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Saft remporte un contrat de 17,5 M$ auprès l'aviation militaire américaine

Défense>Sous systèmes>France>Etats Unis>Contrats
18-06-2014 13:02:43 :

Saft, spécialiste mondial des batteries haute technologie pour l’industrie, s'est vu confier un contrat de plusieurs millions de dollars par l'Agence américaine de logistique de la défense (DLA). Ce contrat, d'un montant total de 17,5 millions de dollars, prévoit la fourniture par Saft de batteries et d'éléments à base de nickel destinés aux aéronefs de l'armée américaine …
 
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La DLA fournit l'armée de l'Air, l'armée de Terre, la Marine, le Corps des Marines, les agences fédérales ainsi que les forces alliées avec un éventail complet de services logistiques, techniques et d’approvisionnement. Avec ce contrat, Saft offre une interface unique pour la fourniture de batteries destinées aux aéronefs militaires.

Saft est le principal fournisseur de batteries à base de nickel dans le monde pour les avions et hélicoptères militaires. La puissance et l’énergie apportées par ces batteries sont exceptionnellement élevées dans toutes les conditions d’utilisation et leur fiabilité doit être inégalée, même dans des températures extrêmes. Elles sont ainsi réputées pour leur sécurité, tout au long de leur longue durée de vie.

Les batteries ULM (Ultra Low Maintenance) fournies par Saft équiperont des appareils à voilure fixe et à voilure tournante. Les batteries à base de nickel ont une tension nominale de 24 volts. Elles sont composées d'éléments étanches thermo-soudés, de têtes de plaques soudées à la molette ainsi que de barrettes de liaisons et de bornes en cuivre. Leur construction utilise également des séparateurs en matériaux de première qualité et une conception de membranes ouvertes.

Ce contrat de trois ans offre deux options de renouvellement d'une durée d'un an sur décision du gouvernement américain, ce qui porterait la période totale du contrat à cinq ans. Les livraisons débuteront cette année.


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Alstom contribuera à l’intégration d’énergies renouvelables dans le projet Smart Grid Vendée

Industriel>France>R&D>Stratégie>Contrats
17-06-2014 12:49:15 :

Alstom a remporté un contrat pour la fourniture de son système de gestion de ressources énergétiques distribuées (Distributed Energy Resources Management System - DERMS) au département de la Vendée. Lancé en juin 2013, Smart Grid Vendée est un projet expérimental de 28 millions d’euros dirigé par un consortium avec une mise en œuvre sur cinq ans …

Ce projet pilotera un éventail de technologies smart grid en vue de répondre aux évolutions du paysage énergétique, notamment par l’intégration des énergies renouvelables et par la modernisation du réseau de distribution électrique.

Le réseau de distribution connait une augmentation de la production d’énergie à petite échelle, comme les énergies éoliennes et photovoltaïques, ainsi que de nouveaux modes de consommation électrique, comme les véhicules électriques. Tous sont connus sous le terme de ressources énergétiques distribuées (DER). « L’intégration des DER dans le réseau de distribution à un coût d’infrastructure optimal nécessite le déploiement de nouvelles technologies d’information et de gestion. Ces technologies permettent de lisser l’intermittence de la production ou les pics de consommation et de fiabiliser le réseau », explique Alstom.

Alstom participe à plus de 30 projets smart grid dans le monde, financés par des fonds privés et publics, tel que le projet de quartier solaire Nice Grid. Ces solutions smart grid, testées au sein de projets pilotes de recherche et développement dans le monde entier, ouvrent la voie au réseau électrique du futur.

Voir notre article sur Smart Grid Vendée.

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Airbus et Safran regroupent leurs forces dans les lanceurs spatiaux

Aéronautique>France>Europe>Accords>Stratégie
17-06-2014 12:48:15 :

Afin d’offrir aux clients des solutions plus économiques face à la concurrence de l’Américain SpaceX, Airbus Group et Safran ont annoncé hier une réorganisation de leurs activités dans le domaine des lanceurs spatiaux en créant une société commune à parts égales, chaque partenaire intervenant dans ses cœurs de métier respectifs, en particulier en France et en Allemagne, en combinant leur expertise dans les systèmes de lanceurs pour Airbus Group et dans les systèmes de propulsion pour Safran …

Le lancement des programmes Ariane 5 ME et Ariane 6 est au cœur de cette nouvelle coopération industrielle.

Airbus Group et Safran travaillent déjà en étroite collaboration et en complémentarité dans le domaine des lanceurs, avec une série inégalée de lancements consécutifs réussis d’Ariane depuis plus de dix ans. Les deux entreprises confirment ainsi leur détermination à continuer de jouer un rôle majeur dans les activités de lanceurs et à garantir à l’Europe un accès fiable et autonome à l’espace.

Dans un premier temps, Airbus Group et Safran devraient créer une joint-venture de programmes, regroupant leurs contrats de programmes civils et leurs principales participations dans le domaine des lanceurs commerciaux. A terme, des actifs industriels seraient apportés afin de créer une entreprise à part entière, détenue conjointement. La création et le début des opérations de la société commune sont prévus avant la fin de l’année 2014.

Réunissant hier la filière spatiale à l’Elysée, François Hollande a salué l'accord annoncé par les groupes Airbus et Safran de rapprochement de leurs activités dans le domaine des lanceurs spatiaux. En renforçant la cohésion des acteurs de la filière spatiale, cette nouvelle entité permettra à l'Etat, co-actionnaire d'Arianespace, d'accompagner ce processus de rapprochement en vue de préparer l'avenir du futur lanceur Ariane 6.

L’industrie du spatial représente 16 000 emplois en France.

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Sagem reconvertit à nouveau son usine d’électronique de Fougères

Filière électronique>Défense>Aéronautique>Sous traitance>France
17-06-2014 12:47:14 :

Avec le programme militaire FELIN (Fantassin à Equipements et Liaisons Intégrés) qui s’achève, le site de Sagem Fougères (Safran) spécialisé dans l’électronique, entreprend une nouvelle reconversion. Pour compenser cette baisse de charge correspondant à 25% du volume d’affaires du site, Patrice Pérodeau, directeur de l’établissement, explique comment le centre de production va réorganiser ses activités …

La fin du programme FELIN était prévue pour 2015. Mais la Loi de programmation militaire de décembre 2013 a mis un terme à ce contrat avec un an et demi d’avance, entraînant l’annulation de la fabrication de 5000 systèmes FELIN. Et, par conséquent, l’arrêt de l’essentiel de la production sur le site à la rentrée, les tout derniers éléments devant être livrés d’ici la fin de l’année. Pour compenser cette baisse de charge, va être mise en place à Fougères de nouvelles activités.

« Nous allons augmenter le nombre de références de cartes électroniques produites à Fougères, afin de poursuivre et renforcer le développement de cette activité au sein même de l’usine », explique Patrice Pérodeau.

Autre axe de travail envisagé : l’essor de l’offre de service logistique, mettant en œuvre l’expertise du site dans le domaine de la supply chain. Cette nouvelle activité consistera à réaliser la réception, le contrôle d’entrée et le stockage des pièces, la préparation de kits de composants à la demande et leur livraison aux clients intégrateurs.

En 2008, alors que Sagem s’est séparé de l’activité de téléphonie mobile, le site de Fougères s’était déjà reconverti en se spécialisant dans la logistique et la production d’équipements électroniques pour l’aéronautique et la défense (moteurs d’avions et d’hélicoptères, viseurs, systèmes de guidage et de contrôle de missiles ou de drones…).


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Alstom et Saft fournissent à EDF un système de stockage d’énergie par batteries

Industriel>France>Contrats
16-06-2014 11:21:37 :

Le consortium Alstom-Saft vient de signer avec le groupe EDF un contrat cadre et fournit un premier système de stockage d’énergie par conteneur de batteries Lithium-ion (Li-ion) à l’échelle du mégawatt afin de démontrer sa capacité à réguler la fréquence du réseau électrique. La solution de stockage d'énergie par batteries fait partie du projet ‘Nouvelle France Industrielle’, plan lancé par le gouvernement français en 2013 …

La solution MaxSine eStorage d’Alstom, associée au système de stockage Intensium Max 20M de Saft, sera installée sur le réseau expérimental « Concept Grid » d’EDF R&D, dédié au développement des réseaux et des systèmes électriques intelligents. Positionnée sur le site Les Renardières d’EDF, à Moret-sur-Loing, en Seine-et-Marne, il s’agit de la première installation de ce type en France. Le système de stockage et le convertisseur de puissance seront livrés fin 2014.

Dans le cadre de ce contrat, Alstom et Saft fournissent le système de stockage d'énergie et de conversion complet de 1 MW/30min. Saft fournira son conteneur 20 pieds de batteries lithium-ion Intensium Max, tandis qu’Alstom installera sa solution MaxSine eStorage. MaxSine eStorage d’Alstom inclut un convertisseur de puissance qui relie la batterie en courant continu et convertit l’électricité qui sera stockée ou envoyée sur le réseau en courant alternatif. Il comprend également un logiciel de gestion de stockage d’énergie en temps réel, permettant d’optimiser la production d’électricité en fonction des besoins du réseau électrique.

Alstom et Saft ont déjà collaboré sur le projet de démonstration de réseau intelligent Nice Grid (Nice, France), en installant, fin 2013, un système de stockage d'énergie par batterie 1MW apportant une réponse au risque d’instabilité engendrée sur le réseau électrique en cas d’apport massif d’énergie solaire intermittente.


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La JTE (Journée Technique de l’Electronique) réussit son changement d’échelle

Filière électronique>Aéronautique>Industriel>Automobile>France
12-06-2014 16:37:12 :

Pari gagné ! Malgré la grève, la grande majorité des 550 inscrits à la sixième édition de la JTE (Journée Technique de l’Electronique) se sont rendus hier à la Cité des Sciences et de l’Industrie à Paris pour assister à un programme copieux de conférences sur la mobilité du futur et s’informer ainsi sur les attentes des industriels du ferroviaire, de l’aéronautique et du spatial, et de l’automobile, vis-à-vis de leurs fournisseurs de composants électroniques, ainsi que les réponses en terme de projets d’innovations apportées par ces derniers. En parallèle, quelque 85 exposants (fabricants de composants actifs et passifs, fournisseurs de test et mesure, sous-traitants et distributeurs) ont achevé de rendre incontournable ce rendez-vous annuel de la profession …

L’originalité de la manifestation, organisée par Acsiel (Alliance des composants et systèmes pour l’industrie électronique) avec le concours cette année du Simtec et de divers partenaires (All Circuits, Linear Technology, Mouser, In’Voxa et Cap’Tronic) est de réunir dans un même lieu des experts technologiques du monde de l’aval et de l’amont pour préparer l’avenir en favorisant les rencontres et les échanges au travers de conférences et d’exposition de produits. La JTE permet ainsi à ses exposants de présenter les nouveautés et les projets de développement de composants aux concepteurs et aux chefs de projet qui seront directement en charge de leur intégration dans leurs systèmes.

L’Acsiel, né de la fusion du Gixel et du Sitelesc, de par sa nature, a permis cette année d’élargir la JTE, au départ créé par l’ancien syndicat des passifs, - aux semiconducteurs, tant au niveau des exposants que des conférences fournisseurs. La manifestation y a gagné un meilleur équilibre permettant aux visiteurs-technologues d’avoir un panel complet des innovations à sa disposition en termes de composants passifs et actifs.

Devant la variété et la richesse des présentations de la journée, il serait illusoire dans ces colonnes d’en faire un compte-rendu exhaustif. Donnons-en plutôt un aperçu pour montrer à ceux qui n’étaient pas présents ce qu’ils pouvaient en attendre (la prochaine édition de la JTE est d’ores et déjà programmée).

Ainsi dans le ferroviaire (un marché mondial de plus de 100 milliards d’euros dont entre 10 et 12 milliards pour la signalisation, dominé par Alstom, Siemens et Bombardier), les perspectives sont alléchantes pour notre filière, car le secteur a un besoin accru d’électronique. L’intervenant d’Alstom a reconnu que la profession utilisait encore assez mal ses fournisseurs, se comportant souvent en donneurs d’ordres assez rigides, mais souhaitant désormais mieux utiliser les capacités d’ingénierie des fournisseurs. Siemens, de son côté, a mis en avant l’impératif de sécurité du secteur et la durée de vie très importante des matériels (jusqu’à 30 ans) pour insister sur la sureté de fonctionnement, dans un environnement de budgets publics contraints et de pression sur les prix liée aux nouveaux entrants asiatiques. Le constructeur souhaite donc se diriger vers une électronique modulaire et distribuée. Ses besoins vont vers des modules sécurisés et interconnectés (bord à bord et bord à sol), une multitude capteurs (capteurs de type mems, capteurs à effet hall, capteurs optiques, etc.), des étiquette RFID, etc. Les contraintes économiques plaident pour une utilisation croissante de standards industriels en lieu et place d’architectures spécifiques, voire un jour de standards de l’industrie automobile, avance le fabricant. L’équipementier Faivelay, -qui est un peu au ferroviaire ce que Valeo est à l’automobile-, a illustré avec son « e-saver » les spécificités attendues par le ferroviaire. Pour minimiser les pannes, tous les trains restent sous tension, même dans la phase de parking. Afin de réduire la consommation électrique des trains au parking de 15% à 30%, Faiveley a imaginé un dispositif auto-alimenté (vibrations, photovoltaïque) pour abaisser la température qui se « greffe » sur l’électronique existante à bord. Ce système non intrusif et sans maintenance, qui même en cas de panne n’altère pas le fonctionnement des équipements existants, promet un retour sur investissement de un an.

Dans l’automobile, dont la production mondiale a doublé depuis une vingtaine d’années pour représenter, grâce aux pays émergents, 80 millions de voitures par an et bientôt 100 millions, avec un contenu électronique qui s’est envolé (jusqu’à 35% de la valeur du véhicule, contre 5% à 10%, il y a trente ans), les innovations technologiques à venir affolent la filière entre les rêves des constructeurs et les impératifs industriels des équipementiers et des fournisseurs. Chez PSA, par exemple, les trois principaux axes de R&D sont désormais les technologies propres pour abaisser les émissions de CO2, le véhicule connecté et la voiture autonome. Rien que cinq ans en arrière, on parlerait de science-fiction ! Le constructeur réclame ainsi pêle-mêle des capteurs en tout genre pour le véhicule, l’environnement (reconnaissance des panneaux, …) et … le conducteur (PSA envisage que le conducteur puisse lâcher le volant tout en supervisant le système pour pouvoir reprendre la main dès 2017), des algorithmes temps réel, davantage de puissance de calcul, du stockage, des radars, des caméras, des caméras IR, des technologies de sûreté de fonctionnement, des technologies de connectivité « car to car « et « car to infrastructure », de réalité augmentée, etc. En termes de compétences, il a besoin d’ingénieurs bien formés en électronique temps réel, sûreté de fonctionnement, électrotechnique, traitement d’images, etc. Quant à son réseau de fournisseurs, il les veut connectés et présents sur chaque continent (Europe, Etats-Unis, Chine-Japon-Corée, et Inde).

De son côté, Valeo rappelle avant tout chose que ses clients restent très sensibles aux coûts et que le client final ne veut pas lui, par exemple, payer un surcoût pour un dispositif de réduction des émissions de CO2. D’autant que cela ne constitue pas une fonctionnalité supplémentaire tangible dont il verrait le bénéfice. Par ailleurs, devant la prolifération technologique de solutions toutes différentes, les volumes de production demandés par les constructeurs deviennent très incertains, s’inquiète l’équipementier. Un manque de visibilité qui était jusqu’ici inhabituel dans l’automobile. Pour faire face à cette instabilité, l’équipementier oriente sa R&D vers le développement de mini-blocs intégrant, par exemple, une partie CPU et une partie module de puissance, de façon à assembler ces mini-blocs pour réaliser une fonction afin de partager leur coût de développement sur plusieurs applications. Et sans ambages, Valeo prévient que ces économies d’échelle qu’il recherche, il les veut aussi chez ses fournisseurs. Ces derniers ont présenté notamment des filières technologiques prometteuses (module de puissance GaN dans le cadre du projet MeGaN emmené par Renault aux côtés de 17 partenaires pour un budget de 43 M€, présenté par Loupot, filiale d’Axon Cable ; filière de circuits SiC chez STMicroelectronics). Mais, en tout état de cause, ces innovations ne seront déployées dans l’automobile que si les constructeurs et les équipementiers ont la certitude que « le risque lié à ces ruptures est sous contrôle ».

Les mêmes impératifs ont été mis en avant dans la matinée pour la filière aéronautique et spatial. La prolifération des capteurs pour « instrumenter tout, puisque ça ne coûte pas cher » ; le besoin d’une filière de processeurs industriels spécifiques à l’embarqué ; l’impératif de la sûreté de fonctionnement et de la sécurité des systèmes d’information ont notamment été mis en avant par Dassault Aviation pour ses projets dans les drones, ou avions automatiques connectés. Pour Safran, engagé dans un avions toujours plus électrique, la tendance est à mettre l’électronique à l’extérieur du fuselage au plus près des actionneurs et non plus confinée dans la soute (aux composants et aux sous-systèmes de s’adapter à cet environnement sévère). Enfin, l’importance des gains à effectuer en matière de batteries et plus généralement en termes de densité de puissance a été soulignée par Airbus dans le cadre de la présentation de son avion bi-place tout électrique E-Fan.

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