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Politique INDUSTRIELLE : 195 article(s).
Bruxelles autorise l’acquisition par Siemens de la division «signalisation ferroviaire» d’Invensys

Industriel>Europe>Fusions Acquisitions>Politique
24-04-2013 15:36:15 :

La Commission européenne a autorisé, en vertu du règlement sur les concentrations de l'UE, l'acquisition, par l'entreprise allemande Siemens, d'Invensys Rail, la division «signalisation ferroviaire» de l’entreprise britannique Invensys Group. Son enquête a confirmé qu’Invensys Rail et Siemens n’étaient pas de proches concurrents et que l’entité issue de la concentration continuerait d’être confrontée à la concurrence de plusieurs autres concurrents puissants, tels que Thales, Alstom, Bombardier et Ansaldo …
 
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Siemens avait annoncé fin novembre un accord pour racheter Invensys Rail, l’activité automation ferroviaire du Britannique Invensys. Le montant de l’acquisition est de 2,2 milliards d’euros. Invensys Rail est spécialisé dans les équipements et les logiciels de signalisation ferroviaire avec un chiffre d’affaires de l’ordre de 800 millions de livres (991 M€).
Au terme de son exercice fiscal clos fin mars 2012, Invensys Rail, qui emploie 3200 personnes, disposait d’un carnet de commandes de 1,2 milliard de livres (1,49 milliard d’euros). Siemens possède également une activité dans le ferroviaire qui emploie 6500 personnes pour un chiffre d’affaires de 1,4 milliard d’euros. Le groupe allemand attend plus de 100 M€ d’économies liés aux synergies entre les deux activités réunies d’ici à 2018.

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150 M€ seront mobilisés par la commission « Innovation 2030 »

Filière électronique>France>R&D>Politique
09-04-2013 14:25:45 :

Anne Lauvergeon présidera, sous l’égide d’Arnaud Montebourg, ministre du redressement productif, la commission « Innovation 2030 » composée d’industriels, de scientifiques et de représentants de la société civile. Sa mission sera de proposer au gouvernement d’ici à l’été les secteurs et les technologies où la France est susceptible d’occuper des positions de leader à l'horizon 2030, en privilégiant les activités qui répondront aux besoins de la société de demain et créeront la plus grande valeur et le plus d'emplois sur notre territoire. 150 M€ seront mobilisés pour stimuler la créativité des entreprises …

Le gouvernement lancera un concours d’innovation pour chaque défi industriel qu’il aura ainsi sélectionné, ouvert à toutes les entreprises, start-up, ETI, grands groupes, et entreprises étrangères qui veulent se développer en France. Il consacrera 150 M€ issus du programme Investissements d’avenir et gérés par la Banque publique d’investissement pour stimuler la créativité de nos entreprises et mobiliser des financements privés importants.

« Les projets les plus prometteurs seront accompagnés dans la durée jusqu’à leur industrialisation et l’ensemble des instruments publics seront mobilisés et mis en cohérence pour accélérer leur développement et faire émerger les champions de demain », assure le communiqué du gouvernement.

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57 millions d’euros pour 14 projets pilotes d’e-santé

Filière électronique>Médical>France>R&D>Politique
26-03-2013 15:08:44 :

14 projets pilotes de services numériques dans le domaine de l’e-santé ont été sélectionnés dans le cadre de l’appel à projets d’e-Santé, mené dans le cadre des Investissements d’avenir. Retenus par le gouvernement en raison de leur caractère innovant et des perspectives de valorisation économique qu’ils ouvrent, ces projets représentent un investissement total par les lauréats, entreprises et partenaires, de plus 57 millions d’euros. Ils recevront une aide globale de 23 millions d’euros : les subventions s’échelonnant de 300 000 euros à 4 millions d’euros par projet. Notons la sélection d’Axon’ Câble pour le projet Domocare de plateforme de services pour le maintien sur leur lieu de vie de personnes fragiles …

Sous l’intitulé «Développement de services numériques pour la santé et l’autonomie» cet appel à projets est dédié au soutien au déploiement expérimental de technologies et de services numériques dans le champ de la santé.

Les projets soutenus couvrent des champs d’innovation majeurs de l’e-santé, tels que la télémédecine, la prise en charge à domicile de patients atteints de maladies chroniques (soins, télésurveillance, éducation thérapeutique), l’aide pour le maintien à domicile de personnes fragiles ou dépendantes (surveillance, coordination des acteurs sanitaires et médico-sociaux ainsi que des aidants, lien social, stimulation, serious game), et l’information des patients et des soignants.

« Ces 14 projets permettront à la fois d’améliorer et de valider les technologies et les services d’e-santé déployés à une échelle significative, mais aussi d’évaluer les usages et les modèles économiques de ces solutions », commente le gouvernement.

Les projets retenus reposent sur des collaborations entre des entreprises technologiques innovantes, des établissements de santé, des universités et leurs laboratoires de recherche, ainsi que des collectivités.

Liste des projets lauréats

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L’Europe veut mesurer l’empreinte carbone des technologies de l’information et des communications

Filière électronique>Europe>Politique
20-03-2013 14:31:55 :

La Commission européenne a engagé avec 27 associations et entreprises de haute technologie d’envergure mondiale des travaux qui visent à mesurer l’empreinte carbone qu’elles laissent du fait de la fabrication, du transport et de la vente de produits, réseaux et services TIC. L’objectif est de se doter d’un cadre commun de mesure permettant de mieux évaluer, et au final de réduire, les émissions de CO2 …

Les produits et services TIC consomment aujourd’hui 8 à 10% de l’électricité dans l’Union européenne et produisent jusqu’à 4% de ses émissions de carbone. « Il est essentiel de disposer de mesures de l’impact environnemental du secteur des TIC plus transparentes si l’on veut favoriser une utilisation mondiale plus durable des ressources énergétiques », souligne la Commission.

Les essais pilotes, au nombre de 18, ont porté sur 10 normes internationales présentées par des organismes et organisations de normalisation comme l'UIT (Union internationale des télécommunications) et l'ETSI (Institut européen des normes de télécommunications). Ils ont été effectués par les entreprises et associations du secteur citées ci-dessous sur une période de 10 mois (de décembre 2011 à septembre 2012): Alcatel-Lucent, AMD, AUO, BT, Cisco, Dassault Systèmes, Dell, EECA-ESIA, Ericsson, GSMA, Hitachi, HP, Huawei, Intel, Lenovo, NEC, Nokia, Nokia Siemens Networks, Orange, Sagemcom, SAP, Telecom Italia, Telefónica et TeliaSonera. Trois autres participants ont demandé à garder l’anonymat.
« Une meilleure transparence dans la mesure de l’impact des TIC sur l’environnement nous permettrait à tous, citoyens et organismes publics ou privés, de faire des choix plus écologiques lorsque nous achetons ou utilisons des technologies numériques », a déclaré Neelie Kroes, vice-présidente de la Commission européenne chargée de la stratégie numérique.

Selon certaines estimations, à chaque minute, 48 heures de nouveaux contenus vidéo sont téléchargés sur YouTube, 700 000 utilisateurs de Facebook partagent des contenus, plus de 2 millions de requêtes de recherche sont traitées par Google et plus de 200 millions de courriels sont envoyés, sans parler des tweets, des blogs, etc. Si l’on songe qu’une seule requête peut produire entre quelques dixièmes de grammes et quelques grammes d’émissions de CO2, selon le type d’énergie assurant le fonctionnement des appareils utilisés, il est clair que les rejets de CO2 résultant de ces usages peuvent être substantiels.

La prochaine étape de cette initiative de la Commission européenne consistera à faire en sorte que le secteur des TIC et les autres secteurs concernés emploient ces méthodes de mesure de l’empreinte carbone au quotidien.

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100 M€ pour le soutien à l’industrie de la robotique

Industriel>France>R&D>Politique
20-03-2013 14:31:10 :

Hier à Lyon, lors de l’inauguration du salon Innorobo, Arnaud Montebourg, ministre du redressement productif, a annoncé un plan de 100 millions d’euros intitulé « France Robots Initiatives » pour soutenir l’industrie de la robotique française en stimulant notamment la R&D dans cinq domaines prioritaires : le transport et la logistique, la défense et la sécurité, l'environnement, les machines intelligentes et l'assistance à la personne …

Ce plan prévoit de faciliter l’accès au financement des start-up de robotique via le FSN-PME, le fonds national pour la société numérique doté de 400 M€ et géré par CDC Entreprises, ainsi que par Robolution Capital, un fonds d'investissement de 60 M€,-dont 15 millions apportés par l'État via la Caisse des dépôts et consignations-, dédié au secteur de la robotique qui sera lancé prochainement.

Par ailleurs, 33 millions d’euros seront alloués au projet Start-PME qui vise à favoriser les achats de robots par les PME. Actuellement, la France compterait 34 000 robots industriels contre 150 000 robots en Allemagne, selon le ministre. Start-PME devrait permettre à 250 entreprises de tous secteurs industriels de bénéficier d’une aide à la robotisation.

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Le CSA dévoile ses préconisations pour l’avenir de la TNT

Grand public>France>Stratégie>Politique
20-03-2013 14:29:15 :

Le CSA a rendu public hier un rapport qu’il a remis au gouvernement sur l’avenir de la plateforme de la télévision numérique terrestre (TNT). Il y invite les pouvoirs publics à définir les prochaines évolutions de la TNT, notamment en matière de normes. Généraliser la haute définition et fixer la date d’extinction du MPEG-2 à fin 2015 sont au cœur de ses préconisations …

Afin de préparer les prochaines étapes de la télévision numérique, le conseil a énuméré, dans un rapport adopté le 15 janvier puis remis aux ministres concernés, les évolutions qu’il estime nécessaires : c’est en effet au gouvernement et au parlement de définir les évolutions de la plateforme TNT. Le CSA relève l’attachement des Français à ce mode de diffusion, qui demeurera un moyen d’accès privilégié à la télévision à l’horizon 2020-2025. La plateforme TNT possède de nombreuses spécificités qui la rendent unique pour les téléspectateurs, les éditeurs et les pouvoirs publics : gratuité, anonymat et simplicité de la réception.

Selon le CSA, l’amélioration continue de la taille des écrans et de la qualité des images impose de généraliser le format haute définition, de continuer à améliorer sa qualité ainsi que l’interactivité de ses services, et de se préparer à l’introduction de l’ultrahaute définition (par exemple au format 4K, correspondant à une résolution quatre fois plus importante que la haute définition), sous réserve que ce format soit effectivement adopté par le marché.

De plus, la réception en mobilité de services audiovisuels doit demeurer un objectif. Il convient d’améliorer la réception en mobilité de services diffusés sur la plateforme, mais aussi de proposer des contenus spécifiquement destinés aux terminaux mobiles. Dans un souci d’optimisation de l’usage du spectre hertzien, le réseau TNT pourrait diffuser, à terme, à destination des terminaux mobiles, toutes sortes de contenus à forte audience (télévision de rattrapage, vidéos, podcast, journaux numériques, etc.).

« L’ensemble de ces évolutions doit être réalisé alors que la ressource en fréquences est durablement limitée à huit multiplex métropolitains. Il est donc nécessaire de tirer parti de toutes les nouvelles technologies. Après avoir, dans un premier temps, généralisé la norme MPEG-4, il faudrait préparer l’avènement des normes DVB-T2 et HEVC, qui s’annoncent comme le prolongement naturel des normes actuelles (DVB-T et MPEG-4) », souligne le rapport.

À court terme, le CSA recommande au gouvernement et au parlement de fixer la date d’extinction du MPEG-2 et donc du passage au tout MPEG-4. L’échéance de la fin de l’année 2015 lui paraît raisonnable, compte tenu du niveau prévisible d’équipement des foyers en récepteurs MPEG-4 HD. En parallèle, le conseil invite les pouvoirs publics à préparer le lancement des normes DVB-T2 et HEVC, afin de poursuivre la modernisation de la plateforme TNT.

Téléchargez le rapport du CSA sur l’avenir de la plateforme TNT

Le synoptique complet des préconisations du CSA est disponible à la page 28 du rapport.

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