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EUROPE : 939 article(s).
Airbus se désengage partiellement de Dassault Aviation

Défense>Aéronautique>France>Europe>Accords>Politique
01-12-2014 13:12:24 :

Avec la bénédiction de l’Etat français, Airbus Group et Dassault Aviation ont signé une convention concernant l'acquisition par Dassault Aviation d'un bloc de 8% de ses propres actions auprès d'Airbus sur les 46,32% détenus par le groupe aéronautique européen. Cette opération représente un montant total d'environ 794 millions d'euros. Dassault Aviation détient à la suite de cette opération 9,4 % de son capital …
 
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En contrepartie, l’Etat – via l’Agence des Participations de l’Etat et la Direction Générale de l’Armement – et le Groupe Industriel Marcel Dassault, actionnaire majoritaire de Dassault Aviation, ont conclu une convention d’une durée minimale de 20 ans permettant à l’Etat d’assurer la défense de ses intérêts essentiels en cas d’évolution du contrôle de cette entreprise stratégique. Cette convention prévoit d’octroyer à l’Etat un droit de préemption en cas de cession d’actions par le Groupe Industriel Marcel Dassault entraînant sa perte de contrôle sur Dassault Aviation.

Par cet accord avec le Groupe Industriel Marcel Dassault, l’Etat permet à Airbus Group, dont l’Etat est actionnaire, de réaliser cette cession tout en renforçant la protection de ses intérêts de souveraineté. L’Etat détient (via l’Agence des Participations de l’Etat et la Sogepa) 10,97 % du capital d’Airbus Group, ainsi qu’une action de Dassault Aviation.

Avec plus de 8000 avions militaires et civils livrés dans 83 pays depuis 60 ans et représentant plus de 28 millions d'heures de vol, Dassault Aviation est présent sur tous les types d'avion, depuis l'appareil de combat Rafale jusqu’aux avions commerciaux Falcon en passant par les drones militaires. En 2013, le chiffre d'affaires de Dassault Aviation s'est élevé à 4,59 milliards d'euros. La société compte près de 11 600 collaborateurs.

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Chiffre d’affaires semestriel en hausse de 20% pour Acal

Distribution>Europe>Conjoncture>Résultats financiers
27-11-2014 13:20:45 :

Le groupe britannique Acal a réalisé un chiffre d’affaires de 120,9 M£ pour son premier semestre fiscal clos fin septembre, en hausse de 20% par rapport au premier semestre de l’exercice précédent. A taux de change constants, la progression atteint 27%, réduite à 3% hors acquisitions (la dernière en date est Noratel, un spécialiste norvégien des composants électromagnétiques) …

Acal est désormais organisé désormais en deux divisions : Custom Distribution (distribution spécialisée) et Design & Manufacturing (une activité de produits à la demande issue de différentes acquisitions récentes, Hectronic, MTC, Myrra, Noratel, RSG, Stortech et Vertec). Le chiffre d’affaires de la division distribution a progressé de 6% à taux de change constants, à 82,3 M£, mais est resté stable sur une base comparable hors acquisitions. De son côté, la division conception & fabrication a vu ses ventes progresser de 123%, à 38,6 M£, et de 15% sur une base comparable hors acquisitions.

Pour son premier semestre fiscal, Acal a dégagé un bénéfice imposable de 0,1 M£, contre 2,7 M£, un an plus tôt.

Présentation de la nouvelle structure d’Acal.


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Bruxelles autorise la création d'une co-entreprise entre Airbus et Safran dans le spatial

Défense>Aéronautique>France>Europe>Accords
27-11-2014 13:18:09 :

La Commission européenne a conclu que le projet de création d’une entreprise commune spécialisée dans les lanceurs spatiaux, les sous-systèmes pour satellites et la propulsion de missiles entre Airbus et Safran était compatible avec le règlement de l’Union européenne sur les concentrations …

Le 8 octobre 2014, Airbus et Safran ont notifié leur intention de créer une entreprise commune qui reprendrait leurs activités respectives relatives aux lanceurs spatiaux, aux sous-systèmes pour satellites et à la propulsion de missiles. Par ailleurs, ces deux entreprises ont l’intention d’acquérir ultérieurement le contrôle de la société de lancement de satellites Arianespace.

Cette décision est toutefois subordonnée à l’exclusion de la propulsion électrique de satellites, -qui relève du portefeuille de Safran-, des activités de l’entreprise commune, ainsi qu'à certains engagements en matière de fourniture. La Commission craignait en effet que l'entreprise commune n'évince les concurrents d'Airbus, ne limite leur accès à certaines sources d'approvisionnement ou ne transmette des informations stratégiques à Airbus.

Afin de dissiper les craintes de la Commission en matière de concurrence, Airbus et Safran se sont ainsi engagées à exclure les activités de propulsion électrique de satellite de Safran du portefeuille de l’entreprise commune et à les maintenir dans une entité distincte. Les deux entreprises se sont également engagées à conclure un accord-cadre de fourniture avec le principal client actuel de Safran en ce qui concerne les cylindres carbone-carbone pour les instruments optiques destinés à des applications spatiales, les systèmes de protection thermique pour les corps de rentrée civils et les capteurs de pression de précision standard pour satellites, ainsi qu'à garantir la fourniture de ces composants à tout contractant principal tiers selon des conditions transparentes et non discriminatoires.

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Chiffre d’affaires annuel en hausse de 12% pour Infineon Technologies

Semiconducteurs>Europe>Conjoncture>Résultats financiers
27-11-2014 13:17:25 :

Après avoir vu ses ventes annuelles reculer de 2% lors de l’exercice précédent, le fabricant de semiconducteurs allemand Infineon Technologies vient de clore son année fiscale fin septembre sur un chiffre d’affaires de 4320 millions d’euros, en hausse de 12% par rapport à l’exercice précédent. Son bénéfice d’exploitation est passé de 325 M€ à 525 M€, et son bénéfice net annuel est passé de 272 M€ à 535 M€…

Lors du dernier trimestre de l’exercice, Infineon a réalisé un chiffre d’affaires de 1175 M€, en hausse de 6% par rapport aux 1110 M€ du trimestre précédent et en progression de 12% par rapport au dernier trimestre de l’exercice précédent (1053 M€). Lors du trimestre, Infineon a affiché un bénéfice net de 181 M€, contre 143 M€ lors du trimestre précédent et 142 M€ lors du même trimestre de l’exercice précédent.

Pour le trimestre en cours, du fait de la saisonnalité des ventes, Infineon vise une baisse séquentielle de son chiffre d’affaires de 5% à 9%, avec des baisses séquentielles d’activité dans chacune de ses quatre divisions : automobile (ATV), industriel (IPC), gestion de puissance et circuits multi-applications (PMM), circuits pour cartes à puce et sécurité (CCS).
Pour l’ensemble de l’exercice, le fabricant allemand de semiconducteurs vise une progression de son chiffre d’affaires annuel de 8% à +/-2%. Au cours de l’exercice 2015, Infineon prévoit d’investir environ 700 M€, contre 650 M€ lors de l’exercice qui vient de s’achever.

Concernant l’acquisition en cours d’International Rectifier, Infineon prévoit d’obtenir les autorisations nécessaires pour finaliser ce rachat à la fin de l’année ou début 2015.


Présentation des résultats annuels

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315 milliards d'euros pour relancer la croissance en Europe

Filière électronique>Europe>Politique>Grands Programmes
26-11-2014 14:27:08 :

La Commission européenne a annoncé ce matin un plan d'investissement qui doit libérer au moins 315 milliards d'euros d'investissements publics et privés pour l'économie réelle au cours des trois prochaines années (2015-2017). Chaque euro d'argent public mobilisé par le Fonds doit générer au total 15 euros d'investissements qui, à défaut, n'auraient pas été réalisés …

Le nouveau Fonds soutiendra les investissements stratégiques dans les infrastructures, notamment les réseaux à haut débit et les réseaux d'énergie, le transport, dans les centres industriels, ainsi que l'éducation, la recherche et l'innovation, les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique, sans oublier les PME et les entreprises à moyenne capitalisation.

Selon les estimations de la Commission européenne, les mesures proposées pourraient, prises dans leur ensemble, accroître le PIB de l'UE de 330 à 410 milliards d'euros au cours des trois prochaines années et créer jusqu'à 1,3 million d'emplois.

Le plan comporte trois volets principaux la création d'un nouveau Fonds européen pour les investissements stratégiques (FEIS), garanti par de l'argent public, afin de mobiliser au moins 315 milliards d'investissements supplémentaires au cours des trois prochaines années (2015-2017) ; la mise en place d'une réserve de projets crédibles, associée à un programme d'assistance afin de canaliser les investissements en fonction des besoins les plus pressants ; une feuille de route destinée à rendre l'Europe plus attrayante pour les investissements et supprimer les obstacles réglementaires.

« L'heure est venue d'investir dans notre avenir, dans des secteurs clés pour l'Europe, comme l'énergie, les transports, le haut débit, l'éducation, la recherche et l'innovation. Je compte à présent sur le Parlement européen et les États membres pour s'atteler à la tâche et faire en sorte que le nouveau Fonds européen pour les investissements stratégiques soit opérationnel le plus rapidement possible », a commenté Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne.

Un nouveau Fonds européen pour les investissements stratégiques (FEIS) sera mis sur pied, en partenariat avec la Banque européenne d'investissement (BEI). Il comprendra une garantie de 16 milliards d'euros provenant du budget de l'UE, combinée à 5 milliards d'euros engagés par la BEI. Selon des estimations fondées sur les enseignements du passé, le Fonds aura un effet multiplicateur de 1 à 15. En d'autres termes, chaque euro d'argent public mobilisé par le Fonds générera au total 15 euros d'investissements qui, à défaut, n'auraient pas été réalisés.
La totalité des mesures correspondantes devraient être adoptées de manière à ce que le nouveau Fonds européen pour les investissements stratégiques puisse être mis en place d'ici la mi-2015. À la mi-2016, la Commission européenne et les chefs d'État et de gouvernement feront le point sur les progrès réalisés et, le cas échéant, envisageront d'autres options.


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Infineon réalise un investissement stratégique dans le circuit imprimé

Semiconducteurs>Composants passifs>Europe>Investissements>Stratégie
26-11-2014 14:25:36 :

Pour un impératif technologique majeur, le fabricant de semiconducteurs allemand Infineon Technologies s’allie à son compatriote Schweizer Electronic, l’un des trois plus grands fabricants de circuits imprimés européens. Dans le cadre de cet accord pour intégrer des semiconducteurs de puissance à l’intérieur du circuit imprimé, Infineon acquiert une participation de 9,4% au capital de Schweizer, pour un montant non divulgué …

L’objectif des deux partenaires est avant tout technologique : il s’agit de développer des technologies permettant l’intégration de semiconducteurs de puissance à l’intérieur du circuit imprimé pour des applications de forte puissance dans l’automobile et dans l’industriel. Cela permettra de mieux adresser les applications où le gain de place est primordial (système de direction assistée électrique, suspension active ou pompes électriques dans l’automobile par exemple). Enfouir la puce dans le circuit imprimé permet également d’utiliser la carte pour assurer un meilleur refroidissement de la puce. La chaleur produite par les puces est ainsi dissipée directement via le circuit imprimé. La dissipation devient un enjeu majeur dans l’automobile où le réseau 48 volts est amené à prendre de plus en plus d’importance par rapport au 12 volts. Déjà, la puissance électrique peut atteindre jusqu'à 2 kW pour les compresseurs dans un système de climatisation du véhicule, expliquent les deux partenaires qui collaborent depuis déjà plusieurs années dans l’électronique automobile.

En 2013, Schweizer a réalisé un chiffre d’affaires de 101,2 millions d’euros, avec un effectif de 700 personnes. L’entreprise fondée en 1849 fait partie d’un réseau de partenaires avec l’Allemand Elekonta Marek, le Japonais Meiko Electronics et le Chinois WUS Printed Circuit, qui permet de mobiliser plus de 20 000 personnes en Allemagne, au Japon, en Chine et au Vietnam pour la réalisation de toutes tailles de série à des coûts optimisés. De son côté, Infineon emploie 26 700 personnes pour un chiffre d’affaires de 3,84 milliards d’euros pour son exercice clos fin septembre 2013. Rappelons que, selon IC Insights, Infineon sera, cette année, avec NXP, l’un des tous premiers fabricants mondiaux en matière de croissance, affichant une hausse de ses ventes de 17%, à 6,15 milliards de dollars (voir notre article).

Cet accord emblématique montre le caractère stratégique du circuit imprimé pour l’avenir de compétitivité de l’industrie européenne. En entrant au capital d’un fabricant de PCB, Infineon redonne ses lettres de noblesse à ce composant passif à la demande, un temps délaissé pour succomber aux sirènes des délocalisations asiatiques à bas coût.

A ce sujet, Bernard Bismuth, -grand expert de cette industrie-, a remis cet été à l’organisation professionnelle Acsiel ((Alliance des composants et systèmes pour l’industrie électronique), un rapport sur la situation de l’industrie française du circuit imprimé et ses propositions dans ce domaine pour valoriser ce maillon essentiel de la chaîne de valeur (voir notre article).

« Si l’on veut garder une production rentable et intéressante de produits électroniques pour tous les acteurs de la chaine, il faudra garder une industrie de circuits imprimés mais qui devra être d’un très bon niveau », préconise dans son rapport le président de B de B Consulting.

A voir notamment l’ interview à Electronica de Bernard Bismuth sur le futur de l'industrie du circuit imprimé à l’horizon 2020.

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