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SEMICONDUCTEURS : 1153 article(s).
Le fondeur UMC s’attend à une baisse de ses livraisons de 8% à 10% au quatrième trimestre

Semiconducteurs>Taïwan>Conjoncture>Résultats financiers
31-10-2013 12:27:53 :

Le fondeur taïwanais UMC, qui au troisième trimestre a traité un niveau record de 1,329 million de tranches (en équivalent 200 mm), s’attend à ce que le soufflé retombe au quatrième trimestre, avec une baisse d’activité de 8% à 10% et un recul des prix moyens par tranche de 2%. Dans ce contexte, le taux d’utilisation de ses capacités de production devrait reculer aux alentours de 75%, contre 87% au troisième trimestre et 85% au deuxième trimestre 2013 …
 
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Le fondeur taïwanais maintient pour autant son budget d’investissement de 1,5 milliard de dollars pour l’ensemble de l’année 2013, dont 818 M$ avaient été consommés à la fin du troisième trimestre.

Pour le troisième trimestre, UMC a publié un chiffre d’affaires de 33,41 milliards de dollars taïwanais (1,13 milliard de dollars), en hausse de 4,7% en trois mois et de 10,7% sur un an, pour un bénéfice net de 3,48 milliards de dollars taïwanais (117 M$).

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LFoundry : mobilisation des salariés pour sauver leur emploi

Semiconducteurs>France>Restructurations
31-10-2013 12:26:21 :

A l’appel des syndicats, plusieurs centaines de salariés de LFoundry se sont mobilisés hier devant le site de l’entreprise à Rousset (Bouches-du-Rhône) pour faire entendre leur colère face à la menace de la disparition de leur emploi et au silence des pouvoirs publics. Le site cédé par Atmel à l’Allemand LFoundry en 2010 a été placé en redressement judiciaire en juillet avec une période d’observation de six mois …

Des élus de la région, des partenaires sociaux et des responsables syndicaux sont venus soutenir les manifestants. Le maire de Rousset a menacé d’entamer une grève de la faim si le gouvernement n’intervient pas dans le dossier. Il faut dire que la situation est complexe : d’une part, une information judiciaire a été ouverte par le parquet de Paris pour abus de biens sociaux, suite à une plainte des syndicats qui soupçonnent LFoundry d’avoir détourné 20 millions d'euros des comptes de l'usine lors du rachat en 2010. D’autre part, ces mêmes syndicats estiment qu’Atmel doit être considéré comme « gérant de fait » de l’usine, pour avoir rompu son contrat d’approvisionnement auprès du site.

« Comment Atmel a-t-il pu renégocier le contrat de production, le réduisant d'une année sans même se soucier de savoir si nous avions les commandes nécessaires pour perdurer quand il déciderait de ne plus s'approvisionner chez nous », s’interrogeait récemment Jean-Yves Guerrini, délégué syndical CFDT chez LFoundry, dans les colonnes de l’Usine Nouvelle ? La société américaine devait être assignée à comparaître aujourd’hui devant le Tribunal de commerce de Paris dans le cadre de cette affaire. Sans ces clarifications, il sera difficile pour l’usine de Rousset et ses 630 salariés de pérenniser leur avenir.

Parallèlement Atmel, spécialisé dans les microcontrôleurs, les solutions tactiles, les circuits intégrés logiques et mixtes, les mémoires non-volatiles et les composants RF, vient de publier ses résultats trimestriels. L’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 356,3 M$ au troisième trimestre, en hausse de 2% par rapport au trimestre précédent (347,8 M$) et en recul de 1% par rapport au troisième trimestre 2012 (+2% à périmètre comparable). Atmel affiche un bénéfice net de 5,4 M$, contre 13 M$ lors du deuxième trimestre 2013 et 21,6 M$ un an plus tôt.

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Kalray noue un partenariat stratégique avec l’Inria

Semiconducteurs>Logiciels>France>Accords>R&D
30-10-2013 15:14:23 :

La start-up francilienne Kalray, spécialisée dans le développement de processeurs massivement parallèles et l’Inria, institut public français de recherche entièrement dédié aux sciences du numérique, annoncent la création d’un partenariat stratégique sur le calcul massivement parallèle et ses applications dans différents secteurs industriels comme le calcul intensif, le multimédia, les transports ou les télécommunications et réseaux. Cet accord national est l’aboutissement d’une coopération démarrée dès 2010 autour de l’unité de calcul flottant du MPPA Manycore, processeur massivement parallèle de Kalray …

Fondée en 2008, Kalray est une société de semiconducteurs « fabless » et de logiciels qui conçoit et commercialise une nouvelle génération de processeurs massivement parallèles intégrés sur puce pour des applications à haute performances de petits et moyens volumes (voir notre article). Les domaines applicatifs couverts par Kalray sont typiquement : le traitement de l’image, de l’audio et du signal, le calcul scientifique, les infrastructures de communication et le contrôle industriel. Kalray emploie 60 ingénieurs et a reçu le soutien de fonds d’investissements français, de fonds locaux, d’investisseurs privés et de BPI France.

« Notre premier processeur à 256 cœurs introduit en novembre 2012 est unique au monde par les choix d’architecture qui ont été faits. L’émergence des processeurs massivement parallèles est une tendance lourde et incontournable de l’industrie. L’expertise scientifique d’Inria dans ce domaine, initiée il y a plus de 20 ans, est reconnue au plan international », commente Joël Monnier, p-dg de Kalray.

« La technologie MPPA matérialise des concepts de programmation qu’Inria étudie depuis de nombreuses années et qui vont se généraliser dans l’industrie sous peu. La simulation numérique, le séquençage de l’ADN, la sécurité active et l’autonomie des véhicules, l’imagerie médicale, la vidéo ultra-haute définition, sont autant de domaines applicatifs qui seront basés sur des architectures parallèles comme le MPPA », souligne Michel Cosnard, p-dg de l’Inria.

L’accord de partenariat porte maintenant sur 3 sujets :
• Les outils logiciels de conception : développer des modèles de programmation parallèle et de conception rapide de solutions de calcul complexes à base de composants logiciels dédiés
• La conception matérielle et logicielle de calculateurs spécialisés très haute performance et basse consommation dans des secteurs applicatifs de pointe
• La diffusion des savoir-faire de programmation parallèle dans l’industrie par l’engagement conjoint de Kalray et d’Inria dans des programmes de collaboration de recherche nationaux (FUI, Investissements d’Avenir, DGA Rapid,…) et européens (FP7, Eureka, Horizon 2020,…)

Le budget d’Inria s’élevait en 2012 à 229 millions d’euros dont plus 26% de ressources propres.

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Coût de production par transistor : pourra-t-on faire mieux que le 28 nm ?

Semiconducteurs>CAO>Production>Stratégie
30-10-2013 15:11:40 :

De passage à Paris à la mi-octobre à l’occasion d’un séminaire clients pour Thales et Alcatel-Lucent, Wally Rhines, CEO de Mentor Graphics, nous a fait part de sa vision du futur de la conception en électronique et de la façon dont Mentor comptait y répondre. Selon le p-dg de Mentor, nous sommes à l’aube d’une rupture dans l’évolution des technologies de fabrication de circuits intégrés qui imposera de nouvelles règles de conception pour continuer à innover …

Depuis des décennies, le passage à une technologie aux géométries plus fines était le garant d’un coût de production par transistor plus faible. Si l’on s’en tient aux technologies submicroniques, à chaque nouvelle génération de process, on assistait à un doublement du nombre de transistors par surface de silicium ou à une réduction de 50% de la taille de la puce à fonctions équivalentes. Tous les 18 mois, la loi de Moore était ainsi en moyenne vérifiée et respectée. Le passage du 28 nm au 20 nm rompt ce bel équilibre. Pour Wally Rhines, le 28 nm fournit le meilleur coût de production par transistor jamais atteint dans l’industrie et il n’est pas sûr que les générations suivantes (20 nm, 14 nm, 7 nm) continueront d’abaisser ce coût de production. Le consensus actuellement est plutôt de considérer qu’il va augmenter. La nécessité de recours à des doubles voire des triples expositions/gravures du motif de la puce, le retard pris par l’avènement industriel de la lithographie dans les UV extrêmes (EUV), le surcoût liés à l’introduction de technologies dites FinFET à partir du 20 ou 14 nm, font que malgré l’augmentation du nombre de transistors à surface équivalente, le coût de production par transistor devrait augmenter.

Que faire alors pour préserver l’écosystème de l’industrie des semiconducteurs qui a permis à toute la chaîne de valeur (fournisseurs, fondeurs, fabricants de semiconducteurs, clients) de vivre avec des marges confortables au cours des dernières décennies ? En d’autres termes, comment maintenir une croissance annuelle de 70% du nombre de transistors utilisés en continuant de réduire le coût par fonction ?

Il faudra sans doute explorer d’autres voies pour continuer à faire vivre l’innovation, prévient Walter Rhines. L’empilage de puces nues ou les boîtiers 3D sont l’une des réponses plausibles à court terme pur accroître la densité des puces et augmenter les fonctions sans réduire les géométries. D’autres technologies plus éloignées du stade de la maturité devront également être explorées. Et le p-dg de Mentor de citer, pêle-mêle, la photonique sur silicium, l’électronique de spin, ou bien encore les puces biologiques. Le stockage basé sur des puces ADN, en particulier, lorsqu’il sera maîtrisé, permettrait un gain de de 10-puissance-9 en matière de consommation et d’un facteur 1000 en densité de stockage par rapport à la technologie actuelle des flash NAND.

L’innovation dont on ne sait aujourd’hui quel chemin elle empruntera est, à ses yeux, la seule solution pour continuer à obtenir une croissance de 70% par an du nombre de transistors utilisés dans le monde et d’effacer le surcoût de production des technologies les plus fines (double ou triple exposition, FinFET, etc.) à moins de faire pression sur les fondeurs pour leur faire baisser leurs prix en rognant sur leurs marges (on n’en prend pas le chemin), de pressuriser les marges des fabricants de semiconducteurs, ou de ralentir l’innovation au niveau des produits. Après tout, l’Internet des Objets dont on nous parle sans cesse ne nécessite pas partout de recourir à des puces à la pointe des technologies pour ces milliards d’éléments. Quant aux produits qui réclament les circuits les plus avancés tels les smartphones, les consommateurs accepteront-ils qu’entre chaque génération de produits, le gain de performances soit moins élevé que par le passé ?

Dans ce contexte non encore stabilisé, l’entreprise estime que l’avenir de la CAO se jouera de plus en plus au niveau système. Or, Mentor tire près de 50% de ses revenus de la CAO au niveau système. Dans les semiconducteurs, les fabricants semblent avoir atteint un plafond pour leurs dépenses de CAO depuis de nombreuses années : 2% de leur chiffre d’affaires, selon le p-dg de Mentor, qui se plait à rêver que les fabricants de systèmes électroniques un jour en fassent autant en renforçant l’automatisation de leurs moyens de conception. 2% de 2000 milliards de dollars. Voilà qui ferait bondir le chiffre d’affaires des ténors de la CAO. D’ici là, ils devront continuer à innover, en étant à l’écoute de leurs clients pour anticiper leurs besoins (l’analyse thermique était à peine un souci il y a encore 10 ans) et rester à l’affût des pépites des jeunes pousses qui se créent. Une grande partie de la croissance des trois leaders de la CAO électronique provient de sociétés qu’ils ont rachetées. La vigilance, en ces temps de ruptures technologiques à venir, reste le maître mot pour les entreprises de CAO.


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SK Hynix affiche une marge d’exploitation de 29%

Semiconducteurs>Corée>Conjoncture>Résultats financiers
29-10-2013 14:52:22 :

Selon le Coréen SK Hynix, au troisième trimestre, le prix moyen de vente des mémoires Drams qu’il a livrées a progressé de 5% en trois mois, alors que celui des mémoires flash NAND a reculé de 6%. Dans l’intervalle, les livraisons trimestrielles d’Hynix en nombre de bits ont reculé de 2% dans les Drams et augmenté de 11% dans les flash NAND.…

Dans ce contexte, son chiffre d’affaires trimestriel a augmenté de 4% en trois mois et fait un bond de 69% sur un an, à 4084 milliards de wons (3,84 milliards de dollars).

SK Hynix a enregistré lors du trimestre un bénéfice d’exploitation de 1164 milliards de wons (1095 M$) et a pu dégager un bénéfice de 958 milliards de wons (902 M$), contre 947 milliards trois mois plus tôt et 2 milliards de wons au troisième trimestre 2012.


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Vishay lance trois programmes de réduction des coûts

Semiconducteurs>Composants passifs>Etats Unis>Restructurations
29-10-2013 14:51:02 :

Le fabricant américain de composants passifs et de semiconducteurs discrets Vishay vient d’annoncer le lancement de plusieurs programmes de réduction des coûts et de départs volontaires afin d’améliorer ses performances financières. Le principal concerne sa production de MOSFETs. Globalement, ces programmes, qui vont lui coûter 26 M$, devraient permettre à l’entreprise de réduire ses coûts annuels de 36 M$ à partir de 2016 …

Le projet de réduction des coûts pour son activité dans les MOSFETs va durer environ 2 ans. La fabrication de certaines tranches de composants de puissance sera transférée dans une usine plus moderne et certaines autres activités de production de tranches actuellement réalisées en interne seront sous-traitées à des fondeurs. Vishay escompte une économie de 23 M$ pour ce plan de réduction des coûts dans les MOSFETs qui devrait lui coûter 10 M$.

Quant au plan de départs volontaires suivant des conditions d’âge ou de fonction, il devrait coûter à l’entreprise 13 M$ pour réduire ses frais fixes annuels de 10 M$. Un tiers des réductions d’effectif concernera des emplois de production et les deux-tiers des emplois administratifs, dans les ventes, etc.

Les deux autres plans de réduction des coûts ont trait au transfert de la production de certaines diodes. Vishay en attend 3 M$ d’économies annuelles pour un coût de 3 M$.
Pour son trimestre clos fin juin, Vishay a réalisé un chiffre d’affaires de 598 M$, contre 588 M$ un an plus tôt, pour un bénéfice net de de 31,3 M$, contre 45,7 M$ lors du même trimestre de l’exercice précédent.

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