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ECONOMIE : 242 article(s).
La Commission propose un plan d’action pour l’industrie de défense européenne

Défense>Europe>Politique
25-06-2014 13:08:40 :

La Commission européenne vient de présenter un rapport définissant des mesures destinées à renforcer le marché unique de la défense, promouvoir une industrie de la défense plus compétitive et favoriser les synergies entre recherche civile et recherche militaire. Selon la Commission, il est important d’agir, d’autant que la crise économique a durement touché un secteur industriel majeur d’une importance stratégique pour l’Europe, qui affiche un chiffre d’affaires de 96 milliards d’euros pour la seule année 2012 et qui emploie environ 400 000 personnes, à quoi il faut ajouter pas moins de 960 000 emplois indirects …
 
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« La recherche de pointe menée dans ce secteur a des retombées importantes dans d’autres secteurs, tels que l’électronique, l’industrie spatiale et l’aviation civile, et crée de la croissance ainsi que des milliers d’emplois hautement qualifiés », commente la Commission.

Pour promouvoir la coopération et renforcer l’efficacité du secteur, la Commission a décidé de prendre les initiatives ci-dessous.
1. Achever le marché unique de la défense et de la sécurité. En se basant sur les deux directives en vigueur concernant les marchés publics et les transferts intra-UE dans le domaine de la défense, la Commission compte s’attaquer également aux distorsions du marché et contribuer à améliorer la sécurité d’approvisionnement des États membres.
2. Renforcer la compétitivité de l’industrie européenne par la mise en œuvre d’une politique industrielle de défense fondée sur deux grands axes :
• le soutien à la compétitivité : activités visant la mise en place d’un nouveau mécanisme d’élaboration des normes dans le secteur européen de la défense et d’une conception commune des normes applicables aux aéronefs militaires ;
• le soutien aux PME : par exemple, l’établissement de réseaux entre des régions européennes liées à la défense, une aide aux PME du secteur de la défense confrontées à la concurrence mondiale et des orientations pratiques pour les PME et les autorités régionales européennes en vue de clarifier la possibilité de financer sur le budget européen des projets concernant des biens à double usage.
3. Soutenir la recherche en matière de défense européenne. À cette fin, la Commission s’efforcera d’obtenir le plus grand nombre de synergies possible entre la recherche civile et la recherche militaire, notamment en élaborant un nouveau programme (action préparatoire) destiné à étudier les avantages éventuels d’un financement de l’UE pour la recherche liée à la politique de sécurité et de défense commune (PSDC) et en aidant les forces armées à réduire leur consommation énergétique.

Le rapport est disponible ICI.

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L’Europe se mobilise pour le graphène

Filière électronique>Europe>R&D>Grands Programmes
24-06-2014 14:31:55 :

A l'occasion de la semaine du graphène, la Commission européenne annonce que le projet phare Graphène, l'une des plus grandes initiatives européennes de recherche qui représente un investissement de 1 milliard d'euros, a doublé d'envergure. À l'issue d'un appel à propositions doté d'une enveloppe de 9 millions d'euros, 66 nouveaux partenaires ont été invités à rejoindre le consortium. Le projet de R&D, qui compte désormais plus de 140 organisations participantes issues de 23 pays, vise à faire sortir du laboratoire ce matériau prometteur qu'est le graphène, ainsi que d'autres matériaux bidimensionnels, pour les faire entrer dans notre quotidien …

Le graphène a été fabriqué et testé en Europe, ce qui a valu en 2010 le prix Nobel de physique à Andre Geim et Konstantin Novoselov, de l’université de Manchester. Le graphène offre une combinaison inédite de propriétés physico-chimiques : ce matériau, le plus mince qui soit, est bien meilleur conducteur d'électricité que le cuivre, il est 100 à 300 fois plus solide que l'acier et possède des propriétés optiques uniques. Il pourrait notamment à terme remplacer le silicium dans les composants électroniques.

Grâce au projet phare Graphène, qui représente un investissement de 1 milliard d'euros, l'Europe compte passer de la recherche scientifique de pointe à la fabrication de produits commercialisables.

Les 66 nouveaux partenaires sont issus de 19 pays, dont six pays nouveaux au sein du consortium: la Biélorussie, la Bulgarie, la République tchèque, l’Estonie, la Hongrie et Israël.
Avec 16 nouveaux partenaires, l'Italie est maintenant, avec l'Allemagne, l'un des deux pays qui comptent le plus grand nombre de partenaires dans le projet phare Graphène (23 chacun), suivis de l’Espagne (18), du Royaume-Uni (17) et de la France (13).

Ces 66 nouvelles recrues apporteront de nouvelles capacités scientifiques et technologiques au projet. Plus d'un tiers des nouveaux partenaires sont des entreprises, principalement des PME, ce qui montre l’intérêt grandissant des acteurs économiques pour le graphène. Les entreprises ne représentaient au départ que 20% des partenaires du consortium.

L'appel à propositions pour un budget de 9 millions d’euros, qui s'inscrit dans une phase de «montée en puissance» de 54 millions d’euros (2014-2015), a attiré au total 218 propositions, ce qui représente 738 organisations issues de 37 pays. 21 propositions ont été sélectionnées en vue de bénéficier d’un financement.

Si la plupart sont des universités ou des instituts de recherche, les entreprises, principalement des PME, représentent une part croissante des participants, ce qui montre l’intérêt grandissant des acteurs économiques pour le graphène.



Liste des nouveaux partenaires invités à rejoindre le projet phare Graphène
Autriche : Guger Technologies
Biélorussie : Institute for Nuclear Problems
Belgique : Université de Namur, Université libre de Bruxelles, Interuniversitair Micro-Electronica Centrum
Bulgarie : Bulgarian Academy of Sciences, Nano Tech Lab
République tchèque : J. Heyrovsky Institute of Physical Chemistry
Estonie : Tartu Ülikool
Finlande : University of Eastern Finland
France : Université Montpellier 2 Sciences et techniques, Laboratoire national de métrologie et d'essais, Horiba scientific, Pixium Vision, Université Pierre et Marie Curie, Polymem, Atherm
Allemagne : Karlsruhe Institute of Technology, Technische Universität München, Bielefeld University, Ulm University, BASF, CNM Technologies, Fraunhofer-Gesellschaft zur Foerderung der angewandten Forschung, Epcos, TU Dortmund, University of Augsburg
Grèce : University of Crete
Hongrie : Research Centre for Natural Sciences, Hungarian Academy of Sciences
Israël : Technion Israel Institute of Technology
Italie : University of Padova, Breton, Università degli Studi di Roma Tor Vergata, Italcementi, Alma Mater Studiorum-Università di Bologna, Selex ES, University of Pisa, Istituto Nazionale di Fisica Nucleare, University of Salerno, Consorzio Nazionale Interuniversitario per le Telecomunicazioni, Libre, Grinp, Dyesol Italia, Centre Ricerche Fiat, Nanesa, Delta-Tech
Pologne : Université de Varsovie
Espagne : Universidad de Zaragoza, Biomedical Research Networking Center in Bioengineering, Biomaterials and Nanomedicine, Consorci Institut d'Investigacions Biomèdiques August Pi i Sunyer, Tecnalia Research and Innovation, nVision Systems & Technologies , Instituto de Tecnologias Quimicas Emergentes de la Rioja
Suède : Ericsson
Suisse : École Polytechnique Fédérale de Lausanne
Pays-Bas : Eindhoven University of Technology, DSM Ahead BV
Royaume-Uni : University College London, Imperial College London, Amalyst, G24 Power, The University of Nottingham, University of Sheffield, University of London, BAE Systems (Operations), University of Sunderland

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Alstom récupère l’activité de signalisation ferroviaire de GE

Industriel>France>Etats Unis>Fusions Acquisitions>Stratégie>Politique
23-06-2014 14:30:38 :

General Electric a été préféré à Siemens-Mitsubishi pour la reprise des activités énergie et réseaux d’Alstom. Dans le cadre d’un accord multi-facettes, qui verra l’Etat français prendre 20% du capital d’Alstom, ce dernier va hériter de l’activité de signalisation ferroviaire de GE …

En effet, GE propose à Alstom de créer une alliance globale dans le ferroviaire avec la vente par GE pour un montant de 825 millions de dollars (602 millions d’euros) de son activité de signalisation -qui représente un chiffre d'affaires d'environ 500 millions de dollars en 2013 et emploie 1200 salariés- et la signature d'un ensemble d'accords de coopération portant sur les services aux locomotives de GE en dehors des Etats-Unis, la R&D, l'approvisionnement, la fabrication, et l'assistance commerciale aux Etats-Unis.

Avec 27 000 employés dans 60 pays, dont 9000 en France, les activités Transport d’Altsom dont le siège social est basé à Saint-Ouen - ont réalisé un chiffre d'affaires de 5,5 milliards d'euros sur l'exercice 2012/13. Alstom Transport est un des leaders mondiaux du marché des équipements ferroviaires, systèmes, services et signalisations pour les lignes nationales, régionales, suburbaines et urbaines ainsi que pour le fret.

Comme annoncé initialement, GE propose le rachat des activités Energie d'Alstom, regroupant les secteurs Thermal Power (Energies Thermiques), Renewables (Énergies Renouvelables) et Grid (Réseaux), ainsi que les services centraux et partagés, pour un prix ferme et définitif de 12,35 milliards d'euros, correspondant à une valeur d'entreprise de 11,4 milliards d'euros.

Selon les termes de l'offre actualisée, après la réalisation de l'opération sur les activités Énergie d'Alstom, GE et Alstom créeront des co-entreprises dans le domaine des réseaux et celui des énergies renouvelables.

Alstom et GE détiendraient l'un et l'autre une participation de 50% dans une co-entreprise Réseaux, qui regroupera les activités globales d'Alstom Grid et de GE Digital Energy. Alstom et GE détiendraient également l'un et l'autre une participation de 50% dans la co-entreprise dédiée aux énergies renouvelables qui regrouperait les activités Eolien en mer et Hydro-électrique d'Alstom.

De plus, Alstom et GE créeront une alliance à 50/50 portant sur les activités nucléaires dans le monde et la vapeur en France, qui inclurait la production et la maintenance de la gamme d'équipements "Arabelle" pour centrales nucléaires, ainsi que les équipements de turbines à vapeur d'Alstom et leur maintenance sur le marché français. De plus, l'Etat français disposerait d'une action préférentielle lui accordant des droits de veto ainsi que des droits de gouvernance spécifiques dans le domaine de la sécurité et des technologies pour centrales nucléaires en France.

Au total, l’investissement d’Alstom dans les co-entreprises s’élèvera à environ 3,5 milliards de dollars (2,6 milliards d’euros). Compte tenu de cet investissement par Alstom, l’investissement net en numéraire pour GE s’élève à 10 milliards de dollars (7,3 milliards d’euros).

Enfin, un accord est intervenu entre l’Etat et Bouygues donnant option à l'Etat d'acquérir auprès de Bouygues jusqu'à 20% du capital d'Alstom. « L’accord conclu avec Bouygues donne à l’Etat les moyens d’acquérir avec certitude 20% du capital d’Alstom. Il préserve l’intérêt patrimonial de l’Etat tout en lui garantissant les droits de gouvernance qu’il recherchait pour garantir l’intérêt de long terme d’Alstom », a commenté Arnaud Montebourg, ministre de l’économie.



Le marché du ferroviaire dominé par Alstom, Siemens et Bombardier représente plus de 100 milliards d’euros par an dont entre 10 et 12 milliards pour la signalisation, un secteur qui présente un besoin accru d’électronique, comme l’a présenté à la JTE 2014, José Taborda, vice-président Signalling Sourcing, Supply Chain & Industrial chez Alstom Transport.

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Un consortium français pour créer une plateforme logicielle libre pour l’automobile

Automobile>Logiciels>France>Accords>Grands Programmes
19-06-2014 13:02:38 :

ESG Automotive France s’est associé à des partenaires industriels et à des chercheurs français dans le projet FREENIVI, qui, à l’initiative de de la société Open Wide Ingénierie, a l’ambition de créer, pour la première fois en France, un consortium ayant pour objet de fournir une plate-forme logicielle entièrement libre dédiée à la conception des systèmes embarqués pour le secteur automobile

Le consortium réunit aussi l’IRT SystemX, le laboratoire IRCCyN de l’École Centrale de Nantes et le laboratoire LIAFA de l’Université Paris Diderot. Il a reçu le support officiel des constructeurs PSA Peugeot Citroën et Renault.

À l’origine, un constat partagé : si les briques de base permettant l’élaboration de systèmes embarqués complexes pour la filière automobile existent bien dans le mouvement open source, il n’existe aucune plateforme globale et cohérente directement utilisable pour mener à bien des projets opérationnels. De telles plateformes ont pourtant déjà été mises en œuvre dans d’autres domaines, en particulier l’aéronautique.

« Les industriels se tournent donc au final vers des solutions propriétaires intégrant des composants open source mais aussi des solutions fermées. Ils ne bénéficient alors plus directement des apports de la communauté et restent liés aux choix de l’éditeur en termes de roadmap, déplore le consortium.

Pour développer cette plateforme entièrement libre, le consortium FREENIVI a démarré un projet collaboratif de 36 mois, doté d’un budget de 5 millions d’euros, et bénéficiant d’un financement de l’État et de la région Ile-de-France dans le cadre de l’appel à projets FUI16. Le projet est labellisé par le pôle de compétitivité System@tic.

Le consortium ne considère ce projet que comme une première étape avant la constitution d’une communauté active autour de la plateforme FREENIVI, à même de fédérer les différents acteurs du secteur.

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Nouvelle France industrielle : les plans « objets connectés » et « santé-médical » en ordre de bataille

Filière électronique>Télécoms>Médical>France>R&D>Politique
19-06-2014 12:58:21 :

Réuni le 18 juin sous l’égide du Ministre de l’économie, le comité de pilotage de la Nouvelle France industrielle a validé cinq nouvelles feuilles de route des 34 plans de reconquête industrielle. Parmi elles, celles concernant les plans « objets connectés », « santé numérique » et « dispositifs médicaux et nouveaux équipements de santé ». Une première « Cité de l'objet connecté » va notamment être créée à Angers …

Issues des travaux pilotés depuis l’automne par les chefs de projet industriels, ces feuilles de route fédèrent les investissements des acteurs industriels et les leviers de la puissance publique autour d’objectifs communs : des nouveaux produits, des nouveaux services, des nouveaux investissements et de l’emploi.

Parmi les 5 plans validés hier :
« Objets connectés » : Avec des entreprises telles que Medissimo, Myfox, Netatmo, Parrot, Sen.se, Sigfox ou Withings, la French Tech dispose de précurseurs des « objets connectés ». Le plan vise à renforcer et développer cette offre « made in France » de lieux de création et d’industrie dédiés. L’action-phare est en effet la création à Angers d’une première « Cité de l'objet connecté » qui rassemblera designers, assembleurs et sous-traitants de la plasturgie et de la mécanique, pour mettre au point les nouveaux objets de cette révolution numérique. 15 M€ d’investissement et 50 personnes seront nécessaires au fonctionnement de cette cité d’un nouveau type, propice au croisement des expertises électroniques et mécaniques, et créée sous l’impulsion d’Eolane et d’industriels locaux.

« Santé numérique » : l’accès universel aux soins subit la pression d’un double effet : l’augmentation des dépenses de santé, liée notamment à l’allongement de la durée de vie et des contraintes budgétaires qui pèsent sur les dépenses publiques. L’innovation par les outils numériques peut nous faire gagner en efficacité à qualité égale voire supérieure. En mettant l’accent sur la télémédecine, le traitement par le big data des données de santé ou la médecine personnalisée, le plan propose des voies concrètes pour mieux soigner à moindre coût, tout en développant de nouvelles activités économiques en France.

« Dispositifs médicaux et nouveaux équipements de santé » : les industries de santé vivent actuellement une révolution technologique. Pour s’assurer qu’elle s’accompagnera de créations d’emplois en France, il nous faut convertir notre excellence au stade de la recherche en innovations et réussites industrielles, ce, autour d’Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) à même de consolider les talents.

Cette nouvelle étape porte à 21 le nombre de plans opérationnels. D’ici le 14 juillet, les 13 autres derniers les rejoindront.
Consulter le détail des feuilles de route des 34 plans de reconquête industrielle.

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Agir pour l’industrie électronique : des propositions concrètes pour novembre

Filière électronique>France>Stratégie>Politique
12-06-2014 16:39:49 :

Cette année, en parallèle avec la JTE se sont tenues les assemblées générales des cinq syndicats de la filière électronique : Acsiel, GFIE, Simtec, Snese et SPDEI. A leur issue, s’est tenue la deuxième conférence d’APIE (Agir pour l’Industrie Electronique), l’alliance(*) créée il y a un an par les cinq organisations professionnelles pour accroître la visibilité de notre industrie et se poser en interlocuteur unique auprès des pouvoirs publics pour la défense des intérêts de la profession. Cinq groupes de travails ont été constitués qui présenteront leurs propositions le 25 novembre prochain …

Engagé dans une réflexion stratégique, la filière veut mettre en place une feuille de route de l’électronique, pour accompagner et dynamiser la politique industrielle décidée par les pouvoirs publics en septembre 2013 à l’occasion de la présentation des 34 plans de reconquête industrielle. « Plutôt que de réinventer la roue, il nous a semblé plus judicieux d’apporter notre pierre à l’édifice en formulant des propositions concrètes pour la réussite des cinq plans de la Nouvelle France Industrielle qui intéressent le plus notre profession », explique Gérard Matheron, président du Gixel. Ainsi, dès le 14 janvier ont été constitués cinq groupes de réflexion stratégique autour de cinq des plans de la NFI que sont : la mobilité ; les infrastructures énergétiques et numériques ; la sécurité et la confiance numérique ; le bâtiment et, enfin, les objets connectés.

Chaque groupe a la mission d’identifier deux ou trois grands objectifs et de mettre l’accent sur les priorités pour les atteindre. Ainsi, APIE compte proposer pour chaque groupe de travail des mesures concrètes concernant le financement des propositions, les moyens humains à mettre œuvre pour obtenir les résultats attendus, les besoins en formation, sans négliger le retour sur investissement attendu, la surveillance du marché, la normalisation et l’évolution de la réglementation. APIE a notamment fustigé le marquage CE pour les produits commercialisés dans l’espace européen : « rien ne sert d’édicter une norme si on ne met pas à disposition les moyens humains pour vérifier qu’elle est effectivement respectée ».
Une restitution des travaux des groupes de travail devrait être effectuée en interne le 10 juillet prochain lors de l’assemblée générale de la FIEEC, avant une présentation publique le 25 novembre prochain.

Ainsi, l’absence de Benjamin Gallezot, directeur adjoint de la compétitivité des industries et des services au ministère de l’économie et du redressement productions, qui devait conclure la manifestation et qui a finalement été retenu par une réunion à Bercy, n’est que partie remise. Elle n’a en tout cas pas entamé la détermination des responsables de l’APIE et de son président Jean-Pierre Quémard de faire avancer leurs dossiers. L’un des plus sensibles, porté par Pierre-Jean Albrieux, président du GFIE, étant la disparition de l’enseignement des métiers de l’électronique en France : aucune formation de l’Education Nationale n’enseigne par exemple la fabrication de cartes électroniques, un comble quand le mot d’ordre est de rapatrier des productions en France (voir notre article).


(*) La mission d’APIE, qui regroupe les organisations professionnelles Acsiel, GFIE, Simtec, SPDEI et Snese, consiste à faire connaitre cette industrie qui représente plus de 700 entreprises et près de 160 000 emplois, réalisant un CA de 15 milliards d’euros dont plus de 50% à l’export.

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