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CONJONCTURE : 604 article(s).
Coup de frein à l’essor du marché de l’électronique sur soi en 2015 ?

Télécoms>Informatique>Grand public>Médical>Monde>Conjoncture>Etude de marché
04-06-2014 13:03:05 :

Le marché du wearable ou prêt-à-porter électronique, -ces gadgets de type montre, bracelet, lunettes et autres que l’on porte sur soi pour des applications numériques variées-, ne sera pas sans à-coups. Sans remettre en cause l’essor de ce marché qui devrait passer de 48 millions d’unités cette année à 91 millions de pièces en 2015, le cabinet d’études NPD DisplaySearch prévoit un possible décrochage des ventes après 2015, faisant suite à un engouement initial de la part du grand public …
 
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En clair, passé l’effet le mode, le soufflet pourrait retomber. Toutefois le cabinet d’études ne remet pas en cause la solidité de ce marché à moyen terme. Simplement, il envisage trois scénarii pour l’adoption des wearables qui allongent ou réduisent cette période de doute avant le rebond des ventes.

Dans le premier scénario, les produits du prêt-à-porter électronique sont avant tout considérés comme des gadgets plus ou moins utiles. Dans cette optique, seule la baisse des prix permettra l’essor des volumes. Dans ce cas, ce marché devrait retrouver de la croissance en valeur à partir de 2018 et sera dominé par les productions chinoises.

Un scénario intermédiaire renforce le caractère indispensable de ces terminaux pour assurer de nouvelles fonctions. Dans cette optique, les grandes marques type Apple inventent de nouveaux services et « forcent » le consommateur à acquérir ces objets pour bénéficier de ces services. La baisse du marché ne dépassera pas alors une année, mais in fine, ce sont encore les productions chinoises qui rafleront la mise.

Le troisième scénario est basé sur un une utilisation incontestable des produits du prêt-à-porter électronique. Les bénéfices des wearables pour le suivi médical prennent alors le pas sur le côté gadget et les organismes de santé recommandent les technologies du prêt-à-porter électronique à leurs patients (suivi médical, assistance à domicile, sécurité, etc.). Dans ce scénario, 2015 marque seulement un palier avant le rebond dès 2016. Pour l’étude, l’Amérique du Nord devrait être le continent à adopter le plus rapidement les produits du prêt-à-porter électronique, en partie grâce à la pénétration des réseaux sociaux. Toutefois, à plus long terme, c’est encore la Chine qui dominera la demande.

Suivant le scénario qui se réalisera, le marché du wearable pourrait pratiquement varier du simple au double à l’horizon 2020.


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Continental et Bosch dominent le marché des calculateurs automobiles

Automobile>Monde>Conjoncture>Etude de marché
03-06-2014 15:10:45 :

Selon Semicast Research, le marché mondial des calculateurs automobiles sous le capot (pour des applications moteur, châssis, habitacle et sécurité) devrait passer de 44,8 milliards de dollars en 2013, à 70 milliards en 2020, soit une progression annuelle moyenne de 8%. Avec 20% de ce marché chacun, les Allemands Robert Bosch et Continental dominent ce marché, devant le Japonais Denso (11,5%) …

L’étude évalue par ailleurs la production mondiale d’automobiles à 82 millions d’unités en 2013 et 106 millions en 2020. Mais plus de 40% de cette augmentation concernera uniquement la Chine, prévient Semicast Research.

Quant à la production de voitures hybrides, elle devrait passer de 14,3 millions à 70,5 millions d’unités, tandis que la production de véhicules électriques devrait passer de 0,4 million à 4 millions d’unités.


Parts de marché en 2013 pour les calculateurs automobiles (*)
Continental 20,0%
Robert Bosch 20,0%
Denso 11,5%
Delphi 4,0%
Hitachi Automotive Systems 4,0%
TRW Automotive 4,0%
Brose 3,5%
Valeo 2,5%
Aisin 2,5%
Magneti Marelli 2,5%
Top 10 Total 74,5%
Others 25,5%
Total marché 2013 : 44.8 milliards de dollars
Source: Semicast Research

(*) Les calculateurs automobiles sous le capot excluent les calculateurs pour l’audio, l’info-divertissement, la navigation et les services télématiques, qui font l’objet d’une étude séparée.

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Marché mondial des semiconducteurs : 10% de croissance depuis janvier

Semiconducteurs>Monde>Europe>Conjoncture>Etude de marché
03-06-2014 15:08:44 :

Les ventes mondiales de semiconducteurs ont représenté 26,336 milliards de dollars en avril, en hausse de 0,7% par rapport à mars 2014 et en progression de 11,5% par rapport à avril 2013, selon le WSTS. En Europe, les ventes d’avril atteignent 3061 M$, en hausse de 8,2% par rapport à avril 2013 et en baisse de 0,6% par rapport au mois précédent …

L’organisation professionnelle souligne la bonne tenue des ventes en Europe dans de nombreuses familles de produits dont particulièrement les discrets, les capteurs et actuateurs, les circuits analogiques et les microcontrôleurs pour cartes à puce. Le WSTS note que les circuits pour communications sans fil et les circuits pour cartes à puce ont enregistré les plus fortes croissances au niveau mondial.

Exprimées en euros, les ventes européennes d’avril ont représenté 2,224 milliards d’euros, en retrait de 1% par rapport à mars 2014 et en hausse de 3% par rapport à avril 2013. Sur les quatre premiers mois de l’année, le marché européen du semiconducteur est ainsi en hausse de 2,9% par rapport à janvier-avril 2013.

Globalement, les ventes mondiales de semiconducteurs ont représenté 104 milliards de dollars depuis janvier, soit une hausse de 10,7% par rapport à janvier-avril 2013. Elles ont été tirées par le marché chinois (+32%) et le marché américain (+14%).

Exprimées en dollars, les ventes d’avril ont progressé de 14,7%, à 4999 M$ par rapport à avril 2013 sur le continent américain et de 12,5%, à 15,433 milliards de dollars dans la zone Asie-Pacifique (dont +30%, à 7081 M$ en Chine). Elles ont progressé de 4,4%, à 2843 M$ au Japon. Par rapport au mois précédent, elles ont progressé de 1,7% dans la zone Asie-Pacifique, de 1,1% au Japon et ont reculé de 1,6% sur le continent américain.



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Le marché européen de la distribution a progressé de 7,7% sur un an

Semiconducteurs>Distribution>France>Europe>Conjoncture>Etude de marché
02-06-2014 12:17:37 :

Le marché européen de la distribution de semiconducteurs a représenté 1,6 milliard d’euros au premier trimestre 2014, soit une hausse de 9,6% par rapport au quatrième trimestre 2013 et une progression de 7,7% par rapport au premier trimestre 2013, selon la DMASS, Distributors’ and Manufacturers’ Association of Semiconductor Specialists. En France, le marché de la distribution a progressé de 7,6% sur un an, à 124 millions d’euros …

« Les difficultés rencontrées en 2012 et 2013 sont derrière nous. Dans la plupart des régions, le marché de la distribution a progressé de plus de 5%, voire de plus de 10%. En dehors de la tension persistante sur les prix, notre profession affiche une bonne performance. Les carnets de commandes sont remplis et nous nous acheminons vers une année 2014 très positive », a commenté Georg Steinberger, chairman of DMASS.

Au premier trimestre 2014, le marché français de la distribution de semiconducteurs a progressé de 7,6%, à 124 millions d’euros, par rapport au premier trimestre 2013. Quant au marché allemand de la distribution de semiconducteurs qui représente actuellement 32% du marché européen, il est sortie de sa léthargie pour progresser de 6,6% sur un an, à 511 M€. Le marché italien a progressé de 12,7%, à 157 M€ ; au Royaume-Uni, les ventes trimestrielles ont progressé de 10,6% sur un an, à 136 M€. L’Europe de l’Est a progressé de 12,5%, à 178 M€. Pour des raisons structurelles, le marché des pays nordiques a reculé de 4,6%, à 146 M€, souligne l’association professionnelle.

Par types de produits, les composants standards de type commodities se sont particulièrement bien comportés : +16,9% sur un an, à 90 M€ pour les discrets ; +14,5%, à 166 M€ pour les discrets de puissance ; +9,7%, à 30 M€ pour les circuits logiques standards ;+7,1%, à 377 M€ pour les circuits analogiques standards. Tirés par la demande de DEL, les composants optoélectroniques ont progressé de 9,1%, à 158 millions d’euros. La consommation de mémoires, pénalisée par la faiblesse des prix, est restée stable (+1%, à 123 M€), les composants MOS Micro ont progressé de 10,7%, à 334 M€. Les ventes trimestrielles de circuits logiques programmables ont à nouveau été décevantes, avec un recul de 3,8%, à 124 M€. Cela fait six trimestres de suite que ce segment de marché enregistre des résultats inférieurs à celui de l’ensemble du marché de la distribution, note la DMASS.

« Pour les ventes via la distribution, on assiste à un déplacement de la demande des microcontrôleurs d’entrée de gamme et des DSP « autonomes » vers des architectures 32 bits, un domaine dominé par ARM. Le développement des DEL de fortes puissances pour des applications d’éclairage est également très positif », commente Georg Steinberger.



Fondée en 1989, la DMASS compte à ce jour 34 membres actifs (dont, pour les distributeurs, Anglia, Arrow, Avnet et ses filiales, dont Silica, Avnet Memec, Avnet SCS, Avnet Abacus et Avnet Israel, Digi-Key, EBV Elektronik, Farnell, Future Electronics, Mouser Electronics, MSC Gleichmann et Rutronik) et représente, suivant les pays, entre 80% et 85% du marché européen de la distribution. L’organisation professionnelle, - rappelons-le-, ne prend en compte que les semiconducteurs hors composants pour PC.

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Hausse de 6% du marché français des semiconducteurs au premier trimestre 2014

Semiconducteurs>France>Conjoncture>Etude de marché
28-05-2014 11:55:53 :

Au premier trimestre 2014, le marché français des semiconducteurs a affiché en euros une hausse de 6,6% par rapport au trimestre précédent et de 5,8% par rapport au premier trimestre 2013, à 445,6 M€, selon le syndicat des composants Acsiel. La répartition des ventes en France entre les deux canaux de ventes directes aux OEMs et ventes de la distribution est respectivement de 72,2% et de 27,8%, chacun enregistrant une hausse respective de 4,1% et de 13,4% par rapport au trimestre précédent …

La croissance du marché français a été tirée par l’automobile et la distribution qui se portent bien en début d’année 2014.

En effet, les ventes via la distribution représentent, pour le premier trimestre, un chiffre de 124 M€ (27,8% du marché français), soit +13,4% en trois mois. Bien que le montant indiqué tienne désormais compte de l’intégration des chiffres du Maghreb à hauteur d’environ 8%, ce canal de ventes continue de progresser en France depuis 12 trimestres, hormis une légère baisse au milieu de l’année 2012.

Concernant les ventes directes aux OEMs, le premier secteur reste encore pour ce trimestre l’automobile (28,8% du total) grâce à l’augmentation des systèmes d’info-divertissement et autres électroniques embarqués dans les véhicules.

Le segment regroupant l’industriel et le militaire-aéronautique détrône au premier trimestre 2014 le secteur des cartes à puce, avec une part de marché légèrement plus importante (20,4% du total) et ce, bien que leurs ventes soient en légère baisse en ce début d’année. Ce marché reste cependant important pour la France mais dépend grandement des programmes initiés dans les domaines de l’aviation civile, du spatial ou de la défense.

Se plaçant en troisième position avec 19% du marché, le secteur des « puces pour encarteurs » enregistre une hausse de 4,7% par rapport au trimestre précédent. « Ce segment est très volatile mais reste un domaine « très français » qui continue sa progression – malgré quelques fluctuations – avec les NFC (paiement, transport, passeport) et le développement des smartphones et des tablettes », commente l’organisation professionnelle.

Pour ce qui concerne les prises de commandes directes des clients OEM (179,2 M€), le book-to-bill s’établit à 1,14 (un ratio jamais atteint depuis 12 trimestres). Ce bon résultat se réalise essentiellement grâce aux MOS Micro (+31%), lesquels restent toujours en tête de liste de l’ensemble des produits mais également aux produits analogiques (+17%) qui retrouvent un niveau de commandes équivalent au premier trimestre 2013. Acsiel rappelle que les deux premiers trimestres de l’année 2013 avaient eux-aussi enregistré des prises de commandes excellentes.



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Les implantations internationales en France ont progressé de 9% en 2013

Filière électronique>France>Conjoncture>Etude de marché>Investissements
27-05-2014 12:53:53 :

Avec 514 investissements étrangers tous secteurs industriels confondus en 2013 (contre 471 en 2012), la France semble inverser la tendance à la baisse observée depuis 2010, selon le baromètre de l’attractivité de la France publié par EV (ex- Ernst and Young). Cette augmentation de 9% constitue néanmoins une performance relative. Le pays reste à la troisième place sur le podium européen et se laisse distancer par la Royaume-Uni (799 implantations, +15 %) et l’Allemagne (701, + 12%) qui bénéficient plus nettement du redressement de l’Europe, destination rassurante pour les investisseurs internationaux face aux oscillations des économies émergentes, commente l’étude …

En Europe, on recense 3 955 investissements dans 42 pays, qui ont généré plus de 165 000 emplois, dont 14 122 en France (pour 10 542 en 2012, soit + 34%).

« Il est indéniable que la France a réussi à se maintenir comme l’une des trois destinations majeures en Europe pour les investissements étrangers. En renouant avec ses niveaux de 2010, la perspective s’avère plutôt encourageante. Cependant, elle ne parvient pour l’instant pas à convaincre autant que l’Allemagne et le Royaume-Uni qui incarnent la flexibilité, la compétitivité et la capacité exportatrice, que recherchent les investisseurs en ce moment. Sans être perçue comme une destination totalement défaillante, la France n’est pas considérée comme une destination déterminante », analyse Marc Lhermitte, Associé EY, et auteur du baromètre attractivité.

Comme dans le précédent baromètre, la France reste à la première place européenne pour les implantations industrielles qui connaissent une légère hausse (166 projets en 2013 contre 127 en 2012). Face au spectre de la désindustrialisation, la destination France conserve son attrait logistique et sa forte concentration de donneurs d’ordres mondiaux. Mais ces implantations génèrent peu d’emplois : la France se classe huitième pour les emplois industriels avec 29 postes par projet, contre 86 au Royaume-Uni et 32 en Allemagne, mais aussi 230 en Roumanie par exemple.

L’énergie, les transports, le numérique sont, pour les 206 dirigeants interrogés sur l’attractivité future de la France, des secteurs moteurs de croissance. Cependant, malgré un fléchissement qui suit la reprise européenne (39 projets de R&D en 2013 contre 26 en 2012), la France ne parvient pas à se démarquer du Royaume-Uni et de l’Allemagne pour les activités innovantes, ni pour les sièges sociaux (5e place européenne avec 18 projets en 2013).

Avec plus de la moitié des projets, ce sont d’abord les entreprises européennes qui misent sur l’Hexagone, suivis par les américaines (26% des projets). Cette confiance européenne et la tempérance américaine ne masquent pas une autre réalité : les choix des investisseurs en provenance des BRIC. Ces économies à croissance rapide font preuve de réserve à l’égard de la destination France. Leurs implantations ont peu progressé (19 en 2013 contre 14 en 2012), alors qu’elles ont fortement augmenté en Allemagne (107 en 2013 contre 64 en 2012) et poursuivi leur croissance au Royaume-Uni (87 en 2013 contre 71 en 2012).

Pour Marc Lhermitte, ce choix stratégique des BRIC est révélateur : « ces acteurs, qui incarnent la globalisation et sont les nouveaux clients de l’Europe, distinguent clairement l’Allemagne et la Royaume-Uni comme têtes de pont de leur conquête européenne, et ce au détriment de la France. Leurs décisions cristallisent la perception d’une France moins ouverte à la globalisation et en déficit de compétitivité.

Si 34% des investisseurs interrogés en février 2014 considèrent que l’attractivité française va progresser, ce résultat demeure bien en retrait face à ceux de nos voisins britanniques (54%) et allemands (49%). Là où le Royaume-Uni se différencie par son coût du travail et son hyper flexibilité, l’Allemagne par sa force industrielle et sa puissance exportatrice, la France reste perçue comme un pays à fiscalité et coût du travail trop élevés (respectivement pour 43% et 34% des investisseurs) et un environnement des affaires trop complexe (32%).

Mais dans leur analyse de la France, les investisseurs révèlent aussi les avantages concurrentiels du pays. A commencer par la capacité d’innovation de la France (39% et 1er atout pour les investisseurs), mais aussi de ses champions sectoriels (32%). Ensuite, la vitalité des régions françaises est soulignée. Parallèlement, les métropoles (le Grand Paris étant à part avec son statut de région-capitale) qui conjuguent des pôles universitaires, scientifiques, industriels et culturels à l’image de Lyon, Marseille, Lille ou Toulouse sont des destinations remarquées par les investisseurs et semblent en partie échapper à la crise.


Consulter le baromètre attractivité

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