013 14:30:37 :

La Commission européenne et le Japon ont annoncé la mise en route de six projets de recherche destinés à redéfinir les architectures Internet afin d'accroître l'efficacité des réseaux en matière de transport des données. L'un des projets vise à créer des réseaux au débit 5000 fois supérieur au débit moyen actuel de connexion en Europe (100 Gbit/s contre 19,7 Mbit/s actuellement) …

« Le monde produit 1,7 million de milliards d'octets de données par minute ; les volumes de données transmises ont doublé entre le début de l'année 2012 et le début de l'année 2013 et ils devraient être multipliés par douze d'ici à 2018. Ces énormes volumes augmentent à un rythme supérieur à celui de l'accroissement de la capacité des réseaux qui les transportent », s’inquiète la Commission.

Les projets bénéficieront d'un financement de quelque 18 millions d'euros et porteront notamment sur des aspects tels que la cybersécurité, la capacité du réseau, le stockage, le transfert des données à haute densité et l'efficacité énergétique.

Les projets financés sont les suivants:
• Le projet STRAUSS visera à permettre la mise en place de réseaux à fibre optique dont le débit dépasse 100 Gbit/s.
• Le projet MiWEBA, qui portera sur la capacité, encouragera un meilleur usage des radiofréquences existantes afin d'accélérer les connexions à ultra haut débit et les connexions mobiles.
• Les travaux réalisés dans le cadre du projet NECOMA aborderont de nouvelles manières d'accroître la sécurité des données à caractère personnel dans des environnements sensibles tels que celui des dossiers médicaux, en mettant au point de nouveaux systèmes de mesure pour évaluer les menaces et les répercussions potentielles des cyberattaques.
• L'objectif du projet GreenICN consistera à garantir une utilisation efficace de l'énergie dans les réseaux d'information. Il évaluera la fiabilité du réseau dans des situations d'après-catastrophe (tremblements de terre, ouragans), lorsque les ressources énergétiques sont limitées et que le bon fonctionnement du réseau s'avère crucial.
• Le projet ClouT sera consacré au contrôle en temps réel de capteurs. L'objectif sera de permettre les opérations nécessaires au fonctionnement des villes intelligentes, notamment en ce qui concerne la consommation énergétique, la fluidité du trafic ou les urgences. Les travaux seront exécutés en tirant parti des fonctionnalités de l'informatique en nuage et de l'Internet des objets.
• Enfin, le projet FELIX aura pour but de mettre en place des plateformes expérimentales communes à l'Union européenne et au Japon, qui aideront les universités et les centres de recherche à tester de nouvelles technologies en matière de réseaux.

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28 M€ pour tester un réseau électrique intelligent en Vendée

Industriel>France>R&D>Grands Programmes
04-07-2013 13:37:57 :

Le projet Smart Grid Vendée vient d'être lancé officiellement aux Sables d'Olonne, associant autour d’ERDF, Alstom, Actility, RTE, Cofely-Ineo, Legrand et le CNAM. Pendant 5 ans, ce « laboratoire à ciel ouvert » va embarquer plus de 150 collectivités locales, des industriels, start-up, chercheurs, ingénieurs, enseignants afin de tester de nouvelles solutions pour créer des solutions informatiques, des outils d'aide à la décision, et installer plus de 300 capteurs, nécessaires pour développer l'intelligence du réseau électrique vendéen …

Doté d’un budget d'un montant de 28 millions d'euros, le projet Smart Grid Vendée vise à expérimenter à l'échelle du département de la Vendée, de nouvelles solutions pour gérer et moderniser la distribution de l'électricité à l'heure de la transition énergétique.

Le réseau de distribution d'électricité doit aujourd'hui s'adapter dans le cadre de la transition énergétique à de nouveaux défis tels que l'augmentation de la production d'énergie décentralisée à partir d'énergies renouvelables (éolien, photovoltaïque) ou le développement des véhicules électriques. Pour accompagner ces changements ainsi que le développement de nouveaux usages de l'électricité marqués par la recherche d'une plus grande sobriété énergétique, il est nécessaire de poursuivre la modernisation du réseau électrique, en y mettant toujours plus «d'intelligence ». L'entrée dans l'ère des smart grids (réseaux intelligents) marque ainsi une étape décisive dans la modernisation des réseaux.

Pour accomplir cette rupture technologique, les solutions suivantes seront développées pendant le projet Smart Grid Vendée : mise en place de capteurs télécommandés sur 100 bâtiments publics (mairies, piscines, écoles...) pour renforcer l'intelligence et la réactivité du réseau électrique et pour favoriser la maîtrise de la demande en énergie (MDE) ; développement de solutions informatiques de simulation et de prévision de l'état du réseau électrique, de la consommation et de la production ; mise en place de nouveaux automatismes sur le réseau pour gérer de façon dynamique les moyens de production d'origine renouvelable ; création d'outils d'aide à la décision et au pilotage actif de la consommation et de la production.

Ce projet est mené par le SyDEV, Syndicat Départemental d'Energie et d'Equipement de la Vendée, et ERDF, gestionnaire du réseau public de distribution d'électricité, auxquels sont associés, dans le cadre d'un consortium, 6 autres partenaires : Alstom Actility, RTE, Cofely-Ineo, Legrand et le CNAM.

Le projet a été conçu en réponse à l'Appel à Manifestation d'Intérêt (AMI) de l'ADEME sur les réseaux électriques intelligents lancé dans le cadre du programme des investissements d'avenir en 2011. Il bénéficie d'un soutien financier de l'ADEME à hauteur de 9,5 M€.

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Alcatel-Lucent repousse les limites de l’accès ultra-haut débit sur les réseaux cuivre existants

Télécoms>Europe>R&D>Stratégie
04-07-2013 13:36:06 :

Alcatel-Lucent et Telekom Austria viennent d’accomplir le premier essai au monde, depuis les Bell Labs d’Alcatel-Lucent, d’une innovation permettant de moderniser les réseaux de télécommunication cuivre existants et de les transformer en systèmes d’accès ultra haut débit capables de fournir des vidéos, données et informations à plus de 1 Gbit/s. Ils ont fait appel à une technologie de transmission appelée G.fast qui n’est pas encore normalisée, et qui ne sera pas disponible sur le marché avant plusieurs années. Elle incarne toutefois une évolution possible des réseaux VDSL2, qui, avec la technologie de vectorisation, permettent aux fournisseurs de services de proposer une offre plus économique et un débit pouvant aller de plusieurs centaines de Mbit/s à un 1 Gbit/s sur de courtes distances …

Alcatel-Lucent a adapté des techniques de vectorisation des Bell Labs, déjà répandues sur le marché grâce à la commercialisation des réseaux VDSL2, afin de les associer à cette technologie de transmission appelée G.fast, qui utilise une large bande de fréquences afin d’atteindre des débits très élevés sur des lignes cuivre pour de très courtes distances.

La technologie G.fast est typiquement conçue pour des applications avec un débit de 500 Mbit/s à 100 mètres maximum. Au cours de tests récents dans des conditions de laboratoire, Alcatel-Lucent a réussi à atteindre un débit de 1,3 Gbit/s sur 70 mètres, ce qui fait de G.fast une technologie prometteuse pour les fournisseurs de services, en complément des réseaux fibre.

« Dans tout projet FTTH (fiber-to-the-home), une part conséquente du coût par abonné réside dans les derniers mètres entre la baie réseaux la plus proche et le domicile. Ces coûts peuvent être évités grâce au recours à la technologie G.fast sur des lignes téléphoniques cuivre existantes ; cela permet en outre d’éviter d’avoir à creuser des routes ou à déterrer des maisons pour installer un nouveau réseau en fibre optique », commente l’équipementier.

L’essai, qui a été réalisé en utilisant un prototype des Bell Labs, a permis de tester pour la première fois la technologie G.fast sur un simple câble de bonne qualité pour atteindre un débit maximum de 1,1 Gbit/s sur 70 mètres et 800 Mbit/s sur 100 mètres.

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STMicroelectronics crée un laboratoire commun avec le constructeur automobile chinois Great Wall Motor

Automobile>Semiconducteurs>France>Europe>Chine>Accords>R&D
03-07-2013 15:20:56 :

En association avec Great Wall Motor (GWM), premier constructeur chinois de 4X4 urbains (SUV) et de véhicules utilitaires légers (pick-ups), STMicroelectronics annonce la formation d'un partenariat stratégique ainsi que la création d'un laboratoire de développement commun en électronique automobile qui sera hébergé dans le centre technique de GWM. Ce laboratoire se concentrera sur la recherche et le développement de solutions de pointe pour les organes de transmission, le châssis, la sécurité, l'habitacle, les info-divertissements de bord, les nouvelles technologies énergétiques et autres applications automobiles …

ST apportera au projet ses technologies dans le domaine de l'électronique automobile, ainsi que des composants pour applications automobiles (injection directe de carburant et modules de commande de l'habitacle, par exemple) tels que les microcontrôleurs 32 bits, des solutions de gestion du moteur et de la sécurité (passive et active), des plateformes complètes d'info-divertissement (audio, vidéo, connectivité et navigation), des designs de référence, des outils de développement, des programmes d'assistance technique et des formations portant sur différentes applications automobiles.

En août 2012, ST avait signé un accord du même type avec le constructeur automobile chinois Faw Group. Fondé en 1953, FAW Group est le groupe automobile le plus ancien du pays. En 2011, FAW Group avait vendu plus de 2 millions de véhicules. Il est spécialisé dans la production de berlines, de camions, d’autobus et de véhicules spéciaux.

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