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Politique INDUSTRIELLE : 195 article(s).
Airbus se désengage partiellement de Dassault Aviation

Défense>Aéronautique>France>Europe>Accords>Politique
01-12-2014 13:12:24 :

Avec la bénédiction de l’Etat français, Airbus Group et Dassault Aviation ont signé une convention concernant l'acquisition par Dassault Aviation d'un bloc de 8% de ses propres actions auprès d'Airbus sur les 46,32% détenus par le groupe aéronautique européen. Cette opération représente un montant total d'environ 794 millions d'euros. Dassault Aviation détient à la suite de cette opération 9,4 % de son capital …
 
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En contrepartie, l’Etat – via l’Agence des Participations de l’Etat et la Direction Générale de l’Armement – et le Groupe Industriel Marcel Dassault, actionnaire majoritaire de Dassault Aviation, ont conclu une convention d’une durée minimale de 20 ans permettant à l’Etat d’assurer la défense de ses intérêts essentiels en cas d’évolution du contrôle de cette entreprise stratégique. Cette convention prévoit d’octroyer à l’Etat un droit de préemption en cas de cession d’actions par le Groupe Industriel Marcel Dassault entraînant sa perte de contrôle sur Dassault Aviation.

Par cet accord avec le Groupe Industriel Marcel Dassault, l’Etat permet à Airbus Group, dont l’Etat est actionnaire, de réaliser cette cession tout en renforçant la protection de ses intérêts de souveraineté. L’Etat détient (via l’Agence des Participations de l’Etat et la Sogepa) 10,97 % du capital d’Airbus Group, ainsi qu’une action de Dassault Aviation.

Avec plus de 8000 avions militaires et civils livrés dans 83 pays depuis 60 ans et représentant plus de 28 millions d'heures de vol, Dassault Aviation est présent sur tous les types d'avion, depuis l'appareil de combat Rafale jusqu’aux avions commerciaux Falcon en passant par les drones militaires. En 2013, le chiffre d'affaires de Dassault Aviation s'est élevé à 4,59 milliards d'euros. La société compte près de 11 600 collaborateurs.

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315 milliards d'euros pour relancer la croissance en Europe

Filière électronique>Europe>Politique>Grands Programmes
26-11-2014 14:27:08 :

La Commission européenne a annoncé ce matin un plan d'investissement qui doit libérer au moins 315 milliards d'euros d'investissements publics et privés pour l'économie réelle au cours des trois prochaines années (2015-2017). Chaque euro d'argent public mobilisé par le Fonds doit générer au total 15 euros d'investissements qui, à défaut, n'auraient pas été réalisés …

Le nouveau Fonds soutiendra les investissements stratégiques dans les infrastructures, notamment les réseaux à haut débit et les réseaux d'énergie, le transport, dans les centres industriels, ainsi que l'éducation, la recherche et l'innovation, les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique, sans oublier les PME et les entreprises à moyenne capitalisation.

Selon les estimations de la Commission européenne, les mesures proposées pourraient, prises dans leur ensemble, accroître le PIB de l'UE de 330 à 410 milliards d'euros au cours des trois prochaines années et créer jusqu'à 1,3 million d'emplois.

Le plan comporte trois volets principaux la création d'un nouveau Fonds européen pour les investissements stratégiques (FEIS), garanti par de l'argent public, afin de mobiliser au moins 315 milliards d'investissements supplémentaires au cours des trois prochaines années (2015-2017) ; la mise en place d'une réserve de projets crédibles, associée à un programme d'assistance afin de canaliser les investissements en fonction des besoins les plus pressants ; une feuille de route destinée à rendre l'Europe plus attrayante pour les investissements et supprimer les obstacles réglementaires.

« L'heure est venue d'investir dans notre avenir, dans des secteurs clés pour l'Europe, comme l'énergie, les transports, le haut débit, l'éducation, la recherche et l'innovation. Je compte à présent sur le Parlement européen et les États membres pour s'atteler à la tâche et faire en sorte que le nouveau Fonds européen pour les investissements stratégiques soit opérationnel le plus rapidement possible », a commenté Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne.

Un nouveau Fonds européen pour les investissements stratégiques (FEIS) sera mis sur pied, en partenariat avec la Banque européenne d'investissement (BEI). Il comprendra une garantie de 16 milliards d'euros provenant du budget de l'UE, combinée à 5 milliards d'euros engagés par la BEI. Selon des estimations fondées sur les enseignements du passé, le Fonds aura un effet multiplicateur de 1 à 15. En d'autres termes, chaque euro d'argent public mobilisé par le Fonds générera au total 15 euros d'investissements qui, à défaut, n'auraient pas été réalisés.
La totalité des mesures correspondantes devraient être adoptées de manière à ce que le nouveau Fonds européen pour les investissements stratégiques puisse être mis en place d'ici la mi-2015. À la mi-2016, la Commission européenne et les chefs d'État et de gouvernement feront le point sur les progrès réalisés et, le cas échéant, envisageront d'autres options.


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Six défis et dix principes directeurs pour baliser le succès des industriels des électrotechnologies

Filière électronique>France>Politique
26-11-2014 14:24:40 :

Les industriels des électrotechnologies, réunis au sein de la FIEEC (Fédération des Industries Electriques, Electroniques et de Communication) viennent d’achever une démarche prospective, qui a permis à la profession de dégager une vision commune basée sur la complémentarité des technologies électriques, électroniques et numériques …

Cette réflexion a donné lieu à la publication d’un rapport intitulé « Les industries électrotechnologiques au service de la société » qui a été présenté hier aux Assises de la FIEEC à l’Assemblée Nationale. Cette réflexion d’envergure a duré près d’un an en travaillant avec de nombreux experts issus notamment des syndicats et entreprises du secteur.

Le rapport passe en revue les mutations sociétales structurantes pour les métiers de la filière : la transition énergétique, l’augmentation de l’espérance de vie, l’urbanisation croissante, le mieux produire (en France) avec l’usine 4.0., l’e-santé, le bien-être (mieux vivre chez soi, etc.). Pour la fédération, la complémentarité des technologies électriques, électroniques et numériques accompagne les évolutions constatées dans la plupart des secteurs économiques (smart grids, smart cities, smart buildings, smart home, smart life ...).

« On assiste à un décloisonnement des filières pour aller vers une économie de partage et accompagner la mutation des marchés en cours », a commenté Gilles Schnepp, président de la FIEEC. Il devient en effet de plus ténu d’identifier les intervenants de l’amont et de l’avant, les entreprises devenant alternativement concurrentes ou partenaires pour répondre à ces nouveaux défis.

Pour naviguer dans ce nouveau paradigme, la FIEEC a défini dix grands principes essentiels pour la compétitivité de ses industries :
• Mettre l’utilisateur au centre
• Former pour préparer l’avenir
• Imposer les mêmes règles pour tous
• Simplifier la complexité
• Instaurer la confiance numérique
• Promouvoir la normalisation technique
• Prendre en compte les chaînes de valeur
• Innover, innover, innover
• Exporter notre modèle sur la scène européenne et internationale
• Agir au bon échelon

Le rapport décline ces 10 principes directeurs pour accompagner les six défis sociétaux identifiés précédemment.


Télécharger le rapport « Les industries électrotechnologiques au service de la société » sur le site de la FIEEC.

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Bilan positif du Pacte Défense PME

Défense>France>Politique
24-11-2014 08:47:03 :

Organisée la semaine dernière à Palaiseau, dans l’Essonne, la troisième édition du forum DGA Innovation a permis au ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, de dressera un bilan encouragent du pacte Défense PME deux ans après son lancement …

Des résultats concrets ont été obtenus concernant les quatre axes du pacte Défense PME, a affirmé le ministre.

Concernant l’amélioration de l’accès à la commande publique, le ministère de la Défense procède désormais à une étude systématique du positionnement des PME sur les segments d’achats, ce qui permet la définition de stratégies d’achats adaptées. Plus de 8500 nouvelles entreprises se sont ainsi inscrites sur les annuaires des portails de la Défense pour se rendre visibles et connaître de manière automatique ses appels d’offre dans leur domaine. Entre fin 2012 et août 2014, le délai moyen de paiement a été réduit de 12 jours et ramené à moins de 30 jours. Par ailleurs, les labels destinés à aider les PME à conquérir des marchés hors Défense sont désormais lancés.

Concernant le soutien financier à l’innovation dans les PME, les crédits consacrés aux études ont été maintenus avec 730 M€ en moyenne annuelle prévus dans la loi de programmation militaire sur toute la période 2014-2019, contre 695 M€ entre 2009 et 2012. Les crédits alloués au dispositif RAPID de la DGA sont passés de 40 M€ en 2013 à 45 M€ en 2014 et atteindront 50 M€ en 2015.

Concernant les engagements réciproques entre la Défense et les maîtres d’œuvre, sept conventions bilatérales ont été signées et mises en œuvre avec Airbus Group, Safran, Thales, MBDA, Nexter, DCNS et Dassault Aviation pour soutenir la croissance des PME.
Enfin l’action en région a été renforcée : 23 Pôles régionaux à l’économie de Défense (PRED) ont été créés pour faciliter l’accès des PME au ministère.

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Neuf premières villes ont été labellisées French Tech

Filière électronique>France>Economie>Politique
13-11-2014 14:51:28 :

Hier 12 novembre 2014, Axelle Lemaire, secrétaire d'Etat au Numérique a dévoilé le nom des neuf premières villes labellisées French Tech : Aix-Marseille, Bordeaux, Grenoble, Lille, Lyon, Nantes, Montpellier, Rennes et Toulouse, en complément de Paris. Faire de la France, un accélérateur de start-up, tel est l’objectif du label French Tech…

Ce label est destiné à désigner les territoires les plus favorables au développement des start-ups, ces jeunes pousses numériques dont le développement est essentiel pour l’avenir de l’industrie française. « Au-delà des Métropoles French Tech, la French Tech c'est avant tout une marque ouverte et partagée qui permet à tous les acteurs du numérique de se coaliser pour gagner en visibilité sur la scène mondiale », insiste Axelle Lemaire.

Pour obtenir la labellisation, les villes candidates ont été soumises à un audit poussé. Chacune devait notamment se prévaloir de start-ups ayant réalisé des levées de fonds conséquentes mais aussi d’entrepreneurs capables de porter des projets et d’aider les jeunes entreprises. Elles devaient aussi disposer d’incubateurs et d’accélérateurs qui permettent aux PME de se développer et de croître à différents stades de leur existence.

200 millions d'euros seront investis pour soutenir le développement de ces accélérateurs de start-up privés. Pour cela l'initiative s'appuie sur un fonds d'investissement géré par Bpifrance, afin de co-investir en fonds propres dans de tels accélérateurs. 15 millions d’euros sont également mobilisés pour renforcer la visibilité internationale de la French Tech. Ce budget opéré par l'Agence française pour les investissements internationaux (AFII) va financer une campagne de promotion internationale. Tous les financements s’inscrivent dans le Programme d’Investissements d’Avenir.

15 villes avaient déposé leur dossier de candidatures. Ont donc été retoquées pour le moment : Brest, Nancy-Metz, Nice-Sophia Antipolis, Rouen, Saint-Etienne et Toulon. Mais ce n’est que partie remise.



Liste des écosystèmes retenus : French Tech Aix-Marseille, Bordeaux Métropole numérique, Digital Grenoble, Lille is French Tech, Lyon French Tech, Nantes Tech, Montpellier Métropole numérique, La French Tech Rennes, French Tech Toulouse.

Télécharger le dossier complet
Visiter le site dédié à la French Tech

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Un rapport sur la transformation numérique de l’économie française

Filière électronique>France>Politique
10-11-2014 14:44:13 :

Vendredi dernier, Philippe Lemoine a remis au gouvernement son rapport sur « la transformation numérique de l’économie française ». À l’issue de 9 mois de travaux, le Président de la Fondation internet nouvelle génération (Fing) préconise le lancement de 9 projets emblématiques dont un sur la voiture connectée, ainsi que la mise en place de 53 mesures accompagnées de 118 recommandations …

Ce rapport que nous vous proposons de télécharger égrène ses recommandations au fil de 277 pages (365 pages avec les annexes). Autant dire qu’il devient rapidement indigeste. Le rapport s’appuie sur les travaux de plus de 500 personnes ont travaillé ensemble sur la question de la transformation numérique de l’économie.

Pointons les mesures concernant les défis et les enjeux de la transformation numérique du secteur « industrie » (à partir de la page 173).

Pour l’auteur, quatre grandes tendances structureront le secteur de l’industrie en France à horizon 10 ans :
• l’accélération de la mutation d’une économie de produit vers une économie de la fonctionnalité, basée sur la valorisation de l’usage et du service.
• la reconcentration de la chaîne de valeur en un même lieu : vendre, personnaliser, produire, réparer directement sur le lieu de vente, au plus près des clients. En particulier, l’impression 3D pourrait revitaliser l’industrie de proximité en permettant une production à la demande de petites pièces.
• la livraison comme atout commercial déterminant. L’utilisation des « analytics » et des objets connectés permet de piloter et d’optimiser en temps réels les circuits de livraison.
• la connaissance des clients finaux qui devient un enjeu majeur des industriels.

Les acteurs de l’industrie interrogés estiment que ce sont l’impression 3D, l’Internet des objets, la robotique qui impacteront le plus leur secteur d’ici à 2020, devant la biométrie, les écrans souples, les nanotechnologies et la réalité augmentée.

Une automobile connectée, conçue à plusieurs et prototypée en FabLab

Pour stimuler l’émergence de nouveaux projets, le rapport propose de lancer un projet industriel emblématique dans le secteur automobile qui incarnerait la mise en place de nouvelles modalités de conception et de prototypage de produits industriels. « Réinventer la valeur ajoutée du véhicule automobile en lançant un projet audacieux, multimarques autour d’un acteur tel que la Plateforme de la Filière Automobile (PFA), pour concevoir et prototyper de manière agile et ouverte, un véhicule connec¬té qui soit en prise directe avec la réalité de l’environnement dans lequel il évolue en s’appuyant notamment sur un accès en temps réel à l’information pour sécuriser et optimiser les trajets », telle est la proposition du rapport. D’aucuns la jugeront assez utopiste et loin de la réalité de l’industrie.



Télécharger le rapport complet ICI sur la plateforme collaborative Stample.

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