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INVESTISSEMENTS : 200 article(s).
Soitec ouvre la voie à la création d'un écosystème SOI en Chine

Semiconducteurs>Production>France>Chine>Accords>Investissements
27-05-2014 12:56:51 :

Le Grenoblois Soitec annonce un partenariat avec Shanghai Simgui Technology, fabricant chinois de tranches de silicium pour l'industrie des semiconducteurs. Première étape dans la création d'un écosystème SOI en Chine, cet accord porte sur la mise en commun de moyens de production pour servir les marchés mondiaux. Dans un premier temps, cette alliance vise à répondre à l'augmentation de la demande chinoise et à l'insuffisance mondiale des capacités de production de tranches de silicium sur isolant (SOI) de taille 200 mm, qui sont utilisées dans la fabrication de semiconducteurs pour les applications de radio fréquence (RF) et les applications de puissance …
 
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En plus de donner à Soitec sa première capacité de production de plaques de SOI en chine, l'accord augmente également les capacités de production industrielle pour répondre à l'augmentation de la demande au niveau mondial.

Ce nouvel accord comporte un contrat de licence et de transfert de technologie permettant à Simgui de fabriquer des tracnhes de SOI de 200 mm en utilisant la technologie Smart Cut de Soitec. Simgui construira une chaîne de production de SOI à fort volume pour adresser directement le marché chinois. Simgui fabriquera également les produits SOI 200 mm de Soitec pour le marché mondial de Soitec en dehors de la Chine, pour étendre l'offre de Soitec dans le monde entier. Au-delà de cette première coopération, les deux sociétés prévoient de développer leur collaboration à l'avenir pour profiter de leurs synergies.

« Nous sommes très heureux d'annoncer ce partenariat avec Simgui qui élargit l'écosystème fondé sur l'utilisation de la technologie de Soitec et renforce notre offre compétitive », déclare Paul Boudre, directeur général délégué de Soitec.

« L'accès à la technologie de Soitec est un accélérateur pour Simgui qui devient ainsi un acteur clé dans la fabrication de SOI fin », déclare le Dr Feng Zhang, directeur général de Simgui.

Basée à Shanghai, Simgui est spécialisée dans la fabrication de plaques de SOI et pour servir de fonderie pour la production de plaques épitaxiales utilisées dans les secteurs clés de l'industrie des semiconducteurs. Simgui réunit un groupe d'investisseurs de la Silicon Valley.



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Les implantations internationales en France ont progressé de 9% en 2013

Filière électronique>France>Conjoncture>Etude de marché>Investissements
27-05-2014 12:53:53 :

Avec 514 investissements étrangers tous secteurs industriels confondus en 2013 (contre 471 en 2012), la France semble inverser la tendance à la baisse observée depuis 2010, selon le baromètre de l’attractivité de la France publié par EV (ex- Ernst and Young). Cette augmentation de 9% constitue néanmoins une performance relative. Le pays reste à la troisième place sur le podium européen et se laisse distancer par la Royaume-Uni (799 implantations, +15 %) et l’Allemagne (701, + 12%) qui bénéficient plus nettement du redressement de l’Europe, destination rassurante pour les investisseurs internationaux face aux oscillations des économies émergentes, commente l’étude …

En Europe, on recense 3 955 investissements dans 42 pays, qui ont généré plus de 165 000 emplois, dont 14 122 en France (pour 10 542 en 2012, soit + 34%).

« Il est indéniable que la France a réussi à se maintenir comme l’une des trois destinations majeures en Europe pour les investissements étrangers. En renouant avec ses niveaux de 2010, la perspective s’avère plutôt encourageante. Cependant, elle ne parvient pour l’instant pas à convaincre autant que l’Allemagne et le Royaume-Uni qui incarnent la flexibilité, la compétitivité et la capacité exportatrice, que recherchent les investisseurs en ce moment. Sans être perçue comme une destination totalement défaillante, la France n’est pas considérée comme une destination déterminante », analyse Marc Lhermitte, Associé EY, et auteur du baromètre attractivité.

Comme dans le précédent baromètre, la France reste à la première place européenne pour les implantations industrielles qui connaissent une légère hausse (166 projets en 2013 contre 127 en 2012). Face au spectre de la désindustrialisation, la destination France conserve son attrait logistique et sa forte concentration de donneurs d’ordres mondiaux. Mais ces implantations génèrent peu d’emplois : la France se classe huitième pour les emplois industriels avec 29 postes par projet, contre 86 au Royaume-Uni et 32 en Allemagne, mais aussi 230 en Roumanie par exemple.

L’énergie, les transports, le numérique sont, pour les 206 dirigeants interrogés sur l’attractivité future de la France, des secteurs moteurs de croissance. Cependant, malgré un fléchissement qui suit la reprise européenne (39 projets de R&D en 2013 contre 26 en 2012), la France ne parvient pas à se démarquer du Royaume-Uni et de l’Allemagne pour les activités innovantes, ni pour les sièges sociaux (5e place européenne avec 18 projets en 2013).

Avec plus de la moitié des projets, ce sont d’abord les entreprises européennes qui misent sur l’Hexagone, suivis par les américaines (26% des projets). Cette confiance européenne et la tempérance américaine ne masquent pas une autre réalité : les choix des investisseurs en provenance des BRIC. Ces économies à croissance rapide font preuve de réserve à l’égard de la destination France. Leurs implantations ont peu progressé (19 en 2013 contre 14 en 2012), alors qu’elles ont fortement augmenté en Allemagne (107 en 2013 contre 64 en 2012) et poursuivi leur croissance au Royaume-Uni (87 en 2013 contre 71 en 2012).

Pour Marc Lhermitte, ce choix stratégique des BRIC est révélateur : « ces acteurs, qui incarnent la globalisation et sont les nouveaux clients de l’Europe, distinguent clairement l’Allemagne et la Royaume-Uni comme têtes de pont de leur conquête européenne, et ce au détriment de la France. Leurs décisions cristallisent la perception d’une France moins ouverte à la globalisation et en déficit de compétitivité.

Si 34% des investisseurs interrogés en février 2014 considèrent que l’attractivité française va progresser, ce résultat demeure bien en retrait face à ceux de nos voisins britanniques (54%) et allemands (49%). Là où le Royaume-Uni se différencie par son coût du travail et son hyper flexibilité, l’Allemagne par sa force industrielle et sa puissance exportatrice, la France reste perçue comme un pays à fiscalité et coût du travail trop élevés (respectivement pour 43% et 34% des investisseurs) et un environnement des affaires trop complexe (32%).

Mais dans leur analyse de la France, les investisseurs révèlent aussi les avantages concurrentiels du pays. A commencer par la capacité d’innovation de la France (39% et 1er atout pour les investisseurs), mais aussi de ses champions sectoriels (32%). Ensuite, la vitalité des régions françaises est soulignée. Parallèlement, les métropoles (le Grand Paris étant à part avec son statut de région-capitale) qui conjuguent des pôles universitaires, scientifiques, industriels et culturels à l’image de Lyon, Marseille, Lille ou Toulouse sont des destinations remarquées par les investisseurs et semblent en partie échapper à la crise.


Consulter le baromètre attractivité

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Toshiba entame la transition vers la technologie NAND 3D

Semiconducteurs>Japon>Investissements
22-05-2014 10:24:59 :

Toshiba va démolir son usine de fabrication de mémoires Flash NAND (Fab 2) de Yokkaichi Operations, dans la préfecture de Mie, au Japon, pour la remplacer par une nouvelle usine sur le même site. Toshiba a également signé avec SanDisk un protocole d’entente visant à investir conjointement dans la nouvelle installation. L’objectif de la nouvelle usine est de convertir la capacité NAND 2D Toshiba et SanDisk existante en NAND 3D à partir de début 2016 …

Les travaux de démolition de la Fab 2 actuelle commencent en mai et la construction débutera en septembre 2014, la date d’achèvement étant prévue pour l’été 2015. La construction de la salle blanche est programmée pour lancer la production en 2016.

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Osram ouvre une usine d’assemblage de DEL en Chine

Capteurs/mems/Opto>Europe>Chine>Investissements>Stratégie
22-05-2014 10:23:23 :

L’Allemand Osram vient d’annoncer l’ouverture d’une unité d’encapsulation de puces DEL à Wuxi, en Chine. Pilotée par Osram Opto Semiconductors, l’usine de 100 000 m2, qui a représenté un investissement de plus de 100 millions d’euros (un montant à trois chiffres), devrait employer 2100 personnes d’ici à 2017 et produire plusieurs milliards de DEL par an …

Osram, via sa filiale Osram Opto Semiconductors, produit actuellement des puces DEL à Ratisbonne, en Allemagne et à Penang, en Malaisie. L’Allemand réalise également des assemblages de DEL à Penang.

La Chine représente plus de 20% du marché de l’éclairage mondial. Selon le fabricant, le marché chinois de l’éclairage général a représenté 15 8 milliards d’euros en 2013 et devrait passer à 23 milliards en 2019. La part de marché de produits d’éclairage à base de semiconducteurs (dont les diodes électroluminescentes) devrait alors y passer de 29% en 2013 à 60%.

Osram est un groupe spécialisé dans l’éclairage qui emploie plus de 35 000 personnes dans le monde, pour un chiffre d’affaires de 5,3 milliards d’euros pour son exercice 2013. Osram Opto Semiconductors, dont le siège est à Ratisbonne, emploie plus 7000 personnes dans le monde.

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Capteurs et actuateurs : Continental ouvre un centre de R&D mondial en République tchèque

Automobile>Capteurs/mems/Opto>Europe>Investissements>R&D
15-05-2014 15:32:22 :

L’équipementier automobile allemand Continental annonce l’ouverture à Ostrava, en République tchèque, d’un centre de compétences à vocation mondiale, qui aura la responsabilité à l’échelle mondiale des travaux de recherche et développement pour les capteurs et les actuateurs. Dans un premier temps, ce centre de 5000 m2 emploiera 160 personnes, puis 200 salariés à moyen terme dont plus de la moitié seront des ingénieurs de développement …

A Frenstat, à 40 km d’Ostrava, Continental possède déjà une unité de production qui emploie 2500 personnes. L’extension de la capacité de production du site, notamment dans le domaine des capteurs et des actuateurs, nécessitait d’en relocaliser le département développement. Les travaux du centre de développement porteront sur le développement de capteurs et d’actuateurs utilisés par les systèmes de réduction des émissions de CO2 et de la consommation de carburant des moteurs à combustion dans les voitures modernes.


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Arelis prévoit l’installation d’un écosystème technologique et industriel dans la Meuse

Filière électronique>France>Investissements>R&D
15-05-2014 15:29:39 :

Dans le cadre de sa stratégie basée sur une volonté de développement à l’international, -plus de 50% à l’export attendu en 2014-, et d’innovations technologiques en matière de radiofréquence/hyperfréquence et de gestion de l’énergie, le groupe Arelis, issu du rapprochement de Meusonic et Sericad en 2010 et dont le siège est en Meuse, envisage d’implanter un centre technologique et industriel près de la gare TGV Meuse. L’idée est de déployer autour de ce centre, un véritable écosystème de recherche et de développement. Son installation devrait débuter dès le premier trimestre 2016 …

Ce nouveau centre comprendrait un pôle de recherche favorisant le développement de nouvelles solutions en radiofréquence/hyperfréquence et en gestion de l’énergie. Les développements logiciels occuperaient une part tout aussi importante que les développements électroniques. Ce pôle s’attacherait par ailleurs à industrialiser, du prototype à la moyenne série, ces produits. Ce projet a déjà suscité l’intérêt de partenaires étrangers qui souhaitent ériger un centre commun de R&D en technologie hyperfréquence, assure l’entreprise.

Tout autour de ce centre, l’ambition d’Arelis est de déployer un véritable écosystème de recherche et de développement avec la participation d’autres partenaires industriels et de start-up, la création d’un centre d’incubation et d’accueil d’entreprises innovantes mais aussi l’implantation de nouvelles écoles et universités.

Né de la fusion des sociétés Meusonic et Sericad, le groupe Arelis a repris en 2012 Thomson Broadcast et l’ensemble de ses activités de transmission, un rachat qui fait suite à la levée de fonds en 2012 de 6,5 M€ auprès d’ACE Management, une société de gestion de portefeuille privée. Le groupe investit plus de 15% de son chiffre d’affaires en R&D pour concevoir, industrialiser et fabriquer des équipements pour les filières de l’industrie aéronautique et spatiale, de l’électronique, de la défense, du transport et des télécommunications. Arelis compte actuellement plus de 300 employés en France répartis sur 5 sites.


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