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INVESTISSEMENTS : 200 article(s).
10 milliards de dollars pour deux projets d’usines de semiconducteurs en Inde

Semiconducteurs>Reste du monde>Investissements>Revue de presse>Rumeur
18-02-2014 15:53:48 :

Alors que les premières rumeurs bruissaient depuis septembre 2013, à en croire la presse locale, le gouvernement indien vient (enfin ?) d’approuver deux projets de construction de fabs 300 mm, emmenés par deux consortiums où, aux côtés d’investisseurs nationaux, on retrouve IBM et TowerJazz, d’une part, et STMicroelectronics et Silterra d’autre part. Le montant total des deux projets distincts dépasserait les 10 milliards de dollars. Les accords définitifs doivent être signés en août …
 
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La demande intérieure de produits électroniques pourrait être multipliée par dix au cours de la décennie pour représenter un marché indien de plus de 400 milliards de dollars en 2020, avance l’agence Reuters. D’où la nécessité pour le pays de se doter d’une industrie des semiconducteurs.

Le premier projet associerait Jaiprakash Associates à IBM et au fondeur israélien TowerJazz. L’objectif est construire une unité de production sur tranches de 300 mm de diamètre près de New Dehli, mobilisant 5,52 milliards de dollars. En septembre dernier, la presse locale annonçait que la fab allait disposer d’une capacité de production de 40 000 tranches par mois. La phase 1 du projet concernerait des procédés CMOS 90 nm, 65 nm et 45 nm, avant une phase 2 pour le passage au 28 nm et éventuellement une phase 3 en technologie 22 nm.

Le deuxième projet associerait HSMC Technologies à STMicroelectronics et à Silterra, un fondeur implanté en Malaisie. L’investissement serait du même ordre : 4,65 milliards de dollars. La capacité de production envisagée du site serait également de 40 000 tranches de 300 mm de diamètre par mois. Deux phases sont prévues : 90 nm, 65 nm et 45 nm dans la phase 1 et 45 nm, 28 nm et 22 nm dans la phase 2.

Selon l’agence Reuters, les pouvoirs publics indiens financeraient les projets à hauteur de 25% sous forme de subventions, d’exonération d’impôts et de prêts à taux zéro.

Si la réalité de ces projets semble se confirmer, on voit mal pourquoi IBM se retirerait de production de semiconducteurs et irait en même temps investir en Inde …

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Fibre optique jusqu’au point de distribution contre fibre jusqu’à l’abonné : l’Arcep relance le débat

Télécoms>France>Investissements>Politique
11-02-2014 15:43:17 :

Le FttDP (pour Fiber to the Distribution Point) est une architecture de réseaux à très haut débit consistant à déployer de la fibre optique jusqu'à un point très proche du logement de l'abonné et, contrairement au FttH (Fiber to the Home), à réutiliser le câblage existant (ligne de cuivre ou câble coaxial) sur le segment terminal pour raccorder le logement à la fibre optique. Un boitier de conversion raccorde la fibre au segment métallique terminal sur lequel les services sont fournis à l'abonné. L’Arcep, -l’autorité des télécoms-, met en consultation publique un document prospectif sur le FttDP pour donner la possibilité à l'ensemble des acteurs concernés de s'exprimer sur le sujet : une technologie qui pourrait s’avérer déterminante pour accélérer la réalisation du plan France Très Haut Débit (voir notre article) …

Consciente que l'architecture FttDP soulève de nombreuses questions, en particulier sur la maturité des solutions techniques et sur leur compatibilité avec le contexte français, l'Arcep a souhaité réunir un groupe de travail composé de représentants des opérateurs, des associations de collectivités territoriales et des services de l'État concernés. Le groupe de travail s'est réuni à trois reprises, en juin 2013 pour recevoir les principaux équipementiers qui développent ce type de solution, puis en septembre 2013 et en janvier 2014 pour évaluer les intérêts potentiels de cette solution et envisager des scenarii de mise en œuvre.

Le groupe de travail n'a pas formulé de conclusion à ce stade quant à l'intérêt de l'architecture FttDP dans le contexte du marché français : des travaux complémentaires, et en particulier des expérimentations en situation réelle sont nécessaires. Il entend privilégier la mise en œuvre éventuelle du FttDP dans le cadre du déploiement en cours de réseaux en fibre jusqu'à l'abonné, afin de remédier à des difficultés ponctuelles et transitoires de réalisation du raccordement final en fibre optique, plutôt que de l'utiliser comme modalité de modernisation à grande échelle de la boucle locale de cuivre. Envisagé ainsi, le FttDP pourrait constituer un moyen d'accélérer la migration des utilisateurs du réseau de cuivre vers les réseaux à très haut débit en fibre optique.

La synthèse de ces réflexions est décrite dans le document intitulé " synthèse des échanges du groupe de travail sur le FttDP ". Télécharger le document de synthèse


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France très haut débit : cette fois, c’est parti !

Télécoms>France>Investissements
07-02-2014 15:59:40 :

« Le train est parti » : très alarmiste il y a un an, Jacques de Heere, p-dg d’Acome, deuxième fabricant européen de fibres optiques, a reconnu hier à Bercy, lors de la première conférence annuelle du plan France Très Haut Débit, que cette fois-ci les investissements étaient au rendez-vous. Pour la première fois à la mi-2013, les investissements dans les câbles en fibre optique ont dépassé ceux des câbles cuivre. Mais il faudra mettre les bouchées doubles pour respecter le calendrier du Président de la République de mobiliser 20 milliards d’euros sur dix ans pour équiper 100% du territoire en très haut débit (THD) d’ici 2022. Si le rythme de déploiement est plus rapide dans les zones denses (57% de la population), déjà des conventions pour 940 M€ d’argent public sont en passe d’être signées pour les zones d’initiative publique, soit l’équivalent de près de 4 milliards d’euros d’investissement dans les réseaux. Pour ces zones moins denses, qui représentent 43% des foyers, il faudra investir 13 à 14 milliards d’euros d’ici à 2022, dont la moitié de subventions publiques (subventions d’état, prêts à taux réduit) …

Au 31 décembre 2013, sur un total de 31 millions de foyers raccordés à un réseau de communication filaire, le nombre de foyers éligibles au très haut débit dépassait légèrement 10 millions : 8,6 millions en câble coaxial (fibre optique jusqu’à l’entrée de la rue ou jusqu’au pied de l’immeuble), environ 3 millions en FTTH (fibre optique jusqu’à l’abonné) et plus de 1 million en VDSL2 (sur réseau cuivre). Côté abonnés, à la fin du troisième trimestre 2013, le nombre d’abonnements très haut débit a dépassé 1,8 million, soit 400 000 de plus en un an. Pour les seuls abonnements FTTH, le nombre est passé en un an de 270 00 à 465 00, soit une hausse de 70%. « Nous sommes actuellement sur un rythme de 10 000 abonnements FTTH par semaine », assure Yves Le Mouël, directeur général de FFT (Fédération Française des Télécoms).

Dans les zones denses rentables (57% de la population), le très haut débit est d’ores et déjà possible pour 46% des foyers, selon Antoine Darodes, directeur de la mission THD. Mais 10% des zones denses n’ont pas accès au THD. Dans les zones moins denses (43% de la population), seulement 12% des foyers sont raccordables en THD, et 26% n’ont pas accès à du « bon haut débit » (au moins 3 Mbit/s). Antoine Darodes a assuré qu’en avril sera mis en ligne un observatoire des déploiements et des débits, permettant à chacun de consulter le débit potentiel dans sa localité et l’état d’avancement des travaux.

Pour les zones moins denses qui nécessitent la mise en place d’un réseau d’initiative publique (financé pour moitié par les opérateurs et pour moitié par l’Etat, les collectivités locales et les prêts de la BEI ou de la Caisse des dépôts), 56 département ont à ce jour déposé un dossier, représentant un cumul de 3,53 millions de lignes FTTH. Ces dossiers, qui n’ont pas encore été tous validés par le Premier ministre, font appel à une subvention de 940 millions de l’Etat et représentent pour les réseaux un investissement total de près de 4 milliards d’euros. L’agglomération de Lille a été la première à signer une convention-type.
L’objectif est qu’en 2022, 80% des foyers soient raccordés en FTTH, le solde étant raccordé par satellite ou en 4G, Wi-Max ou Wi-Fi pour les habitations isolées. L’essor de l’Internet des Objets et la demande en vidéo qui explose font que le haut débit ne suffit plus et qu’il faudra sans doute disposer à terme d’un débit minimum de 30 Mbit/s.

Selon Louis Gallois, la dynamique est lancée et ce vaste chantier devrait générer plus 20 000 emplois d’ici 2022. Des formations sont donc à mettre en œuvre pour répondre à ces besoins. A plus court terme, les chantiers de 2014 concernent des travaux de standardisation des architectures et des systèmes d’information et l’homogénéisation des tarifs de gros sur l’ensemble du territoire pour accroître la visibilité sur la tarification.

Permettre à la France de disposer d’un réseau THD constitue un enjeu majeur pour notre économie : 1 euros investi dans le réseau génère un effet de levier de 6 euros dans l’économie. C’est donc plus de 100 milliards d’’euros de croissance du PIB qui sont attendus de cet investissement de 20 milliards. En Europe, la France est le pays qui investit le plus dans le THD, selon le p-dg d’Acome. Cet enjeu national est aussi une opportunité industrielle forte : la France dispose d’une filière industrielle d’excellence dans ce domaine, puisque la moitié des fibres optiques déployées en Europe sont aujourd’hui produites dans des usines en France, selon Acome.


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Bouygues Telecom et SFR finalisent l’accord de partage d’une partie de leurs réseaux d’accès mobiles

Télécoms>France>Accords>Investissements
04-02-2014 11:33:59 :

Bouygues Telecom et SFR viennent de signer un accord de mutualisation d’une partie de leurs réseaux d’accès mobiles, à la suite des négociations annoncées en juillet 2013. Les deux opérateurs vont déployer sur une zone correspondant à 57% de la population (soit l’ensemble du territoire en dehors des 32 plus grosses agglomérations de plus de 200 000 habitants et des zones blanches) un nouveau réseau partagé. Cet accord permettra aux deux opérateurs d’améliorer leur couverture mobile et de réaliser des économies significatives, ce qui ne fait pas l’affaire de leurs fournisseurs …

L’accord de mutualisation entre en vigueur dès sa signature et devrait aboutir à la finalisation du réseau cible fin 2017. Dans la pratique, les deux opérateurs exploitent actuellement plus de 18 000 antennes dans la zone de mutualisation. Ce parc devrait être réduit de 7000 antennes d’ici à 2017. A partir de 2017, cette mutualisation permettrait à Bouygues Telecom d’économiser 100 millions d’euros par an en frais de fonctionnement et en investissements, et SFR plus de 200 millions d’euros.

L’accord repose sur deux principes : d’une part, la création d’une société ad-hoc commune, qui gèrera le patrimoine des sites radio mis en commun ; d’autre part, la prestation de service de RAN-sharing que se rendront mutuellement les opérateurs en 2G, 3G et 4G sur le territoire partagé.

Chaque opérateur conservera une capacité d’innovation autonome ainsi qu’une indépendance commerciale et tarifaire, et continuera de proposer des services différenciés grâce à la maîtrise de son cœur de réseau et de ses fréquences.


Zones bleues et rouges : zones opérées par Bouygues Telecom - SFR
Zones grises : zones très denses non concernées par l'accord

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JSR construit une usine de condensateurs lithium-ion au Japon

Sous systèmes>Japon>Investissements
31-01-2014 14:35:37 :

Spécialisé notamment dans les matériaux pour les écrans plats, les semiconducteurs et l’optique, le Japonais JSR annonce la construction d’une unité de production de cellules de stockage d’énergie faisant appel à sa technologie Ultimo de condensateurs lithium-ion. L’investissement devrait atteindre 6 milliards de yens (60 M$), pour une capacité de production de 3 millions de cellules par an …

L’usine devrait être achevée en janvier 2015 et les premiers produits devraient être livrés aux clients à partir de juin 2015. Les applications visées concernent les marchés de la construction, des machines industrielles et de l’automobile.


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Osram Opto Semiconductors étend sa capacité de production de DEL InGaAlP

Capteurs/mems/Opto>Europe>Investissements
31-01-2014 14:35:02 :

L’Allemand Osram Opto Semiconductors annonce une augmentation de ses capacités de production de diodes électroluminescentes en passant à la production de DEL InGaAlP sur tranches de 150 mm de diamètre dans son usine de Ratisbonne, en Allemagne, pour ses modèles rouges, jaunes et oranges, jusqu’ici produits sur tranches de 100 mm de diamètre. L’entreprise a démarré ce transfert sur tranches de 150 mm avec ses DEL bleues en 2011 …

Ces DEL sont utilisées dans l’automobile, les écrans, la projection, la signalisation et les systèmes d’illumination générale. Le fabricant allemand avait déjà été le premier fournisseur mondial à passer l’ensemble de sa gamme de DEL sur tranches de 100 mm de diamètre il y a quelques années. Il récidive aujourd’hui pour le 150 mm. En complément des DEL rouges, oranges et jaunes produites à Ratisbonne, les DEL bleues, vertes et blanches sont produites sur tranches 150 mm à Ratisbonne et également à Penang, en Malaisie.

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