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FRANCE : 979 article(s).
Un rapport sur la transformation numérique de l’économie française

Filière électronique>France>Politique
10-11-2014 14:44:13 :

Vendredi dernier, Philippe Lemoine a remis au gouvernement son rapport sur « la transformation numérique de l’économie française ». À l’issue de 9 mois de travaux, le Président de la Fondation internet nouvelle génération (Fing) préconise le lancement de 9 projets emblématiques dont un sur la voiture connectée, ainsi que la mise en place de 53 mesures accompagnées de 118 recommandations …
 
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Ce rapport que nous vous proposons de télécharger égrène ses recommandations au fil de 277 pages (365 pages avec les annexes). Autant dire qu’il devient rapidement indigeste. Le rapport s’appuie sur les travaux de plus de 500 personnes ont travaillé ensemble sur la question de la transformation numérique de l’économie.

Pointons les mesures concernant les défis et les enjeux de la transformation numérique du secteur « industrie » (à partir de la page 173).

Pour l’auteur, quatre grandes tendances structureront le secteur de l’industrie en France à horizon 10 ans :
• l’accélération de la mutation d’une économie de produit vers une économie de la fonctionnalité, basée sur la valorisation de l’usage et du service.
• la reconcentration de la chaîne de valeur en un même lieu : vendre, personnaliser, produire, réparer directement sur le lieu de vente, au plus près des clients. En particulier, l’impression 3D pourrait revitaliser l’industrie de proximité en permettant une production à la demande de petites pièces.
• la livraison comme atout commercial déterminant. L’utilisation des « analytics » et des objets connectés permet de piloter et d’optimiser en temps réels les circuits de livraison.
• la connaissance des clients finaux qui devient un enjeu majeur des industriels.

Les acteurs de l’industrie interrogés estiment que ce sont l’impression 3D, l’Internet des objets, la robotique qui impacteront le plus leur secteur d’ici à 2020, devant la biométrie, les écrans souples, les nanotechnologies et la réalité augmentée.

Une automobile connectée, conçue à plusieurs et prototypée en FabLab

Pour stimuler l’émergence de nouveaux projets, le rapport propose de lancer un projet industriel emblématique dans le secteur automobile qui incarnerait la mise en place de nouvelles modalités de conception et de prototypage de produits industriels. « Réinventer la valeur ajoutée du véhicule automobile en lançant un projet audacieux, multimarques autour d’un acteur tel que la Plateforme de la Filière Automobile (PFA), pour concevoir et prototyper de manière agile et ouverte, un véhicule connec¬té qui soit en prise directe avec la réalité de l’environnement dans lequel il évolue en s’appuyant notamment sur un accès en temps réel à l’information pour sécuriser et optimiser les trajets », telle est la proposition du rapport. D’aucuns la jugeront assez utopiste et loin de la réalité de l’industrie.



Télécharger le rapport complet ICI sur la plateforme collaborative Stample.

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7,77 milliards d’euros pour la recherche publique

Filière électronique>France>R&D>Politique
06-11-2014 14:22:36 :

La recherche publique voit ses moyens sauvegardés, avec un budget 2015 de 7,77 milliards d'euros, en légère hausse de 6 millions d'euros par rapport à l’année précédente, a présenté mardi à l’Assemblée Nationale, Geneviève Fioraso, secrétaire d'État à l'enseignement supérieur et à la recherche …

Cette somme permet d’une part de maintenir les moyens des organismes de recherche à un montant identique à celui de l’année précédente (5,78 milliards d'euros), et d’autre part, de maintenir les moyens de l’ANR, Agence Nationale pour la Recherche (580 millions d'euros).

« Dans un contexte démographique défavorable pour les 4 ans à venir avec la fin du départ à la retraite des babyboomers, amplifié par le trop faible recrutement de docteurs dans le privé, le gouvernement a mis en place un plan d’actions avec les organismes de recherche, pour que tous les départs à la retraite de chercheurs et d’ingénieurs, techniciens et administratifs soient remplacés au taux de 1 pour 1, avec un effort particulier pour les jeunes chercheurs et l’insertion des post-docs », a commenté Geneviève Fioraso.

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Lancement des études industrielles du futur drone aérien de combat franco-britannique

Défense>France>Europe>R&D>Grands Programmes
06-11-2014 14:18:30 :

La France et la Grande-Bretagne ont procédé hier officiellement au lancement industriel du projet de drone de combat futur (FCAS - Future Combat Air System). La DGA et son homologue britannique (DE&S) ont remis aux partenaires industriels du projet (Dassault Aviation - BAE Systems, Rolls-Royce - Safran et Selex ES - Thales), les contrats d’études de la phase de faisabilité du FCAS …

La signature de ces contrats FCAS intervient à l’issue d’une phase préparatoire de deux ans qui a réuni sur ce projet Dassault Aviation et BAE Systems comme systémiers, Thales et Selex ES pour l’électronique embarquée et les capteurs, ainsi que Safran et Rolls-Royce pour la propulsion.

L’engagement conjoint, d’un montant de 120M£ (150M€) également répartis entre les partenaires, est complété par des études nationales lancées en parallèle, pour un montant d’environ 40M£ (50M€) par pays. Cette phase de faisabilité conjointe de deux ans qui débute aujourd’hui portera plus particulièrement sur les architectures de drones de combat, sur certaines technologies-clés et sur la définition des moyens de simulation destinés à valider les choix techniques et les concepts d’emplois. La France comme le Royaume-Uni mettront également à profit l’expérience acquise dans le domaine des drones aériens de combat avec les démonstrateurs technologiques NEURON et TARANIS, projets conduits respectivement par Dassault-Aviation et BAE Systems.

La phase de faisabilité prépare le lancement du développement et de la réalisation d’un démonstrateur de drone de combat prévu début 2017.

Capteurs multifonction et sous-systèmes de communication attribués à Thales et Finmeccanica–Selex ES

Dans le cadre de la phase de faisabilité, des contrats portant sur la spécification et la définition de la suite de capteurs multifonction dont sera doté le système FCAS, ainsi que des sous-systèmes de communication, ont été attribués à Thales et Finmeccanica–Selex ES.

Au cours de cette période contractuelle de deux ans, les deux Européens collaboreront à parts égales. Outre la spécification des capteurs et des systèmes de communication du futur drone, ils établiront les feuilles de route relatives à ces systèmes, et identifieront les coûts associés à la production d’un FCAS opérationnel. Cette coopération inclut également des activités conjointes de maturation technologique qui soutiendront les activités de conception. Les deux entreprises pourront faire appel à d’autres secteurs industriels français et britanniques, selon les nécessités.

« En fournissant des solutions innovantes en matière de capteurs, les deux partenaires soutiennent et développent des technologies souveraines et une base de compétences stratégique dans les deux pays, qui bénéficieront aux plateformes de combat avec ou sans pilotes », affirment les deux industriels.

Finmeccanica-Selex ES est un fournisseur de systèmes, produits et solutions dans les domaines de la Défense et de la sécurité nationale, ainsi que dans la gestion des infrastructures civiles complexes. Avec 17 000 collaborateurs, Finmeccanica-Selex ES est implanté en Italie et en Grande-Bretagne où se trouvent ses principaux centres d’opérations. La société bénéficie également d’une forte présence industrielle et commerciale dans de nombreux autres pays – États-Unis, Allemagne, Turquie, Roumanie, Brésil, Arabie saoudite et Inde.

Thales est un leader mondial des hautes technologies pour les marchés de l’aérospatial, du transport de la défense et de la sécurité. Fort de 65 000 collaborateurs dans 56 pays dont 25 000 ingénieurs et chercheurs, Thales a réalisé en 2013 un chiffre d’affaires de 14,2 milliards d’euros.



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Crocus Technology compte intégrer ses capteurs magnétiques dans les écrans flexibles

Semiconducteurs>Capteurs/mems/Opto>Afficheurs>France>Stratégie
05-11-2014 13:44:48 :

Le Grenoblois Crocus Technology, fournisseur de composants et de technologies de semiconducteurs magnétiques, annonce une nouvelle solution, basée sur sa technologie MLU (Magnetic Logic Unit), qui peut détecter la position et la forme de surfaces flexibles en deux dimensions. Les capteurs magnétiques de Crocus visent ainsi à fournir une solution efficace pour la détection de forme dans les surfaces et feuilles flexibles …

« Des feuilles de capteurs qui surveillent les changements de forme seront intégrées dans les objets de type « wearables», dans les écrans incurvés, dans les panneaux solaires flexibles, et à terme, dans les téléphones portables. En ayant connaissance de la forme et de la souplesse de ces surfaces flexibles, les intégrateurs de systèmes peuvent utiliser des logiciels pour leur apporter des améliorations importantes, comme de corriger les images distordues », souligne l’entreprise.

« Installer des capteurs MLU dans des écrans flexibles est une avancée majeure. Nous sommes certains de susciter un grand intérêt chez les industriels de ce marché en plein essor », avance Bertrand Cambou, p-dg de Crocus Technology.

Comme les écrans flexibles sont légers, fins et incassables, il est prévu qu’ils remplacent à terme les écrans traditionnels. Les principaux fournisseurs de cette technologie sont Samsung Display, LG Display, Sony, Sharp et AU Optronics. Le marché des écrans flexibles devrait représenter 3,89 milliards de dollars, soit 3,11 milliards d’euros, d’ici 2020.

Les capteurs magnétiques de Crocus permettent la détection de forme dans les surfaces et feuilles flexibles. « Cette solution permet de surmonter les faiblesses des autres offres disponibles, comme les capteurs piézoélectriques. Contrairement aux autres solutions, nos capteurs MLU sont très sensibles et disposent de capacités directionnelles. Cela signifie qu’il suffit d’embarquer un très petit nombre de capteurs MLU dans une feuille de capteurs de forme. Dans son prototype, Crocus utilise seulement 0,25 capteur par cm2, ce qui rend sa solution très bon marché », assure l’entreprise.

De plus, les capteurs MLU de Crocus présentent une faible consommation d’énergie et une grande vitesse de détection. Le prototype de 20cm de côté de Crocus consomme moins de 10mA pendant son cycle de détection, qui dure moins d’une microseconde.

Créé en 2004, Crocus a des bureaux à Santa Clara, en Californie et dispose également de bureaux en France, à Grenoble et Rousset. L’entreprise est actionnaire avec Rusnano de Crocus Nano Electronics, une unité de production de semiconducteurs magnétiques installée en Russie.

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Un millier de salariés fêtent les quarante ans d’Intel France

Semiconducteurs>France>Etats Unis>R&D>Stratégie
05-11-2014 13:42:42 :

Intel France a fêté le 29 octobre ses quarante ans. D’une seule structure en 1974, basée à Rungis, Intel France se départage en six entités aujourd’hui à Meudon, Sophia-Antipolis, Toulouse, au campus Teratec dans l’Essonne, à Montpellier et à Nantes. Cette évolution, qui s’est pour beaucoup inscrite depuis 2009 dans une accélération marquée vers la R&D en matière de technologies mobiles et d’infrastructures du calcul intensif, permet à Intel France de compter aujourd’hui près d’un millier d’employés, dont plus de 80% de chercheurs et ingénieurs travaillant en R&D

De façon chronologique et thématique, le groupe Intel France se compose aujourd’hui des sites suivants :
Meudon : inauguré au début des années 2000, il est actuellement le siège social d’Intel France et le bureau central des ventes et du marketing du groupe. Depuis septembre 2008 Stéphane Negre en est l’actuel directeur ainsi que le président d’Intel France.

Sophia-Antipolis : créée en 1999, cette entité est la structure qui a le plus évolué depuis ses débuts. De dix personnes au départ, spécialisées dans les certifications télécom, le site regroupe aujourd’hui près d’un tiers des effectifs du groupe en France, partagés entre deux entités : les groupes MCG (Mobile Communication Group) et IMC (Intel Mobile Communications – né du rachat en 2011 de la division sans fil pour téléphonie mobile d’Infineon). Ensemble, ils œuvrent au sein d’un laboratoire de R&D dédié à l’intégration des composants de connectivité et à l’architecture des composants logiciels de communication (Modem, Wi-Fi, GPS, NFC…) afin d’établir des modèles de référence pour les smartphones et les tablettes. Bruno Bocaert (pour MCG) et Stephan Klingler (pour IMC) se partagent la direction des différentes activités de ce laboratoire.

Toulouse : né en 2009 de l’intention d’Intel de développer un site de référence dédié à l’ultra-mobilité, ce laboratoire de téléphonie mobile est au point de départ de l’ascension prise par le groupe Intel France dans la R&D des technologies mobiles. Composé à l’origine par le rachat d’une partie du pôle téléphonie de Freescale avec la reprise de quelques 50 salariés, le site de Toulouse s’est agrandi en 2012 et représente plus de 200 personnes. En relation étroite avec le centre de Sophia-Antipolis, il travaille aussi avec d’autres sites Intel de par le monde (Etats-Unis, Chine, Inde, Finlande). Thierry Cammal en est l’actuel directeur.

Laboratoire ECR (Exascale Computing Research) : inauguré en 2010 à Versailles, en partenariat avec le CEA, le GENCI et l’Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, l’ECR vient de déménager au sein de la technopole Teratec (dans l’Essonne), consacrée à la simulation numérique haute performance. Composé d’une trentaine de chercheurs et doctorants du public et du privé, l’ECR travaille sur l’optimisation des logiciels pour les futurs supercalculateurs exascales, soit le prochain grand palier dans le calcul intensif. Sa mission, partagée avec deux autres Intel Labs spécialisés en Allemagne et en Belgique : préparer les supercalculateurs qui demain génèreront des milliards de milliards d’opérations par seconde (l’exaflop) pour nombre de nouvelles applications dans la Recherche. Marie-Christine Sawley en est l’actuelle directrice.

Montpellier : ouvert en 2010 dans le cadre d’un OTC (Open Source Technology Center), le site de Montpellier est le pôle de recherche et d’optimisation des logiciels d’applications du groupe Intel France pour les terminaux mobiles. Jacques Bourhis en est l’actuel directeur.

Nantes : né du rachat en 2011 de la start-up CoFluent Design, le laboratoire de Nantes des outils de modélisation et de simulation pour les systèmes embarqués. Vincent Perrier en est l’actuel directeur.

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Bornes Wi-Fi publiques : la France, championne du monde

Télécoms>Monde>France>Etude de marché>Investissements
04-11-2014 13:26:16 :

47,7 millions de bornes Wi-Fi publiques seront déployées dans le monde d'ici 2014, selon une étude réalisée par Maravedis Rethink pour le compte du réseau Wi-Fi commercial iPass. Dans quatre ans, le nombre de bornes sera multiplié par sept, dépassant les 340 millions d’unités, soit près d'une borne Wi-Fi pour 20 personnes en 2018 (contre 1 pour 150 personnes aujourd'hui) …

La France est le « pays du Wi-Fi » en 2014 avec le plus de bornes (13 millions), suivie par les États-Unis (9,8 millions) et le Royaume-Uni (5,6 millions). En 2018, le podium sera occupé, dans l'ordre, par les États-Unis (75,9 millions d’unités), la Chine (71,4 millions) et la France (23,6 millions).

L'Europe est le « continent du Wi-Fi » avec 50% du parc Wi-Fi mondial en 2014. En 2018, l'Asie aura détrôné l'Europe. L'Europe, puis l'Amérique du Nord ont été les éléments moteurs de la communauté Wi-Fi, mais l'Asie les devancera en 2018.

« La plupart des appareils que nous utilisons sont des périphériques Wi-Fi. Et même sur les téléphones 4G les plus perfectionnés, 78% des données passent par le Wi-Fi. Autrement dit, c'est le réseau privilégié des consommateurs », commente Evan Kaplan, p-dg d'iPass.
Le Wi-Fi devient également nomade : il sera disponible dans 60% des avions et 11 % des trains en 2018. À titre de comparaison, seuls 16% des avions et 3% des trains proposent le Wi-Fi en 2014. Les bornes Wi-Fi publiques chez les particuliers vont également se multiplier à un rythme effréné, passant de moins de 40 millions en 2014 à plus de 325 millions en 2018.

Cette étude montre que le Wi-Fi rebat les cartes dans le secteur des télécommunications. 50% des bornes commerciales sont contrôlées par des marques dont les télécommunications ne sont pas le cœur de métier. Il y a quelques années, on ne comptait que quelques fournisseurs de Wi-Fi. Aujourd'hui, ils sont plusieurs millions. Contrairement au monde cellulaire très réglementé, ce marché n'étant pas régulé, tout le monde peut déployer son réseau. C'est pourquoi nous assistons à un transfert du pouvoir des opérateurs traditionnels vers certains acteurs économiques, comme les cafés, les hôteliers et les grandes enseignes qui prennent position sur le marché du Wi-Fi.


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