Logo Vipress
ARCHIVES VIPRESS.NET - VIPRESS.NET - NOUVEAUX PRODUITS - PUBLICITE - CONTACT NEWSLETTER GRATUITE
publicité
   
VIPRESS.NET : ARCHIVES TECHNO
DISTRIBUTION
Accords de distribution
PRODUITS
Semiconducteurs
• Circuits analogiques
• Circuits logiques
• MOS Micro
• Mémoires
• Discrets
Capteurs/Opto/Mems
Passifs
Afficheurs
Logiciels
Modules & Cartes
Energie
Développement
Mesure
Production
Newsletter gratuite
Tarifs pub, lectorat
ETATS-UNIS : 789 article(s).
Machines de production de semiconducteurs : Applied Materials va absorber Tokyo Electron

Semiconducteurs>Production>Etats Unis>Japon>Fusions Acquisitions
25-09-2013 14:08:52 :

Le bon tempo ? Anticipant le passage à une production sur tranches de 450 mm de diamètre, l’Américain Applied Materials, numéro un mondial des équipements de production de semiconducteurs, et son homologue japonais Tokyo Electron (TEL), numéro trois du secteur, annoncent leur projet de fusion « entre égaux » pour devenir le fournisseur incontournable des futures « mégafabs ». Le nouvel ensemble, qui devrait voir le jour en 2014, sera détenu à 68% par les actionnaires actuels d’Applied Materials et à 32% par ceux de TEL. Sa valorisation boursière atteint 29 milliards de dollars …
 
publicité


En dehors de la lithographie, un secteur dominé par le Néerlandais ASML, les deux groupes maîtrisent toutes les étapes critiques de la fabrication des semiconducteurs au niveau de la tranche. En 2012, Applied Materials avait repris à ASML le rang de premier fournisseur mondial d’équipements pour SC avec un chiffre d’affaires de 5513 M$ sur ce marché, contre 4887 M$ pour ASML et 4219 M$ pour Tokyo Electron (source Gartner). Quatrième fournisseur mondial, l’Américain Lam Research est loin derrière (2835 M$). Une fusion entre Applied Materials et TEL propulsera donc le nouvel ensemble loin devant ses poursuivants.

Au fil des années, les deux groupes ont élargi leur offre de produits à la production d’écrans plats et au photovoltaïque (des activités qui restent toutefois relativement marginales). Ainsi, Applied Materials a réalisé lors de son dernier exercice un chiffre d’affaires annuel total de 7,2 milliards de dollars pour un effectif mondial de 15 000 personnes. De son côté, Tokyo Electron a réalisé un CA annuel de 5,4 milliards de dollars avec un effectif de 12 000 personnes. Les deux groupes ont une base installée de machines impressionnante : 33 000 équipements pour l’Américain ; 54 000 machines pour le Japonais. Ils estiment que leur portefeuille de produits est complémentaire (voir illustration), même s’ils ont été chacun les champions nationaux qui ont permis bâtir les industries des semiconducteurs de leur pays.

Cette complémentarité affichée leur permet d’affirmer que leur fusion ne conduira ni à une profonde restructuration et ni à une réduction d’effectifs d’ampleur pour éliminer les doublons. Ils n’escomptent d’ailleurs que 250 M$ d’économies liées aux synergies sur leur résultat d’exploitation un an après leur fusion et 500 M$ trois ans plus tard.
Cette opération constitue la fusion-acquisition la plus importante du secteur.

Précédemment, Applied Materials avait racheté Varian Associates pour 4,9 milliards de dollars ; Lam Research avait repris Novellus pour 3,3 milliards et plus récemment ASML a racheté Cymer pour 2,5 milliards de dollars.

Deux groupes de taille comparable

| Présentation du projet de fusion | PLUS D'INFOS |

Retour en haut

Blackberry ne vaut plus que 3,5 milliards d’euros

Télécoms>Etats Unis>Fusions Acquisitions>Restructurations>Résultats financiers
24-09-2013 14:05:30 :

Le fabricant canadien de smartphones Blackberry mord la poussière. Quelques jours après avoir présenté un plan de restructuration qui condamne 40% de son effectif, le fabricant annonce qu’il va se retirer de la Bourse en acceptant une offre de rachat de 9 dollars par action du fonds d’investissement Fairfax, qui détient déjà 10% de son capital. La transaction valorise celui qui a popularisé la réception d’emails sur les mobiles à 4,7 milliards de dollars, soit moins de 3,5 milliards d’euros …

Après Motorola et Nokia, BlackBerry tombe à son tour de son piédestal. Premier fabricant de téléphones mobiles à avoir conçu des appareils qui servaient à autre chose qu’à téléphoner (quel dirigeant n’a pas à un moment ou à un autre possédé un Blackberry pour consulter ses emails ?), le Canadien n’a pas su par la suite rester dans la course à l’innovation des smartphones tactiles que se livrent Apple et Samsung. Au deuxième trimestre, Blackberry n’a ainsi vendu que 3,7 millions de smartphones, quand en fin de semaine dernière en trois jours Apple a écoulé 9 millions de nouveaux modèles (pourtant sans innovation majeure, selon les observateurs). Ce revers se paie cash : au deuxième trimestre, Blackberry anticipe une perte d’exploitation de 950 M$ à 995 M$ sur un chiffre d’affaires de 1,6 milliards de dollars… réalisé pour moitié dans les services.

Pour éviter la disparition, Blackberry a alors décidé son retrait du marché grand public et la contraction de sa gamme de 6 à 4 modèles pour se recentrer sur le marché de l’entreprise et des professionnels. Une restructuration qui le conduira à réduire son effectif de 40%, -soit 4500 suppressions de postes, - pour le ramener à 7000 personnes. Faixfax trouvera-t-il cela suffisant ? Dans l’industrie des mobiles, on s’interroge déjà pour savoir quel sera le prochain maillon faible.

Retour en haut

Freescale et Oracle s’allient pour standardiser l’Internet des Objets

Télécoms>Semiconducteurs>Logiciels>Etats Unis>Accords>Stratégie
24-09-2013 14:03:52 :

Décrit par beaucoup comme la quatrième révolution industrielle, l’Internet des Objets (IoT en anglais) promet de défricher de nouveaux marchés, mais se heurte encore au manque d’un modèle d’infrastructure ouverte et standardisée pour la fourniture de services IoT qui freine son essor. Forts de ce constat, Oracle et Freescale Semiconductor viennent de passer une alliance pour définir rapidement une plate-forme de services sécurisée autour de l’Internet des Objets pour les marchés du résidentiel, de l’industriel et de l’automatisation de production …

Cette solution est basée sur le langage Java (propriété d’Oracle depuis le rachat de SunMicrosystems) via Java SE Embedded et sur les processeurs à haut niveau de sécurité de Freescale pour l’embarqué.

Cette solution de plate-forme “one box” unifiée compte ainsi proposer un environnement standard et sécurisé pour développer et gérer des services autour de l’’Internet des Objets, dans un premier temps pour des applications résidentielles (compteurs intelligents, télé-santé, et autres services domotiques autour de la maison intelligente).

Des précisions sur cette approche seront sans doute apportées à Paris le 15 octobre prochain à l’occasion d’une table-ronde organisée par Freescale et intitulée « Internet des Objets : opportunités et défis pour les industriels ». Cette table ronde se déroulera en parallèle au Designing with Freescale, événement conçu afin d’apporter aux ingénieurs développant des applications, une vision globale et technique des dernières solutions proposées par Freescale et ses partenaires pour les marchés de l’automobile, de l’industrie, des télécoms et de l’électronique grand public.

Retour en haut

L’Etat de New-York envisage trois « fabs » 450 mm

Semiconducteurs>Etats Unis>Investissements>Stratégie>Politique
24-09-2013 14:03:04 :

En septembre 2011, Andrew Cuomo, gouverneur de l’état de New York, annonçait un projet d’investissement de 4,4 milliards de dollars sur cinq ans associant les ténors mondiaux de l’industrie du semiconducteur (Intel, Samsung, TSMC, IBM et Globalfoundries) pour développer une filière de production de semiconducteurs sur tranches de silicium de 450 mm de diamètre . Deux ans plus tard, l’Etat de New York revient à la charge localisant le projet de ce nanocentre dans la ville de Marcy et évoquant la possibilité d’y construire jusqu’à trois unités de production sur tranches de 450 mm de diamètre, chaque projet nécessitant entre 10 et 15 milliards de dollars d’investissement public et privé …

Ce sont donc potentiellement jusqu’à 45 milliards de dollars qui pourraient être investis sur le site, permettant, selon le communiqué des parties prenantes, d’y créer 5000 emplois directs et 15 000 emplois indirects. Parallèlement, on apprend que le budget d’investissement initial pour le « Global 450 Consortium » a été porté à 4,8 milliards de dollars.

Plus d’infos

Retour en haut

Production d’Oled flexibles pour téléphones mobiles : Veeco rachète Synos

Semiconducteurs>Afficheurs>Production>Etats Unis>Fusions Acquisitions
20-09-2013 13:25:43 :

Spécialisé dans les équipements de dépôts de couches minces, l’Américain Veeco va investir jusqu’à 185 millions de dollars pour racheter une start-up qui a développé un équipement de dépôt de couches atomiques pour la fabrication d’écrans Oled flexibles pour téléphones mobiles. C’est l’une des applications possibles de la technologie FAST-ALD (pour Fast Array Scanning Atomic Layer Deposition) développée par Synos Technology, une start-up californienne qui emploie 50 personnes aux Etats-Unis et en Corée …

Alors que la technologie conventionnelle de dépôt de couches atomiques est lente, coûteuse et limitée à la taille de la chambre du réacteur de dépôt, la technologie de Synos permettrait de déposer des couches minces à moins de 100°C, dix fois plus rapidement que les méthodes traditionnelles et sur des surfaces sans limitation de dimensions.

La première ligne pilote qui fait appel à la technologie de Synos vient d’être installée et la production doit démarrer début 2014. Veeco estime qu’à court terme, le marché adressé par Synos pour la fabrication d’écrans organiques flexibles pour téléphones mobiles pourrait atteindre 400 millions de dollars. Selon IHS iSuppli, le marché des afficheurs Oled flexibles pourrait passer de 21 M$ en 2013, à 12 milliards de dollars en 2020. Veeco souligne également que la technologie de dépôt de Synos pourrait être utilisée dans bien d’autres domaines : afficheurs Oled de grande taille pour téléviseurs, éclairage, photovoltaïque, accumulateurs, etc.

Le prix initial du rachat est de 70 M$ et pourra grimper jusqu’à 185 M$ en fonction des performances futures réalisées par Synos. Veeco développe des équipements de dépôts (MOCVD, MBE, par faisceaux d’ions, etc.) pour la fabrication des DEL, des composants de puissance, des disques durs, des mems et des circuits intégrés pour le sans fil.


Retour en haut

Agilent se scinde en deux

Mesure/Test>Etats Unis>Stratégie
20-09-2013 13:23:17 :

Agilent Technologies va se transformer en deux sociétés distinctes, chacune devant être plus à même de déployer sa stratégie de croissance : la première, qui conservera le nom d’Agilent rassemblera les activités de l’Américain dans l’instrumentation pour les sciences du vivant, le diagnostic médical et l’analyse chimique (3,9 milliards de dollars de CA), la seconde, -dont le nom reste à trouver-, sera focalisée uniquement sur le test et mesure en électronique (2,9 milliards de dollars de CA). La séparation doit être effective d’ici fin 2014 …

La nouvelle entité pour le test et mesure en électronique, que par commodité nous appellerons EM Company, devrait réaliser pour son exercice fiscal 2013 un chiffre d’affaires de 2,9 milliards de dollars, avec une marge d’exploitation de 19%. Premier fournisseur mondial d’équipements de test et mesure pour l’électronique, EM Group réalise 17% de ses ventes en Europe, 37% sur le continent américain et 46% en Asie.

Selon Agilent, EM Company s’adresse à un marché mondial de 13 milliards de dollars, dont la croissance annuelle moyenne sur le long terme est de 3% à 4%. EM Group revendique le rang de premier fournisseur mondial en test et mesure sur les trois segments de ce marché : les télécommunications ; l’industriel, l’informatique et les semiconducteurs ; et enfin la défense et l’aéronautique. Le marché du test et mesure en télécoms représente 4 milliards de dollars et croît en moyenne de 4% à 6% par an ; celui de l’industriel, de l’informatique et des semiconducteurs représente 6 milliards et progresse en moyenne de 3% à 5% par an ; enfin, celui du test et mesure pour le militaire et l’aéronautique représente 3 milliards de dollars par an, avec une croissance faible, voire nulle.

EM Company, qui sera placée sous l’autorité de Ron Nersesian, emploie 9500 personnes dans le monde.

La séparation d’Agilent en deux entreprises indépendantes s’effectuera en distribuant aux actionnaires du groupe des actions d’EM Company.

Présentation du projet de séparation d’Agilent

Retour en haut

<<-Précédent Page 78 sur 132 Suivant->>
  ARCHIVES BUSINESS
publicité
  CONJONCTURE
  ETUDES DE MARCHE
  ENTREPRISES
  SEMICONDUCTEURS
  PASSIFS
  AFFICHEURS
  AUTRES COMPOSANTS
  CAO- MESURE
  PRODUCTION
  SOUS-TRAITANCE
  DISTRIBUTION
  OEM
  THEMES
  FUSION-ACQUISITION
  ACCORDS
  RESTRUCTURATIONS
  INVESTISSEMENTS
  R&D
  FINANCE
  PAYS
  FRANCE
  EUROPE
  ETATS-UNIS
  JAPON
  CHINE
  ASIE HORS CHINE
  RESTE DU MONDE
  ECONOMIE
  Politique INDUSTRIELLE
  GRANDS PROGRAMMES
  EMPLOI
  NOMINATIONS
 


© VIPRESS - Soyez le premier informé !
Mentions légales