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R&D : 234 article(s).
Elsys compte recruter 150 ingénieurs en 2015

Filière électronique>Sous traitance>France>R&D>Emploi
27-01-2015 13:00:40 :

Elsys Design, société française de services de conception spécialisée dans les métiers de l'électronique, du logiciel et des systèmes embarqués, compte recruter 150 ingénieurs électroniciens et informaticiens en 2015. L’entreprise recrute principalement des ingénieurs conception, des ingénieurs développement, des architectes, des experts et des chefs de projet …
 
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Leur domaine d'expertise est l'électronique, le logiciel ou les systèmes embarqués. Les postes sont tous en CDI et seront rattachés aux centres techniques de Paris, Rennes, Nantes, Grenoble, Lyon, Sophia Antipolis, Aix-en-Provence et Toulouse.

Ses clients appartiennent aux secteurs aéronautique, automobile, défense, énergie, ferroviaire, médical, multimédia, semiconducteurs, spatial et télécoms.

Elsys Design est une filiale d'Advans Group, qui rassemble des sociétés expertes dans les systèmes électroniques, les logiciels applicatifs et la mécanique. Advans Group emploie un millier d'ingénieurs, pour un chiffre d'affaires de 75M€.

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L’Allemand ESG s’allie au Français Open Wide dans l’embarqué et la voiture connectée

Automobile>Logiciels>France>Europe>Accords>R&D
15-01-2015 13:59:31 :

ESG, groupe allemand d’ingénierie dans les systèmes embarqués à destination des marchés de la défense, de l’aéronautique et de l’automobile, qui emploie 1600 personnes, noue un partenariat technologique, commercial et capitalistique, avec le Français Open Wide, spécialisé dans l’ingénierie des logiciels embarqués en environnement Open Source …

Les deux groupes se connaissent bien et ont déjà collaboré depuis 2011 en France sur plusieurs projets à destination de l’automobile. Ils sont également partenaires technologiques pour mettre au point des solutions à destination de la voiture connectée de demain. Fort de ces succès communs les deux groupes ont décidé de renforcer leurs liens en France mais également en Allemagne.

En pratique, la société ESG France, filiale du groupe ESG, a rejoint le groupe Open Wide au 1er janvier 2015 ; concomitamment ESG a renforcé son partenariat industriel avec Open Wide, en devenant actionnaire minoritaire du groupe. Open Wide a réalisé en 2014 un chiffre d’affaire de 11 millions d’euros et emploie plus de 120 personnes.

La mise en commun de leurs activités en France va permettre à Open Wide d’élargir son offre des logiciels embarqués aux systèmes embarqués en apportant des solutions plus globales matériels et logiciels tout en adressant les volets certification et sureté de fonctionnement. Open Wide, avec le support d’ESG, envisage également d’ouvrir une filiale en Allemagne courant 2015.

« En tant qu’ESG, nous maintenons notre présence sur le marché automobile français à travers Open Wide. De du fait de l’importance croissante qu’occupent les technologies Open Source nous sommes très heureux d’avoir un partenaire disposant de fortes compétences dans ce domaine », souligne Robert Morgner, senior vice-président d’ESG.

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Lancement de l’appel à projets ‘logiciel embarqué et objets connectés n°2’

Filière électronique>Logiciels>France>R&D>Politique
15-01-2015 13:54:37 :

Le gouvernement lance le second appel à projets portant sur les technologies du logiciel embarqué et des objets connectés. Cet appel, ouvert jusqu’au 15 avril, vise à soutenir des projets de R&D sur les plateformes d’exécution embarquées pour applications industrielles. « La maîtrise des technologies de plateformes d’exécution embarquées représente un enjeu stratégique, à la fois en termes de souveraineté industrielle et de compétitivité pour les entreprises utilisatrices », insiste le cahier des charges …

L’enjeu stratégique associé aux plateformes et systèmes d’exploitation trouve actuellement une illustration dans la domination d’Android dans l’industrie des télécommunications, rappelle le document. Dans les années à venir, cet enjeu va s’étendre à un nombre croissant de filières industrielles de haute technologie (aéronautique, automobile, smart home et objets connectés…), du fait notamment de la part de plus en plus importante prise par l’électronique et le logiciel dans ces filières.

Or, contrairement au secteur des télécoms, il n’y a pas à ce stade d’acteurs dominants sur les plateformes pour applications industrielles. La France souhaite donc développer un Android pour les objets connectés. Rien de moins …

« Ces technologies constituent une rupture importante, sur laquelle le tissu industriel national est en mesure de se positionner. La France dispose en effet des compétences techniques nécessaires pour concevoir un système « générique » (comportant des briques mutualisables entre différentes filières) au sein de diverses entreprises. L’enjeu est de fédérer l’ensemble de ces compétences autour de projets fédérateurs », espèrent les pouvoirs publics.

Le premier objectif de l’appel à projets est donc de développer et de pérenniser une filière française dans le domaine des plateformes d’exécution pour applications industrielles.
Le second objectif de l’appel à projets est de favoriser la diffusion des technologies de plateformes embarquées auprès d’industriels utilisateurs de différentes filières (automobile, aéronautique, objets connectés…).

De manière plus précise, l’appel vise à la fois à soutenir :
• des projets « plateformes embarquées», qui permettraient de développer une architecture générique (et briques associées) mutualisable entre différentes filières industrielles ;
• des projets d’implémentation de ces plateformes couvrant des domaines d’applications « industrielles critiques » (automobile…), « industrielles non critiques » et « grand public « (objets connectés du smart home par exemple).

Télécharger le cahier des charges, qui fixe les modalités de l’appel à projets.

Cet appel à projets se base notamment sur les conclusions de la feuille de route du plan «Logiciels et systèmes embarqués » de la Nouvelle France Industrielle.


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Brevets : Ericsson, Robert Bosch, Siemens et Philips sauvent l’honneur de l’Europe

Filière électronique>Etude de marché>R&D
13-01-2015 13:06:00 :

Selon IFI CLAIMS Patent Services, une division de Fairview Research, IBM a déposé 7534 brevets aux Etats-Unis en 2014 (+10% par rapport à 2013), se classant pour la vingt-deuxième année consécutive à la tête des entreprises les plus innovantes. Avec 4952 brevets, Samsung conserve la deuxième place, devant Canon (4055 brevets), Sony (3224 brevets), Microsoft (2829 brevets) et Toshiba (2608 brevets) …

Parmi les 50 premières entreprises du classement IFI, 26 sont asiatiques (Japon, Corée, et Taïwan) contre 19 sociétés américaines, 1 société canadienne et 4 sociétés européennes. Parmi les sociétés asiatiques, 18 sont japonaises, 1 chinoise (Huawei), 5 coréennes et 2 taïwanaises (Hon Hai Precision et TSMC). L’étude montre ainsi le lent déclin du Japon (18,1% des brevets déposés aux Etats-Unis en 2014, soit 2,5 points de moins en cinq ans) et l’essor de la Chine (2% des brevets, soit le double en cinq ans).

Parmi le classement des 50 premiers déposants, téléchargeable ICI, les seuls Européens sont : Ericsson (18e) Robert Bosch (31e), Siemens (34e) et Philips (42e).

Globalement, 300 678 brevets ont été déposés aux Etats-Unis en 2014, soit un nouveau record et 8,2% de plus qu’en 2013. Les 50 premiers du classement ont déposé seulement 27% du total des brevets déposés, preuve de la diversité de l’innovation.

Liste des sociétés ayant obtenu le plus grand nombre de brevets aux Etats-Unis en 2014.

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13 partenaires signent un accord de recherche en cyberdéfense

Défense>France>Accords>R&D
15-12-2014 14:06:48 :

Le ministère de la Défense, représenté par la Direction générale de l’armement (DGA), la région Bretagne et 11 universités, écoles d’ingénieurs et institutions de la recherche ont signé le 12 décembre 2014 un accord général de partenariat pour la recherche en cyberdéfense

La signature de cet accord (*) marque une avancée significative pour le pôle d’excellence cyber, implanté en Bretagne avec une portée nationale et un objectif de rayonnement international : il concrétise l’un des objectifs majeurs consistant à faire converger les compétences et les énergies des partenaires au profit de la formation, de la recherche et du développement de la filière industrielle cyber.

Cet accord permet de définir une vision stratégique commune en matière de recherche et de valorisation en lien avec le tissu industriel.

Dès 2015, cet accord permettra, par exemple, de financer 20 thèses supplémentaires par an dans le domaine cyber. Grâce aux différents dispositifs de soutien à la recherche & technologie (R&T) de la DGA, plus d’un million d’euros par an sera investi dans l’écosystème breton de recherche cyber.

(*) Les 13 signataires sont les suivants : ministère de la Défense (DGA), région Bretagne, Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Institut national de recherche en informatique et en automatique (INRIA), Université européenne de Bretagne (UEB), Université de Bretagne-Sud (UBS), Université de Bretagne occidentale (UBO), Université Rennes 1, Université Rennes 2, École normale supérieure de Rennes (ENS Rennes), École supérieure d’électricité (SUPELEC), Institut national des sciences appliquées de Rennes (INSA Rennes), Télécom Bretagne.


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Le CNES et Google collaborent pour connecter le monde à Internet en ballons

Télécoms>France>Etats Unis>R&D>Stratégie
11-12-2014 13:59:44 :

Des milliers de ballons permettant de connecter à Internet les zones blanches du globe, tel est l’objectif du projet Loon de Google. Le CNES soutient le projet en y apportant son expertise technique sur les ballons. Google a déjà lancé une trentaine de ballons depuis 2013. La vitesse de connexion permet de lire des vidéos en streaming et les ballons ont d’ores et déjà parcouru plus de 3 millions de km au total …

En dépit des différentes technologies existantes (connexions filaire, optique, satellite, etc.), 2/3 de la population mondiale est aujourd’hui encore privée d’Internet, rappelle le communiqué des deux partenaires.

Le projet Loon compte donc s’appuyer sur une flotte de ballons stratosphériques dérivant dans la stratosphère et capables de relayer un accès à Internet vers des zones de la planète éloignées et non-desservies. Les ballons croiseraient entre 18 et 20 km d’altitude, plus haut que les avions commerciaux, s’affranchissant ainsi des aléas météorologiques et seraient alimentés en énergie par des panneaux solaires. Utilisant une liaison bidirectionnelle, le signal serait envoyé depuis le sol vers les ballons qui pourraient ensuite le relayer vers d’autres ballons avant d’être finalement renvoyé vers le sol où il pourrait être capté par des antennes extérieures ou des téléphones équipés de la technologie 4G LTE.

Cette coopération permettra au CNES et à Google de mettre en commun leurs ressources et leurs recherches. Le CNES contribuera aux analyses de vols qui ont lieu actuellement ainsi qu’au développement d’une nouvelle génération de ballons. Le CNES recevra l’assistance de Google pour mener des projets de campagnes de ballons de longue durée.

« La connexion à Internet peut améliorer la vie de chacun, mais plus de 4 milliards de personnes n’y ont toujours pas accès aujourd’hui. Il n’existe pas de solution simple pour résoudre un problème d’une telle complexité. C’est la raison pour laquelle nous collaborons avec des experts du monde entier, comme ceux du CNES, pour investir dans de nouvelles technologies comme le projet Loon, capable d’utiliser les vents d’altitude pour fournir un accès Internet aux zones rurales et lointaines », déclare Mike Cassidy, vice-président de Google en charge du projet Loon.

« Ce projet est des plus actuels à l’heure où sont étudiés tous les moyens de supprimer les zones blanches et c’est pour le CNES une expérience unique de travailler avec Google, véritable emblème de la Silicon Valley », s’enthousiasme Jean-Yves Le Gall, président du CNES.


Cliquez sur l’image pour voir la vidéo de présentation du projet

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