Logo Vipress
ARCHIVES VIPRESS.NET - VIPRESS.NET - NOUVEAUX PRODUITS - PUBLICITE - CONTACT NEWSLETTER GRATUITE
publicité
   
VIPRESS.NET : ARCHIVES TECHNO
DISTRIBUTION
Accords de distribution
PRODUITS
Semiconducteurs
• Circuits analogiques
• Circuits logiques
• MOS Micro
• Mémoires
• Discrets
Capteurs/Opto/Mems
Passifs
Afficheurs
Logiciels
Modules & Cartes
Energie
Développement
Mesure
Production
Newsletter gratuite
Tarifs pub, lectorat
EUROPE : 939 article(s).
Infineon investit 290 M€ dans les innovations de production en Autriche

Semiconducteurs>Production>Europe>Investissements>R&D
30-06-2014 12:11:03 :

L’Allemand Infineon Technologies vient d’annoncer un programme d’investissement baptisé “Pilot Space Industry 4.0” dans son centre industriel de Villach, en Autriche. L’investissement de 290 M$ concernera à la fois la R&D et les technologies de production de semiconducteurs de prochaines générations. 200 nouveaux emplois devraient être créés entre 2014 et 2017, principalement dans la R&D …
 
publicité


Le site autrichien de Villach est très important dans la stratégie d’Infineon pour développer de nouvelles technologies de production qui sont ensuite transférées dans d’autres usines du groupe à plus grande échelle. Cela a été déjà notamment le cas pour la production de semiconducteurs de puissance sur tranches de 300 mm de diamètre amincies dont la production de volume a été transférée à Dresde.

Au programme des innovations pour ce nouveau round d’investissements à Villach, figurant le développement de procédés de fabrication de mems et de technologies de capteurs sur des tranches de nitrure de gallium (GaN) et de carbure de silicium (SiC), ainsi que la poursuite des travaux sur la production sur tranches amincies de 300 mm de diamètre.

En mai dernier, le deuxième fabricant européen de semiconducteurs avait annoncé son intention de réduire, à partir de son exercice fiscal 2015 qui débutera en octobre prochain, son ratio investissements sur chiffre d’affaires de 15% à 13%, en tirant notamment profit de la montée en puissance de sa production de semiconducteurs de puissance sur tranches de 300 mm de diamètre amincies et en faisant davantage appel à la sous-traitance pour la fonderie et l’assemblage en boîtiers.


Retour en haut

Dialog Semiconductor et AMS négocient une fusion entre égaux

Semiconducteurs>Europe>Fusions Acquisitions>Stratégie
30-06-2014 12:10:08 :

Les fabricants de semiconducteurs européens Dialog Semiconductor (668 M€ de CA pour 1100 employés) et AMS (378 M€ de CA pour 1400 employés) négocient une fusion entre égaux, ont-ils officialisé en fin de semaine dernière. Le nouvel ensemble, si les négociations encore au stade préliminaire aboutissent, donnerait naissance à un groupe de plus de 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires …

L’Allemand Dialog développe des circuits mixtes optimisés pour les terminaux portables, la connectivité sans fil courte distance, l’éclairage à DEL et l’automobile. Le groupe d’origine germanique a son siège à Londres. En 2013, Dialog a réalisé un chiffre d’affaires de 910 M$ avec un effectif mondial de 1100 personnes. L’été dernier, Dialog avait racheté l’Américain iWatt, un spécialiste des circuits numériques de gestion de puissance. L’acquisition d’iWatt, pour au moins 310 M$, avait permis à Dialog de renforcer ses positions sur le marché des circuits pour chargeurs de smartphones et de tablettes, ainsi que le marché des circuits pour l’éclairage à DEL.

Pour sa part, l’Autrichien [bAMS est spécialisé dans les circuits analogiques et les capteurs. AMS a réalisé en 2013 un chiffre d’affaires de 377,8 millions d’euros, en baisse de 3% par rapport à 2012, pour un bénéfice net de 60,8 M€, contre 81,9 M€ lors de l’exercice précédent. En début de mois, AMS a annoncé l’acquisition de l’Allemand AppliedSensor, un spécialiste des capteurs de gaz de type mems pour les marchés de l’électroménager, de l’automobile, de l’automatisation des bâtiments et les applications industrielles et grand public. Le montant du rachat n’avait pas été communiqué.

Retour en haut

Analyse des réseaux mobiles : Exfo rachète le Finlandais Aito Technologies

Télécoms>Mesure/Test>Europe>Etats Unis>Fusions Acquisitions
26-06-2014 13:14:01 :

Le Canadien Exfo annonce l’acquisition du Finlandais Aito Technologies, un fournisseur de solutions d'analyse de l'expérience client destinées aux opérateurs de réseaux mobiles. Les logiciels d'analyse de Aito Technologies seront combinés à la gamme Exfo d'instruments, de systèmes et de solutions pour réseaux sans fil afin d'offrir un niveau rehaussé de visibilité et d'analyse d'un bout à l'autre des réseaux 3G et 4G/LTE, pour permettre aux opérateurs de mieux gérer l’augmentation exponentielle du trafic de données et de la complexité des réseaux …

« Dans l'industrie du mobile, il est devenu primordial de suivre et d'améliorer l'expérience client puisque la prolifération de téléphones intelligents et de tablettes, combinée à l'explosion de la vidéo en continu, aux nouveaux services et aux nouvelles applications, génère une augmentation exponentielle du trafic de données et de la complexité des réseaux. Dans ce contexte, la visibilité et l'analyse bout-en-bout deviennent le maillon critique pour assurer la haute performance des services », explique en effet le fournisseur canadien de solutions de test, d'assurance de services et de qualité d'expérience bout-à-bout pour les opérateurs et les fabricants d'équipement de réseaux fixes et mobiles de l'industrie des télécommunications.

Basée à Espoo, en Finlande, Aito Technologies offre des logiciels d'analyse d'expérience client qui regroupent les données commerciales avec les données liées au réseau, au produit et au client et permettent ainsi une analyse, une reconnaissance, une réaction et une décision en temps réel pour un grand nombre d'utilisateurs et de décideurs chez l'opérateur de réseau sans fil.

Retour en haut

Moteurs électriques : l’Allemand Mahle prend le contrôle du Slovène Letrika

Industriel>Sous systèmes>Europe>Fusions Acquisitions
26-06-2014 13:12:59 :

Le groupe allemand Mahle, spécialisé dans les produits moteur et accessoires pour l’automobile et d’autres industries (10 milliards d’euros de chiffre d’affaires pour un effectif de 65 000 personnes dans le monde) vient d’annoncer la prise de contrôle du groupe slovène Letrika, un fabricant de composants électriques qui fournit à des clients du monde entier, entre autres, des moteurs et des onduleurs pour l'entraînement des chariots élévateurs électriques, des véhicules électriques de golf et des quadricycles électriques légers …

Pour le groupe Mahle, cette prise de contrôle entre dans le cadre de sa stratégie de créer une division mécatronique/électrique qui devrait générer un chiffre d’affaires de l’ordre de 500 M€ à moyen terme.

Letrika fournit également les moteurs du véhicule électrique Renault Twizy, et commercialise depuis plusieurs années un système d'entraînement basse puissance (moteur 15 kW et onduleur) pour les petites voitures à propulsion électrique de moins d’une tonne.

En 2013, Letrika a réalisé un chiffre d’affaires de 242,5 millions d’euros avec 2416 employés réparties entre la Slovénie, la Bosnie-Herzégovine, la Biélorussie, la Chine et le Brésil.
Cette prise de contrôle à 54% entre dans le cadre du programme de privatisation de l’Etat slovène.


Retour en haut

Bruxelles approuve une aide de 400 millions d’euros à STMicroelectronics pour le programme Nano2017

Semiconducteurs>France>Europe>R&D>Financement>Politique>Grands Programmes
26-06-2014 13:05:50 :

La Commission européenne a conclu que l'aide octroyée par la France à STMicroelectronics pour le développement de nouvelles technologies dans le secteur nanoélectronique était conforme aux règles de l'Union relatives aux aides d'État. La France a notifié fin 2013 son projet d'octroyer une aide à ST pour la réalisation du programme Nano2017 qui ambitionne notamment de positionner la technologie FD-SOI comme alternative à la technologique FinFET sur le marché mondial …

Porté par STMicroelectronics et par le LETI - laboratoire du CEA dédié à la nanoélectronique- ce programme de R&D combine les efforts de multiples partenaires, privés et publics, en région grenobloise. Le montant des dépenses prévues, sur la période 2013/2017, s’élève à 1,8 milliard d’euros

Ce programme vise à développer de nouvelles technologies pour la conception et la production des prochaines générations de circuits intégrés, ainsi qu’à renforcer la structuration de la filière européenne en micro-nanoélectronique, en positionnant le cluster de Crolles - Grenoble comme un leader au niveau mondial dans le domaine des technologies CMOS numériques avancées.

Deux technologies permettent actuellement d’aller au-delà de la filière 28 nm : la technologie FinFET, issue des laboratoires de la DARPA aux Etats-Unis, industrialisée pour la première fois par Intel, puis par TSMC d’une part ; et la technologie FD-SOI ("Fully Depleted Silicon On Insulator"), dont les performances et la potentialité à remplacer les transistors CMOS sur substrats massifs pour le nœud technologique 28 nm ont été démontrées dans le cadre de l’alliance ISDA avec IBM et du projet Nano2012, et dont le développement au-delà du 28 nm est au cœur du programme Nano2017 d’autre part. Nano2017 ambitionne ainsi de repositionner la technologie FD-SOI comme alternative à la technologique FinFET sur le marché mondial.

Le programme Nano2017 est réalisé par un consortium de dimension européenne rassemblant 174 partenaires de 19 pays (62 appartiennent aux 3 grands clusters européens) et dont ST sera le chef de file. Il sera en partie financé par l’entreprise commune ENIAC (en particulier les nouveaux projets de Lignes Pilotes pour les technologies clés génériques), et s’inscrit ainsi pleinement dans les objectifs d’Horizon 2020, le nouveau programme de l’UE pour la recherche et l’innovation.

« Le programme Nano2017 ambitionne des avancées majeures dans le domaine de la nanoélectronique. Il porte en lui une dimension européenne inédite qui permettra de renforcer les synergies entre les trois grands clusters européens et structurer la filière », a déclaré Joaquín Almunia, vice-président de la Commission chargé de la concurrence. La Commission considère, en particulier, que le projet contribuera à la réalisation des objectifs de l'UE en matière scientifique et environnementale, sans fausser la concurrence de manière indue.

Retour en haut

La Commission propose un plan d’action pour l’industrie de défense européenne

Défense>Europe>Politique
25-06-2014 13:08:40 :

La Commission européenne vient de présenter un rapport définissant des mesures destinées à renforcer le marché unique de la défense, promouvoir une industrie de la défense plus compétitive et favoriser les synergies entre recherche civile et recherche militaire. Selon la Commission, il est important d’agir, d’autant que la crise économique a durement touché un secteur industriel majeur d’une importance stratégique pour l’Europe, qui affiche un chiffre d’affaires de 96 milliards d’euros pour la seule année 2012 et qui emploie environ 400 000 personnes, à quoi il faut ajouter pas moins de 960 000 emplois indirects …

« La recherche de pointe menée dans ce secteur a des retombées importantes dans d’autres secteurs, tels que l’électronique, l’industrie spatiale et l’aviation civile, et crée de la croissance ainsi que des milliers d’emplois hautement qualifiés », commente la Commission.

Pour promouvoir la coopération et renforcer l’efficacité du secteur, la Commission a décidé de prendre les initiatives ci-dessous.
1. Achever le marché unique de la défense et de la sécurité. En se basant sur les deux directives en vigueur concernant les marchés publics et les transferts intra-UE dans le domaine de la défense, la Commission compte s’attaquer également aux distorsions du marché et contribuer à améliorer la sécurité d’approvisionnement des États membres.
2. Renforcer la compétitivité de l’industrie européenne par la mise en œuvre d’une politique industrielle de défense fondée sur deux grands axes :
• le soutien à la compétitivité : activités visant la mise en place d’un nouveau mécanisme d’élaboration des normes dans le secteur européen de la défense et d’une conception commune des normes applicables aux aéronefs militaires ;
• le soutien aux PME : par exemple, l’établissement de réseaux entre des régions européennes liées à la défense, une aide aux PME du secteur de la défense confrontées à la concurrence mondiale et des orientations pratiques pour les PME et les autorités régionales européennes en vue de clarifier la possibilité de financer sur le budget européen des projets concernant des biens à double usage.
3. Soutenir la recherche en matière de défense européenne. À cette fin, la Commission s’efforcera d’obtenir le plus grand nombre de synergies possible entre la recherche civile et la recherche militaire, notamment en élaborant un nouveau programme (action préparatoire) destiné à étudier les avantages éventuels d’un financement de l’UE pour la recherche liée à la politique de sécurité et de défense commune (PSDC) et en aidant les forces armées à réduire leur consommation énergétique.

Le rapport est disponible ICI.

Retour en haut

<<-Précédent Page 42 sur 157 Suivant->>
  ARCHIVES BUSINESS
publicité
  CONJONCTURE
  ETUDES DE MARCHE
  ENTREPRISES
  SEMICONDUCTEURS
  PASSIFS
  AFFICHEURS
  AUTRES COMPOSANTS
  CAO- MESURE
  PRODUCTION
  SOUS-TRAITANCE
  DISTRIBUTION
  OEM
  THEMES
  FUSION-ACQUISITION
  ACCORDS
  RESTRUCTURATIONS
  INVESTISSEMENTS
  R&D
  FINANCE
  PAYS
  FRANCE
  EUROPE
  ETATS-UNIS
  JAPON
  CHINE
  ASIE HORS CHINE
  RESTE DU MONDE
  ECONOMIE
  Politique INDUSTRIELLE
  GRANDS PROGRAMMES
  EMPLOI
  NOMINATIONS
 


© VIPRESS - Soyez le premier informé !
Mentions légales