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Politique INDUSTRIELLE : 195 article(s).
Une initiative pour promouvoir l'écosystème régional des systèmes embarqués en Midi-Pyrénées

Filière électronique>France>Politique
24-09-2014 14:27:12 :

A l'occasion de l'Innovation Connecting Show, le Cluster d'entreprises numériques de Midi-Pyrénées DigitalPlace et le pôle de compétitivité aéronautique, espace et systèmes embarqués Aerospace Valley, ont présenté l'initiative Embedded System Market Place (ESMP). L'initiative ESMP poursuit un objectif simple : faire de Midi-Pyrénées, à horizon 2017, la référence européenne de l'intelligence embarqué afin d'attirer de nouveaux industriels sur le territoire et de réaliser de grands projets …
 
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Selon les promoteurs de l’initiative, la région Midi-Pyrénées préseente plus forte concentration de cerveau en systèmes embarqués de l'hexagone. Les systèmes embarqués sont au cœur des grandes réussites industrielles régionales, tous domaines confondus et notamment chez Airbus. Ils sont pourvoyeurs de milliers d'emplois hautement qualifiés, mobilisent des centaines de chercheurs. « Cependant, ils ne sont pas clairement identifiés et structurés comme l'un de ces « systèmes locaux de compétences » à même d'offrir un changement de paradigme de développement à une économie locale, encore trop focalisée sur un seul domaine industriel », constatent DigitalPlace et Aerospace Valley.

C'est ainsi que l'initiative ESMP a vu le jour, déclinaison dans la région de Embedded France.
Eric Bantegie, président de l'association Embedded France explique l'importance de la filière : « Avec la création d'Embedded France, nous visons à développer l'emploi dans la filière des systèmes et logiciels embarqués « made in France », à contribuer à la compétitivité de l'industrie française et à structurer des projets de développement pour la filière ».

Gérard Ladier, directeur général adjoint d'Aerospace Valley, poursuit : « L'initiative ESMP a été lancée par Aerospace Valley, DigitalPlace et le Syntec Numérique en particulier, pour donner de la visibilité au domaine des systèmes embarqués, aux compétences locales sur le sujet et identifier quelques axes stratégiques forts de développement de l'écosystème ».

Et Jean-Pierre Bayol, Directeur Général du Cluster DigitalPlace de renchérir « Au croisement des systèmes embarqués et du web se trouve l'internet des objets. De 3 milliards d'objets connectés à ce jour, nous passerons à plus de 40 milliards en 2020. ESMP a pour objectif de mettre en valeur les expertises historiques et uniques de la région dans les systèmes embarqués mais également dans la collecte, le traitement, la sécurisation et la visualisation de ces gigantesques masses de données communément appelées le « Big Data ». Une formidable opportunité pour l'écosystème numérique et l'industrie régionale ! ».


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Investissements d'avenir : 5 projets retenus dans le programme « Territoire de soins numérique »

Médical>France>Politique>Grands Programmes
18-09-2014 13:38:05 :

Le Premier ministre a sélectionné 5 projets dans le programme « Territoire de soins numérique ». Lancé dans le cadre des Investissements d’avenir et doté de 80 millions d’euros, le programme « Territoire de soins numérique » vise à moderniser le système de soins en expérimentant, dans certaines zones pilotes, les services et les technologies les plus innovants en matière d’e-santé …

Sur les 18 projets portés par les agences régionales de santé, 5 ont été sélectionnés « pour leur caractère innovant et pérenne, leur adaptation aux réalités territoriales, leur capacité à mobiliser une majorité d’acteurs et leur impact escompté sur le développement des filières industrielles de l’e-santé », selon le communiqué du gouvernement.

Les 5 projets retenus sont :
• pour la région Aquitaine : XL ENS (Landes espace numérique de santé) ;
• pour la région Bourgogne : E_TICSS (Territoire innovant coordonné santé social) ;
• pour la région Ile-de-France : TerriS@nté (« Le numérique au service de la santé en métropole du Grand-Paris ») ;
• pour la région Rhône-Alpes : PASCALINE (Parcours de santé coordonné et accès à l’innovation numérique) ;
• pour l’Océan indien : PLEXUS OI (Plateforme d’échange pour les nouveaux usages des TC en santé dans l’océan indien).

Ces projets concernent directement 1,4 million d’habitants, aussi bien citadins que ruraux, et répondent directement aux enjeux identifiés dans la stratégie nationale de santé et le projet de loi de santé. Au terme du programme, les solutions qui auront démontré leur efficacité seront généralisées.

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Bruxelles approuve une aide française de 86,6 M€ au programme de recherche SuperGrid

Industriel>France>Europe>R&D>Politique
17-09-2014 14:25:13 :

La Commission vient d’autoriser l'aide octroyée par la France à l'Institut pour la transition énergétique SuperGrid pour la réalisation d'un projet de recherche visant à développer une nouvelle génération de réseaux de transport d'énergies sur longues distances. En 2013, la France a notifié son projet d'octroyer une aide de 86,6 millions d'euros sous la forme d'une subvention à la SAS SuperGrid, start-up constituée pour gérer le partenariat public-privé réalisé à cette fin …

Parmi les porteurs industriels du projet, citons : Alstom, Nexans, RTE, EDF, Vettiner, Ion Beam Services et Novasic. L’institut Supergrid a pour objectif de développer les technologies pour les futurs réseaux de transport de l’énergie électrique, utilisant du courant continu et du courant alternatif à fortes tensions (de l’ordre d’un million de volts), conçus pour acheminer à grande-échelle de l’énergie produite par des sources renouvelables éloignées des centres de consommation, dont une partie significative se trouve en mer, et qui permettront en lien avec des moyens de stockage flexibles, de gérer le caractère intermittent des énergies renouvelables et d'assurer la stabilité et la sécurité du réseau.

Des travaux de R&D seront nécessaires autour de l'acheminement de l'énergie depuis de longues distances (y compris une nouvelle génération des câbles, de nouveaux convertisseurs et des technologies de stockage et de stabilisation). Les compétences de nombreux partenaires (6 publiques et 6 privés) seront mutualisées pour développer les technologies du SuperGrid. Si les projets de R&D menés s'avèrent fructueux, des licences d'exploitation des brevets seront vendues aux industriels intéressés dans des conditions de marché.

Plus d’infos sur Supergrid.

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Sagemcom, Itron et Landis+Gyr se partagent l’essentiel du contrat de 250 millions d’euros des compteurs Linky

Industriel>France>Contrats>Politique
08-09-2014 14:12:04 :

ERDF vient d’officialiser l’attribution des marchés pour la fabrication des trois premiers millions de compteurs communicants Linky. Comme annoncé, les constructeurs retenus à l’issue d’une consultation européenne lancée fin 2013 sont le Suiise Landis+Gyr, l’Américain Itron, le Français Sagemcom, l’Espagnol ZIV, le Français MAEC et l’Allemand Elster, pour un montant total de près de 250 M€. Sagemcom, Itron et Landis+Gyr se partagent l’essentiel du contrat …

Sagemcom, Itron et Landis+Gyr n’ont en effet pas tardé à crier victoire en publiant des communiqués. Ils sont les trois grands gagnants de ce premier appel d’offres. La pose de ces compteurs démarrera à partir du second semestre 2015.

Pour cette première tranche, les volumes concernés sont de trois millions de compteurs Linky et 80 000 concentrateurs de données, avec une répartition entre la technologie G1 (CPL-PLAN) et la technologie G3 (CPL-OFDM).

Le Suisse Landis+Gyr, qui appartient au groupe Toshiba, annonce la signature d’un contrat d’une valeur de près de 60 millions d’euros pour la fourniture de compteurs Linky à ERDF. Ces compteurs seront produits en France, à Montluçon.

De son côté, Sagemcom confirme ainsi avoir reçu une commande d’ERDF de plus de 1,2 million de compteurs et concentrateurs de données Linky (dont près de 800 000 en tranche ferme). Avec près d’1 million de produits à déployer d’ici à 2017, Sagemcom estime être le seul acteur à être présent sur l’intégralité de la chaine de comptage communicant G3, technologie à fort potentiel d’export ; Sagemcom emploie 250 personnes à son siège de Rueil-Malmaison pour la recherche, le développement, la conception, le marketing des compteurs, des concentrateurs de données et des logiciels pour la gestion de l’électricité, du gaz, et de l’eau. La fabrication de ces produits communicants en grande série sera assurée à Dinan.

L’Américain Itron va, pour sa part, fournir de 1,2 million à 1,6 million des compteurs communicants Linky qui seront déployés par ERDF pour la première phase du programme. Itron livrera les compteurs de septembre 2015 à fin 2016. Itron, qui a un usine dans la Vienne, à à Chasseneuil-du-Poitou.

Ces premiers appels d’offres seront suivis de nouvelles consultations pour l’achat des prestations de pose (réalisé au fur et à mesure du déploiement), ainsi que pour l’achat des matériels liés au déploiement de la seconde tranche de 32 millions de compteurs. D’autres appels d'offres pour la fabrication des compteurs, la prestation de pose et le recyclage des compteurs déposés seront ainsi lancés dans l’objectif de remplacer 90% des compteurs dans les 35 millions de foyers français d’ici 2021. Une Directive européenne prescrit que 80% des compteurs électriques soient communicants d’ici 2020.

Près de 10 000 emplois devraient être créés en France pour la conception, la fabrication du compteur et de certains de ses composants, et la prestation de pose. La pose des compteurs à elle seule mobilisera jusqu’à 5000 techniciens au quotidien, dans toutes les régions.

ERDF exploite déjà un parc de près de 300 000 compteurs communicants. L’expérimentation du compteur nouvelle génération s’est appuyée sur un consortium intégrant 3 constructeurs d’équipements : Landis&Gyr, Itron et Iskraëmeco, ce dernier, associé à AsteelFlash n’ayant finalement pas été retenu pour la fabrication des 3 premiers millions d’exemplaires.

Dossier de presse du compteur Linky

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Circuits pour cartes à puce : Bruxelles inflige une amende de 138 millions d'euros

Sécurité>Semiconducteurs>Europe>Politique
03-09-2014 13:35:18 :

La Commission européenne a constaté qu’Infineon, Philips, Samsung et Renesas (à l'époque une entreprise commune de Hitachi et de Mitsubishi) ont coordonné leur comportement sur le marché des circuits pour cartes à puce dans l’Espace économique européen (EEE), en violation des règles de l’UE qui interdisent les ententes. La Commission leur a infligé des amendes pour un montant total de 138.048.000 euros, dont 82,78 M€ pour Infineon, 35,12 M€ pour Samsung et 20,15 M€ pour Philips. Renesas a bénéficié de l'immunité pour avoir révélé l'existence de l'entente à la Commission …

« Ces entreprises se sont livrées à des pratiques collusoires en entretenant des contacts bilatéraux de septembre 2003 à septembre 2005. Les entreprises impliquées dans le cartel se sont entendues grâce à un réseau de contacts bilatéraux en vue de décider de leurs réponses respectives aux clients désireux d'obtenir des baisses de prix. Elles ont procédé à des échanges de vues et d'informations commerciales sensibles concernant les prix, les clients, les négociations contractuelles, les capacités de production ou l’utilisation des capacités et leur comportement futur sur le marché », commente la Commission.

Samsung a bénéficié d’une réduction de 30% pour avoir coopéré avec l’enquête. Philips a cédé ses activités dans le domaine des circuits pour cartes à puce après l’infraction, mais reste responsable de ce qui s’est passé au cours de la période d’infraction, selon la Commission.
Infineon a réagi, rejetant les accusations, et a décidé de faire appel devant la Cour de justice de l’Union européenne.



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L’Europe planche sur une réattribution de la bande de 700 MHz au haut débit sans fil

Télécoms>Grand public>Europe>Politique
02-09-2014 13:38:07 :

Neelie Kroes, vice-présidente de la Commission européenne, s'est vu remettre hier par Pascal Lamy, ancien membre de la Commission, un rapport sur l’utilisation optimale de la bande UHF, c'est-à-dire la bande de 700 mégahertz (MHz), au cours des prochaines décennies. Ce rapport doit permettre d'organiser à long terme l’avenir des services à haut débit, de la radiodiffusion et des autres services sans fil en Europe …

Le Rapport de Pascal Lamy propose une formule «2020-2030-2025» pour la réalisation des objectifs de la stratégie numérique pour l'Europe en matière de haut débit, un processus en trois étapes accompagné de perspectives précises pour la radiodiffusion, de manière à favoriser les investissements et le développement du secteur :
la bande de 700 MHz (la bande 694-790 MHz est actuellement exploitée par les réseaux de radiodiffusion hertzienne et les microphones sans fil) devrait être totalement réaffectée au haut débit sans fil dans toute l’Europe d'ici à 2020 (avec une tolérance de deux ans).
• la sécurité et la stabilité de la réglementation concernant l'utilisation du reste du spectre UHF, c'est-à-dire les fréquences inférieures à 700 MHz, devraient être préservées pour les radiodiffuseurs hertziens jusqu’en 2030.
• afin de tenir compte de l'évolution de la demande des consommateurs ainsi que des nouvelles technologies, telles que les réseaux convergents ou le déploiement de la fibre optique à grande échelle, un bilan de l’utilisation du spectre UHF devrait être réalisé d’ici à 2025.

« Le rapport de Pascal Lamy établit une trajectoire permettant de créer des capacités pour généraliser le haut débit sans fil et d'assurer un avenir stable et prévisible à la radiodiffusion hertzienne, tout en laissant aux États membres qui le désirent la possibilité de progresser plus rapidement. Il devrait également garantir une coexistence durable entre ces deux secteurs qui tendent à se focaliser toujours davantage sur les services de médias de pointe. Il y va de notre avenir numérique en mutation et de la défense de nos intérêts dans les négociations internationales », a déclaré Neelie Kroes.

Réagissant à la publication du rapport, la GSMA, association qui représente les intérêts des opérateurs de téléphonie mobile à travers le monde, a déclaré : « Nous apprécions les efforts entrepris par la Commission européenne en vue de se pencher sur l'avenir de ce spectre important et nous accueillons l'appel lancé pour que la bande de fréquences 700 MHz puisse être réorientée vers le haut débit mobile dans l'Union européenne d'ici à 2020 ».

Pour autant, elle se déclare préoccupée par le fait que les recommandations du rapport sur les fréquences inférieures à 700 MHz (470-694 MHz) pourraient placer l'Europe en position de désavantage concurrentiel par rapport à d'autres régions. « La limitation de la flexibilité de l'Europe sur la coexistence possible des services de radiodiffusion mobiles et numériques jusqu'à 2030 découragera l'investissement dans les principaux réseaux mobiles du monde », ajoute la GSMA. Bruxelles devra trancher.

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