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Thales et Schneider Electric coopèrent pour la cybersécurité des systèmes de contrôle-commande

Sécurité>France>Accords
04-10-2013 13:35:47 :

Thales et Schneider Electric viennent de signer un accord de coopération portant sur la commercialisation de solutions et services de cybersécurité, afin de protéger les systèmes de contrôle-commande des cyberattaques. Les offres proposées conjointement par Thales et Schneider Electric seront destinées aux Opérateurs d’Importance Vitale (OIV) ainsi qu’aux clients industriels et défense pour assurer la sécurité de leurs systèmes d’automatismes et de contrôle-commande …
 
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Cette coopération permet aux clients OIV, industriels et défense, de bénéficier de solutions pour faire face aux nouvelles menaces auxquelles ils sont confrontés : attaques informatiques depuis le système de gestion, accès illégitimes au travers des réseaux sans-fil, infections par introduction de clés USB par exemple. Ils doivent également répondre à la mise en place d’une réglementation nationale et internationale concernant la sécurité des systèmes de contrôle-commande numériques.

Les offres proposées - gestion des risques, analyse de vulnérabilités, définition des architectures de sécurité, mise en place de mesures de protection et de surveillance, maintien en conditions de sécurité, interventions sur incident, etc. - sont adaptées aux systèmes d’automatismes et de contrôle commande des clients de Schneider Electric et Thales, et à leurs environnements spécifiques.

« Les autorités françaises, mais également d’autres pays, ont placé la sécurisation numérique des infrastructures critiques en tête de leurs priorités. Je compte sur cette coopération pour répondre à cet appel par une offre technique du meilleur niveau », commente Vincent Marfaing, Vice-Président en charge des activités Sécurité des Technologies de l’Information/Cybersécurité chez Thales.

Sylvain Frodé de la Forêt, Vice-Président Partner Projects & Buildings, Schneider Electric France, précise : « La coopération lancée avec Thales va nous permettre d’étendre davantage le spectre de nos offres vis-à-vis de nos clients sensibles, au regard de leur préoccupation croissante en matière de cybersécurité. C’est une alliance de leaders destinée à relever un défi majeur. »

Schneider Electric et Thales vont dans un premier temps ouvrir ces offres commerciales aux entreprises françaises, par actions conjointes.



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L’Internet des Objets : 212 milliards d’objets connectés en 2020 ?

Filière électronique>Télécoms>Informatique>Monde>Conjoncture>Etude de marché
04-10-2013 13:33:58 :

Pour IDC, il ne fait aucun doute que l’Internet des Objets (IoT), qui n’en est encore qu’à ses balbutiements, représente le grand marché du siècle et à tout le moins un potentiel énorme de nouvelles sources de revenus et de nouveaux clients, propre à reconstruire le monde des technologies de l’information et des communications que nous connaissons actuellement. Le marché de l’Internet des Objets au sens le plus large (toutes technologies et services confondus) devrait ainsi passer de 4800 milliards de dollars en 2012, à 8900 milliards en 2020, soit une croissance annuelle moyenne de 7,9% par an …

Le développement de l’intelligence dans les villes, les automobiles et les habitations (smart cities, cars, houses), l’amélioration de la connectivité des infrastructures, et la prolifération de la culture d’un monde connecté, font que la base installée d’objets reliés à l’Internet des objets devrait représenter 212 milliards d’unités en 2020. De ce magma, IDC distingue les objets qui seront connectés à l’IoT de façon autonome : ils seront 30,1 milliards en 2020.

Même si tout reste à inventer ou presque et si dans les applications nous ne voyons aujourd’hui que la partie immergée de l’iceberg, IDC estime qu’il existe encore des freins à l’essor du marché de l’IoT. Le cabinet d’études cite, côté fournisseurs, le manque de standard et un écosystème encore balbutiant pour le développement d’applications. Côté demande, c’est précisément la difficulté à formuler la demande et à définir des priorités de services qui bride le développement du marché. En clair, tout ou presque reste à inventer.

En septembre, l’Idate avait également publié une étude sur le sujet. Le nombre d’objets connectés à l’horizon 2020 était estimé par l’institut français à 80 millions d’unités en 2020. Un chiffre donc très inférieur à celui avancé par IDC, qui montre qu’il est encore difficile pour les sociétés d’études de marché d’appréhender ce marché à peine sorti des limbes.

Pour l’Idate, le concept d’ « Internet Des Choses » (ou Internet of Things, IoT) repose sur le principe que chaque « chose » est en mesure de se connecter à l’Internet pour échanger des informations permettant d’augmenter sa valeur intrinsèque. Le champ de l’Internet of Things (IoT) est ainsi très large. Il inclut non seulement les terminaux communicants et le Machine-to-Machine (M2M) mais en allant bien au-delà du M2M en permettant la connexion de n’importe quel objet à l’Internet (the Internet of Objects - IoO), même s’il ne dispose pas des composants électroniques requis pour une connexion directe à l’Internet (utilisé comme une terminal intermédiaire).

Dans ce contexte, l’Idate estime que 15 milliards de « choses » ou « things » (machines, terminaux connectés et objets) sont d’ores et déjà connectées à l’Internet en 2012, contre 4 milliards en 2010. Pour Samuel Ropert, Chef de projet du rapport, « en 2020, il y en aura 80 milliards, parmi lesquels l’IoO représentera 85% du total de l’IoT, contre 11% pour les terminaux communicants et 4% seulement pour le M2M ». En termes de croissance, l’IoO connaitra un taux annuel moyen de 41% entre 2010 et 2020, suivi par les terminaux communicants avec 22% et le M2M avec 16%.

Plus d’infos sur l’étude l’Idate


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Gemalto sélectionné pour le passeport électronique belge

Sécurité>France>Europe>Contrats
03-10-2013 15:11:48 :

Le Français Gemalto, numéro un mondial de la sécurité numérique, fournira à la Belgique son passeport électronique, dont le lancement est prévu pour mai 2014. Selon les termes de ce contrat pluriannuel, Gemalto livrera chaque année au Service public fédéral des affaires étrangères de Belgique plus de 400 000 passeports électroniques …

Le « ePasseport », appelé également passeport électronique ou passeport biométrique, contient un microprocesseur et peut être vérifié par des lecteurs sans contact homologués. Le passeport électronique intègre le logiciel embarqué hautement sécurisé de Gemalto et stocke les données personnelles uniques, telles que les empreintes digitales, qui permettent l’authentification fiable de l’identité de son titulaire. Dans le cadre d’un contrat de cinq ans, Gemalto fournira sa gamme Sealys de livrets sécurisés et durables, ainsi que la dernière version de son logiciel embarqué ICAO. La société Zetes assurera la personnalisation et l’émission des passeports électroniques.

Gemalto revendique plus de 80 références en programmes gouvernementaux dans le monde. Présent dans 43 pays, Gemalto emploie plus de 10 000 salariés travaillant depuis 83 bureaux et 13 centres de recherche et développement. En 2012, il a réalisé un chiffre d’affaires de 2,2 milliards d’euros.

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Günther Elsner prend les rênes de la division automobile de Renesas en Europe

Automobile>Semiconducteurs>Europe>Nominations
03-10-2013 15:08:20 :

Renesas Electronics Europe annonce la promotion de Günther Elsner au poste de directeur général de la division automobile du fabricant de semiconducteurs pour l’Europe. Ancien responsable des ventes en Europe de la division automobile du groupe japonais, il succède à Gerd Look, qui a été, quant à lui, promu président de Renesas Europe depuis le 1er octobre …

Günther Elsner a travaillé successivement chez Fairchild Semiconductor, Sangyo (Hitachi Group) et NEC Electronics dont il fut le responsable européen pour l’automobile avant que ce dernier ne fusionne avec Renesas en 2010.

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Electronique automobile : attention aux mirages !

Filière électronique>Automobile>Stratégie
03-10-2013 15:06:24 :

Particulièrement appréciée, l’intervention de Jean-Pierre Corniou dans le cadre de l’European Microelectronics Summit, organisé la semaine dernière à Paris par le Sitelesc, a tenté de remettre de l’ordre dans les priorités du consommateur pour l’usage de l’électronique dans l’automobile. Une vision décapante proposée par le directeur général du cabinet de conseil SIA Partners. Pour ce grand connaisseur de l’industrie automobile pour avoir été CIO (Chief Information Officer) de Renault pendant six ans, en charge de la gestion de l’innovation, le modèle économique des services permis par l’électronique dans l’automobile reste à inventer …

Qui veut payer pour les nouveaux services permis par l’usage de l’électronique dans l’automobile ? Personne, répond Jean-Pierre Corniou. Pour le consultant, l’automobile doit permettre de se déplacer d’un point A à un point B, en toute sécurité et le plus rapidement souhaitable. En clair, une voiture intelligente ou plus exactement un système de transport automobile intelligent, doit permettre réduire les bouchons pour gagner du temps, de réduire la pollution de l’air pour protéger notre santé, d’éviter les accidents de la route (1,2 million de morts par an) et de redonner le plaisir de conduire au conducteur. L’idéal serait alors un système de transport intelligent (qui réclame donc beaucoup d’électronique) permettant à l’usager via un système d’abonnement d’arbitrer dans chaque situation en toute connaissance entre le recours aux transports publics ou à l’utilisation d’un véhicule dans le cadre d’un système de location partagée. La population mondiale s’urbanise : éviter la congestion du trafic devrait donc être la préoccupation numéro un des innovations dans l’automobile.

Le consultant ne croit pas beaucoup au concept du véhicule qui se conduit tout seul, sur lequel planchent bon nombre de constructeurs et d’équipementiers. Depuis l’origine, le « plaisir de conduire » a constitué l’ADN de l’industrie automobile et le principal argument commercial des vendeurs. Comment convaincre l’usager qu’il devra désormais rester sagement au volant (législation oblige !) en se croisant les bras ? Seule l’assistance au parking permettant à la voiture de se garer toute seule trouve grâce à ses yeux.

Enfin, les différents concepts de systèmes de voitures intelligentes et connectées mis en avant par les constructeurs automobiles manquent de lisibilité pour les clients. Comment nommer de façon intelligible pour l’usager toutes les fonctionnalités permises par le traitement de l’information, les capteurs et les caméras embarqués à bord des véhicules ? Et que dire des mises à jour logicielles pour les systèmes embarquées et les services télématiques ? Les consommateurs n’accepteront jamais de payer pour « upgrader » leur système, avance-t-il.

L’innovation (et donc l’électronique) est au cœur de la « mobilité intelligente » de demain. Mais la route sera encore longue pour proposer aux consommateurs les véritables innovations qu’ils attendaient …sans le savoir.

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Semiconducteurs pour l’automobile : aide à la conduite et véhicule électrique tirent la croissance

Automobile>Semiconducteurs>Monde>Etude de marché>Stratégie
03-10-2013 15:05:30 :

Selon Strategy Analytics, la production mondiale d’automobiles devrait atteindre 105,8 millions d’unités en 2017 (dont une vingtaine de millions de voitures en Europe à comparer à plus de 30 millions de véhicules en Chine), soit une croissance annuelle moyenne de 5,3% depuis 2012. Parallèlement, la croissance du marché des semiconducteurs pour l’automobile devrait être de 7% entre 2012 et 2017, la consommation de semiconducteurs dans les voitures atteignant 39 milliards de dollars à l’horizon 2020. Par segments de marché, deux secteurs se distinguent par un croissance annuelle moyenne supérieure à 20% : les circuits pour systèmes d’aide automatique à la conduite (ADAS pour Advanced Driver Assist Systems) et les semiconducteurs pour véhicules électriques et hybrides : tels sont les grandes lignes de l’étude de marché présentée par Strategy Analytics dans le cadre de l’European Microelectronics Summit qui s’est tenu la semaine dernière à Paris …

Tous les autres segments de marché auront une croissance inférieure à la moyenne de 7% (voir illustration). Côté composants, l’optoélectronique, les mémoires et les capteurs sont promis à la plus forte croissance, notamment devant les circuits analogiques, les microcontrôleurs et les circuits de puissance.

On déplore actuellement 1,2 million de morts sur les routes ; un chiffre qui pourrait même atteindre 1,9 million en 2020. Or dans 95% des cas, l’accident incombe à la responsabilité du conducteur. Les systèmes d’aide à la conduite ADAS (perception de l’environnement, analyse, décision et action) pourraient réduire les accidents de 70%. Pas étonnant donc, selon Strategy Analytics, que ces systèmes dont les prix se comptent désormais en centaines d’euros (et non plus en milliers d’euros) aient le vent en poupe. Le cabinet d’études estime ainsi que les semiconducteurs pour systèmes ADAS représenteront 9% de la consommation de semiconducteurs pour l’automobile en 2020, soit trois fois plus qu’actuellement. En valeur, ce marché, qui devrait progresser en moyenne de 23% par an entre 2012 et 2017, devrait représenter près de 3,5 milliards de dollars en 2020.

Les semiconducteurs pour véhicules électriques et hybrides constituent l’autre segment de marché qui progressera le plus vite : +22% par an en moyenne entre 2012 et 2017. Ce marché devrait représenter 2,6 milliards de dollars en 2020, soit alors 7% de la consommation totale de semiconducteurs pour l’automobile (contre 2% actuellement).

Ces perspectives alléchantes pour les fabricants de semiconducteurs ne doivent pourtant pas faire oublier les difficultés spécifiques à l’industrie automobile, tempère la société d’études. Alors que le temps de développement d’un smartphone est typiquement de 2 ans, il est de 5 ans pour une automobile, dont la durée de vie commerciale est environ de 8 ans contre 18 mois pour un mobile. Certes, le contenu semiconducteurs est de l’ordre de 1000 dollars par véhicule, contre 130 dollars pour un smartphone ; mais les volumes de production en nombre de pièces sont sans commune mesure.


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