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GRANDS PROGRAMMES : 58 article(s).
La France prépare un plan d’investissement à 10 ans dans les nouvelles technologies

Filière électronique>France>Investissements>Politique>Grands Programmes
07-05-2013 15:26:43 :

« Le Premier ministre présentera dans les prochaines semaines un plan d’investissements pour les 10 ans qui viennent. Il concernera le numérique, la transition énergétique, la santé, les grandes infrastructures et d’une manière générale, les nouvelles technologies », a annoncé hier le Président de la République, à l’issue d’une réunion de travail avec le gouvernement …
 
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« Notre pays a besoin de prendre maintenant de l’avance, et dans de grands domaines. C’est le rôle de l’Etat que de les fixer, les déterminer et de réunir tous les moyens publics comme privés pour le long terme. Chaque fois que l’Etat a agi ainsi dans notre histoire, il a permis de grandes réussites industrielles, scientifiques et culturelles », a poursuivi François Hollande.

Le plan pour le numérique, qui s’appuie sur le très haut débit, est déjà largement connu. Il va dans le sens des investissements réclamés par la profession, et notamment par Pierre Gattaz lors de la réunion de lancement de « Agir pour l’industrie électronique » (voir notre article). La santé, les grandes infrastructures de type réseau électrique intelligent qui répond également aux impératifs de la transition énergétique, et plus généralement les nouvelles technologies sont également des réponses aux enjeux sociétaux chers à notre profession. Reste maintenant à savoir quels montants seront consacrés à ces grands projets pour savoir si l’ampleur des moyens mis sur la table sera à la hauteur des défis de la préparation de l’avenir.


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ST et ERDF à la tête d'un projet de 27 millions d'euros dans les réseaux électriques intelligents

Industriel>Semiconducteurs>France>R&D>Stratégie>Grands Programmes
12-04-2013 13:39:09 :

Le programme SOGRID, lancé officiellement hier à Toulouse, rassemble 10 partenaires autour d’ERDF et de STMicroelectronics au sein d’un consortium. Le projet consiste à construire la chaîne de communication globale qui permettra à tous les équipements placés sur les réseaux basse et moyenne tension de communiquer directement via le réseau électrique. Concrètement, le consortium va développer une puce électronique de nouvelle génération, les équipements qui embarqueront cette puce et les logiciels qui y seront intégrés. Ce système global sera développé selon un nouveau protocole de communication CPL, -courant porteur en ligne-, qui permet de transmettre des informations numériques sur le réseau électrique …

Aujourd’hui, il existe déjà des éléments d’intelligence sur le réseau de distribution électrique, en particulier sur le réseau moyenne tension. Mais pour l’heure, il s’agit de développer un système global de communication qui va permettre aux différents équipements installés sur le réseau de communiquer entre eux. La mise en place du compteur communicant au plus près du client en sera la première brique. SOGRID permettra de passer de ces éléments d’intelligence sur le réseau à un réseau intégralement intelligent.

Le projet SOGRID doit permettre de développer une puce électronique de nouvelle génération qui équipera les millions de matériels connectés au réseau électrique et qui leur permettra de communiquer entre eux et ainsi de constituer un réseau intelligent. Avec SOGRID, les partenaires du consortium ont l’ambition de définir un standard international de communication autour du protocole courant porteur en ligne (CPL), qui permettra le renforcement d’une filière industrielle d’excellence en France.

Par son aspect technologique innovant, le projet SOGRID porte en effet une ambition industrielle et économique majeure : celle de définir un standard international à même d’être exporté. Le projet doit favoriser le renforcement d’une filière industrielle française des semiconducteurs dans le cadre du développement des smart grids. En France, plus de 35 millions de compteurs communicants seront mis en service d’ici à 2020. A l’international, il se dessine un marché de 1,7 milliard de matériels électriques intelligents, dont 253 millions pour la seule Europe et 150 millions en Afrique et au Moyen-Orient.
Autour d’ERDF et STMicroelectronics le consortium réunit des industriels (Nexans, Sagemcom, Landis+Gyr, Capgemini), des PME innovantes (Trialog, LAN), et des partenaires universitaires et recherche : Grenoble INP (laboratoires G2Elab et LIG) en lien avec le LAAS-CNRS de Toulouse, et l’École polytechnique (Laboratoire d’informatique LIX).
Le budget total de SOGRID est de 27 millions d’euros et le projet mobilisera plus d’une centaine d’acteurs, chercheurs et industriels jusqu’à fin 2015. Le projet SOGRID a été conçu en réponse à l’Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) de l’ADEME (Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie) sur les réseaux électriques intelligents lancé dans le cadre du Programme des Investissements d’Avenir en 2011 et a été validé par l’Etat en 2012. Il bénéficie d’un soutien financier de l’ADEME à hauteur de 12 M€.

Une expérimentation grandeur nature sur Toulouse Métropole
Dans une seconde phase, le projet sera testé sur le terrain auprès des clients d’ERDF sur un démonstrateur de 1000 équipements, capteurs et coupleurs situés sur le territoire de Toulouse Métropole, à la fois en zone urbaine et en zone rurale. Cette expérimentation grandeur nature sur l’ensemble de la chaîne de distribution électrique, qui durera au moins six mois, aura pour objectif de valider la pertinence technique de cette infrastructure pour le gestionnaire de réseau de distribution, de comprendre le comportement des clients et de montrer comment fonctionnera le réseau de demain. Cette phase testera plus particulièrement les capacités de surveillance (état du réseau, localisation des défauts…) de pilotage et d’intervention (localisation des pannes, modulation de puissance…) en temps réel sur le réseau permises par la nouvelle chaîne de communication.

Calendrier du projet
11 avril 2013
• Lancement officiel du programme et signature de l’accord de consortium par les dix partenaires
2013
• Phase de conceptualisation des différents composants et travail sur les prototypes
2014
• Intégration des compteurs, capteurs et concentrateurs dans un réseau entièrement CPL, essais en laboratoire
2014-2015
• Mise en œuvre du démonstrateur auprès de 1000 clients sur le territoire de Toulouse Métropole.
À partir de 2016
• Intégration progressive du nouveau système dans le réseau et commercialisation des équipements développés par le programme (puce, capteurs, coupleurs, concentrateurs intelligence logicielle)


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ST à la tête d’un projet européen de 28 M€ dans les mems

Capteurs/mems/Opto>Europe>R&D>Grands Programmes
05-04-2013 14:01:05 :

STMicroelectronics a entamé sa collaboration avec des partenaires du domaine de la recherche en vue de développer une ligne-pilote pour dispositifs mems de prochaine génération, qui sera enrichie par des technologies de pointe telles que les matériaux piézoélectriques ou magnétiques, et des conditionnements en 3D. Pour coordonner le projet Lab4MEMS, dont la durée est de 30 mois et la valeur de 28 millions d'euros, ST collaborera avec des universités, des instituts de recherche et des entreprises de haute technologie appartenant à neuf pays européens …

Ce projet est l'un des projets de lignes-pilotes de fabrication de technologies clés (KET) lancés dans le cadre d'un partenariat public-privé (Joint Undertaking - JU) de l'ENIAC, le conseil consultatif pour l'initiative européenne des nanotechnologies. Il bénéficie des installations de production de mems dont dispose ST en France, en Italie et à Malte pour mettre en place un ensemble complet de compétences en fabrication de produits de nouvelle génération, de la conception et la fabrication jusqu'aux tests et au conditionnement.

Avec plus de 800 brevets liés aux technologies mems, plus de trois milliards de produits livrés et d'importants moyens de fabrication internes capables de produire actuellement plus de 4 millions de mems par jour, ST dispose d’atouts solides pour diriger les travaux du projet Lab4MEMS et produire des circuits de prochaine génération. Le projet a pour vocation de développer des technologies telles que les couches minces piézoélectriques (PZT) afin d'améliorer les actuels mems qui font uniquement appel au silicium. Résultat, des améliorations telles que des déplacements plus importants, de meilleures capacités de détection et une plus grande densité d'énergie. Ces améliorations sont nécessaires pour créer des capteurs intelligents, des actionneurs, des micro-pompes et des systèmes de capture d'énergie qui répondent aux exigences des futures applications : stockage de données, impression à jet d'encre, santé, automobile, commande industrielle et immotique, et autres applications grand public telles que les smartphones ou les appareils de navigation.

Le projet permettra par ailleurs de développer des technologies de packaging de pointe et des interconnexions verticales de type flip-chip, vias traversants (TSV - Through-Silicon Vias) et TMV (Through-Mold Vias), en vue de réaliser des circuits 3D intégrés pour des applications telles que les capteurs corporels ou de télésurveillance. L'un des objectifs-clés consiste à mettre au point un procédé de dépôt de matériaux piézoélectriques (PZT) compatible avec la production en volume et de l'intégrer dans des processus mems afin de réaliser des actionneurs et des capteurs montés sur des systèmes sur puce industriels.

L'entreprise commune ENIAC-JU est un partenariat public-privé impliquant des États membres de l'ENIAC, l'Union européenne et l'Association pour les activités européennes dans le domaine de la nanoélectronique (AENEAS). Elle participe actuellement à hauteur de quelque 1,8 milliard d'euros au budget des projets de R&D, qu'elle sélectionne dans le cadre de ses appels à propositions. Le projet Lab4MEMS, coordonné par ST, a été sélectionné en 2012 et ses travaux ont débuté en janvier 2013.

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Projet de R&D européen pour produire des Oled flexibles en rouleau

Industriel>Europe>R&D>Grands Programmes
01-03-2013 14:36:29 :

Un projet européen de recherche et développement sur six ans vient d’être lancé pour industrialiser la production d’Oled flexibles en rouleau (et non plus par un procédé feuille à feuille) pour des applications dans l’éclairage. Le projet Flex-o-Fab, coordonné par le laboratoire néerlandais Holst Centre /TNO à Eindhoven, va mobiliser 11,2 millions d’euros en six dans le cadre du 7e programme cadre européen de R&D (FP7) …

Le projet a pour ambition de capitaliser sur la forte position de l’Europe dans l’industrie de l’éclairage pour faire de l’éclairage à Oled flexible une réalité économique. Une ligne pilote pour une fabrication en rouleau d’Oled flexibles devvrait être mise sur pied d’ici septembre 2015 dans le cadre de ce projet.

Les différents partenaires du projet Flex-o-Fab sont : Holst Centre / TNO, Philips, Orbotech, Institute of Microengineering, École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL), Henkel Electronics Materials, SPGPrints, Epigem, Tampere University of Technology, Roth & Rau Microsystems, Dupont Teijin Films UK, et le CSEM.

Plus d’infos sur le projet

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L’Europe octroie 50 millions d’euros de subventions au développement de la 5G

Télécoms>Europe>R&D>Politique>Grands Programmes
27-02-2013 12:15:39 :

Alors que les terminaux mobiles 4G commencent à éclore dans les allées du Mobile World Congress à Barcelone, la Commission européenne annonce que 50 millions d’euros seront investis dans la recherche pour assurer la mise en place de la technologie mobile 5G à l'horizon 2020, l'objectif étant de ramener l’Europe dans le peloton de tête de l’industrie mondiale de la téléphonie mobile …

Dans l'ensemble, entre 2007 et 2013, l'Union européenne devrait avoir investi plus de 700 millions d'euros dans la recherche et les futurs réseaux, dont une moitié allouée à des technologies sans fil qui contribuent au développement des réseaux 4G et 4G+.

En 2020, les communications mobiles mondiales devraient être multipliées par 33 par rapport à leur niveau de 2010. L’accès à Internet se fera alors majoritairement par des dispositifs sans fils comme les smartphones, les tablettes, les capteurs et autres appareils mobiles.

« Chaque entreprise et chaque citoyen de l’Union européenne doit avoir l’assurance de conserver un accès aisé, fiable et rapide à internet lorsqu’il se déplace », commente la Commission. Ainsi, une nouvelle vague de projets de recherche a pour ambition de placer des technologies mobiles à très haut débit au cœur de la vie quotidienne des Européens : METIS, 5GNOW, iJOIN, TROPIC, Réseautage dématérialisé mobile, COMBO, MOTO et PHYLAWS sont certains de ces nouveaux projets de recherche de l'Union qui s'intéressent à l’architecture et aux besoins en fonctionnalités des réseaux 5G/4G+. Le projet METIS, en particulier, a ainsi gagné 16 millions d’euros d’investissements nouveaux de l’UE.

Par exemple, l’objectif technique global de METIS est de pouvoir proposer un concept de système qui supporte des volumes de données mobiles 1000 fois plus élevés par zone ; de 10 à 100 fois plus d’appareils connectés ; un débit d’accès moyen par utilisateur de 10 à 100 fois plus important ; des batteries à durée de vie 10 fois plus longue pour des communications de machine à machine à faible consommation ; un temps de latence de bout-à-bout divisé par 5.

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Un milliard d’euros sur dix ans pour le projet de R&D européen «Graphène»

Filière électronique>Europe>R&D>Grands Programmes
30-01-2013 14:25:41 :

La Commission européenne vient de proclamer les noms des lauréats d’un concours doté de plusieurs milliards d'euros dans le cadre des technologies futures et émergentes (FET). Les projets «Graphène» et «Cerveau humain», qui ont remporté le concours, vont recevoir chacun un milliard d’euros sur dix ans pour des recherches au plus haut niveau mondial à la croisée des sciences et des technologies. Chaque initiative implique des chercheurs provenant au minimum de 15 États membres de l'Union européenne et de près de 200 centres de recherche …

Le projet «Graphène» s'attachera à l'étude et à l'exploitation des propriétés de ce matériau à base de carbone. Le graphène offre une combinaison inédite de propriétés physico-chimiques : ce matériau, le plus mince qui soit, est bien meilleur conducteur d'électricité que le cuivre, il est 100 à 300 fois plus solide que l'acier et possède des propriétés optiques uniques. Ce sont des scientifiques européens qui, en 2004, ont rendu possible l'utilisation du graphène, qui pourrait notamment à terme remplacer le silicium dans les composants électroniques.

La Commission européenne soutiendra pendant 10 ans les projets «Graphène» et «Cerveau humain» en tant qu'initiatives phares relevant des FET dans le cadre de ses programmes de financement de la recherche et de l'innovation. Les programmes-cadres de recherche de l'UE, en particulier le programme Horizon 2020 (2014-2020) actuellement en cours de négociation au Parlement européen et au Conseil, assureront un financement stable de ces projets sur toute leur durée.

Horizon 2020 est le nouveau programme de l'Union pour la recherche et l'innovation présenté par la Commission dans le cadre de sa proposition de budget de l'Union européenne pour la période 2014-2020. Afin de donner un nouvel élan à la recherche et à l'innovation en tant que moteurs de la croissance et de l’emploi, la Commission a proposé un budget de 80 milliards d’euros sur sept ans, couvrant le programme d'initiatives phares FET lui-même.

Les lauréats bénéficieront d'un financement pouvant atteindre 54 millions d'euros au titre du programme de travail 2013 de la Commission européenne dans le domaine des TIC, qui sera relayé ensuite par les programmes-cadres de recherche suivants de l'UE, par des partenaires privés comme les universités, par les États membres et par le secteur privé.

Le projet «Graphène» est dirigé par le professeur Jari Kinaret, de la Chalmers University, en Suède. Plus de 100 groupes de recherche participent à cette initiative phare, avec le concours de 136 chercheurs principaux, dont quatre prix Nobel.

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