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ECONOMIE : 242 article(s).
Signature du consortium pour lancer le Smart Electric Lyon

Filière électronique>Industriel>France>Grands Programmes
27-11-2012 11:46:22 :

Le projet Smart Electric Lyon vient d’être officiellement lancé à l’initiative du groupe EDF dans le cadre d’un consortium réunissant 17 partenaires, industriels des filières de l’électricité et des télécoms et acteurs de la recherche et du monde universitaire. Ce test grandeur nature doit permettre à 25 000 particuliers, commerçants, entreprises et collectivités du Grand Lyon d’expérimenter les systèmes électriques de demain et les solutions innovantes associées …
 
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Il s’appuie sur un large éventail de services interactifs et d’équipements accessibles à tous conçus pour optimiser leur confort et mieux gérer leur budget électricité : équipements de gestion et de confort énergétique, services d’informations, applications web ou smartphone.

Le projet Smart Electric Lyon fait le pari que l'évolution des comportements de chaque client contribuera à sécuriser l'accès de tous à une énergie "maîtrisée", "disponible" et "sûre" en limitant les pics de consommation, en favorisant les énergies renouvelables, en intégrant les nouveaux usages des consommateurs (multimédia, technologies de l'information et de la communication, véhicules électriques, équipements basse consommation, etc.)

Cette démarche collective mobilise pour une durée de 4 ans, des acteurs industriels français disposant d'une expertise reconnue dans leur domaine et qui se sont engagés à conjuguer leurs expériences et savoir faire respectifs pour répondre au défi énergétique de demain et à son impact sur les systèmes électriques. C'est pour eux une opportunité de se positionner sur le marché mondial des systèmes électriques intelligents (smart grids). La pertinence des enseignements orientera les choix industriels, économiques et les services au client.

Le projet prévoit dès cet hiver, les premières expérimentations avant l'ouverture en 2013 d'un showroom Smart Electric à Lyon.

Groupe Atlantic, DeltaDore, Domboc, Edelia, EDF, ERDF, Hager, Legrand, Muller, Orange, Schneider Electric, Somfy, font partie des industriels qui participent au projet, ainsi que les universités de Lyon, Nantes Tours et Armines.


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Les projets Improve et Lens reçoivent le prix de l’innovation ENIAC JU 2012

Semiconducteurs>Production>Europe>R&D>Grands Programmes
21-11-2012 15:27:30 :

Deux projets de recherche dotés d’un budget combiné de près de 70 millions d’euros qui ont permis des avancées importantes dans l’efficacité de la fabrication des semiconducteurs se sont vus décerner le Prix de l’Innovation ENIAC JU 2012 dans le cadre du forum européen sur la nanoélectronique…

Les partenaires du projet Improve ont développé des modèles de calcul pour le comportement et l’historique des équipements permettant une métrologie virtuelle, une maintenance prédictive et des plans de contrôle adaptatifs pour améliorer la production, la stabilité et la reproductibilité, ainsi que l’efficacité générale de la fabrication des semiconducteurs (voir notre article). François Finck de STMicroelectronics, le coordinateur du projet, a déclaré : « dans le projet Improve, six fabricants opérant en Europe ont collaboré avec 14 laboratoires de recherche, institutionnels et universitaires, ainsi que 10 fournisseurs de solutions industrielles, pour faire avancer de manière considérable les technologies de pointe en sciences de fabrication et se préparer à affronter la concurrence en termes d’efficacité et d’innovation ».

Dans le projet Lens, 12 partenaires ont fait progresser la conception, les masques, la métrologie, l’outil d’exposition, les matériaux et l’intégration de processus en utilisant une double exposition pour les systèmes sur puce et le doublage de pas basé sur un espaceur pour les mémoires à changement de phase afin d’étendre l’applicabilité de la technologie actuelle de lithographie par immersion. Gerold Alberga d’ASML, le coordinateur du projet, a déclaré : « Lens a couvert l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement lithographique, démontrant des résolutions de motifs compatibles avec les nœuds technologiques 32 – 22 nm, à la fois pour les mémoires et les dispositifs logiques, en utilisant des outils d’exposition par immersion, permettant ainsi le développement opportun et économiquement efficace des prochaines générations de dispositifs à semiconducteurs ».

Les projets ont reçu des subventions de l’ENIAC JU et des États membres de l’ENIAC (IMPROVE : Autriche, France, Allemagne, Irlande, Italie et Portugal ; LENS : Belgique, France, Italie, Espagne et Pays-Bas).

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Lancement de groupes de travail pour le déploiement du compteur communicant Linky

Industriel>France>Politique
16-11-2012 14:34:14 :

A l'occasion de son déplacement hier dans l'usine Landis & Gyr de Montluçon (Allier), Delphine Batho, ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, a réaffirmé la volonté du gouvernement de voir aboutir le programme de déploiement du compteur communicant Linky

Dans cette perspective des groupes de travail vont être mis en place, réunissant les pouvoirs publics, l'Ademe et le Médiateur national de l'énergie, les associations de consommateurs, les fournisseurs d'électricité, les gestionnaires de réseaux et les fédérations d'équipementiers et d'installateurs, les industriels, des représentants des collectivités locales et la FNCCR.

Une première réunion a lieu aujourd’hui et ses conclusions seront présentées en janvier 2013 dans le cadre du débat national sur la transition énergétique.

Projet d'envergure nationale, Linky vise à équiper 35 millions de consommateurs de compteurs électriques de nouvelle génération qui permettront d'améliorer la qualité du service rendu, d'informer les usagers sur leur consommation et de moderniser la gestion des réseaux de distribution.

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Le gouvernement lance une mission « Très haut débit »

Télécoms>France>Investissements>Politique
13-11-2012 15:10:53 :

Pour répondre aux enjeux du déploiement du très haut débit, le gouvernement a décidé de mettre en place une mission en charge de l’organisation des déploiements. La direction de cette mission sera assurée par Antoine Darodes, actuellement directeur à l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP). Il consultera dès début décembre les parties prenantes sur l’ensemble des priorités de ce chantier…

Le gouvernement doit adopter en février 2013 un schéma complet de déploiement du très haut débit sur le territoire. Le déploiement du très haut débit sur l’ensemble du territoire d’ici dix ans constitue l’un des volets de la feuille de route numérique que publiera le gouvernement en février 2013 sous le pilotage de Fleur Pellerin, ministre déléguée en charge des PME, de l’innovation et de l’économie numérique.

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La France s’oppose à la reprise de SET par Kulicke & Soffa

Semiconducteurs>Production>France>Etats Unis>Fusions Acquisitions>Restructurations>Politique
13-11-2012 14:49:42 :

Le tribunal de commerce d’Annecy venait d’autoriser Kulicke & Soffa, leader mondial des machines de bonding, à reprendre la société SET (Smart Equipment Technology), entreprise de Haute-Savoie qui fabrique des machines de bonding, au détriment de l’offre de reprise présentée par les salariés. La sociéte SET, basée à Saint Jeoire-en-Faucigny (74), était en redressement judiciaire depuis le 27 avril. Mais la décision n’est pas définitive, le Parquet ayant manifesté sa volonté de faire appel. Benoît Hamon, ministre délégué en charge de l’Economie sociale et solidaire, soutient la solution de reprise en SCOP portée par les salariés, « qui ancre les emplois à Saint-Jeoire (74) et maintient une technologie de pointe sur le sol français »…

La crainte est en effet de voir le groupe américain prendre la technologie du groupe français et fermer ultérieurement le site. D’autres sources émettent une volonté d’optimisation fiscale. Bruno Guilmart, président et CEO de Kulicke & Soffa, est pourtant venu en personne défendre son projet de reprise de la PME française devant les salariés (voir vidéo). Apparemment sans convaincre. Le p-dg de Kulicke &Soffa, qui vend 8000 à 10 000 machines d’assemblage par an (*) et détient 65% du marché des équipements de couture par fils (wired bonding), reconnaît être intéressé par la technologie de SET, qui lui permettrait de gagner deux à trois ans par rapport à un développement en interne. Il propose d’investir 5 à 6 M$ de dollars par an dans l’entreprise et de promouvoir les machines du Français à travers le monde, avec l’objectif de pouvoir en vendre à terme 150 équipements par an.

De l’autre côté, le projet de SCOP, qui préserve 37 emplois sur 42 (contre 39 pour K&S), s’appuie sur un tour de table rassemblant des investisseurs publics et privés. D’un montant total de 6,2 millions d’euros, il inclut 1,6 million d’euros en fonds propres et 4,6 millions en prêts de court et moyen-terme et garanties, associant Oséo, le Programme Investissement d’Avenir, deux banques privées ainsi que le fond d’investissement de la Région Rhône-Alpes.

La Cour d’appel de Chambéry devrait rendre son verdict le 27 novembre prochain.


(*) Kulicke & Soffa vient de terminer son exercice fiscal fin septembre sur un chiffre d’affaires annuel de 791 M$, pour un bénéfice net de 160,6 M$. Pour le trimestre en cours traditionnellement faible, le groupe vise un CA de 95 M$ à 115 M$, contre 269,2 M$ lors du dernier trimestre.

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15 mesures pour améliorer le transfert de la recherche publique vers l’industrie

France>R&D>Politique
09-11-2012 14:48:18 :

Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, a présenté les lignes directrices d'une nouvelle politique de transfert pour la recherche publique. Un document du ministère recense 15 mesures pour augmenter l’impact économique de la recherche. Jean-Luc Beylat, président du pôle de compétitivité Systematic, est notamment chargé d’émettre des propositions pour réformer le système régional et national de transfert et d’innovation…

« Le système de transfert et d’innovation français est devenu trop complexe au fil du temps. Il doit évoluer vers un dispositif plus cohérent, simple, lisible, inscrit dans la logique de décentralisation, plus efficace en matière d’impact économique et facilement accessible aux entreprises, au premier rang desquelles les PME et les ETI », soulignent les pouvoirs publics.

Le transfert désigne l’ensemble des actions qui permettent de passer d’un résultat de recherche à un impact économique, notamment via une innovation. Il peut être assuré par la mobilité des chercheurs vers les entreprises, par des projets communs entre la recherche publique et les entreprises et, pour le transfert technologique, par la création d’entreprises.
La nouvelle politique de transfert repose sur quatre lignes de force :
· un ensemble de mesures internes à la recherche publique pour mieux reconnaître et accompagner les projets de transfert : par exemple, la prise en compte dans la gestion des ressources humaines de l’investissement des personnels dans les activités de transfert ;
· une réforme du système régional et national de transfert et d’innovation sur la base des propositions qui seront faites par Pierre Tambourin, directeur général du Genopole, et Jean-Luc Beylat, président du pôle de compétitivité Systematic ;
· un renforcement des dispositifs de transfert vers les PME et les ETI ;
· la simplification et le renforcement des programmes de recherche communs entre la recherche publique et les entreprises.

Cette politique sera mise en oeuvre dès le début de l’année 2013.

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