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Politique INDUSTRIELLE : 195 article(s).
Le Fonds Ambition Numérique veut investir dans 40 entreprises d’ici trois ans

Filière électronique>France>Financement>Politique
18-06-2013 16:27:38 :

Rebaptisé Fonds Ambition Numérique, le FSN PME,- fonds public dédié aux PME innovantes du domaine numérique-, a dressé hier son premier bilan. Après 18 mois d’activité, le FSN PME est entré au capital de 14 entreprises dans des secteurs diversifiés, comme les technologies « mems » avec DelfMems, les objets connectés avec Netatmo, les équipements télécom, les logiciels, les offres innovantes de contenus numériques, ou encore la e-santé. Au total, 33 millions d’euros ont été initialement investis …
 
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Le FSN PME, doté de 300 millions d’euros, a été constitué en décembre 2011 dans le cadre du Programme d’investissements d’avenir, et sa gestion a été confiée à CDC Entreprises, filiale du Groupe Caisse des Dépôts, et future entité de bpifrance. Son ambition est d’accélérer la croissance de PME innovantes et présentant de fortes perspectives de développement, notamment à l’international, et d’aider à l’émergence de champions français.

Prenant le relais des fonds d’amorçage, le FSN PME, le Fonds Ambition Numérique, intervient en actionnaire minoritaire, toujours en co-investissement avec des investisseurs privés, dans des opérations de capital-risque et de capital développement technologique. Il investit entre 1 et 10 millions d’euros par entreprise.

Dans les trois années qui viennent, le FSN PME, le Fonds Ambition Numérique, poursuivra la réalisation de nouveaux investissements, avec un objectif de 40 entreprises financées au total.

La stratégie sectorielle qui a été précisée couvre des secteurs porteurs de croissance :
• Les secteurs technologiques indispensables au développement de l’économie numérique, en priorité : logiciels, cloud computing, big data, cybersécurité, composants et systèmes, robotique, objets intelligents.
• Les nouveaux usages ou services innovants, comme les smart cities, ou la e-santé.

Un appel à manifestations d’intérêt simplifié, publié hier, précise la stratégie d’investissement du Fonds Ambition Numérique et les modalités de présentation des projets portés par les entreprises. Les entreprises sont invitées à le consulter ICI.

Téléchargez également le dossier bilan du Fonds Ambition Numérique.



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Le ministère de la défense triple les crédits des études amont dans la cybersécurité

Défense>France>R&D>Politique
14-06-2013 14:44:14 :

La cyberdéfense est une « nouvelle donne stratégique » élevée au rang de « priorité nationale » par le Livre blanc sur la sécurité et la défense nationale. Dans cette optique, le ministre de la Défense a annoncé que serait renforcée la base industrielle de technologies de défense et de sécurité nationale par un soutien à la R&D et la mise en place d’une politique industrielle coordonnée (les crédits consacrés aux études amont dans le domaine de la cyberdéfense passeront notamment de 10 à 30 millions d’euros par an), ainsi que par un accompagnement à l’innovation technologique …

Dans cette perspective, la section maîtrise de l’information de la DGA devra constituer un vivier de plusieurs centaines d’experts de très haut niveau, avec un recrutement permettant d’accroître progressivement de 50% environ les ressources actuelles. Il s’agira de couvrir tous les domaines d’expertise techniques de la cybersécurité : cryptologie, microélectronique, architecture d’équipements de sécurité et de systèmes, analyse de composants logiciels et matériels, etc.

« Le cyberespace possède un potentiel riche en opportunités, mais est aussi lourd de risques et de menaces », a justifié le ministre de la Défense.

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Coup de pouce européen de 77 M€ pour développer la production des PME high-tech

Filière électronique>Production>Europe>R&D>Politique
14-06-2013 14:37:49 :

La Commission européenne consacrera 77 millions d’euros, sur son 7e programme-cadre pour la recherche et le développement, à une initiative en faveur de l'innovation dans le secteur manufacturier, dont le but est d'aider les PME de haute technologie à exploiter le potentiel des TIC pour développer leur activité de production. L'initiative «I4MS» (abréviation de ICT for Manufacturing SMEs, TIC pour les PME du secteur manufacturier) aidera 200 PME des quatre coins de l'Europe, soit à limiter les risques liés à l’utilisation de technologies avancées encore balbutiantes, soit à franchir l'étape dite «vallée de la mort» entre la mise au point d’un prototype innovant et le succès du produit sur le marché …

L'initiative I4MS, qui sera officiellement lancée en juillet 2013, soutiendra plus de 150 expériences innovantes dans les trois ans à venir. Elle s'adresse aux fournisseurs et aux utilisateurs de solutions TIC et vise l’innovation dans quatre domaines: solutions robotiques avancées, services de simulation en nuage ultra performants, équipements à capteurs intelligents et applications laser innovantes.

Les PME pourront soumettre leurs demandes de financement dans le cadre des «appels à expériences» que lanceront ces centres en 2014 et 2015.

L'initiative I4MS s'inscrit dans le cadre des efforts déployés par la Commission pour renforcer l’industrie et le secteur manufacturier de l’Union. La Commission a fait de l'investissement dans les nouvelles technologies et l’innovation une priorité absolue de sa stratégie de politique industrielle, qui vise à inverser le mouvement de déclin de l’industrie en Europe pour faire passer son poids dans le PIB de 15,6 % en 2011 à 20 % d’ici à 2020.

L'initiative I4MS fait partie du partenariat public-privé «usines du futur» lancé en novembre 2008 dans le cadre du plan européen pour la relance économique. L'UE y consacrera 77 millions d’euros de fonds publics, dont 40 % devraient aller aux PME, le reste étant réparti entre grandes entreprises et centres de compétences. Les partenaires industriels assumeront 25% ou 50% de leurs dépenses globales (selon qu'il s'agit de PME ou de grandes entreprises). Les 77 millions d’euros apportés par l’UE représentent environ 13 % du budget total du plan «usines du futur», qui se monte à 600 millions d’euros.


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Système automatique d'appel d'urgence : installation obligatoire dans l'automobile à partir de 2015

Télécoms>Automobile>Europe>Politique
14-06-2013 14:35:56 :

La Commission vient d’adopter deux propositions visant à faire en sorte que, d’ici à octobre 2015, les véhicules automobiles appellent automatiquement les services d’urgence lorsque des accidents de la circulation se produisent. Le système eCall, qui compose automatiquement le 112 — le numéro d’appel d’urgence unique européen — en cas d’accident grave, indique aux services d’urgence où se trouve le véhicule accidenté, même si le conducteur est inconscient ou incapable de téléphoner. Ce système pourrait sauver jusqu’à 2500 vies par an …

Les deux textes proposés prévoient qu’à partir d’octobre 2015 tous les nouveaux modèles de voitures particulières et de véhicules utilitaires légers devront être équipés du système eCall et que l’infrastructure nécessaire pour recevoir et traiter de manière adéquate les appels dans des centres d'appels des services d'urgence devra avoir été créée, de manière à garantir la compatibilité, l’interopérabilité et la continuité du service dans l'ensemble de l’Union européenne.

L'industrie bénéficiera également de la mise en place d'eCall, car de nombreuses entreprises participent à la fourniture des technologies, des composants et des services utilisés pour différents aspects du système, y compris les systèmes embarqués, la transmission de données sans fil et les équipements des centres de réception des appels d'urgence. De plus, le système embarqué nécessaire pour eCall pourrait servir à d’autres services à valeur ajoutée (par exemple, pour le pistage des véhicules volés).

La Commission propose deux textes législatifs visant à créer et à déployer le système:
• un règlement sur les exigences en matière de réception par type pour le déploiement du système eCall, pour adapter les véhicules au système;
• une décision sur le déploiement du service eCall interopérable dans toute l’Union, pour adapter l’infrastructure publique au système.

Ces propositions, qui devront encore être approuvées par le Conseil et le Parlement européen, achèvent le processus législatif en trois étapes entamé par la Commission pour rendre eCall obligatoire dans toute l'Union européenne. La Commission avait demandé qu'eCall soit déployé volontairement dans toute l'Europe en 2009 au plus tard, mais l'adoption du système a été trop lente.

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Investissements d’avenir : 250 millions d’euros en faveur du véhicule du futur

Filière électronique>Automobile>France>R&D>Politique
12-06-2013 15:37:32 :

Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a décidé l’ouverture d’un nouvel appel à manifestation d’intérêts (AMI) consacré à la thématique du véhicule du futur. Avec l’aide de la Plateforme de la filière automobile, ce projet issu du programme d’investissements d’avenir et doté de 250 millions d’euros, aura pour objectif d’ici 2020, de permettre « la mise sur le marché de voitures particulières consommant moins de 2 litres de carburant aux 100 km, d’un prix abordable, développées et assemblées sur le territoire national » …

Cet appel à manifestation d’intérêts doit mobiliser la filière française autour d’un projet d’avenir structurant, dans un contexte de marché automobile particulièrement difficile. Cet AMI cofinancera des projets de recherche et développement contribuant à accélérer la mise au point et le déploiement de technologies améliorant les performances des véhicules automobiles.

Les projets soutenus devront contribuer à renforcer les collaborations industrielles durables entre grandes, moyennes et petites entreprises de la filière automobile, ainsi qu’avec les centres techniques et les universités. « La viabilité des projets devra également reposer sur des retombées économiques et technologiques directes, sous forme de nouveaux produits ou services, qui bénéficieront à la compétitivité et à l’emploi du secteur automobile en France », insiste le gouvernement.

L’Agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie est en charge de la mise en œuvre de cet AMI, en tant qu’opérateur du programme des investissements d’avenir.

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Vers un opérateur national de bornes de recharge pour voitures électriques ?

Automobile>France>Investissements>Politique>Revue de presse
28-05-2013 15:11:30 :

Le quotidien Les Echos croit savoir que le gouvernement réfléchit à la création d’un opérateur national de stations de recharge pour véhicules électriques, qui mettrait en place et gérerait environ 5000 bornes de recharge rapide sur le territoire. Le Premier ministre pourrait rendre son arbitrage sur ce dossier d’ici à cet été …

Le coût d’une borne de recharge rapide (environ 30 minutes) se situerait entre 35 000 et 40 000 euros. ERDF semble le candidat naturel pour cette mission, mais le groupe Bolloré, qui gère 4000 bornes avec Autolib’, JC¬Decaux, Veolia, voire Vinci, pourraient également se porter candidats à un éventuel appel d’offres, souligne le quotidien économique.

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