Commercialisé par Linear Technology, le LTC6950 est, un cœur de synthétiseur à diviseur de fréquence fractionnaire N, à faible niveau de bruit de phase, avec une section en sortie pour la distribution des horloges, avec un très faible niveau de gigue. Il est conçu pour générer et distribuer les signaux, à très faible gigue, essentiels pour la synchronisation des convertisseurs de données ayant un rapport signal sur bruit (SNR) élevé …

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• Le maintien d’un faible niveau de gigue du signal de l’horloge du convertisseur de données est fondamental pour atteindre des niveaux de SNR remarquables lors de la numération ou de la synthèse de signaux de fréquences analogiques. Par exemple, les systèmes électroniques modernes requièrent la numérisation directe des signaux RF et FI élevés via un CAN.
• Avec une gigue de 18fseff. (sur la bande passante de 12kHz à 20MHz), le LTC6950 garantit les meilleures performances en provenance d’un tel système. Il comprend le système propriétaire EZSync de synchronisation de la sortie, de Linear Technology, une méthode simple, efficace, de synchronisation sur front de plusieurs sorties venant d’une puce ou de plusieurs puces.
• La synchronisation EZSync aligne les fronts montants via une entrée CMOS commune avec des demandes de cadencement larges. La synchronisation EZSync peut également être utilisée pour produire des relations de phase, reproductibles et déterministes, entre les sorties du diviseur d’horloge des composants où cette caractéristique est activée.
• Afin de simplifier le processus de conception du LTC6950, Linear Technology propose l’outil, gratuit, de simulation et de conception ClockWizard. L'interface graphique d'utilisateur ClockWizard permet de trouver les valeurs appropriées des composants du filtre de boucle en un clic sur un bouton, et prédit avec précision le bruit de phase et la gigue de chaque sortie, pour aider le concepteur dans ses choix lors de la conception et la mise au point des phases.

Fabricant : Linear Technology
Référence : LT8640

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Cap’Tronic, programme national d'accompagnement des PME pour l'intégration de nouvelles solutions électroniques et logicielles dans leurs produits, présente son nouveau guide, Choisir un OS embarqué. Objectif : aider les managers et les chefs de projet à faire le point, dans le cadre de l'évolution de leurs produits vers plus de connectivité, sur les couches logicielles à implémenter, au travers d'une série de questionnements …

La compétitivité des PME françaises, quelle que soit leur activité, reposera en grande partie ces prochaines années sur leur capacité à intégrer l'univers numérique en rendant, en premier lieu, leurs produits communicants.

Dans le processus de déploiement de l'internet des objets et des systèmes embarqués, se pose rapidement la question de l'utilisation et du choix d'un système d'exploitation sur lequel reposeront tous les développements logiciels.

De l'identification des contraintes de fonctionnement (Safe, Smart & Secure), du choix du modèle libre ou commercial, de la consommation énergétique, de l'interopérabilité, de l'évolutivité attendue et de la capacité des équipes de développement à s'approprier la solution, dépendra la réussite technique mais également économique du projet. Le guide Choisir un OS embarqué propose à cette fin un regard critique sur les principaux critères de choix et les coûts engendrés par telle ou telle solution.

Sans chercher l'exhaustivité, ce guide permet aux chefs de projet d'anticiper la demande marché et de s'interroger sur ce qu'ils attendent de l'évolution de leurs produits et de leurs capacités à apporter une réponse différenciante en termes de valeur par la proposition de nouvelles fonctions et de nouveaux usages.

« Fortes de ce premier bilan, les PME pourront ensuite trouver au sein du programme Cap’Tronic les leviers essentiels au développement de leurs projets, que ce soit au travers des ateliers dédiés à un OS spécifique ou via l'accompagnement personnalisé d'un des 24 ingénieurs présents sur le territoire français », commente l’association.

Télécharger le guide CapTronic « Choisir un OS embarqué »

Le géant américain de la distribution Arrow Electronics annonce ce matin le lancement d’une offre d’achat sur le distributeur allemand Data Modul, à 27,50 euros par action, soit un total de 94 millions d’euros. L’opération a déjà reçu l’approbation de la direction de l’entreprise allemande spécialisée dans la distribution de solutions de visualisation et de cartes pour l’embarqué …

De plus, des actionnaires de Data Modul (la famille Hecktor et Varitronix Investment) ont annoncé leur soutien à la transaction, permettant ainsi à Arrow de sécuriser l’acquisition de 37% du capital du distributeur de Munich.

Arrow motive ce rachat pour renforcer son offre sur le marché des solutions de visualisation et renforcer également sa présence sur le marché allemand et européen.

Outre l’Allemagne, Data Modul est présent dans une dizaine de pays dont la France, la Belgique, le Danemark, la Finlande, La Grande-Bretagne, l’Italie, l’Espagne, mais aussi la Chine, les Etats-Unis, Singapour, Hong Kong et Dubai et les Emirats Arabes Unis. En 2014, son chiffre d’affaires a atteint environ 160 millions d’euros.

A la faveur de la publication de ses résultats trimestriels, Maxim Integrated Systems a annoncé sa décision d’arrêter ses investissements et ses développements concernant les mems pour applications grand public, ainsi que concernant les technologies tactiles …

Par ailleurs, Tunc Doluca, président et CEO de Maxim s’est déclaré satisfait des performances de ses résultats trimestriels, tirés par la diversification du groupe sur le marché des circuits pour applications grand public et par la bonne santé de son activité dans l’automobile.

Pour son deuxième trimestre fiscal clos le 27 décembre, Maxim a réalisé un chiffre d’affaires de 567 M$, en baisse de 2% par rapport au trimestre précédent et de 9% sur un an. Lors du trimestre, Maxim a enregistré une perte nette de 72 M$, contre un bénéfice de 99,98 M$ trois mois plus tôt et de 43,35 M$ lors du même trimestre de l’exercice précédent.

Pour le trimestre en cours, Maxim prévoit un CA compris entre 565 M$ et 605 M$.

Le fabricant américain de semiconducteurs Freescale Semiconductor a réalisé un chiffre d’affaires annuel de 4,634 milliards de dollars, en progression de 11% par rapport à 2013, pour un bénéfice net de 251 M$, contre une perte annuelle de 208 M$, lors de l’exercice précédent …

« Tous nos indications montrent que nous avons gagné des parts de marché en 2014 », commente Gregg Lowe, président et CEO de Freescale, qui se félicite également de l’amélioration de la profitabilité du groupe, qui se définit comme un fournisseur de solutions sécurisées de traitement de données pour l’embarqué et l’Internet de demain (microcontrôleurs, circuits réseaux, capteurs et circuits analogiques, microcontrôleurs pour l’automobile, circuits RF, etc.).

Au quatrième trimestre, Freescale a réalisé un chiffre d’affaires de 1,1 milliard de dollars, en baisse de 9% du fait de la saisonnalité des actviités et de ventes en baisse sur les marchés de l’industriel et de la distribution. Par rapport au dernier trimestre de l’exercice précédent, ses ventes sont malgré tout en hausse de 2%. Le bénéfice net du trimestre atteint 63 M$, contre 123 M$ il y a trois mois et une perte de 118 M$, un an plus tôt.

Pour le trimestre qui démarre, Freescale vise un chiffre d’affaires compris entre 1,135 et 1,185 milliard de dollars.

Geneviève Fioraso, Secrétaire d’Etat chargée de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et Jean-Paul Herteman, p-dg de Safran ont inauguré hier Safran Tech, le centre de recherche et technologie du groupe. L’investissement global représente près de 60 millions d’euros, et s’élèvera à plus de 80 millions à horizon 2018 …

Au sein de ce pôle scientifique et technologique, sur le plateau de Saclay, Safran Tech accueillera 300 chercheurs et ingénieurs dédiés à la recherche technologique dans les disciplines clés pour l’ensemble des métiers du groupe.

Avec Safran Tech, le groupe fait le choix d’intensifier et mutualiser ses efforts de recherche et technologie sur les grandes ruptures technologiques que sont notamment l’électrification de l’avion, la recherche de nouvelles architectures de propulsion et le développement des technologies de l’information et des communications.



Safran Tech apportera une nouvelle dimension à la R&T du groupe en favorisant l’innovation ouverte. Universités, organismes publics mais aussi partenaires industriels et start-up innovantes travailleront en collaboration avec les équipes du centre dans des laboratoires communs ou sur des plateformes partagées, constituant ainsi un ensemble scientifique connecté et ouvert sur le monde extérieur. Le Centre qui travaille déjà avec l’Université d’Orsay, Centrale, Sup’elec Sup’Optique, l’ONERA, accueillera le laboratoire Safran/CEA dédié à l’étude des capteurs et à leurs applications. Un laboratoire de robotique des véhicules regroupant PSA, Valeo, l’École des mines de Paris et Safran devrait voir le jour prochainement. Il est également prévu qu’à terme deux centres de recherche de l’école des MINES ParisTech (Ecole des mines de Paris) s’installent sur le site.

« A Saclay, là où tout un écosystème complet se construit, le projet Paris-Saclay est d’ores et déjà structuré autour de nombreuses institutions d’enseignement supérieur et de recherche : le nouveau centre de Safran vient renforcer la composante entrepreneuriale et industrielle du plateau aux côtés de sociétés comme Dassault Systèmes, Air Liquide, Alcatel-Lucent ou encore Thales », a salué la ministre.

En 2013, Safran a consacré 12% de son chiffre d’affaires à la R&D (1,8 milliard d’’euros) dont le tiers pour la R&T. Le groupe est classé deuxième déposant de brevets en France (645 brevets).