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Politique INDUSTRIELLE : 195 article(s).
Pierre Gattaz candidat à la présidence du Medef

Filière électronique>France>Politique
15-01-2013 16:07:40 :

Pierre Gattaz a sauté le pas. Hier, le président de la FIEEC (Fédération des Industries Electriques, Electroniques et de Communication) et du GFI (Groupe des Fédérations Industrielles) a fait part de sa candidature à la présidence du Medef. Dans un courriel envoyé aux membres du conseil exécutif du GFI, le p-dg de Radiall a expliqué à ses pairs les motivations de sa candidature à la tête de l’organisation patronale …
 
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Défenseur acharné d’une politique industrielle qui donne aux entreprises les moyens de répondre aux enjeux sociétaux, Pierre Gattaz milite pour l’industrie et la compétitivité de nos entreprises depuis de nombreuses années. Son élection donnerait une visibilité incomparable à notre filière industrielle. Elle offrirait également un clin d’œil à l’histoire, son père, Yvon Gattaz, ayant été président du CNPF, l’ancêtre du Medef. D’autres candidatures du monde industriel, par opposition aux prétendants issus du secteur des services, sont également régulièrement citées. En particulier, celle de Jean-Claude Volot, l’ancien médiateur des relations inter- entreprises industrielles et de la sous-traitance et commissaire général à l'internationalisation des PME et ETI.

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Des mesures pour renforcer l’attractivité de la France

Filière électronique>France>Politique
10-01-2013 14:34:17 :

Le gouvernement veut faire de la France une destination de premier ordre en Europe pour les investissements industriels étrangers. Il se fixe un objectif de 1000 décisions d'investissement ciblant annuellement la France d’ici 2017, et l’accueil chaque année de 300 entreprises non encore implantées sur le territoire. A l’heure actuelle, 20 000 entreprises étrangères sont installées dans l’Hexagone et 700 décisions nouvelles d’investissements étrangers sont prises chaque année …

Pour atteindre ces objectifs, le gouvernement assurera d’abord la mise en œuvre des mesures du pacte de compétitivité : la mise en place dès janvier du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi ; la stabilité de cinq dispositifs fiscaux essentiels pour les entreprises, en particulier du crédit d’impôt recherche, et la simplification des démarches et de l’environnement administratif des entreprises ; le financement des entreprises et de l’innovation, grâce à la Banque publique d’Investissement et aux nouveaux investissements d’avenir consacrés aux innovations de ruptures et aux technologies de demain.

Au-delà, le gouvernement s’engage à :
• faciliter l’accueil des talents étrangers et des visiteurs professionnels, avec la mise en œuvre d’un nouveau « Passeport Talents » renforçant les dispositifs d’accueil existants ;
• attirer les investisseurs de long terme et construire des relations partenariales équilibrées autour de projets d’investissements durables;
• faire de l’excellence numérique et environnementale un nouveau facteur d’attractivité, grâce au déploiement du très haut débit, à la création de « quartiers numériques » et au développement des projets de ville durable ;
• promouvoir l’image de la France et de ses territoires dans le cadre de la « Marque France ».

Un Conseil stratégique de l’attractivité se réunira d’ici la fin du premier semestre 2013. Cette instance associe une vingtaine de dirigeants de groupes internationaux consultés sur leur appréciation de la compétitivité de la France et invités à émettre des recommandations pour renforcer l’attractivité de son territoire.

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Chaque pôle de compétitivité devra s’engager sur un contrat de performance individualisé

Filière électronique>France>R&D>Politique
10-01-2013 14:31:11 :

Lors du conseil des ministres, le gouvernement a annoncé hier une nouvelle phase de développement pour les pôles de compétitivité, qui devront mieux intégrer l’objectif de mettre sur le marché et de diffuser les produits ou services innovants issus de leur activité. Chaque pôle présentera au nouveau Conseil national de l’industrie ses objectifs technologiques et d’innovation. Les objectifs seront fixés dans un contrat de performance individualisé. Cette troisième phase traduit les conclusions dégagées lors de la onzième journée des pôles de compétitivité organisée hier à Bercy, en décembre dernier, à l’appui du rapport d’évaluation des pôles (voir notre article du 5 décembre 2012) …

L’ambition nouvelle des pôles sera de se tourner davantage vers les débouchés économiques et l’emploi pour mieux participer à la structuration des filières industrielles et se mobiliser pour la réindustrialisation. Les pôles devront accompagner plus efficacement les petites et moyennes entreprises (PME) et les entreprises de taille intermédiaire (ETI) innovantes depuis la recherche et développement jusqu’à la commercialisation de leurs produits, en s’appuyant sur une gouvernance renouvelée associant l’Etat, les régions et les métropoles.

Chaque pôle présentera au nouveau Conseil national de l’industrie ses objectifs technologiques et d’innovation ainsi que ses marchés-cibles dans un projet comprenant des objectifs quantifiés et collectifs dont le suivi sera renforcé et les retombées économiques évaluées. Ils devront développer des liens étroits avec les acteurs du transfert et de l’innovation, dont les plateformes de recherche technologique, et permettre aux entreprises d’accélérer leur croissance par l’innovation.

L’accompagnement des PME sera renforcé dans quatre domaines principaux en lien avec les régions : l’accès au financement (capital investissement), l’internationalisation, l’accès aux compétences et le conseil. Ces services seront mis en œuvre en s’appuyant sur les acteurs de chaque territoire, en particulier la Banque publique d’investissement.
Les pôles de compétitivité devront également renforcer les relations entre les PME, les ETI et les grands groupes, et porter une attention particulière aux achats, à la sous-traitance, à la mise sur le marché et à l’accompagnement à l’export.
Les pôles les plus stratégiques, une vingtaine au maximum, devront permettre à la France de se positionner à l’échelle internationale sur des secteurs de pointe où le savoir-faire français est reconnu et participer activement à l’attractivité du pays.
Enfin, les investissements d’avenir seront mobilisés dès 2013 pour soutenir l’industrialisation des projets des pôles.

Les objectifs seront fixés dans un contrat de performance individualisé en fonction des ambitions et du potentiel de chaque pôle sur les six prochaines années, qui devrait être signé avant la fin du mois de juin 2013. Un bilan en sera effectué à mi-parcours.
Le Club des 18 Pôles Mondiaux s’est félicité de la nouvelle impulsion donnée à la politique des pôles de compétitivité par le gouvernement. Créé dès 2006 par les présidents des Pôles Mondiaux et à Vocation Mondiale, il rassemble plus de 3000 PME, plusieurs milliers de laboratoires publics de recherche, plusieurs centaines d'établissements de formation et autant de grands groupes et d'entreprises de taille intermédiaire. Il rassemble Aerospace Valley, Alsace Biovalley, Axelera, Cap Digital, Eau, Finance Innovation, Images & Réseaux, i-Trans, Industries & Agro-Ressources, Lyonbiopôle, Medicen Paris Région, Mer Bretagne, Mer PACA, Minalogic, Mov’eo, Solutions communicantes sécurisées, Systematic Paris-Region, Végépolys.

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L’agglomération d’Angers reprend le site de production de Technicolor

Grand public>Sous traitance>France>Fusions Acquisitions>Politique
21-12-2012 12:47:38 :

Lors d'une vente aux enchères mercredi 19 décembre, Angers Loire Développement a acquis les chaînes de production du site angevin de Technicolor. L'agglomération maintient ainsi la possibilité d'un redémarrage d'activité…

Le soir même de l'annonce de la liquidation, le 11 octobre dernier, les élus d'Angers Loire Métropole étaient unanimes pour exprimer la volonté de racheter le site de Thomson-Angers, propriété du groupe Technicolor. Un premier pas dans ce sens a été franchi mercredi 19 décembre, lorsque Angers Loire Développement, l'agence de développement économique de la métropole, s'est portée acquéreur de l'outil de production lors d'une vente aux enchères.

« Face à la crise, notre priorité absolue, c'est la défense de l'emploi, insistent Jean-Claude Antonini, président d'Angers Loire Métropole, et Frédéric Béatse, maire d'Angers. Pour cela, nous avons choisi d'innover. »

Avec ce rachat, l'agglomération évite que l'outil de production soit démantelé et, ainsi, préserve la possibilité d'une reprise d'activité, envisagée sous forme d'unité industrielle partagée. Reste pour cela à acquérir l'ensemble immobilier et à garantir un plan de charge suffisant, par exemple sur de la production électronique en moyennes séries. « Nous travaillons à monter le business plan et à conforter le pool d'industriels, poursuivent les élus. Il faut à présent laisser les professionnels travailler. »

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Les entreprises à capitaux publics s’engagent à soutenir les PME innovantes

Filière électronique>France>Politique
20-12-2012 13:13:38 :

Arnaud Montebourg, ministre du redressement productif, et Fleur Pellerin, ministre déléguée en charge des petites et moyennes entreprises, de l’innovation et de l’économie numérique, ont hier les dirigeants des principales entreprises à capitaux publics, dont notamment la SNCF, GDF Suez, Areva, France Télécom ou La Poste, pour signer une charte dans laquelle ils s’engagent à stimuler l’innovation et à soutenir les PME innovantes de leur filière

Le Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi, présenté le 6 novembre dernier par le Premier ministre, avait en effet prévu sa signature par les entreprises dont l’Etat est actionnaire afin de promouvoir l’achat innovant et exemplaire en faveur des PME. La charte s’appuie sur le référentiel des bonnes pratiques construit par l’association Pacte PME et sur les initiatives mises en place chez certaines entreprises. En donnant de la visibilité à ces démarches exemplaires, la charte a vocation à produire un effet d’entraînement.

Les grands groupes français s’engagent ainsi à stimuler l’innovation dans un esprit gagnant-gagnant pour eux et pour l’ensemble de leurs fournisseurs. Ils s’engagent à aider les PME à concrétiser leurs projets d’innovation et à contribuer ainsi à leur développement futur. En contrepartie, ils bénéficient d’un accès à une technologie innovante et sécurisent également leur approvisionnement en renforçant des partenaires économiques.

La charte met l’accent sur les objectifs suivants :
· Assurer un accès simple pour les PME aux axes d’innovation des grandes entreprises ;
· Accompagner les PME pour faire aboutir leurs projets d’innovation ;
· Encourager les PME à utiliser leurs résultats pour se développer sur d’autres marchés ;
· Adapter les processus achat au service de l’innovation ;
· Investir dans les PME innovantes ;
· Contribuer au développement des PME innovantes
· Mettre en place un pilotage spécifique au sein des entreprises.

Téléchargez la charte signée par les entreprises.

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Jean-Bernard Lévy devrait être nommé demain p-dg de Thales

Défense>France>Politique>Nominations>Revue de presse
19-12-2012 13:09:44 :

La presse économique quotidienne est unanime ce matin et croit savoir que Jean-Bernard Lévy, l’ancien président du directoire de Vivendi, sera nommé demain p-dg de Thales, en remplacement de Luc Vigneron. Ce dernier, dont l’intersyndicale avait réclamé publiquement le départ (voir notre article) ne terminerait ainsi pas son mandat débuté en mai 2009 et qui devait s’achever en mai 2014…

Dassault Aviation, actionnaire à hauteur de 26%, se serait ainsi rangé au choix de l’Etat (actionnaire à hauteur de 27%), même si l’avionneur salue la restructuration de Thales engagée par Luc Vigneron.

En 2011, Thales était sorti du rouge, affichant un bénéfice net, part du groupe, de 566 M€, contre une perte de 45 M€ en 2010. Un exercice marqué par la stabilité du chiffre d’affaires à 13,03 milliards d’euros et des prises de commandes (+1%, en croissance organique, à 13,21 milliards d’euros).

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