Logo Vipress
ARCHIVES VIPRESS.NET - VIPRESS.NET - NOUVEAUX PRODUITS - PUBLICITE - CONTACT NEWSLETTER GRATUITE
publicité
   
VIPRESS.NET : ARCHIVES TECHNO
DISTRIBUTION
Accords de distribution
PRODUITS
Semiconducteurs
• Circuits analogiques
• Circuits logiques
• MOS Micro
• Mémoires
• Discrets
Capteurs/Opto/Mems
Passifs
Afficheurs
Logiciels
Modules & Cartes
Energie
Développement
Mesure
Production
Newsletter gratuite
Tarifs pub, lectorat
OEM : 964 article(s).
Alstom récupère l’activité de signalisation ferroviaire de GE

Industriel>France>Etats Unis>Fusions Acquisitions>Stratégie>Politique
23-06-2014 14:30:38 :

General Electric a été préféré à Siemens-Mitsubishi pour la reprise des activités énergie et réseaux d’Alstom. Dans le cadre d’un accord multi-facettes, qui verra l’Etat français prendre 20% du capital d’Alstom, ce dernier va hériter de l’activité de signalisation ferroviaire de GE …
 
publicité


En effet, GE propose à Alstom de créer une alliance globale dans le ferroviaire avec la vente par GE pour un montant de 825 millions de dollars (602 millions d’euros) de son activité de signalisation -qui représente un chiffre d'affaires d'environ 500 millions de dollars en 2013 et emploie 1200 salariés- et la signature d'un ensemble d'accords de coopération portant sur les services aux locomotives de GE en dehors des Etats-Unis, la R&D, l'approvisionnement, la fabrication, et l'assistance commerciale aux Etats-Unis.

Avec 27 000 employés dans 60 pays, dont 9000 en France, les activités Transport d’Altsom dont le siège social est basé à Saint-Ouen - ont réalisé un chiffre d'affaires de 5,5 milliards d'euros sur l'exercice 2012/13. Alstom Transport est un des leaders mondiaux du marché des équipements ferroviaires, systèmes, services et signalisations pour les lignes nationales, régionales, suburbaines et urbaines ainsi que pour le fret.

Comme annoncé initialement, GE propose le rachat des activités Energie d'Alstom, regroupant les secteurs Thermal Power (Energies Thermiques), Renewables (Énergies Renouvelables) et Grid (Réseaux), ainsi que les services centraux et partagés, pour un prix ferme et définitif de 12,35 milliards d'euros, correspondant à une valeur d'entreprise de 11,4 milliards d'euros.

Selon les termes de l'offre actualisée, après la réalisation de l'opération sur les activités Énergie d'Alstom, GE et Alstom créeront des co-entreprises dans le domaine des réseaux et celui des énergies renouvelables.

Alstom et GE détiendraient l'un et l'autre une participation de 50% dans une co-entreprise Réseaux, qui regroupera les activités globales d'Alstom Grid et de GE Digital Energy. Alstom et GE détiendraient également l'un et l'autre une participation de 50% dans la co-entreprise dédiée aux énergies renouvelables qui regrouperait les activités Eolien en mer et Hydro-électrique d'Alstom.

De plus, Alstom et GE créeront une alliance à 50/50 portant sur les activités nucléaires dans le monde et la vapeur en France, qui inclurait la production et la maintenance de la gamme d'équipements "Arabelle" pour centrales nucléaires, ainsi que les équipements de turbines à vapeur d'Alstom et leur maintenance sur le marché français. De plus, l'Etat français disposerait d'une action préférentielle lui accordant des droits de veto ainsi que des droits de gouvernance spécifiques dans le domaine de la sécurité et des technologies pour centrales nucléaires en France.

Au total, l’investissement d’Alstom dans les co-entreprises s’élèvera à environ 3,5 milliards de dollars (2,6 milliards d’euros). Compte tenu de cet investissement par Alstom, l’investissement net en numéraire pour GE s’élève à 10 milliards de dollars (7,3 milliards d’euros).

Enfin, un accord est intervenu entre l’Etat et Bouygues donnant option à l'Etat d'acquérir auprès de Bouygues jusqu'à 20% du capital d'Alstom. « L’accord conclu avec Bouygues donne à l’Etat les moyens d’acquérir avec certitude 20% du capital d’Alstom. Il préserve l’intérêt patrimonial de l’Etat tout en lui garantissant les droits de gouvernance qu’il recherchait pour garantir l’intérêt de long terme d’Alstom », a commenté Arnaud Montebourg, ministre de l’économie.



Le marché du ferroviaire dominé par Alstom, Siemens et Bombardier représente plus de 100 milliards d’euros par an dont entre 10 et 12 milliards pour la signalisation, un secteur qui présente un besoin accru d’électronique, comme l’a présenté à la JTE 2014, José Taborda, vice-président Signalling Sourcing, Supply Chain & Industrial chez Alstom Transport.

Retour en haut

Un consortium français pour créer une plateforme logicielle libre pour l’automobile

Automobile>Logiciels>France>Accords>Grands Programmes
19-06-2014 13:02:38 :

ESG Automotive France s’est associé à des partenaires industriels et à des chercheurs français dans le projet FREENIVI, qui, à l’initiative de de la société Open Wide Ingénierie, a l’ambition de créer, pour la première fois en France, un consortium ayant pour objet de fournir une plate-forme logicielle entièrement libre dédiée à la conception des systèmes embarqués pour le secteur automobile

Le consortium réunit aussi l’IRT SystemX, le laboratoire IRCCyN de l’École Centrale de Nantes et le laboratoire LIAFA de l’Université Paris Diderot. Il a reçu le support officiel des constructeurs PSA Peugeot Citroën et Renault.

À l’origine, un constat partagé : si les briques de base permettant l’élaboration de systèmes embarqués complexes pour la filière automobile existent bien dans le mouvement open source, il n’existe aucune plateforme globale et cohérente directement utilisable pour mener à bien des projets opérationnels. De telles plateformes ont pourtant déjà été mises en œuvre dans d’autres domaines, en particulier l’aéronautique.

« Les industriels se tournent donc au final vers des solutions propriétaires intégrant des composants open source mais aussi des solutions fermées. Ils ne bénéficient alors plus directement des apports de la communauté et restent liés aux choix de l’éditeur en termes de roadmap, déplore le consortium.

Pour développer cette plateforme entièrement libre, le consortium FREENIVI a démarré un projet collaboratif de 36 mois, doté d’un budget de 5 millions d’euros, et bénéficiant d’un financement de l’État et de la région Ile-de-France dans le cadre de l’appel à projets FUI16. Le projet est labellisé par le pôle de compétitivité System@tic.

Le consortium ne considère ce projet que comme une première étape avant la constitution d’une communauté active autour de la plateforme FREENIVI, à même de fédérer les différents acteurs du secteur.

Retour en haut

Le prix « ingénieur général Chanson » décerné aux Chronomems, pour la maintenance prédictive des matériels

Défense>Capteurs/mems/Opto>France
19-06-2014 13:01:57 :

Le prix « ingénieur général Chanson », décerné par l'Association de l'armement terrestre (AAT) dans le cadre du salon Eurosatory, récompense en 2014 les travaux sur les ChronoMEMS. Ne nécessitant aucune énergie pour fonctionner, un ChronoMEMS assure la détection et le comptage passif d’événements susceptibles d’altérer les structures par fatigue, ainsi que la mémorisation et le stockage des données sous une forme mécanique …

Selon les professionnels de la défense, c’est une avancée considérable pour la sécurité de fonctionnement de tout type de plateformes terrestre, navale, aéronautique ou spatiale.
Initiés par Pierre-François Louvigné (direction générale de l’armement), les travaux sur les ChronoMEMS ont été menés par Patrice Minotti (PME SilMach) et leur première application sur le pont d’assaut modulaire SPRAT a été conduite par Alexandre Ganzin (société CNIM). Vincent Imbert, directeur général adjoint de la DGA, a remis leur prix aux 3 lauréats.

Un capteur ChronoMEMS est fabriqué sur substrat de silicium au moyen de procédés dérivés de la microélectronique. Il fournit directement le nombre de dépassements d’un ou de plusieurs seuils de contraintes prédéfinis. Entièrement mécanique et donc extrêmement robuste, inviolable, insensible aux environnements électromagnétiques, pratiquement perpétuel, il est totalement fiable car, à moins d’être détruit, il ne perd jamais l’historique affiché sur sa roue codeuse. Très compact, sans entretien, facile à poser et exploiter, n’exigeant aucune opération de câblage ni branchement et pourtant accessible et consultable en permanence par lecture directe ou à distance, un ChronoMEMS n'a besoin d'aucune source d'énergie pour fonctionner car il est conçu pour réagir à l'apparition d’un événement en exploitant uniquement l'apport énergétique de celui-ci. Son emploi est envisagé dans une large gamme d’applications à caractère industriel ou scientifique, y compris en environnement sévère.

L'Association de l'armement terrestre (AAT) attribue chaque année le prix « ingénieur général Chanson » destiné à mettre en évidence et à récompenser des travaux permettant des progrès importants dans le domaine de l'armement terrestre. L’AAT regroupe des membres de la communauté des armements terrestres appartenant ou ayant appartenu à la DGA, aux armées, à l'industrie ou à la recherche.

Retour en haut

Schneider Electric finalise la cession de la division électroménager d'Invensys

Industriel>Sous systèmes>France>Europe>Fusions Acquisitions
19-06-2014 13:01:03 :

Schneider Electric vient de finaliser la vente de la division composants pour l’électroménager d’Invensys, qui sera renommée Robertshaw Controls Company, à une filiale de Sun European Partners. Le montant de la transaction s’élève à 150 millions de livres sterling. Cette activité ne rentrait pas dans le cœur de métier de Schneider Electric …

La division Appliance est un des principaux fournisseurs mondiaux de composants et systèmes qui contrôlent le fonctionnement des appareils de cuisson, de réfrigération, de lessive et de vaisselle, tant sur les marchés résidentiels que commerciaux. Au cours de l’exercice fiscal achevé le 31 mars 2013, la division avait enregistré un résultat d'exploitation avant les éléments exceptionnels de 8 millions de livres sterling pour un chiffre d’affaires de 331 millions de livres sterling, net des opérations interentreprises.

Schneider Electric avait bouclé l’acquisition du Britannique Invensys en janvier dernier. Avec cette acquisition, Schneider Electric a accru ses capacités de fournisseur de solutions intégrées combinant gestion de l’énergie et technologies d’automatismes. Le montant de cette OPA à l’amiable avait été de 3,3 milliards de livres (3,8 milliards d'euros). Invensys avait réalisé en 2012 un chiffre d’affaires de 1,7 milliard de livres (près de 2 milliards d’euros) pour un bénéfice d’exploitation de 131 M£.

Spécialiste mondial de la gestion de l'énergie, présent dans plus de 100 pays, Schneider Electric emploie plus de 150 000 personnes et a réalisé 24 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2013.

Retour en haut

Nouvelle France industrielle : les plans « objets connectés » et « santé-médical » en ordre de bataille

Filière électronique>Télécoms>Médical>France>R&D>Politique
19-06-2014 12:58:21 :

Réuni le 18 juin sous l’égide du Ministre de l’économie, le comité de pilotage de la Nouvelle France industrielle a validé cinq nouvelles feuilles de route des 34 plans de reconquête industrielle. Parmi elles, celles concernant les plans « objets connectés », « santé numérique » et « dispositifs médicaux et nouveaux équipements de santé ». Une première « Cité de l'objet connecté » va notamment être créée à Angers …

Issues des travaux pilotés depuis l’automne par les chefs de projet industriels, ces feuilles de route fédèrent les investissements des acteurs industriels et les leviers de la puissance publique autour d’objectifs communs : des nouveaux produits, des nouveaux services, des nouveaux investissements et de l’emploi.

Parmi les 5 plans validés hier :
« Objets connectés » : Avec des entreprises telles que Medissimo, Myfox, Netatmo, Parrot, Sen.se, Sigfox ou Withings, la French Tech dispose de précurseurs des « objets connectés ». Le plan vise à renforcer et développer cette offre « made in France » de lieux de création et d’industrie dédiés. L’action-phare est en effet la création à Angers d’une première « Cité de l'objet connecté » qui rassemblera designers, assembleurs et sous-traitants de la plasturgie et de la mécanique, pour mettre au point les nouveaux objets de cette révolution numérique. 15 M€ d’investissement et 50 personnes seront nécessaires au fonctionnement de cette cité d’un nouveau type, propice au croisement des expertises électroniques et mécaniques, et créée sous l’impulsion d’Eolane et d’industriels locaux.

« Santé numérique » : l’accès universel aux soins subit la pression d’un double effet : l’augmentation des dépenses de santé, liée notamment à l’allongement de la durée de vie et des contraintes budgétaires qui pèsent sur les dépenses publiques. L’innovation par les outils numériques peut nous faire gagner en efficacité à qualité égale voire supérieure. En mettant l’accent sur la télémédecine, le traitement par le big data des données de santé ou la médecine personnalisée, le plan propose des voies concrètes pour mieux soigner à moindre coût, tout en développant de nouvelles activités économiques en France.

« Dispositifs médicaux et nouveaux équipements de santé » : les industries de santé vivent actuellement une révolution technologique. Pour s’assurer qu’elle s’accompagnera de créations d’emplois en France, il nous faut convertir notre excellence au stade de la recherche en innovations et réussites industrielles, ce, autour d’Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) à même de consolider les talents.

Cette nouvelle étape porte à 21 le nombre de plans opérationnels. D’ici le 14 juillet, les 13 autres derniers les rejoindront.
Consulter le détail des feuilles de route des 34 plans de reconquête industrielle.

Retour en haut

Schneider Electric réorganise son outil industriel en France

Industriel>France>Restructurations>Stratégie>Revue de presse
18-06-2014 13:03:30 :

Le quotidien Les Echos révèle ce matin l’intention du groupe Schneider Electric de réorganiser son dispositif industriel en France, en transférant à l’export une partie des productions des sites français pour se rapprocher des zones de ventes. Cette réorganisation qui concerne une dizaine de sites, devrait conduire à la suppression d’environ 200 emplois en France …

Sont concernés notamment par cette réorganisation industrielle pour s’affranchir d’un euro fort, les deux usines de Schneider à proximité de Dijon.

« Ce projet vise à sauvegarder la compétitivité de nos usines. L'investissement est déprimé en Europe et surtout en France. C'est la raison pour laquelle nous voulons regrouper certains sites de production en les transformant en pôles régionaux à vocation européenne », a expliqué au quotidien économique une porte-parole du groupe de matériels électriques.

Retour en haut

<<-Précédent Page 44 sur 161 Suivant->>
  ARCHIVES BUSINESS
publicité
  CONJONCTURE
  ETUDES DE MARCHE
  ENTREPRISES
  SEMICONDUCTEURS
  PASSIFS
  AFFICHEURS
  AUTRES COMPOSANTS
  CAO- MESURE
  PRODUCTION
  SOUS-TRAITANCE
  DISTRIBUTION
  OEM
  THEMES
  FUSION-ACQUISITION
  ACCORDS
  RESTRUCTURATIONS
  INVESTISSEMENTS
  R&D
  FINANCE
  PAYS
  FRANCE
  EUROPE
  ETATS-UNIS
  JAPON
  CHINE
  ASIE HORS CHINE
  RESTE DU MONDE
  ECONOMIE
  Politique INDUSTRIELLE
  GRANDS PROGRAMMES
  EMPLOI
  NOMINATIONS
 


© VIPRESS - Soyez le premier informé !
Mentions légales