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ECONOMIE : 242 article(s).
LEA Valley jette les bases du Campus de l'électronique des Pays de la Loire

Filière électronique>France>Investissements>Politique
12-07-2013 15:54:35 :

Aujourd’hui 12 juillet à Angers, la délégation générale du cluster LEA Valley (Loire Electronic Applications Valley) entourée d’entreprises adhérentes, a remis aux élus de la région et des collectivités locales sa feuille de route stratégique à moyen terme pour la filière électronique. Ce rapport pose les bases du Campus de l'électronique à venir à l’horizon 2015. La mise en œuvre du Campus de l’électronique s’appuie sur un partenariat public-privé mobilisant les industriels, les collectivités territoriales et l’Etat. En première approche, le montant des financements nécessaires en infrastructures, équipements et fonctionnement sur la période 2013-2020 est de l’ordre de 45 à 50 millions d’euros. Connu et apprécié de nos lecteurs, Sébastien Rospide, ancien consultant au sein du cabinet Décision, a été nommé directeur des programmes du Campus de l'électronique rattaché à LEA Valley(*). Il prendra ses fonctions le 1er septembre 2013 …
 
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Elaboré par des chefs d'entreprises, des enseignants-chercheurs et des experts - tous administrateurs et membres LEA Valley – le rapport décline les projets opérationnels à engager dès 2013. Le rapport fixe également les objectifs, les moyens nécessaires, et les indicateurs de résultats adaptés pour la mise en œuvre de ce Campus de l’électronique à vocation inter-régionale, dont l’implantation est à prévoir sur différents sites en Pays de la Loire.

Officiellement lancé depuis le 12 juillet 2013 avec le soutien des élus de la Région Pays de la Loire et des collectivités locales, le Campus de l'électronique se veut un lieu de coordination et de convergence des compétences de la filière électronique professionnelle régionale et du Grand Ouest plus largement. Son objectif est de devenir le pôle de référence et d’expertise, à l’échelle européenne, pour les acteurs de la conception et de la production électronique.

Avec environ 25 000 personnes travaillant dans 500 entreprises, les Pays de la Loire se situent au troisième rang des régions françaises pour l’industrie électronique, derrière l’Ile-de-France et la région Rhône-Alpes. Les Pays de la Loire sont également la première région d’assemblage électronique en France, ses acteurs couvrant l’ensemble de la chaîne de valeur de la conception à la production de cartes et sous-systèmes. Au-delà la région Pays de la Loire, l’ensemble du Grand Ouest incluant les régions Centre et Bretagne regroupe environ 25% de l'emploi de l'industrie électronique en France.

Le rapport de mission préconise d’investir dès aujourd’hui sur huit leviers d’actions.

Cinq leviers d’actions structurants, portés par les groupements d'intérêts, ont été identifiés :
• Créer la Plateforme Européenne d’Intégration, d’Assemblage et de Développement Electronique, PLEIADE, dont la vocation est de devenir le centre technique de référence de l’électronique professionnelle en France et en Europe.
• Proposer une offre de formation labellisée, pour répondre aux besoins de l’électronique professionnelle.
• Constituer une recherche scientifique fédérée, pour soutenir la chaîne de valeur de l’électronique professionnelle.
• Mettre en œuvre des programmes d’actions collectives, pour renforcer l’excellence opérationnelle des acteurs de la filière électronique.
Construire une maison de l’électronique, centre de ressources et pépinière pour les entreprises et porteurs de projets de la filière électronique, à Angers.

Trois leviers d’actions transverses, relevant de la direction opérationnelle du Campus de l'électronique, viendront consolider ces propositions :
• Déployer un marketing proactif sur la base d’une segmentation des marchés et d’une veille priorisée.
• Développer une ingénierie de projets pour accompagner les projets de R&D collaborative et de plateformes mutualisées sur les thématiques du Campus.
• Proposer un grand projet vitrine, promoteur de l’excellence industrielle des acteurs de la filière électronique professionnelle sur le territoire.

(*) LEA Valley, est une association présidée par Paul Raguin, président du groupe de sous-traitance Eolane.

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4,8 milliards d’euros pour ECSEL, le nouvel étendard européen pour la recherche et l’innovation en électronique

Filière électronique>Semiconducteurs>Europe>R&D>Politique>Grands Programmes
12-07-2013 15:52:53 :

L’initiative technologique conjointe européenne en nanoélectronique ENIAC et son homologue dans les systèmes électroniques embarqués ARTEMIS laissent la place à ECSEL, - Electronic Components and Systems for European Leadership -, une initiative commune européenne de recherche et d’innovation qui couvrira à la fois le champ des composants et des systèmes électroniques. Devant être lancé pour 10 ans début 2014, ECSEL sera doté d’un budget de 4,8 milliards d’euros, dont 1,2 milliard d’euros apporté par l’Union européenne, 1,2 milliard par les Etats membres qui y participeront et 2,4 milliards par les industriels …

Succédant à ENIAC et ARTEMIS qui avaient été lancés en 2008, ECSEL compte développer des synergies additionnelles par rapport aux deux initiatives individuelles, en y ajoutant également la recherche et l’innovation sur les systèmes intelligents (smart systems). Ses travaux porteront ainsi sur la nanoélectronique, les systèmes intégrés intelligents et les systèmes embarqués.

ECSEL fera travailler ensemble des laboratoires académiques, des grandes entreprises et des PME et sera soutenue par trois associations industrielles (ARTEMISIA, AENEAS et EPoSS). 25 pays membres de l’Union européenne participeront à son financement dont la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni et l’Italie.

Pour revenir à la période 2008-2012, les deux initiatives communes précédentes ont soutenu plus de 100 projets pour un coût total de 2,8 milliards d’euros, dont 1126 M€ d ‘argent public (union européenne et Etats membres). Ces projets ont impliqués 2000 organisations (dont 1260 interventions uniques) émanant à 40% de PME, à 30% de grandes entreprises et 30% d’organisations de recherche. Parmi leurs succès les plus significatifs, ENIAC met en avant le projet E3Car pour le véhicule électrique, qui a permis d’améliorer l’efficacité énergétique de 35% de certains semiconducteurs avancés ; de son côté, ARTEMIS met en exergue, le projet CESAR - Cost-Efficient methods and processes for SAfety Relevant embedded systems- dans le domaine des transports (automobile, aéronautique et ferroviaire).

Consulter le document de présentation de l’ECSEL

L’initiative technologique conjointe ECSEL fait partie des cinq partenariats public-privé prioritaires de l’Europe pour lesquels la Commission européenne, les États membres et les entreprises de l'Union européenne investiront plus de 22 milliards d’euros pour stimuler l’innovation au cours des sept années qui viennent. Outre l’électronique, les autres domaines sont les médicaments innovants, l’industrie aéronautique, les bio-industries, et les piles à combustible et hydrogène. Au total, un investissement proposé de 8 milliards d’euros provenant du prochain programme de recherche et d’innovation «Horizon 2020» devrait permettre de mobiliser quelque 10 milliards d'euros auprès des entreprises et près de 4 milliards d’euros auprès des États membres de l’Union.

Les quatre autres partenariats public-privé, appelés «initiatives technologiques conjointes» (ITC), sont les suivants:
• Médicaments innovants 2 (IMI2): l'objectif de cette initiative est de mettre au point la prochaine génération de vaccins, de médicaments et de traitements, par exemple de nouveaux antibiotiques ;
• Piles à combustible et Hydrogène 2 (FCH2): cette entreprise commune a pour but de développer l'utilisation de technologies propres et efficientes dans les domaines des transports, de l'industrie et de l'énergie ;
• Clean Sky 2 (CS2): ce partenariat vise la mise au point d'avions plus propres, moins bruyants et produisant nettement moins d'émissions de CO2 ;
• Bio-industries (BBI): l'objet de cette ITC est d'utiliser des ressources naturelles renouvelables et des technologies innovantes pour fabriquer des produits de consommation courante plus écologiques.


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Bruxelles inflige 141 millions d'euros d'amendes à des producteurs de faisceaux de câbles pour l’automobile

Automobile>Composants passifs>Sous systèmes>Europe>Politique
11-07-2013 16:21:25 :

La Commission européenne a infligé un total de 141.791.000 € d'amendes aux fournisseurs de pièces détachées automobiles Sumitomo, Yazaki, Furukawa, S-Y Systems Technologies (SYS) et Leoni pour avoir constitué cinq ententes portant sur la fourniture de faisceaux de fils électriques à Toyota, Honda, Nissan et Renault. Les ententes couvraient l’ensemble de l’Espace économique européen (EEE) …

Aucune amende n'a été infligée à Sumitomo pour les cinq ententes, dans la mesure où le fabricant japonais a bénéficié de l'immunité pour avoir révélé leur existence à la Commission. Toutes les autres entreprises ont vu leurs amendes réduites pour avoir coopéré avec l’enquête dans le cadre du programme de clémence de la Commission. Les entreprises ayant accepté de régler le litige par voie de transaction avec la Commission, leurs amendes ont été réduites de 10% supplémentaires.

Les entreprises impliquées ont coordonné leurs prix et se sont réparti les livraisons de faisceaux de fils électriques aux constructeurs automobiles concernés. Leurs contacts ont eu lieu tant au Japon que dans l’Espace économique européen.

Le montant total de l’amende infligée à chacune des entreprises pour sa participation aux différentes infractions est le suivant:
Yazaki — 125.341.000 € pour sa participation aux infractions Toyota, Honda et Nissan,
Furukawa — 4.105.000 € pour sa participation aux infractions Toyota et Honda,
SYS — 11.057.000 € pour sa participation aux deux infractions Renault, et
Leoni — 1.378.000 € pour sa participation à l'infraction Renault II.

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Entre 62% et 80% du compteur Linky sont susceptibles d’être construits en France

Industriel>France>Investissements>Politique
10-07-2013 14:52:59 :

Comme prévu, Jean-Marc Ayrault a annoncé hier qu’un appel d'offres sera lancé cet été pour installer 3 millions de nouveaux compteurs électriques intelligents Linky en France d'ici à 2016. Le Premier Ministre a par ailleurs confirmé l'objectif de remplacer tous les compteurs actuels, soit 35 millions d'unités, à horizon 2020, pour une enveloppe globale de l’ordre de 5 milliards d'euros. « En prenant en compte l’ensemble des opérations nécessaires à la conception et à la fabrication, c’est entre 62% et 80% du compteur qui sont susceptibles d’être construits en France, avec la création potentielle de 10 000 emplois, dont 5 000 pour la pose », promet le document du gouvernement. Le groupe EDF entend ainsi développer une véritable filière d’excellence pour l’exportation …

250 000 compteurs Linky avaient déjà été déployés de 2009 à 2011 sur un territoire rural (Indre-et-Loire) et un territoire urbain (Lyon). Cette expérimentation a répondu aux objectifs fixés, selon ERDF, qui estimait alors « avoir prouvé sa maîtrise des processus de déploiement (efficacité, sécurité, satisfaction client), construit le système d'information final, et validé les hypothèses économiques ».

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12 milliards d’euros pour un nouveau programme d’investissements d’avenir

Filière électronique>France>Investissements>Politique
10-07-2013 14:51:36 :

Le premier ministre a annoncé hier en fin d’après-midi sa décision de lancer un nouveau programme d’investissements d’avenir (PIA) doté de 12 milliards d’euros. Ce programme, très diversifié, concerne de nombreux domaines (transition énergétique, économique numérique, santé, aéronautique et défense, etc.), domaine où l’électronique a souvent son rôle à jouer …

Ce nouveau PIA répond à deux objectifs stratégiques : le renforcement de la compétitivité au service de l’emploi et le caractère durable du développement de notre économie. La majorité des financements du nouveau PIA seront soumis à une éco-conditionnalité et 50% concerneront directement ou indirectement des investissements pour la transition écologique.

« Le PIA est géré par le commissaire général à l’investissement, Louis Gallois. Il obéit à une méthodologie rigoureuse : l’appel à projets, suivi d’une expertise indépendante des propositions qui sont soumises. Il investit dans tous les secteurs économiques : la transition énergétique, la santé, l’agroalimentaire et bien d’autres. Il exerce un puissant effet de levier sur les collectivités, mais aussi sur les investisseurs privés, puisqu’il intervient pour 20 à 30% en moyenne dans le financement des projets, il se distingue en cela des interventions traditionnelles de l’Etat », a commenté Jean-Marc Ayrault.

Nouveau président du Medef, Pierre Gattaz juge, pour sa part, le plan insuffisant. « Sur douze ans, c'est largement pas suffisant mais c'est déjà une bonne façon de dire « on s'intéresse à l'avenir ». [...] Par contre, laissons aux entreprises et à leurs équipes le soin de définir les filières d'avenir.[...]Faisons attention à ce que l'Etat ne devienne pas colbertiste et ne nous impose pas les filières », a-t-il commenté ce matin sur RMC info/BFM Business.

Les principaux domaines d’intervention du nouveau PIA seront au nombre de trois. Premièrement, la recherche et l’université, avec une enveloppe supplémentaire de 3,6 milliards. Deuxièmement, la transition énergétique et écologique et la construction urbaine durable auxquelles seront directement dédiés 2,3 milliards, par l’intermédiaire de l’ADEME, qui recevra environ la moitié de cette dotation. Dans ce cadre, des projets seront menés pour la maîtrise des technologies des énergies du futur comme la pile à combustible.

Le troisième domaine d’intervention, c’est l’industrie, à laquelle le PIA consacrera 1,7 milliard d’euros. « Il s’agit d’encourager l’innovation, notamment au sein des pôles de compétitivité pour favoriser l’émergence de nouvelles filières à fort potentiel, la robotisation, le déploiement des services sans contact, le développement d’une nouvelle génération de biocarburants, la constitution d’une vraie industrie des dispositifs médicaux, l’utilisation généralisée de réseaux intelligents, voilà quelques-uns des projets que le gouvernement présentera aux entreprises début septembre et que l’Etat soutiendra par de l’investissement, mais aussi par le biais de la commande publique, de la règlementation et de formation dédiée », a commenté le Premier ministre.

Le PIA poursuivra également son engagement en faveur de l’excellence technologique des industries aéronautiques et spatiales et de défense.

Télécharger le dossier complet du PIA

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Signature du contrat de filière industries et technologies de santé

Filière électronique>Médical>France>Politique
09-07-2013 15:00:35 :

Le Premier ministre a présidé en fin de semaine dernière la sixième réunion du Conseil stratégique des industries de santé (CSIS), dont il avait annoncé la relance en novembre 2012 lors des rencontres internationales de la recherche. La réunion du CSIS a été suivie par la signature du contrat de filière industries et technologies de santé par les ministres et les représentants des syndicats professionnels, en présence des organisations syndicales, dans le cadre du comité stratégique de filière (CSF). L’électronique est l’un des principaux vecteurs d’innovation dans la santé …

Renforcement de la qualité et de la sécurité sanitaire, amélioration de la santé publique, soutien à la recherche et à l’innovation et à la politique industrielle : tels sont les objectifs qui ont animé les travaux du comité de filière et du conseil stratégique.

Ces travaux ont permis d’aboutir à 44 mesures, construites dans une démarche de réciprocité entre Etat et industriels, autour de quatre axes d’action prioritaires
• Renforcer et accroître l’attractivité de la France comme lieu de recherche et de développement d’innovations thérapeutiques ;
• Restaurer la confiance en garantissant la sécurité des produits de santé, en assurant l’accès pour tous aux innovations médicales et technologiques ainsi qu’en luttant contre la contrefaçon;
• Développer l’emploi et la production, notamment en soutenant les PME et ETI innovantes ;
• Partir à la conquête de nouveaux marchés à l’export.

Jean-Marc Ayrault a rappelé que la filière santé en France représente 300 000 emplois directs et indirects et un chiffre d’affaires de 75 milliards d’euros.

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