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Politique INDUSTRIELLE : 195 article(s).
L’Europe autorise une aide de 34 millions d’euros au programme de recherche Tours 2015 porté par STMicroelectronics

Semiconducteurs>France>Europe>R&D>Politique>Grands Programmes
10-04-2014 08:54:06 :

En début d’année, la France a notifié son projet d'octroyer une aide de 34 millions d'euros sous la forme d'une subvention et d'une avance récupérable à STMicroelectronics pour la réalisation du projet Tours 2015. Ce projet, qui rassemble les moyens de 15 laboratoires, vise la conception et la production de composants améliorant l'efficacité énergétique des appareils électriques, de composants passifs de nouvelle génération et de micro-batteries solides en film mince visant des modules autonomes d'énergie …
 
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La Commission européenne a conclu que cette aide octroyée par la France à STMicroelectronics pour le développement de nouvelles technologies dans le secteur nanoélectronique était conforme aux règles de l'Union européenne relatives aux aides d'État. La Commission considère, en particulier, que le projet contribuera à la réalisation des objectifs de l'UE en matière scientifique et environnementale sans fausser la concurrence de manière indue. L'enquête de la Commission a démontré que l'aide était à la fois nécessaire et suffisante pour inciter STMicroelectronics à réaliser ce projet de R&D qu'elle n'aurait pas mené spontanément.

« Le contrôle des aides d'Etat par la Commission européenne laisse toute sa place à des politiques industrielles modernes et intelligentes. Le projet Tours 2015, qui vise des avancées ambitieuses dans le domaine de la nanoélectronique afin de produire, à terme, des appareils plus économes en énergie, contribuera, grâce à la mise en place d’un grand partenariat de recherche, à structurer la filière. Ses apports scientifiques et environnementaux sont indéniables tandis que les distorsions de concurrence seront limitées », commente Joaquín Almunia, vice-président de la Commission chargé de la concurrence.

Pour développer ces nouvelles technologies, les travaux de R&D envisagés porteront sur trois axes majeurs : l’efficacité énergétique, l’intégration nomadique et les micro-sources d’énergie et rassembleront les moyens scientifiques et humains de 15 laboratoires.

Le projet « Tours 2015 » pourrait apporter une contribution importante à la préservation par l’Europe de la maîtrise des technologies et de la production les plus avancées dans le domaine du « More Than Moore » (c'est-à-dire l'intégration d’éléments hétérogènes utilisant des architectures et des techniques d’assemblage innovantes pour former de nouveaux micro et nano-composants), estime la Commission.

Le projet de recherche et développement Tours 2015, porté par le site de production de STMicroelectronics à Tours en lien avec le CEA et 13 laboratoires du CNRS, avait été sélectionné par la France en 2012 dans le cadre du premier appel à projets « Nanoélectronique » du programme économie numérique. Le coût de ce projet, d’une durée de 5 ans, est de 164 millions d’euros, et l’aide versée par l’Etat au titre du soutien aux travaux de R&D est de 69 millions d’euros, dont 34 millions d’euros pour STMicroelectronics.

Le projet Tours 2015, d’une durée de 5 ans (2012 – 2016), vise l’étude et le développement de composants nouveaux destinés à la maitrise avancée de l’énergie dans les dispositifs électroniques. Il porte en particulier sur :
• des composants innovants pour la conversion de l’énergie utilisant de nouveaux matériaux semiconducteurs tels que le nitrure de gallium ;
• des composants passifs aux performances accrues et à très faibles pertes grâce à l’emploi de nouveaux matériaux isolants ;
• l’intégration de micro-batteries et de circuits de récupération de l’énergie dans les composants électroniques.


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Bpifrance lance un dispositif de soutien à l’innovation non technologique

Filière électronique>France>Financement>Politique
26-03-2014 09:40:45 :

Bpifrance lance la bourse French Tech, un dispositif qui permettra aux entrepreneurs porteurs de projets d’innovation non-technologique de couvrir des dépenses jusqu’à 30 000 euros. Cette bourse vise les entrepreneurs porteurs d’un projet fondé essentiellement sur une innovation non technologique, à savoir d’usages, de procédés ou de services, pour la création de valeur et d’emplois …

La bourse French Tech, une des mesures du plan "Une nouvelle donne pour l’innovation", a été lancée lundi 24 mars. Objectif : encourager toutes les formes d’innovation et tous les parcours d’entrepreneurs. Cette bourse pourra couvrir la totalité des dépenses présentées, jusqu’à 30 000 euros.

Financé dans le cadre d’un partenariat entre Bpifrance et l’INPI, le dispositif représentera un montant annuel de 10 millions d’euros, et sera opéré par Bpifrance sur l’ensemble du territoire.

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Concours mondial d’innovation : les 58 premiers lauréats !

Filière électronique>France>R&D>Financement>Politique
21-03-2014 13:04:05 :

Le Premier ministre a réuni hier à Matignon la Commission "Innovation 2030" présidée par Anne Lauvergeon pour dévoiler les 58 premiers projets qu’elle a proposé de retenir dans le cadre du Concours mondial d’innovation. Dans cette première vague de sélection, 626 projets avaient été présentés, 134 ont été auditionnés et 58 ont été retenus. Chacun d’eux bénéficiera d’un financement de l’Etat pouvant atteindre 200 000 € …

Lancé le 2 décembre dernier, ce concours entend permettre à des entrepreneurs de transformer leur idée en réalité en accompagnant dans la durée chaque étape de leur développement : la maturation du projet, la phase de levée des risques, l’industrialisation pour mise sur le marché. A chaque étape, une sélection des meilleures projets sera réalisée, et le financement de l’Etat pourra être intensifié jusqu’à 10 fois par rapport à l’étape précédente. 300 M€ ont été réservés à cet effet sur le Programme d’investissements d’avenir, à travers Bpifrance, pour accompagner les projets lauréats.

Anne Lauvergeon a rappelé les sept thématiques dans lesquelles doivent s’inscrire ces projets : le stockage de l’énergie ; le recyclage des métaux rares ; la valorisation des richesses marines ; les protéines végétales et la chimie du végétal ; la médecine individualisée ; la silver économie ou l’innovation au service de la longévité ; la valorisation des données massives (Big Data).

Quelques exemples de projets retenus :
Face aux systèmes traditionnels de prévention de la perte d’autonomie, le projet WIG propose une nouvelle génération d’objets connectés qui doit permettre au consommateur sénior de suivre de façon facile, ludique et sociale, son état de forme et son activité. En analysant son niveau d’activité et ses habitudes de vie à travers un bracelet, WIG permettra de stimuler sa vitalité, de détecter les signes d’apparition d’une fragilité et d’en retarder la survenance. Le projetWIG est né de l’association entre la société Myfox, spécialiste de la maison connectée, et Movea, expert reconnu de la fusion de données multi-capteurs.

Le projet de batterie NAWAShell vise à combiner différentes briques technologiques en un produit tout-en-un 100% carbone et 100% recyclable, intégrable aux structures mêmes des objets auxquels il fournit de l’énergie. Il serait bientôt possible, grâce au projet NAWAShell, de transformer en batterie les pare-chocs de voiture ou les ailes d’un avion électrique. La start-up NAWATechnologies revendique des dispositifs de stockage d’électricité mille fois plus rapides que les batteries au plomb et pouvant supporter des centaines de milliers de cycles de charge/décharge. Pour cela, elle exploite et développe un nanomatériau multifonctionnel, fruit de plus de dix ans de recherche avec le CEA et les universités de Cergy et de Tours, dont la performance et les propriétés électriques, mécaniques, thermiques et chimiques seraient sans équivalent.

Le projet « Instent » développe un stent intelligent, capable en permanence de déterminer et de communiquer l’état du vaisseau sanguin traité, qui permettra un suivi non invasif et à distance des patients. Le médecin pourra ainsi personnaliser le traitement du patient opéré, afin de prévenir les complications éventuelles, et éviter notamment que le vaisseau se rebouche, provoquant une nouvelle crise cardiaque.

Liste des projets retenus


Une seconde vague de sélection est ouverte et la date limite de dépôt des dossiers a été portée au 15 mai 2014 pour permettre au plus grand nombre de participer.

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Premier Comité de pilotage pour cinq des 34 plans industriels

Filière électronique>Aéronautique>Industriel>Automobile>France>Politique
18-03-2014 13:16:32 :

Le Premier ministre a présenté, vendredi 14 mars, les plans de la Nouvelle France industrielle, à l'Hôtel de Matignon. A cette occasion, 5 projets ont été présentés, ciblés volontairement sur la question de la mobilité, la sobriété énergétique, la diffusion rapide des usages et des technologies numériques : bornes électriques de recharge, voiture pour tous consommant moins de 2 litres aux 100 km, avion électrique, autonomie et puissance des batteries, satellite à propulsion électrique …

Pour chacun de ces cinq premiers plans de la Nouvelle France Industrielle, qui concernent d’assez près l’industrie électronique, un document recense l’équipe du plan (avec les chefs de projet et les industriels concernés), la synthèse des actions du plan avec calendrier de mise en œuvre (détail des actions avec les engagements des industriels et les engagements de l’Etat).

Les cinq premiers plans présentés sont les suivants :

• Voiture pour tous consommant moins de 2 litres aux 100 km
• Bornes électriques de recharge
• Avion électrique et nouvelle génération d’aéronefs
• Autonomie et puissance des batteries
• Satellite à propulsion électrique

Des présentations similaires pour les autres projets des 34 plans de la Nouvelle France Industrielle sont prévues ultérieurement.

Rappelons que l'objectif des 34 plans est d’unir les acteurs économiques et industriels autour d’un objectif commun, de mettre les outils de l’État au service de cette ambition et de fédérer les écosystèmes locaux autour de la construction d’une offre industrielle française compétitive, capable de gagner des parts de marché en France et à l’international et de créer ainsi des emplois nouveaux.

Télécharger les cinq plans présentés

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La profession s’alarme de la disparition de l’enseignement de l’électronique

Filière électronique>France>Emploi>Politique
18-03-2014 13:13:24 :

L’alliance APIE – Agir Pour l’Industrie Electronique -, qui regroupe au sein de la FIEEC (Fédération des Industries Electroniques, Electriques et de Communication) les syndicats représentatifs de la branche électronique (*), lance un cri d’alarme : l’électronique et le numérique ne sont plus enseignés en France sauf après le Bac niveau III (IUT et BTS) et en école d’ingénieurs ou à l’université. Mais la dimension fabrication est rarement prise en compte. APIE demande qu’une réelle filière industrielle électronique et numérique soit mise en place …

APIE demande qu’une réelle filière pédagogique consacrée à l’électronique et au numérique soit créée en place à partir de la seconde. Cette filière devrait intégrer en plus de la conception, les technologies de fabrication avec ou sans travaux pratiques selon les niveaux. L’alliance demande également à ce qu’aucun diplôme du secondaire comme du supérieur ne puisse porter les termes électronique et numérique sans enseignement des technologies de fabrication des cartes électroniques.

Le Ministère de l’Education Nationale a lancé récemment une consultation pour la rénovation des BAC Pro ELEEC (Electrotechnique Energie Equipements Communicants) et SEN (Systèmes Electroniques et Numériques). Dans son projet de rénovation, l’Education Nationale propose la fusion des deux programmes. « C’est surtout ce qu’il ne faudrait pas faire, » s’inquiète l’APIE.

APIE s’est penché sur le contenu du BAC Pro « Systèmes Electroniques et Numériques » dont le titre fait référence aux fondamentaux de notre industrie. Mais APIE considère qu’il y a tromperie sur le contenu pédagogique. Ce BAC Pro devrait s’appeler en fait « Installation et Maintenance des Systèmes Electroniques et Numériques ». Et, comme la thématique de la réparation n’est pas abordée au cours du programme, il va sans dire que les fondamentaux de la conception, de l’industrialisation et de la fabrication de la carte électronique/numérique ne le sont pas non plus. « On peut aussi s’étonner, que s’agissant d’une formation sur l’installation et la maintenance de systèmes électroniques et numériques, de ne trouver aucune référence à la protection ESD », souligne par exemple l’association.

APIE a donc recherché, au niveau des diplômes de l’Education Nationale, ceux susceptibles de correspondre à ses métiers et ceux de ses clients. Le bilan est catastrophique.
Plus de CAP ! Plus de BEP ! Le Bac Technologique STI Génie électronique ayant été abrogé en juin 2012, le BAC le plus proche, STI2D (Science et technologies de l’industrie et du développement durable), reste généraliste et ne concerne pas spécifiquement l’électronique.
« On trouve encore quelques références à la fabrication de cartes électroniques dans les projets de BTS Systèmes électroniques. Mais ces références disparaitront avec la mise en œuvre du BTS systèmes numériques », commente APIE. Restent donc les IUT GE qui conduisent aux écoles d’ingénieurs. En parcourant les programmes de ces écoles, l’alliance n’a pas trouvé trace des thématiques « production », « industrialisation » ou « fabrication », hormis pour les puces.


(*) La mission d’APIE, qui regroupe les organisations professionnelles Acsiel, Gfie, Simtec, Spdei et Snese, consiste à faire connaitre cette industrie qui représente plus de 700 entreprises et près de 160 000 emplois, réalisant un CA de 15milliards d’euros dont plus de 50% à l’export.

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La Médiation Inter-entreprises étend sa mission à l’innovation

Filière électronique>France>R&D>Politique
14-03-2014 14:41:20 :

Conformément au plan « Une nouvelle donne pour l’innovation » annoncé le 4 novembre 2013, le ministère du Redressement productif vient de confier de nouvelles missions à la Médiation inter-entreprises : traiter les litiges liés à la propriété intellectuelle entre entreprises, mais aussi entre entreprises et laboratoires, étendre à l’ensemble des grandes entreprises la charte de bonnes pratiques à destination des PME innovantes, élaborer une feuille de route pour fluidifier l’octroi du crédit impôt recherche

La Médiation des Marchés publics devra mobiliser les acheteurs pour atteindre l’objectif de 2% de commande publique consacrée à l’innovation, et formuler des recommandations pour mieux prendre en compte l’achat innovant dans le droit.

En 2013, la Médiation Inter-entreprises, a permis de résoudre 80% des 1000 dossiers traités : retards de paiement, ruptures brutales de contrat, modalités de commandes ou de livraisons imposées. Arnaud Montebourg et Fleur Pellerin ont ainsi salué le travail accompli l’an passé par Pierre Pelouzet, Médiateur Inter-entreprises, et Jean-Lou Blachier, Médiateur des marchés publics.

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