Logo Vipress
ARCHIVES VIPRESS.NET - VIPRESS.NET - NOUVEAUX PRODUITS - PUBLICITE - CONTACT NEWSLETTER GRATUITE
publicité
   
VIPRESS.NET : ARCHIVES TECHNO
DISTRIBUTION
Accords de distribution
PRODUITS
Semiconducteurs
• Circuits analogiques
• Circuits logiques
• MOS Micro
• Mémoires
• Discrets
Capteurs/Opto/Mems
Passifs
Afficheurs
Logiciels
Modules & Cartes
Energie
Développement
Mesure
Production
Newsletter gratuite
Tarifs pub, lectorat
ECONOMIE : 242 article(s).
Le gouvernement va structurer les activités liées aux personnes âgées en filière industrielle

Médical>France>Politique
25-04-2013 16:04:32 :

Arnaud Montebourg, ministre du redressement productif, et Michèle Delaunay, ministre déléguée chargée des personnes âgées et de l’autonomie, ont lancé hier devant 650 personnes, la filière de la Silver Economy et annoncé la constitution d’un comité de filière, qui aura pour objectif d’aider au développement du secteur. La Silver Economy regroupe toutes les entreprises agissant pour et/ou avec les personnes âgées. Création de services personnalisés, de technologies pour l'autonomie, ces biens et services sont autant d’activités appelées à se développer fortement dans les prochaines années …
 
publicité


En 2035, un tiers des Français auront plus de 60 ans. Ils seront alors plus de 20 millions. L’ensemble des activités liées aux personnes âgées est donc porteur de croissance et d’emplois au cours des prochaines années. Son développement n’en est qu’à son début : aux Etats-Unis, ce secteur croît de 12% par an. Pour les pouvoirs publics, il s’agit à présent de structurer ces activités en une filière économique et industrielle. Ce que souhaite depuis longtemps l’industrie électronique.

Arnaud Montebourg et Michèle Delaunay ont donc réuni hier 24 avril tous les acteurs concernés : entreprises, associations, institutionnels, mutuelles, assurances, pôles de compétitivité, économistes, mais aussi acteurs du monde médico-social. L'objectif est de favoriser les échanges entre ces acteurs, de faire connaître les produits et services déjà existants, de tracer une feuille de route pour cette filière émergente, ainsi que les perspectives de développement de ce marché en France en Europe et dans le monde, avec plus de 900 millions de personnes âgées.

Les acteurs ont remis aux deux ministres le résultat de leurs travaux. Sept groupes de travail se sont réunis, correspondant aux sept freins identifiés (offre / demande / distribution / organisation / communication / financement en fonds propre / labellisation). Ces freins ralentissent l’émergence d’une Silver Economy française.

Pour aider à la structuration de cette filière, le gouvernement a annoncé plusieurs dispositifs :
• Création d’un Comité « filière de demain » sur la Silver Economy qui rassemblera les entreprises, les fédérations professionnelles, les pôles de compétitivité concernés, les ministères, les financeurs, les acteurs de l’autonomie et de la prévoyance.

• Fixation prochaine d’une nouvelle feuille de route, centrée sur la Silver Economy, pour le Centre national de référence santé à domicile et autonomie. Le CNR Santé à domicile et autonomie aura notamment un rôle à jouer dans la définition et la mise en œuvre d’un processus de labellisation des technologies pour l’autonomie, démarche qui doit notamment augmenter la visibilité des offres en France comme à l’international.

• Inscription de l’assistance aux personnes comme l’un des cinq axes stratégiques du plan « France Robots initiatives » qui vise à faire de la France l’un des cinq leaders mondiaux de la robotique à l’horizon 2020.

Retour en haut

Bruxelles autorise l’acquisition par Siemens de la division «signalisation ferroviaire» d’Invensys

Industriel>Europe>Fusions Acquisitions>Politique
24-04-2013 15:36:15 :

La Commission européenne a autorisé, en vertu du règlement sur les concentrations de l'UE, l'acquisition, par l'entreprise allemande Siemens, d'Invensys Rail, la division «signalisation ferroviaire» de l’entreprise britannique Invensys Group. Son enquête a confirmé qu’Invensys Rail et Siemens n’étaient pas de proches concurrents et que l’entité issue de la concentration continuerait d’être confrontée à la concurrence de plusieurs autres concurrents puissants, tels que Thales, Alstom, Bombardier et Ansaldo …

Siemens avait annoncé fin novembre un accord pour racheter Invensys Rail, l’activité automation ferroviaire du Britannique Invensys. Le montant de l’acquisition est de 2,2 milliards d’euros. Invensys Rail est spécialisé dans les équipements et les logiciels de signalisation ferroviaire avec un chiffre d’affaires de l’ordre de 800 millions de livres (991 M€).
Au terme de son exercice fiscal clos fin mars 2012, Invensys Rail, qui emploie 3200 personnes, disposait d’un carnet de commandes de 1,2 milliard de livres (1,49 milliard d’euros). Siemens possède également une activité dans le ferroviaire qui emploie 6500 personnes pour un chiffre d’affaires de 1,4 milliard d’euros. Le groupe allemand attend plus de 100 M€ d’économies liés aux synergies entre les deux activités réunies d’ici à 2018.

Retour en haut

ST et ERDF à la tête d'un projet de 27 millions d'euros dans les réseaux électriques intelligents

Industriel>Semiconducteurs>France>R&D>Stratégie>Grands Programmes
12-04-2013 13:39:09 :

Le programme SOGRID, lancé officiellement hier à Toulouse, rassemble 10 partenaires autour d’ERDF et de STMicroelectronics au sein d’un consortium. Le projet consiste à construire la chaîne de communication globale qui permettra à tous les équipements placés sur les réseaux basse et moyenne tension de communiquer directement via le réseau électrique. Concrètement, le consortium va développer une puce électronique de nouvelle génération, les équipements qui embarqueront cette puce et les logiciels qui y seront intégrés. Ce système global sera développé selon un nouveau protocole de communication CPL, -courant porteur en ligne-, qui permet de transmettre des informations numériques sur le réseau électrique …

Aujourd’hui, il existe déjà des éléments d’intelligence sur le réseau de distribution électrique, en particulier sur le réseau moyenne tension. Mais pour l’heure, il s’agit de développer un système global de communication qui va permettre aux différents équipements installés sur le réseau de communiquer entre eux. La mise en place du compteur communicant au plus près du client en sera la première brique. SOGRID permettra de passer de ces éléments d’intelligence sur le réseau à un réseau intégralement intelligent.

Le projet SOGRID doit permettre de développer une puce électronique de nouvelle génération qui équipera les millions de matériels connectés au réseau électrique et qui leur permettra de communiquer entre eux et ainsi de constituer un réseau intelligent. Avec SOGRID, les partenaires du consortium ont l’ambition de définir un standard international de communication autour du protocole courant porteur en ligne (CPL), qui permettra le renforcement d’une filière industrielle d’excellence en France.

Par son aspect technologique innovant, le projet SOGRID porte en effet une ambition industrielle et économique majeure : celle de définir un standard international à même d’être exporté. Le projet doit favoriser le renforcement d’une filière industrielle française des semiconducteurs dans le cadre du développement des smart grids. En France, plus de 35 millions de compteurs communicants seront mis en service d’ici à 2020. A l’international, il se dessine un marché de 1,7 milliard de matériels électriques intelligents, dont 253 millions pour la seule Europe et 150 millions en Afrique et au Moyen-Orient.
Autour d’ERDF et STMicroelectronics le consortium réunit des industriels (Nexans, Sagemcom, Landis+Gyr, Capgemini), des PME innovantes (Trialog, LAN), et des partenaires universitaires et recherche : Grenoble INP (laboratoires G2Elab et LIG) en lien avec le LAAS-CNRS de Toulouse, et l’École polytechnique (Laboratoire d’informatique LIX).
Le budget total de SOGRID est de 27 millions d’euros et le projet mobilisera plus d’une centaine d’acteurs, chercheurs et industriels jusqu’à fin 2015. Le projet SOGRID a été conçu en réponse à l’Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) de l’ADEME (Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie) sur les réseaux électriques intelligents lancé dans le cadre du Programme des Investissements d’Avenir en 2011 et a été validé par l’Etat en 2012. Il bénéficie d’un soutien financier de l’ADEME à hauteur de 12 M€.

Une expérimentation grandeur nature sur Toulouse Métropole
Dans une seconde phase, le projet sera testé sur le terrain auprès des clients d’ERDF sur un démonstrateur de 1000 équipements, capteurs et coupleurs situés sur le territoire de Toulouse Métropole, à la fois en zone urbaine et en zone rurale. Cette expérimentation grandeur nature sur l’ensemble de la chaîne de distribution électrique, qui durera au moins six mois, aura pour objectif de valider la pertinence technique de cette infrastructure pour le gestionnaire de réseau de distribution, de comprendre le comportement des clients et de montrer comment fonctionnera le réseau de demain. Cette phase testera plus particulièrement les capacités de surveillance (état du réseau, localisation des défauts…) de pilotage et d’intervention (localisation des pannes, modulation de puissance…) en temps réel sur le réseau permises par la nouvelle chaîne de communication.

Calendrier du projet
11 avril 2013
• Lancement officiel du programme et signature de l’accord de consortium par les dix partenaires
2013
• Phase de conceptualisation des différents composants et travail sur les prototypes
2014
• Intégration des compteurs, capteurs et concentrateurs dans un réseau entièrement CPL, essais en laboratoire
2014-2015
• Mise en œuvre du démonstrateur auprès de 1000 clients sur le territoire de Toulouse Métropole.
À partir de 2016
• Intégration progressive du nouveau système dans le réseau et commercialisation des équipements développés par le programme (puce, capteurs, coupleurs, concentrateurs intelligence logicielle)


Retour en haut

150 M€ seront mobilisés par la commission « Innovation 2030 »

Filière électronique>France>R&D>Politique
09-04-2013 14:25:45 :

Anne Lauvergeon présidera, sous l’égide d’Arnaud Montebourg, ministre du redressement productif, la commission « Innovation 2030 » composée d’industriels, de scientifiques et de représentants de la société civile. Sa mission sera de proposer au gouvernement d’ici à l’été les secteurs et les technologies où la France est susceptible d’occuper des positions de leader à l'horizon 2030, en privilégiant les activités qui répondront aux besoins de la société de demain et créeront la plus grande valeur et le plus d'emplois sur notre territoire. 150 M€ seront mobilisés pour stimuler la créativité des entreprises …

Le gouvernement lancera un concours d’innovation pour chaque défi industriel qu’il aura ainsi sélectionné, ouvert à toutes les entreprises, start-up, ETI, grands groupes, et entreprises étrangères qui veulent se développer en France. Il consacrera 150 M€ issus du programme Investissements d’avenir et gérés par la Banque publique d’investissement pour stimuler la créativité de nos entreprises et mobiliser des financements privés importants.

« Les projets les plus prometteurs seront accompagnés dans la durée jusqu’à leur industrialisation et l’ensemble des instruments publics seront mobilisés et mis en cohérence pour accélérer leur développement et faire émerger les champions de demain », assure le communiqué du gouvernement.

Retour en haut

ST à la tête d’un projet européen de 28 M€ dans les mems

Capteurs/mems/Opto>Europe>R&D>Grands Programmes
05-04-2013 14:01:05 :

STMicroelectronics a entamé sa collaboration avec des partenaires du domaine de la recherche en vue de développer une ligne-pilote pour dispositifs mems de prochaine génération, qui sera enrichie par des technologies de pointe telles que les matériaux piézoélectriques ou magnétiques, et des conditionnements en 3D. Pour coordonner le projet Lab4MEMS, dont la durée est de 30 mois et la valeur de 28 millions d'euros, ST collaborera avec des universités, des instituts de recherche et des entreprises de haute technologie appartenant à neuf pays européens …

Ce projet est l'un des projets de lignes-pilotes de fabrication de technologies clés (KET) lancés dans le cadre d'un partenariat public-privé (Joint Undertaking - JU) de l'ENIAC, le conseil consultatif pour l'initiative européenne des nanotechnologies. Il bénéficie des installations de production de mems dont dispose ST en France, en Italie et à Malte pour mettre en place un ensemble complet de compétences en fabrication de produits de nouvelle génération, de la conception et la fabrication jusqu'aux tests et au conditionnement.

Avec plus de 800 brevets liés aux technologies mems, plus de trois milliards de produits livrés et d'importants moyens de fabrication internes capables de produire actuellement plus de 4 millions de mems par jour, ST dispose d’atouts solides pour diriger les travaux du projet Lab4MEMS et produire des circuits de prochaine génération. Le projet a pour vocation de développer des technologies telles que les couches minces piézoélectriques (PZT) afin d'améliorer les actuels mems qui font uniquement appel au silicium. Résultat, des améliorations telles que des déplacements plus importants, de meilleures capacités de détection et une plus grande densité d'énergie. Ces améliorations sont nécessaires pour créer des capteurs intelligents, des actionneurs, des micro-pompes et des systèmes de capture d'énergie qui répondent aux exigences des futures applications : stockage de données, impression à jet d'encre, santé, automobile, commande industrielle et immotique, et autres applications grand public telles que les smartphones ou les appareils de navigation.

Le projet permettra par ailleurs de développer des technologies de packaging de pointe et des interconnexions verticales de type flip-chip, vias traversants (TSV - Through-Silicon Vias) et TMV (Through-Mold Vias), en vue de réaliser des circuits 3D intégrés pour des applications telles que les capteurs corporels ou de télésurveillance. L'un des objectifs-clés consiste à mettre au point un procédé de dépôt de matériaux piézoélectriques (PZT) compatible avec la production en volume et de l'intégrer dans des processus mems afin de réaliser des actionneurs et des capteurs montés sur des systèmes sur puce industriels.

L'entreprise commune ENIAC-JU est un partenariat public-privé impliquant des États membres de l'ENIAC, l'Union européenne et l'Association pour les activités européennes dans le domaine de la nanoélectronique (AENEAS). Elle participe actuellement à hauteur de quelque 1,8 milliard d'euros au budget des projets de R&D, qu'elle sélectionne dans le cadre de ses appels à propositions. Le projet Lab4MEMS, coordonné par ST, a été sélectionné en 2012 et ses travaux ont débuté en janvier 2013.

Retour en haut

57 millions d’euros pour 14 projets pilotes d’e-santé

Filière électronique>Médical>France>R&D>Politique
26-03-2013 15:08:44 :

14 projets pilotes de services numériques dans le domaine de l’e-santé ont été sélectionnés dans le cadre de l’appel à projets d’e-Santé, mené dans le cadre des Investissements d’avenir. Retenus par le gouvernement en raison de leur caractère innovant et des perspectives de valorisation économique qu’ils ouvrent, ces projets représentent un investissement total par les lauréats, entreprises et partenaires, de plus 57 millions d’euros. Ils recevront une aide globale de 23 millions d’euros : les subventions s’échelonnant de 300 000 euros à 4 millions d’euros par projet. Notons la sélection d’Axon’ Câble pour le projet Domocare de plateforme de services pour le maintien sur leur lieu de vie de personnes fragiles …

Sous l’intitulé «Développement de services numériques pour la santé et l’autonomie» cet appel à projets est dédié au soutien au déploiement expérimental de technologies et de services numériques dans le champ de la santé.

Les projets soutenus couvrent des champs d’innovation majeurs de l’e-santé, tels que la télémédecine, la prise en charge à domicile de patients atteints de maladies chroniques (soins, télésurveillance, éducation thérapeutique), l’aide pour le maintien à domicile de personnes fragiles ou dépendantes (surveillance, coordination des acteurs sanitaires et médico-sociaux ainsi que des aidants, lien social, stimulation, serious game), et l’information des patients et des soignants.

« Ces 14 projets permettront à la fois d’améliorer et de valider les technologies et les services d’e-santé déployés à une échelle significative, mais aussi d’évaluer les usages et les modèles économiques de ces solutions », commente le gouvernement.

Les projets retenus reposent sur des collaborations entre des entreprises technologiques innovantes, des établissements de santé, des universités et leurs laboratoires de recherche, ainsi que des collectivités.

Liste des projets lauréats

Retour en haut

<<-Précédent Page 32 sur 41 Suivant->>
  ARCHIVES BUSINESS
publicité
  CONJONCTURE
  ETUDES DE MARCHE
  ENTREPRISES
  SEMICONDUCTEURS
  PASSIFS
  AFFICHEURS
  AUTRES COMPOSANTS
  CAO- MESURE
  PRODUCTION
  SOUS-TRAITANCE
  DISTRIBUTION
  OEM
  THEMES
  FUSION-ACQUISITION
  ACCORDS
  RESTRUCTURATIONS
  INVESTISSEMENTS
  R&D
  FINANCE
  PAYS
  FRANCE
  EUROPE
  ETATS-UNIS
  JAPON
  CHINE
  ASIE HORS CHINE
  RESTE DU MONDE
  ECONOMIE
  Politique INDUSTRIELLE
  GRANDS PROGRAMMES
  EMPLOI
  NOMINATIONS
 


© VIPRESS - Soyez le premier informé !
Mentions légales