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Politique INDUSTRIELLE : 195 article(s).
Première réunion des chefs de projet des 34 plans de nouvelle France industrielle

Filière électronique>France>Politique>Nominations
08-10-2013 12:58:14 :
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br> La première réunion des chefs de projet des « 34 plans de reconquête industrielle » s'est tenue hier 7 octobre, à Bercy. A cette occasion, Arnaud Montebourg a présenté les chefs de projet de chacun de ces plans. Le gouvernement a fait le choix de confier la réalisation des plans à des personnalités issues pour 28 des 34 plans à des entreprises directement intéressées à la bonne réalisation des projets. Le président de la République avait présenté les priorités de la politique industrielle de la France, le 12 septembre dernier à l’Elysée (voir notre article)

Parmi les chefs de projet retenus, on trouve des personnalités, comme Carlos Goshn, p-dg de Renault, pour le véhicule à pilotage automatique, ou l’ancien ministre Thierry Breton, p-dg d’Atos, pour le cloud computing. Ont été également nommé des spécialistes du secteur comme Eric Bantégnie, p-dg de la PME Esterel Technologies, pour les logiciels et systèmes embarqués ou Laurent Malier, président du CEA-Leti, pour la nanoélectronique, ou encore Eric Cerreel, p-dg de Withings, pour les objets connectés. La liste est trop longue des secteurs qui intéressent plus ou moins directement notre profession. Pour la consulter, télécharger le dossier de présentation et des biographies des chefs de projet de la nouvelle France industrielle

« L’objet de ces plans est d’unir les acteurs économiques et industriels autour d’un objectif commun et d’aligner pour plus d’efficacité les outils de l’Etat », a souligné le ministre du redressement productif. Leur travail consistera dans les prochaines semaines à constituer et à réunir pour chacun de ces plans des équipes par projet composées d'industriels et de représentants de l'Etat et du Conseil national de l'industrie (CNI) et à formaliser les feuilles de route d’ici 3 à 5 mois, avant leur mise en œuvre.

Le chef de projet aura la charge de réunir les acteurs et de faire aboutir ces plans de façon opérationnelle. Il devra préciser les objectifs à atteindre, les freins à surmonter, les outils à mobiliser, les financements à solliciter (notamment dans le cadre des investissements d'avenir), les éventuelles expérimentations à conduire, les partenaires à associer et le calendrier à suivre.

Un point de suivi hebdomadaire est prévu avec les chefs de projet, ainsi que des points réguliers avec Arnaud Montebourg.

L'ensemble des ministères et des autorités publiques concernées (bpifrance, confédération Française du commerce interentreprises -CGI-, opérateurs de l'Etat) seront associés à l'élaboration de ces plans, pour permettre à l'Etat d'aligner de façon cohérente l'ensemble de ses outils au service d'un même projet (règlementation, formation, financements, commande publique...).


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Création du Conseil des industries de confiance et de sécurité

Sécurité>France>Stratégie>Politique
01-10-2013 16:15:01 :

Afin de contribuer efficacement à la constitution d’une filière nationale de la sécurité, les industriels du secteur de la confiance et de la sécurité ont décidé de se structurer pour coordonner leurs positions et s’exprimer d’une seule voix. Ils ont, à cet effet, constitué le CICS (Conseil des industries de confiance et de sécurité). Cette industrie représente plus de 10 milliards d’euros de chiffre d’affaires dont environ 55% de part d’exportation et emploie directement plus de 50 000 salariés …

Les domaines de compétence de la filière industrielle de la sécurité en France sont les frontières terrestres et maritimes, les transports (terrestres, aériens et maritimes), les infrastructures critiques, la sécurité civile, la sécurité numérique (cybersécurité, communications, identité), la gestion de crise, la lutte contre le terrorisme et la lutte contre la grande criminalité.

« Le CICS a été constitué par quatre syndicats professionnels – FIEEC, GICAN, GICAT et GIFAS – tous fortement impliqués dans les équipements et solutions de sécurité. Ce conseil permettra d’assurer une représentation unifiée des industries de sécurité et jouera à ce titre un rôle majeur dans la nouvelle filière sécurité dont la création a été décidée par le gouvernement suite aux recommandations du livre blanc pour la défense et la sécurité nationale », indique Hervé Guillou, Corporate Executive chez EADS, élu président du CICS.
La filière de la sécurité sera quant à elle animée par un comité de filière, le COFIS (Comité de la Filière Industrielle de Sécurité), dont l’installation par le Premier ministre est attendue dans les prochaines semaines.

Le CICS a d’ores et déjà engagé, en lien avec les pouvoirs publics, l’élaboration de feuilles de route technologiques devant déboucher sur la réalisation de démonstrateurs. Il se propose de mobiliser ses compétences au sein de la filière pour développer des activités positionnées sur un marché européen et mondial en forte croissance, génératrices d’emplois en France et d’exportations.



Le GICAN, Groupement des Industries de Construction et Activités Navales, regroupe les industriels français des secteurs de la construction navale civile et militaire, des équipements associés, de la sécurité/sûreté maritime et des énergies marines renouvelables. Il réunit plus de 175 sociétés, qui représentent un chiffre d’affaire cumulé de 6 milliards d’euros dont 30% à l’export et 40 000 emplois en France.

Le GICAT, Groupement des Industries Françaises de Défense ou de Sécurité Terrestre ou Aéroterrestre, est un groupement professionnel qui rassemble près de 230 sociétés françaises de défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres dont 60% sont impliquées dans la sécurité.

Créé en 1908, le GIFAS, Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales, est un organe professionnel qui regroupe 321 sociétés - depuis les grands maîtres d’œuvre et systémiers jusqu’aux PME – qui constituent une filière de haute technologie spécialisée dans l’étude, le développement, la réalisation, la commercialisation et la maintenance de tous programmes et matériels aéronautiques et spatiaux, civils et militaires, ainsi que des systèmes de défense et de sécurité. Le GIFAS représente une profession dont le chiffre d’affaires est de 44,4 milliards d’euros qui exporte 80% de sa production et emploie directement 170 000 personnes.

La FIEEC, Fédération des Industries Electriques, Electroniques et de Communication, rassemble 30 syndicats professionnels dans les secteurs de l’électricité, de l’électronique et du numérique (biens d’équipement, biens intermédiaires et biens de consommation). Les secteurs qu’elle représente regroupent près de 3000 entreprises (dont 87% de PME et d’ETI), emploient 420 000 salariés et réalisent plus de 98 milliards d'euros de chiffre d’affaires dont 40% à l’export.

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Le Conseil National de l’Industrie met en ligne un site internet

Filière électronique>France>Politique
25-09-2013 14:36:26 :

Le Conseil National de l’Industrie, installé en février 2013, met en ligne son nouveau site Internet. Animé par un bureau tripartite (industriels, organisations syndicales, administration), le CNI a structuré ses travaux autour de 13 comités stratégiques de filières (dont la filière numérique) regroupant industriels, représentants d’organisations syndicales, experts et pouvoirs publics afin de définir une vision partagée des principaux enjeux de chaque filière et d’élaborer un plan d’actions prioritaires pour renforcer l’appareil productif de la filière et conforter l’offensive industrielle de la France dans la compétition mondiale …

Le site internet présente chacun des contrats de filière qui regroupe dans une logique de donnant-donnant les engagements réciproques des industriels et de l’Etat afin d’améliorer la compétitivité de chacune des filières stratégiques pour la France. Ces contrats de filière sont généralement structurés autour de 7 axes : développement de la filière, performance, international, relations entre donneurs d’ordre et sous-traitants, emplois et compétences, financement, innovation.

Comité Stratégique de la filière numérique

La filière Numérique regroupe les entreprises des secteurs producteurs de biens et services numériques (électronique professionnelle et grand public, informatique, équipements de télécommunications, câbles, logiciel, jeu vidéo, services informatiques, services de télécommunications…), ainsi que l’écosystème sous-jacent. L’Observatoire du numérique estime qu’elle réalise un chiffre d’affaires global de plus de 120 milliards d’euros et génère en France de l’ordre de 650 000 emplois directs. Guy Roussel, Vice-Président du CSF Numérique, a présenté le contrat de filière numérique le 3 juillet 2013.

Les 12 autres comités stratégiques de filière : aéronautique, alimentaire, automobile, biens de consommation, chimie et matériaux, éco-industries, ferroviaire, industries extractives et premières transformations, industries et technologies de santé, mode et luxe, naval, nucléaire.

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La technologie VDSL2 commencera à être déployée le 1er octobre

Télécoms>France>Investissements>Politique
24-09-2013 14:04:39 :

Comme annoncé au printemps, le VDSL2 sera déployé dans toute la France à partir du 1er octobre, souligne l’Arcep. Déjà disponible dans les départements de la Dordogne et de la Gironde, le VDSL2 est une technologie applicable aux lignes de cuivre qui permet d'augmenter le débit par rapport à l'ADSL pour 16% des lignes (environ 5 millions), et de façon significative pour 6% d’entre elles, selon l’autorité de régulation des télécoms. En raison de contraintes physiques inhérentes à cette technologie, le gain de performance du VDSL2 se limite aux lignes de cuivre dont la longueur n'excède pas 1 km, rappelle l’Arcep …

Qui pourra bénéficier du VDSL2 ? Quelles performances en attendre ? Le VDSL2 va-t-il être proposé par tous les opérateurs ? Dans quels délais ? L’Arcep donne rendez-vous le 1er octobre à 17h sur son site web pour un "chat" en direct sur le VDSL2, afin de répondre à ces interrogations.

Les performances réelles du VDSL2 sur le territoire seront inférieures aux performances théoriques maximales de la technologie. En effet, alors que les performances théoriques maximales du VDSL2 peuvent permettre d'atteindre jusqu'à 100Mbit/s (débit descendant), compte tenu des contraintes d'introduction, le débit réel maximum observé sur le territoire devrait se situer autour de 50 Mbit/s (débit descendant) pour les lignes les plus courtes, souligne l’autorité de régulation.

Comme l'indique le tableau ci-dessous, les logements et locaux professionnels qui pourraient bénéficier d'un service haut débit plus performant grâce à l'utilisation du VDSL2 représentent environ 16% des lignes et sont principalement concentrés dans les zones qui ne feront pas l'objet de déploiements de la fibre optique (FttH) à court terme.

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L’Etat de New-York envisage trois « fabs » 450 mm

Semiconducteurs>Etats Unis>Investissements>Stratégie>Politique
24-09-2013 14:03:04 :

En septembre 2011, Andrew Cuomo, gouverneur de l’état de New York, annonçait un projet d’investissement de 4,4 milliards de dollars sur cinq ans associant les ténors mondiaux de l’industrie du semiconducteur (Intel, Samsung, TSMC, IBM et Globalfoundries) pour développer une filière de production de semiconducteurs sur tranches de silicium de 450 mm de diamètre . Deux ans plus tard, l’Etat de New York revient à la charge localisant le projet de ce nanocentre dans la ville de Marcy et évoquant la possibilité d’y construire jusqu’à trois unités de production sur tranches de 450 mm de diamètre, chaque projet nécessitant entre 10 et 15 milliards de dollars d’investissement public et privé …

Ce sont donc potentiellement jusqu’à 45 milliards de dollars qui pourraient être investis sur le site, permettant, selon le communiqué des parties prenantes, d’y créer 5000 emplois directs et 15 000 emplois indirects. Parallèlement, on apprend que le budget d’investissement initial pour le « Global 450 Consortium » a été porté à 4,8 milliards de dollars.

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Un programme pour protéger la propriété intellectuelle des PME à l’export

Filière électronique>France>Politique
19-09-2013 13:28:44 :

Ubifrance, l’agence française pour le développement international des entreprises et l’Institut national de la propriété industrielle (INPI) viennent de renforcer leur partenariat en faveur de la croissance des PME et ETI à l’international. Les deux organismes s’engagent sur un programme d’actions commun dédié à la formation et à l’accompagnement en matière de propriété intellectuelle, qui va permettre à 250 PME de bénéficier d’un programme complet en matière de protection de la propriété intellectuelle à l’export

Les chargés d’affaires internationaux d’Ubifrance et les délégués de l’INPI en région seront les interlocuteurs privilégiés des entreprises pour présenter et proposer ce programme. Plusieurs centaines d’entreprises pourront bénéficier de ce programme d’ici 2015.
Concrètement, ce programme, d’un montant de 500 000€, s’articule autour de quatre axes principaux :
• Renforcement de la sensibilisation des entreprises à la propriété industrielle ;
• Mise en œuvre, par Ubifrance et l’INPI, d’un programme d’actions commun, en France et à l’étranger. Il s’agira de relier les dimensions propriété intellectuelle et conquête de marchés à l’international. Ce programme prévoit d’ores et déjà l’organisation le 20 novembre prochain d’un atelier dédié à la mise en place du brevet unitaire ;
• Mise en avant du « pré-diagnostic propriété industrielle » proposé par l’INPI, permettant à une entreprise de faire le point sur la protection de sa propriété intellectuelle, auprès d’une cible de PME et ETI identifiées par Ubifrance ;
• La mise en œuvre du programme PME de l’INPI et de son volet international porté par Ubifrance et soutenu par l’INPI.

Ubifrance renforce parallèlement son dispositif en régions et porte le déploiement à 26 Chargés d’affaires Internationaux (CAI), après l’installation en mars 2013 de 6 CAI pilotes. Hébergés dans les sièges régionaux de Bpifrance, les CAI ont pour rôle d’accompagner de manière personnalisée et dans la durée, en collaboration avec les conseillers de la banque publique et de Coface, au moins 1 000 ETI et PME de croissance à horizon 2015.

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