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Politique INDUSTRIELLE : 195 article(s).
50 mesures pour la cybersécurité avec le pacte Défense Cyber

Sécurité>Défense>France>Politique
11-02-2014 15:45:09 :

Pour mieux lutter contre les attaques cybernétiques et protéger les systèmes étatiques, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a présenté vendredi dernier le Pacte Défense Cyber, qui se traduit par 50 mesures concrètes et élève la cyberdéfense au rang d’enjeu stratégique majeur pour la sécurité de notre pays. Conformément aux orientations du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, la Loi de programmation militaire prévoit une multiplication par trois des moyens alloués à la cyberdéfense …
 
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Les effectifs augmenteront aussi, avec la création de 550 postes dont 200 postes d’ingénieur à la DGA, entre 2014 et 2019. Il en sera de même pour les budgets consacrés aux programmes d’études menés par la DGA, en coopération avec l’État-major des armées et l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (ANSSI).

Un pôle spécialisé chargé de répondre aux besoins du ministère et d’autres institutions en formation sera développé en Bretagne, où se situent déjà le centre de la Direction générale de l’armement (DGA) Maîtrise de l’information, l’école des transmissions de Rennes, les Écoles de Saint-Cyr Coëtquidan, l’École navale de Brest et l’École nationale supérieure de techniques avancées-Bretagne. « Ce pôle d’excellence mobilisera des compétences, ainsi qu’une expertise opérationnelle et technique de pointe. Il constituera ainsi un atout non seulement pour la supériorité opérationnelle de nos forces, mais aussi pour le dynamisme et le développement économique de notre industrie et, au-delà, pour toute la communauté nationale de cyberdéfense », a déclaré Jean-Yves Le Drian.

Le Pacte Défense Cyber implique à la fois des mesures visant à accroître la mobilisation de l’ensemble du ministère de la Défense en matière de cybersécurité, ainsi que des actions destinées à soutenir les initiatives innovantes - émanant aussi bien du secteur public que privé : collectivités locales, grands groupes, PME/PMI, opérateurs de formation - et élaborées sur le modèle du Pacte Défense PME.

Il se traduit plus spécifiquement par 50 mesures concrètes définies autour de 6 grands axes :
• Définir le niveau de sécurité des systèmes d’information et les moyens de défense et d’intervention du ministère de la Défense et de ses grands partenaires de confiance ;
• Préparer l’avenir en intensifiant l’effort de recherche tant technique et académique qu’opérationnel, tout en soutenant la base industrielle ;
• Renforcer les ressources humaines dédiées à la cyberdéfense et construire les parcours professionnels associés ;
• Cultiver un réseau de partenaires étrangers, tant en Europe qu’au sein de l’Alliance Atlantique et dans les zones d’intérêt stratégique ;
• Favoriser l’émergence d’une communauté nationale Défense de cyberdéfense en s’appuyant sur un cercle de partenaires et les réseaux de la réserve.

Télécharger le document de présentation.

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Fibre optique jusqu’au point de distribution contre fibre jusqu’à l’abonné : l’Arcep relance le débat

Télécoms>France>Investissements>Politique
11-02-2014 15:43:17 :

Le FttDP (pour Fiber to the Distribution Point) est une architecture de réseaux à très haut débit consistant à déployer de la fibre optique jusqu'à un point très proche du logement de l'abonné et, contrairement au FttH (Fiber to the Home), à réutiliser le câblage existant (ligne de cuivre ou câble coaxial) sur le segment terminal pour raccorder le logement à la fibre optique. Un boitier de conversion raccorde la fibre au segment métallique terminal sur lequel les services sont fournis à l'abonné. L’Arcep, -l’autorité des télécoms-, met en consultation publique un document prospectif sur le FttDP pour donner la possibilité à l'ensemble des acteurs concernés de s'exprimer sur le sujet : une technologie qui pourrait s’avérer déterminante pour accélérer la réalisation du plan France Très Haut Débit (voir notre article) …

Consciente que l'architecture FttDP soulève de nombreuses questions, en particulier sur la maturité des solutions techniques et sur leur compatibilité avec le contexte français, l'Arcep a souhaité réunir un groupe de travail composé de représentants des opérateurs, des associations de collectivités territoriales et des services de l'État concernés. Le groupe de travail s'est réuni à trois reprises, en juin 2013 pour recevoir les principaux équipementiers qui développent ce type de solution, puis en septembre 2013 et en janvier 2014 pour évaluer les intérêts potentiels de cette solution et envisager des scenarii de mise en œuvre.

Le groupe de travail n'a pas formulé de conclusion à ce stade quant à l'intérêt de l'architecture FttDP dans le contexte du marché français : des travaux complémentaires, et en particulier des expérimentations en situation réelle sont nécessaires. Il entend privilégier la mise en œuvre éventuelle du FttDP dans le cadre du déploiement en cours de réseaux en fibre jusqu'à l'abonné, afin de remédier à des difficultés ponctuelles et transitoires de réalisation du raccordement final en fibre optique, plutôt que de l'utiliser comme modalité de modernisation à grande échelle de la boucle locale de cuivre. Envisagé ainsi, le FttDP pourrait constituer un moyen d'accélérer la migration des utilisateurs du réseau de cuivre vers les réseaux à très haut débit en fibre optique.

La synthèse de ces réflexions est décrite dans le document intitulé " synthèse des échanges du groupe de travail sur le FttDP ". Télécharger le document de synthèse


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Reprise de FagorBrandt : vers un rapprochement des offres de reprise ?

Grand public>France>Restructurations>Politique
23-01-2014 15:56:14 :

Dans le cadre du redressement judiciaire de FagorBrandt, quatre offres ont été déposées hier pour la reprise de la filiale française du groupe électroménager. La mieux disante socialement et industriellement émane du conglomérat algérien Cevital, qui conserve 1200 emplois sur 1800 et 4 des 6 sites industriels. Les syndicats et le ministre du redressement productif veulent une amélioration et un rapprochement des offres …

La prochaine audience du tribunal de commerce est prévue pour le 13 février prochain et les salariés du groupe devraient fixés sur leur sort avant la fin du mois de février. D’ici là, Arnaud Montebourg « se rapprochera dans les tous prochains jours de son homologue espagnol et du chef du gouvernement basque pour coordonner les actions qui permettront d’éviter toute forme de vol ou prédation des marques et d’assurer la meilleure offre de reprise pour le groupe ». Les marques du groupe sont en effet détenues par une autre filiale, irlandaise, de la maison-mère Fagor (Vedette, Brandt, Sauter, De Dietrich, etc.). Il ne faudra pas que cette question soit un obstacle à la reprise de la filiale française.

Parmi les quatre repreneurs, le dossier du groupe algérien Cevital est celui qui sauve le plus d’emplois et de sites : 1200 personnes et les deux usines d'Orléans et Vendôme, le siège de Rueil-Malmaison et les services après-vente situés dans le Val-d'Oise.

Le fonds d'investissement américain Sun Capital souhaite conserver l'usine d'Orléans, le siège social et les services après-vente et ne compte reprendre que 700 à 1000 emplois.
Le fabricant de moteurs Selni, implanté à Nevers, propose de garder 240 salariés (sur 339) à La Roche-sur-Yon (Vendée). Enfin, Variance Technologie, une entreprise de plasturgie veut conserver 207 emplois dans les usines de La Roche-sur-Yon et Aizenay.

Ajoutons que SITL, ancienne usine du groupe Fagor, également en redressement judiciaire, est également indirectement concernée par le dossier : la reconversion vers le véhicule électrique de cette usine qui fabrique des lave-linge et emploie 420 personnes n’a pas eu le temps de porter ses fruits.

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Le gouvernement met la pression sur Alcatel-Lucent après le contrat de SFR

Télécoms>France>Restructurations>Contrats>Politique
13-01-2014 22:08:54 :

SFR vient d’annoncer son choix de retenir Alcatel-Lucent pour la modernisation de son réseau d’accès très haut débit. Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, se félicite de cette démonstration de patriotisme économique et estime que « ce partenariat, comme d’autres à venir, doit conforter Alcatel-Lucent dans son engagement d’une part, à réduire le nombre de suppressions d’emplois en France et d’autre part, à travailler au maintien d’activités industrielles sur les sites dont elle envisage de se retirer » …

Alcatel-Lucent va en effet déployer chez SFR son commutateur de services photonique 1830 Photonic Service Switch (PSS), une composante clé de la transformation des réseaux optiques traditionnels en réseaux de transport tout-IP, sa plateforme en mode paquet WDM/OTN convergée avec la solution 5620 Service Aware Manager pour gérer de façon transparente les portefeuilles IP et optique, et supporter des services fortement consommateurs de bande passante, comme les services cloud.

« L’adoption de la nouvelle génération de réseaux fonctionnant avec la technologie WDM (multiplexage par répartition en longueur d’onde) permettra à SFR de répondre à la demande croissante en accès très haut débit de ses clients fixes et mobiles », avance l’équipementier, qui sera également chargé de la conception, des services professionnels, de l’installation et de la mise en service des équipements.

Mercredi, Alcatel-Lucent doit présenter aux salariés le détail par sites et par fonctions du plan de restructuration annoncé en octobre. Espérons qu’il sera adouci par rapport au plan initial.

En novembre dernier, la CFDT publiait le détail, site par site, du plan pour la France de réduction des effectifs et de transferts et reconversion présenté à l’époque par la direction d’Alcatel-Lucent. Au total, l’équipementier employait alors 5581 personnes en France. La CFDT révélait ainsi que 881 postes seront supprimés en France en 2014, alors que 459 emplois seront externalisés ou feront l’objet d’une reconversion, tandis que 513 emplois feront l’objet d’une mobilité interne. Pour les 199 salariés qui travaillent sur la 2G/3G, ils ont du travail pour les deux ans à venir, mais leur situation est considérée comme précaire par la CFDT. Enfin, 167 personnes seraient recrutées.

Concernant les suppressions de postes envisagées par l’équipementier, c’est le site de Nozay dans l’Essonne qui devrait payer le plus lourd tribut au plan de restructuration d’Alcatel-Lucent, avec 509 suppressions de postes sur un effectif de 3277 personnes. 128 postes sur 483 seraient également supprimés à Orvault (Loire-Atlantique) ; 62 sur 117 à Rennes (Ille-et-Vilaine) ; 61 sur 255 à Ormes (Loiret) ; 56 sur 721 à Lannion (Côtes-d’Armor) ; 28 sur 105 à Toulouse (Haute-Garonne), etc.

Concernant les externalisations, l’ensemble de l’effectif de l’usine d’Eu sera concerné. Encore faudra-t-il trouver un repreneur… Quant au site d’Orvault, c’est également l’ensemble de son effectif qui serait concerné par les diverses mesures (suppression de postes, transfert, reconversion, mobilité interne, …).


Rappel du plan de restructuration de la direction

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Exonération des charges sociales étendue pour les jeunes entreprises innovantes

Filière électronique>France>Politique
08-01-2014 13:47:57 :

Parmi les dix-huit mesures annoncées par le Président de la République le 29 avril 2013 à l’occasion de la clôture des Assises de l’Entrepreneuriat, plusieurs viennent d’être définitivement adoptées par le Parlement au travers de la Loi de finances pour 2014 et de la Loi de finances rectificative. Notamment, l'exonération de charges sociales dont bénéficient les Jeunes Entreprises Innovantes (JEI) est désormais étendue aux emplois dédiés à l’innovation (ex : prototypage, design) et non plus seulement à la recherche, afin d'inciter à la mise sur le marché de nouveaux produits et services …

Par ailleurs, la création d’un amortissement fiscal sur cinq ans pour les prises de participations minoritaires d’entreprises au capital des entreprises innovantes ("corporate-venture"), devrait inciter les grands groupes à travailler avec leur écosystème, selon une logique d'innovation "ouverte", souligne le gouvernement.

Soulignons également la création d’un PEA-PME, qui doit permettre de drainer, grâce à un régime fiscal incitatif et dans le plafond de 75 000€, une partie de l’épargne des Français vers le financement des PME.

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Trois mois pour trouver un repreneur après la liquidation de LFoundry

Semiconducteurs>France>Restructurations>Politique
06-01-2014 14:55:08 :

Comme nous vous l’annoncions le 20 décembre dernier, le tribunal de commerce de Paris a prononcé la liquidation judiciaire de LFoundry Rousset, aucune solution ferme de reprise n’ayant été déposée depuis le placement en redressement judiciaire de l’entreprise en juin 2013. La liquidation a été prononcée avec cessation immédiate d’activité. Mais le ministère du Redressement productif a obtenu auprès du liquidateur un délai de trois mois pour confirmer la crédibilité d’une solution de reprise présentée au tribunal le 19 décembre dernier par une entreprise californienne …

613 emplois sont en jeu. « Atmel, principal client et ancien actionnaire de cette entreprise, en refusant définitivement de la soutenir, lui a retiré la dernière opportunité de mettre en place un plan de diversification », selon le communiqué du ministère dur redressement productif.

Compte-tenu de l’enjeu que représente l’outil industriel et les emplois, y compris pour les entreprises du bassin qui en dépendent, le ministère du Redressement productif, par la voix de son Commissaire au Redressement productif régional, a sollicité le Procureur de la République pour obtenir du Tribunal de commerce le maintien de l'outil productif dans son état actuel pendant un temps limité. En accord avec le liquidateur, une cellule sera mise en place pour gérer l'avenir de l'entreprise et en préserver le site de façon temporaire les actifs.

« Ce délai de 3 mois devra être mis à profit pour confirmer la manifestation d'intérêt présentée le 19 décembre dernier en séance au Tribunal. Il devra être employé à confirmer la crédibilité de cette solution de reprise. Ce n’est qu’à cette condition qu’une issue positive pourra éventuellement être trouvée », commente le ministère. Reste que l’arrêt de la production complique les chances de reprise. A suivre.


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