Logo Vipress
ARCHIVES VIPRESS.NET - VIPRESS.NET - NOUVEAUX PRODUITS - PUBLICITE - CONTACT NEWSLETTER GRATUITE
publicité
   
VIPRESS.NET : ARCHIVES TECHNO
DISTRIBUTION
Accords de distribution
PRODUITS
Semiconducteurs
• Circuits analogiques
• Circuits logiques
• MOS Micro
• Mémoires
• Discrets
Capteurs/Opto/Mems
Passifs
Afficheurs
Logiciels
Modules & Cartes
Energie
Développement
Mesure
Production
Newsletter gratuite
Tarifs pub, lectorat
ETATS-UNIS : 789 article(s).
Capteurs magnétiques : MPS acquiert le Suisse Sensima Technology

Semiconducteurs>Capteurs/mems/Opto>Europe>Etats Unis>Fusions Acquisitions
18-08-2014 15:42:25 :

Le Californien Monolithic Power Systems (MPS), une entreprise fabless spécialisée dans les semiconducteurs analogiques et mixtes, annonce l’acquisition de Sensima Technology, une entreprise suisse spécialisée dans le développement de technologies de capteurs magnétiques pour les mesures d’angles et les mesures 3D. Le montant de l’acquisition est initialement de 11,7 M$ avec jusqu’à 8,9 M$ supplémentaires suivant les performances à venir …
 
publicité


Les technologies de Sensima sont utilisées dans les moteurs commutés électroniquement, les encodeurs de rotation, etc. MPS compte utiliser les technologies de Sensima pour se développer sur les marchés de l’automobile, de l’industriel et de l’informatique en nuage.

Fondé en 1997, MPS emploie plus de 1000 personnes dans le monde. Ses produits vont des convertisseurs DC-DC aux circuits de commande et de contrôle de DEL, en passant par les amplificateurs audio, les chargeurs de batterie, les circuits USB, etc.

Retour en haut

Gemalto acquiert SafeNet, leader mondial de la protection des données et des logiciels

Sécurité>Logiciels>France>Etats Unis>Fusions Acquisitions
18-08-2014 15:38:42 :

Gemalto, numéro un mondial de la sécurité numérique, a signé un accord définitif en vue de l’acquisition de 100% du capital de SafeNet, leader mondial de la protection des données et de la monétisation des logiciels, actuellement propriété de Vector Capital, pour un montant de 890 millions de dollars. C’est la plus grande acquisition jamais réalisée par le groupe français …

Le monde numérique entre dans une période où une gestion rigoureuse des données numériques sensibles est primordiale. En 2014, près de 400 millions de données numériques importantes ont d’ores et déjà été perdues ou volées. Avec cette acquisition, Gemalto et SafeNet associent technologies, expertises et services pour sécuriser une infrastructure informatique complète : réseau, utilisateurs, données et logiciels, à la fois en son cœur et à sa périphérie.

SafeNet est l’une des plus importantes sociétés de sécurité de l’information numérique. Elle est présente dans 27 pays et a son siège aux Etats-Unis. Elle protège, gère et contrôle l’accès à des données parmi les plus sensibles ainsi que des applications logicielles de grande valeur. C’est par exemple la technologie de SafeNet qui protège plus de 80% des virements interbancaires dans le monde. La société emploie un peu plus de 1500 personnes, dont 550 ingénieurs spécialisés en cryptologie, et sert plus de 25000 clients, entreprises et agences gouvernementales, dans plus de 100 pays. Parmi les clients utilisant les solutions de SafeNet on compte Banamex, Bank of America, Cisco, Dell, Hewlett-Packard, Kaiser Permanente, Netflix et Starbucks.

En 2013, SafeNet a enregistré un chiffre d’affaires de 337 millions de dollars et un résultat des activités opérationnelles de 35 millions de dollars, et anticipe pour 2014 un chiffre d’affaires de 370 millions de dollars et un résultat des activités opérationnelles de 51 millions de dollars.

Retour en haut

Domotique : Samsung acquiert SmartThings

Grand public>Logiciels>Etats Unis>Corée>Fusions Acquisitions
18-08-2014 15:36:44 :

Samsung a annoncé le 15 août le rachat de l’Américain SmartThings, qui a développé une plateforme ouverte pour la maison connectée intelligente et l’Internet des Objets version grand public. Le montant de l’acquisition n’a pas été dévoilé, mais la presse américaine évoque 200 millions de dollars pour cette jeune pousse fondée en 2012 qui avait jusqu’ici levé 15,5 M$ …

La plateforme ouverte de SmartThings supporte plus de 1000 produits et 8000 applications créés par une communauté de fabricants de terminaux et de 5000 inventeurs et développeurs. SmartThings permet aux individus de développer leur propre application pour gérer, commander et automatiser leur résidence. Elle compte sur Samsung pour faire croître l’écosystème autour de sa plateforme ouverte. L’entreprise continuera d’être gérée de façon indépendante par son dirigeant actuel et sera partie intégrante de Samsung Open Innovation Center (OIC), l’entité en charge de développer les logiciels et les services d’innovation pour Samsung Electronics.


Retour en haut

Intel acquiert les circuits réseau d’Avago pour 650 M$

Semiconducteurs>Etats Unis>Fusions Acquisitions
18-08-2014 15:35:13 :

Intel vient de signer un accord définitif pour le rachat de l’activité Axxia Networking de son compatriote Avago, fabricant de composants d’interface analogiques pour les communications sans fil et filaires, l’industriel et l’électronique grand public. Le montant de l’acquisition atteint 650 M$ pour cette activité circuits pour infrastructures réseau, hérité du rachat de LSI par Avago pour 6,6 milliards de dollars en mai dernier …

L’activité Axxia Networking emploie 650 personnes pour un chiffre d’affaires de 113 M$ en 2013. Parallèlement, Avago a finalisé cet été le rachat de son compatriote PLX Technology, un spécialiste des circuits et logiciels de connectivité au standard PCIe (PCI Express). Ce rachat, annoncé fin juin pour un montant en numéraire de 309 M$, soit 293 M$ net de trésorerie reprise, permettra de renforcer le portefeuille de produits d’Avago à destination des marchés du stockage et des réseaux d’entreprise.

Retour en haut

IBM lance un programme de R&D de 3 milliards de dollars en nanolélectronique

Semiconducteurs>Etats Unis>Investissements>R&D
10-07-2014 15:34:31 :

IBM vient de dévoiler un investissement de 3 milliards de dollars sur les 5 prochaines années pour financer la recherche dans deux programmes de développement et exploratoires concernant la technologie silicium 7 nm et au-delà et pour créer l’après-silicium. L’objectif est de repousser les limites de la technologie microélectronique actuelle de façon à faire face à la demande émanant des systèmes conçus pour le Cloud et le Big Data. « La question n’est pas de savoir si nous introduirons la technologie 7 nm en production, mais comment, quand, et à quel coût », souligne John Kelly, senior vice-président d’IBM Research …

On croyait IBM préoccupé ce céder au plus vite ses activités de production de semiconducteurs et la presse américaine, régulièrement, se faisait l’écho, que Globalfoundries tenait la corde pour racheter les usines de Big Blue (à un prix très inférieur à celui demandé par le géant informatique). Et voilà qu’IBM annonce un programme de R&D de 3 milliards de dollars pour garder la maîtrise des technologies de production du futur…

Le premier programme de recherche s’articule autour de ce que l’on appelle la technologie silicium « 7 nanomètres et au-delà ». Il s’attaquera aux défis physiques qui menacent les techniques actuelles de fabrication de dispositifs semiconducteurs toujours plus petits et plus denses, et pourraient compromettre à terme la capacité à produire de telles « puces » électroniques. Le second se concentre sur le développement de technologies alternatives pour les puces visant l’après-silicium, et est basé sur des approches totalement différentes. Les scientifiques d’IBM et d’autres experts considèrent ces options comme absolument nécessaires pour outrepasser les limites physiques des dispositifs semiconducteurs classiques à base de silicium.

En fait, toutes les pistes actuelles pour repousser les limites du silicium seront explorées par IBM : le graphène, les nanotubes de carbone, les technologies III-V, la photonique sur silicium, les nouvelles architectures de transistors basse consommation, l’informatique quantique, l’informatique cognitive, etc.

« De la même manière que les technologies microélectroniques sont confrontées à des limites physiques, les applications de type Cloud et Big Data créent de nouveaux défis à l’échelle du système. Il est de plus en plus critique et difficile de mettre en œuvre une bande passante élevée entre mémoire et processeur, une communication à haut débit entre les différents composants et une faible consommation d’énergie des dispositifs », commente IBM.

Les équipes seront composées de scientifiques issus des équipes de recherche d’IBM et d’ingénieurs d’Albany et Yorktown (état de New-York), d’Almaden (Californie) et d’Europe. IBM investira de façon significative en particulier dans des domaines de recherche émergents qui sont déjà en cours chez IBM tels que la nanoélectronique à base de carbone, la photonique sur silicium, les nouvelles technologies pour mémoire et les architectures qui supportent l’informatique quantique et cognitive.

Ces équipes viseront l’obtention de gains d’un ordre de grandeur en ce qui concerne le niveau de performance et de consommation en énergie des systèmes. En parallèle, IBM continuera à investir dans les nanosciences et l’informatique quantique – deux domaines de la science fondamentale dans lesquels IBM est pionnier depuis plus de trois décennies.

Plus de détails sur le programme

Retour en haut

Alcatel-Lucent ouvre la voie à des services d’accès très haut débit symétriques de 1 Gbit/s sur les réseaux cuivre existants

Télécoms>France>Etats Unis>R&D>Stratégie
09-07-2014 13:16:42 :

Les Bell Labs, l’entité de recherche d’Alcatel-Lucent ont établi un nouveau record de vitesse à 10 gigabits par seconde (Gbit/s) sur des lignes téléphoniques traditionnelles en cuivre et élaborent une technologie prototype qui apporte la preuve que les réseaux d’accès cuivre existants peuvent fournir des services d’accès très haut débit symétriques de 1 Gbit/s. Elle ouvre la voie à de nouvelles offres de services à la vitesse de la fibre lorsque la fibre optique ne peut pas être déployée jusqu’aux bâtiments à connecter …

Ce record, qui consiste à fournir des services « symétriques » de 1 Gbit/s en partageant la bande passante pour atteindre simultanément des vitesses de téléchargement et de transfert de 1 Gbit/s, est une avancée majeure dans le domaine de l’accès haut débit sur liaison cuivre. Les opérateurs seront ainsi en mesure de proposer des offres de connexion à Internet équivalentes aux services FTTH (fibre jusqu’au domicile), un avantage commercial majeur dans les configurations où il n’est pas possible, pour des raisons physiques, économiques ou esthétiques, d’installer des liaisons en fibre optique jusqu’aux bâtiments à connecter. Dans ces configurations, la fibre peut être déployée à proximité des bâtiments, jusqu’aux murs extérieurs ou aux fondations, et le réseau cuivre existant utilisé pour couvrir les quelques mètres restants.

Les Bell Labs ont procédé à des essais avec une technologie prototype appelée XG-FAST, une extension de la technologie G.fast, un nouveau standard haut débit actuellement en phase de finalisation par l’Union Internationale des Télécommunications (UIT). La technologie G.fast, qui devrait être disponible sur le marché en 2015, utilise une gamme de fréquences de 106 MHz pour la transmission de données, afin d’atteindre des débits pouvant atteindre 500 Mbit/s sur une distance de 100 mètres. La technologie XG-FAST utilise quant à elle une gamme de fréquences élargie, pouvant atteindre 500 MHz, pour fournir des débits plus élevés sur des distances plus courtes. Les Bell Labs ont enregistré un débit symétrique de 1Gbit/s sur une distance de 70 mètres, avec une seule paire de cuivre. La transmission de 10 Gbit/s de données avait précédemment été enregistrée sur une distance de 30 mètres avec deux paires de lignes (une technique de fusion appelée « bonding »). Ces deux essais s’appuient sur des câbles en cuivre standards fournis par un opérateur européen.

Marcus Weldon, directeur des Bell Labs, a déclaré : « L’objectif vise à repousser les limites du possible pour « inventer l’avenir », avec des percées technologiques 10 fois supérieures aux réalisations actuelles. Cet essai de transmission de 10 Gbit/s sur cuivre en est un parfait exemple : en repoussant les limites de la technologie haut débit, les opérateurs peuvent déterminer comment fournir des services de plusieurs gigabits sur les réseaux existants, et ainsi garantir un accès très haut débit de la façon la plus étendue et la plus rentable possible ».

Federico Guillén, directeur de l’activité Réseaux fixes d’Alcatel-Lucent, a également déclaré : « Ce record de vitesse des Bell Labs est un formidable accomplissement. Le fait que les Bell Labs aient identifié un nouveau repère pour des applications réelles en matière d’accès fixe très haut débit est également crucial. XG-FAST peut aider les opérateurs à accélérer les déploiements FTTH, et déployer la fibre au plus près de l’utilisateur final, sans entraîner les dépenses ou les délais considérables liés au fait de relier chaque domicile à la fibre optique. En rendant possible la fourniture de services symétriques d’1 gigabit sur liaison cuivre, les Bell Labs offrent au secteur des télécommunications une nouvelle approche pour s’assurer qu’aucun utilisateur final ne sera délaissé en matière d’accès très haut débit».


Retour en haut

<<-Précédent Page 32 sur 132 Suivant->>
  ARCHIVES BUSINESS
publicité
  CONJONCTURE
  ETUDES DE MARCHE
  ENTREPRISES
  SEMICONDUCTEURS
  PASSIFS
  AFFICHEURS
  AUTRES COMPOSANTS
  CAO- MESURE
  PRODUCTION
  SOUS-TRAITANCE
  DISTRIBUTION
  OEM
  THEMES
  FUSION-ACQUISITION
  ACCORDS
  RESTRUCTURATIONS
  INVESTISSEMENTS
  R&D
  FINANCE
  PAYS
  FRANCE
  EUROPE
  ETATS-UNIS
  JAPON
  CHINE
  ASIE HORS CHINE
  RESTE DU MONDE
  ECONOMIE
  Politique INDUSTRIELLE
  GRANDS PROGRAMMES
  EMPLOI
  NOMINATIONS
 


© VIPRESS - Soyez le premier informé !
Mentions légales