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Politique INDUSTRIELLE : 195 article(s).
10 M€ sur 4 ans pour soutenir l’industrie française du circuit imprimé

Composants passifs>France>Politique
21-08-2013 12:58:21 :

Le 3 juillet dernier, MEREDIT, un GIE crée à l’initiative de 4 fabricants de circuits imprimés français (Cimulec, Elvia PCB, GTID, Systronic) a réuni 60 industriels pour se pencher sur l’avenir de la filière du circuit imprimé. Avec seulement 150 M€ de production en France,- contre près de 800 M€ en 2000-, et 20 acteurs, la filière PCB française est en danger, cette fragilité a des répercussions sur l’ensemble de la filière électronique …
 
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Aussi MEREDIT souhaite mobiliser autour d’elle l’ensemble des acteurs de la filière électronique et réagit en proposant un programme d’amélioration dont le thème central est « l’amélioration de la compétitivité » « Mutualiser les travaux, échanger entre acteurs parfois éloignés, fédérer sur des thèmes communs et travailler ensemble » tel est le fil conducteur présenté par les 4 co-fondateurs de MEREDIT.

Cette initiative MEREDIT est soutenue par l’Etat – OSEO (dans le cadre des investissements d’avenir). Ce programme est doté d’un budget de 10 M€ sur 4 années financés par l’État à hauteur de 40%, par les industriels (35%) et par les clients (25%).

Les clients soutenant le projet au travers d’une cotisation sont invités à le rejoindre au sein du « Club MEREDIT » dès la rentrée de septembre.

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Le projet de loi de programmation militaire 2014-2019 accorde 102,7 milliards d’euros aux équipements de défense

Défense>France>Politique>Grands Programmes
21-08-2013 12:57:33 :

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a présenté vendredi 2 août le projet de loi relatif à la programmation militaire (LPM) pour les années 2014-2019. Ce projet de loi met en œuvre les orientations de la politique de défense française pour les six prochaines années, à la suite du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale publié le 29 avril 2013. Le renouvellement des matériels bénéficiera du maintien d’un volume de crédits sur toute la période de programmation : 102,7 milliards d’euros courants sur la période 2014-2019, soit une dotation annuelle moyenne de plus de 17 milliards courants …

En particulier, les crédits destinés aux études amonts représenteront 730 M€ en moyenne annuelle sur toute la période de la loi, en hausse par rapport à la période précédente.

Suivant les arbitrages et les ressources dégagées par les succès à l’export (Rafale en particulier), le calendrier des livraisons pourrait toutefois être aménagé.

Les priorités 2014-2019 porteront plus spécifiquement sur :
• la préparation du renouvellement des deux composantes de la dissuasion ;
• la conception des futurs aéronefs de combat au travers d’une coopération étroite organisée autour du couple franco-britannique, la préparation des évolutions du Rafale, l’autoprotection et les travaux spécifiquement militaires sur les hélicoptères, l’insertion des drones dans la circulation aérienne en coopération européenne ;
• la montée en puissance de la rationalisation de l’industrie franco-britannique pour le renouvellement et la rénovation des systèmes de missiles ;
• la lutte sous-marine, les systèmes de combat naval modulaires opérant en réseaux, les architectures innovantes pour les bâtiments de surface ;
• la montée en puissance de la cyberdéfense ;
• la poursuite des efforts sur la protection des véhicules, des équipages et des combattants, la surveillance des itinéraires ; les nouvelles technologies pour munitions ;
• la préparation de futurs programmes spatiaux d’écoute, d’observation et de communication ; la poursuite de l’effort sur le traitement des images, la guerre électronique, l’exploitation et le traitement des données de renseignement, la numérisation de l’environnement géophysique, les évolutions des systèmes de radionavigation.

L’effort de coopération avec la recherche civile sera poursuivi notamment par l’augmentation du soutien aux PME-PMI-ETI innovantes au travers des dispositifs du pacte PME opérés en partenariat et par l’orientation de la recherche civile à partir des attentes de la défense.

Le détail des livraisons des principaux équipements de défense sur la période est schématisé dans un tableau page 22 du projet de loi de programmation militaire 2014-2019) téléchargeable sur ce lien.

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Les fabricants français d’électronique veulent fabriquer 100% des compteurs Linky

Industriel>Sous traitance>France>Politique
21-08-2013 12:56:34 :

Le SNESE, qui réunit 200 entreprises françaises de sous-traitance qui fabriquent des cartes et systèmes électroniques, propose un défi au Premier ministre qui a annoncé que 62 à 80% des compteurs Linky pouvaient être fabriqués en France (*). « Les fabricants français d’électronique peuvent fabriquer 100% des compteurs Linky », s’engage Michel de Nonancourt, le Président du SNESE. Et pourquoi pas également le compteur gazpar ? …

« Nous avons les capacités de production et les compétences qui permettront au groupe EDF de relever le challenge qui lui a été fixé par le Chef du gouvernement : 3 millions de compteurs d’ici à 2016 et 35 millions d’unités à l’horizon 2020 » précise Michel de Nonancourt. « D’autre part, nos entreprises sont présentent sur la quasi-totalité du territoire, ce qui ferait du programme Linky un véritable chantier structurant » poursuit le Président du SNESE.

Le SNESE représente les fabricants d'électronique et services associés – près de 550 entreprises, principalement des PME (80% des entreprises du secteur emploient entre 20 et 99 salariés), réalisant un CA de 4 300 M € avec un effectif de 24 000 personnes.

(*) « En prenant en compte l’ensemble des opérations nécessaires à la conception et à la fabrication, c’est entre 62% et 80% du compteur qui sont susceptibles d’être construits en France, avec la création potentielle de 10 000 emplois, dont 5000 pour la pose », promettait le document du gouvernement à l’annonce début juillet du lancement d’un appel d'offres pour installer 3 millions de nouveaux compteurs électriques intelligents Linky en France d'ici à 2016. Un « détail » que nous avions été parmi les seuls à relever (voir notre article) … et qui n’a pas échappé à la sagacité du SNESE.

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Le gouvernement soutient la généralisation du compteur de gaz communicant

Industriel>France>Politique
21-08-2013 12:55:27 :

Après l’électricité, le gaz ! Le 25 juillet, Pierre Moscovici, ministre de l'Économie et des Finances et Philippe Martin, ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, ont confirmé cet été leur soutien -sur le principe- à la généralisation du compteur communicant « Gazpar », projet porté par GrDF. Ce déploiement concernera à terme 11 millions de compteurs d'ici 2022. Le coût total du projet est d’un milliard d’euros environ, correspondant pour moitié au coût des matériels, pour un tiers au coût de la pose et pour le reste aux coûts de développement des systèmes d’information …

1000 emplois directs pourraient être créés pour les métiers de la pose, du pilotage, de la maintenance de ces compteurs.

GrDF, principal gestionnaire de réseau de distribution de gaz en France, a réalisé, à la demande de la Commission de régulation de l'énergie (CRE), des expérimentations de comptage communicant sur 4 territoires de début 2010 à mi 2011, pour un total de 18 500 compteurs installés. Celles-ci ont permis de déterminer les choix technologiques à retenir en cas de généralisation : un compteur à membrane robuste, simple et peu coûteux, un module radio équipé d'une pile d'une durée de vie de 20 ans, des concentrateurs qui captent les signaux radio émis par les compteurs et transmettent les données au système d'information central par réseau GPRS.

De nombreux travaux préparatoires restent à mener avant le déploiement opérationnel. Le planning actuel prévoit un démarrage du déploiement fin 2015 avec un pilote qui durera un an et concernera 150 000 compteurs. Le déploiement se poursuivra ensuite sur 6 ans pour se terminer en 2022.

Les compteurs communicants figurent parmi les premières briques des réseaux énergétiques intelligents. Gazpar émet par liaison radio les index de relevés permettant de connaître à tout moment la consommation réelle d'un client. Ce dispositif permet également d'améliorer la performance des gestionnaires de réseaux : réduction des coûts directs d'acquisition de données de comptage, diminution des réclamations, meilleure connaissance du parc des compteurs.

A l'issue des procédures d'appels d'offres lancées par GrDF, Pierre Moscovici et Philippe Martin pourront prendre la décision d'approbation formelle et définitive du déploiement de Gazpar, si l'intérêt de ce dernier pour le marché et les consommateurs est bien confirmé conformément au code de l'énergie.

Les détails du projet

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Coup d’envoi à Crolles pour le programme Nano2017

Semiconducteurs>France>R&D>Politique>Grands Programmes
21-08-2013 12:54:03 :

Le 22 juillet dernier, le Premier ministre et les dirigeants de STMicroelectronics se sont retrouvés sur le site ST de Crolles pour le lancement officiel du programme de recherche et développement Nano2017. Le Premier ministre a annoncé la participation de l’Etat à hauteur de 600 M€ au projet Nano2017, un vaste programme de recherche et de développement industriel de 3,5 milliards d’euros …

Selon le Premier ministre, le projet doit se traduire par la réalisation d’importants investissements industriels de haute technologie par STMicroelectronics en France, notamment dans son usine de Crolles pour y doubler à terme la capacité de production (7000 tranches par semaine contre 3500 actuellement).

Faisant suite à Nano2012, Nano2017 est un programme public-privé stratégique de R&D d'une durée de cinq ans qui, sous la direction de ST, réunit divers acteurs, dont le laboratoire de recherche CEA-LETI - partenaire historique du centre de R&D de ST Crolles depuis sa création en 1992 -, plusieurs équipes de chercheurs universitaires, fabricants de matériaux et d'équipements, des fournisseurs et spécialistes de la propriété intellectuelle dans le domaine de la CAO, des intégrateurs de systèmes, ainsi que des PME et des intervenants européens.

Le programme Nano2017 vise à renforcer le leadership de ST dans les technologies-clés : FD-SOI (silicium sur isolant totalement déplétée), imagerie de nouvelle génération (capteurs et processeurs de signal d'images) et mémoires non-volatiles embarquées de nouvelle génération. Ces technologies sont au cœur des solutions de traitement embarquées de ST, telles que les microcontrôleurs, les solutions d'imagerie, les produits numériques grand public, les processeurs d'application et les ASIC numériques. Les technologies et les produits de traitement embarqués sont essentiellement développés dans les sites français de Crolles, Grenoble, Rousset et Sophia Antipolis. Le marché des solutions de traitement embarquées visé par ST est évalué à 67 milliards de dollars en 2013.

Nano2017 s’inscrit dans une vision européenne, avec le programme « Airbus of Chips » de 10 milliards d'euros sur 7 ans lancé par la Commission européenne, qui vise à doubler la production en Europe de puces électroniques pour atteindre 20% de la production mondiale. Le site de Grenoble-Crolles sera l’un des 3 piliers, avec les pôles d’innovation de Dresde en Allemagne, Eindhoven-Louvain aux Pays-Bas-Belgique, de cette stratégie microélectronique européenne. « Depuis 10 ans, ce sont 24 000 emplois qui ont été créés (directs, indirects et induits) à Grenoble, 3200 millions de dollars d’investissements et 2650 millions d'euros de dépenses de R&D réalisées, conduisant à des réussites technologiques majeures dont le 28nm FD-SOI », ont rappelé Arnaud Montebourg, Geneviève Fioraso et Fleur Pellerin, qui accompagnaient Jean-Marc Ayrault.

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LEA Valley jette les bases du Campus de l'électronique des Pays de la Loire

Filière électronique>France>Investissements>Politique
12-07-2013 15:54:35 :

Aujourd’hui 12 juillet à Angers, la délégation générale du cluster LEA Valley (Loire Electronic Applications Valley) entourée d’entreprises adhérentes, a remis aux élus de la région et des collectivités locales sa feuille de route stratégique à moyen terme pour la filière électronique. Ce rapport pose les bases du Campus de l'électronique à venir à l’horizon 2015. La mise en œuvre du Campus de l’électronique s’appuie sur un partenariat public-privé mobilisant les industriels, les collectivités territoriales et l’Etat. En première approche, le montant des financements nécessaires en infrastructures, équipements et fonctionnement sur la période 2013-2020 est de l’ordre de 45 à 50 millions d’euros. Connu et apprécié de nos lecteurs, Sébastien Rospide, ancien consultant au sein du cabinet Décision, a été nommé directeur des programmes du Campus de l'électronique rattaché à LEA Valley(*). Il prendra ses fonctions le 1er septembre 2013 …

Elaboré par des chefs d'entreprises, des enseignants-chercheurs et des experts - tous administrateurs et membres LEA Valley – le rapport décline les projets opérationnels à engager dès 2013. Le rapport fixe également les objectifs, les moyens nécessaires, et les indicateurs de résultats adaptés pour la mise en œuvre de ce Campus de l’électronique à vocation inter-régionale, dont l’implantation est à prévoir sur différents sites en Pays de la Loire.

Officiellement lancé depuis le 12 juillet 2013 avec le soutien des élus de la Région Pays de la Loire et des collectivités locales, le Campus de l'électronique se veut un lieu de coordination et de convergence des compétences de la filière électronique professionnelle régionale et du Grand Ouest plus largement. Son objectif est de devenir le pôle de référence et d’expertise, à l’échelle européenne, pour les acteurs de la conception et de la production électronique.

Avec environ 25 000 personnes travaillant dans 500 entreprises, les Pays de la Loire se situent au troisième rang des régions françaises pour l’industrie électronique, derrière l’Ile-de-France et la région Rhône-Alpes. Les Pays de la Loire sont également la première région d’assemblage électronique en France, ses acteurs couvrant l’ensemble de la chaîne de valeur de la conception à la production de cartes et sous-systèmes. Au-delà la région Pays de la Loire, l’ensemble du Grand Ouest incluant les régions Centre et Bretagne regroupe environ 25% de l'emploi de l'industrie électronique en France.

Le rapport de mission préconise d’investir dès aujourd’hui sur huit leviers d’actions.

Cinq leviers d’actions structurants, portés par les groupements d'intérêts, ont été identifiés :
• Créer la Plateforme Européenne d’Intégration, d’Assemblage et de Développement Electronique, PLEIADE, dont la vocation est de devenir le centre technique de référence de l’électronique professionnelle en France et en Europe.
• Proposer une offre de formation labellisée, pour répondre aux besoins de l’électronique professionnelle.
• Constituer une recherche scientifique fédérée, pour soutenir la chaîne de valeur de l’électronique professionnelle.
• Mettre en œuvre des programmes d’actions collectives, pour renforcer l’excellence opérationnelle des acteurs de la filière électronique.
Construire une maison de l’électronique, centre de ressources et pépinière pour les entreprises et porteurs de projets de la filière électronique, à Angers.

Trois leviers d’actions transverses, relevant de la direction opérationnelle du Campus de l'électronique, viendront consolider ces propositions :
• Déployer un marketing proactif sur la base d’une segmentation des marchés et d’une veille priorisée.
• Développer une ingénierie de projets pour accompagner les projets de R&D collaborative et de plateformes mutualisées sur les thématiques du Campus.
• Proposer un grand projet vitrine, promoteur de l’excellence industrielle des acteurs de la filière électronique professionnelle sur le territoire.

(*) LEA Valley, est une association présidée par Paul Raguin, président du groupe de sous-traitance Eolane.

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