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FRANCE : 979 article(s).
Commutateurs RF mems : DelfMEMS lève 5,4 M€ de plus

Capteurs/mems/Opto>Sous systèmes>France>Financement
27-05-2014 12:57:46 :

Fondée fin 2005 à Villeneuve d’Ascq, la jeune entreprise innovante DelfMEMS, un fournisseur de solutions de commutateurs RF basée sur la technologie MEMS, vient de lever 5,4 millions d’euros. Cet apport permettra à DelfMEMS d’accélérer l’industrialisation de ses produits …
 
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L’argent a été levé auprès du fonds FSN PME - Ambition Numérique, associé aux investisseurs privés Iris Capital, VIVES, Capitalaria et des investisseurs de la première heure dans la jeune entreprise. Le Fonds Ambition Numérique s’inscrit dans le cadre du Programme d’investissements d'avenir lancé par l'État. Le fonds investit en fonds propres ou quasi-fonds propres dans des entreprises du domaine numérique, obligatoirement aux côtés de co-investisseurs privés. Il cible des entreprises à fort potentiel de croissance, développant des technologies innovantes ou déployant des produits/services nouveaux ou des "business models" innovants.

Début 2013, DelfMEMS avait déjà levé 8,2 millions d’euros pour accélérer l’industrialisation de ses produits. A l’occasion de ce deuxième tour de financement, le FSN PME avait apporté 3,5 millions d’euros. Spécialisé dans le développement de commutateurs RF basée sur la technologie MEMS, DelfMEMS a développé un nouveau bloc micro-mécanique intégré, qui résout les faiblesses des précédentes générations de produits, en améliorant notamment la perte d’insertion, la linéarité, l’intégration, la commutation à chaud, la vitesse de commutation et la consommation d’énergie, tout en simplifiant les architectures (RF). La start-up vise le marché des « front end modules » sans fil de nouvelle génération pour les terminaux mobiles, les smartphones ou les tablettes.


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Soitec ouvre la voie à la création d'un écosystème SOI en Chine

Semiconducteurs>Production>France>Chine>Accords>Investissements
27-05-2014 12:56:51 :

Le Grenoblois Soitec annonce un partenariat avec Shanghai Simgui Technology, fabricant chinois de tranches de silicium pour l'industrie des semiconducteurs. Première étape dans la création d'un écosystème SOI en Chine, cet accord porte sur la mise en commun de moyens de production pour servir les marchés mondiaux. Dans un premier temps, cette alliance vise à répondre à l'augmentation de la demande chinoise et à l'insuffisance mondiale des capacités de production de tranches de silicium sur isolant (SOI) de taille 200 mm, qui sont utilisées dans la fabrication de semiconducteurs pour les applications de radio fréquence (RF) et les applications de puissance …

En plus de donner à Soitec sa première capacité de production de plaques de SOI en chine, l'accord augmente également les capacités de production industrielle pour répondre à l'augmentation de la demande au niveau mondial.

Ce nouvel accord comporte un contrat de licence et de transfert de technologie permettant à Simgui de fabriquer des tracnhes de SOI de 200 mm en utilisant la technologie Smart Cut de Soitec. Simgui construira une chaîne de production de SOI à fort volume pour adresser directement le marché chinois. Simgui fabriquera également les produits SOI 200 mm de Soitec pour le marché mondial de Soitec en dehors de la Chine, pour étendre l'offre de Soitec dans le monde entier. Au-delà de cette première coopération, les deux sociétés prévoient de développer leur collaboration à l'avenir pour profiter de leurs synergies.

« Nous sommes très heureux d'annoncer ce partenariat avec Simgui qui élargit l'écosystème fondé sur l'utilisation de la technologie de Soitec et renforce notre offre compétitive », déclare Paul Boudre, directeur général délégué de Soitec.

« L'accès à la technologie de Soitec est un accélérateur pour Simgui qui devient ainsi un acteur clé dans la fabrication de SOI fin », déclare le Dr Feng Zhang, directeur général de Simgui.

Basée à Shanghai, Simgui est spécialisée dans la fabrication de plaques de SOI et pour servir de fonderie pour la production de plaques épitaxiales utilisées dans les secteurs clés de l'industrie des semiconducteurs. Simgui réunit un groupe d'investisseurs de la Silicon Valley.



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Reprise de LFoundry Rousset : le démantèlement ou General Vision

Semiconducteurs>France>Restructurations>Revue de presse
27-05-2014 12:55:58 :

Douze offres ont été déposées au Tribunal de Commerce de Paris pour la reprise de LFoundry Rousset, en liquidation judiciaire depuis décembre 2013. La plupart des offres émanent de brokers qui souhaitent racheter l’unité pour la démanteler et revendre le parc machines. Seule une offre propose une poursuite partielle d’activité sur le site, mais elle est moins-disante financièrement …

A en croire l’Usine Nouvelle, le projet déposé par Guy Paillet, -le p-dg de General Vision-, et auquel participe notamment Philippe Lambinet, un ancien haut dirigeant de STMicroelectronics, vise à concevoir et à produire sur le site des mémoires « neuromorphiques », une technologie développée à partir des brevets de Guy Paillet, qui associée à des capteurs permettrait des applications d’inspection et d’identification (inspection visuelle, domotique, sécurité, biotechnologies, etc.). Selon l’hebdomadaire, l’offre de General Vision serait de 9,5 millions d’euros. Elle permettrait au départ la reprise d’une centaine de salariés et conserverait une activité limitée de prestations de de fonderie pour d’anciens clients de LFoundry. Une partie des anciens salariés soutiendrait ce projet, validé technologiquement par le Léti, selon l’Usine Nouvelle.

Quant aux offres des brokers, la plus importante serait celle d’une entreprise brésilienne, qui, selon La Provence mettrait 34 millions d’euros sur la table pour la reprise du parc de machines. Cette offre, mieux-disante financièrement, mais qui exclut toute activité sur le site, aurait néanmoins la faveur d’une partie des anciens salariés selon l’adage « un tiens vaut mieux que deux tu l’auras », croit savoir le quotidien régional. Le Tribunal de Commerce devrait rendre son verdict courant juin.


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PSA s’engage à produire un million de voitures en France avec plus de technologie en 2016

Automobile>Production>France>R&D>Stratégie
27-05-2014 12:55:18 :

Le groupe PSA Peugeot Citroën s’est engagé à produire un million de véhicules en France en 2016 et à maintenir ses usines avec l’annonce du lancement d’au moins un véhicule sur chaque site français sur la période 2014 – 2016. PSA Peugeot Citroën investira plus de 1,5 milliard d’euros dans la modernisation de ses usines françaises et maintiendra 75% de sa R&D globale en France, assure le constructeur automobile dans un communiqué …

Pour garantir l’avenir de ses sites, le groupe s’appuie sur leur savoir-faire industriel. « Cela permettra de produire des véhicules avec de meilleures prestations et plus de technologie », assure le constructeur. Cette orientation est cohérente avec la stratégie de montée en gamme des marques du groupe voulue par Carlos Tavares, le nouveau président du directoire de PSA.

Le groupe a vendu 2,8 millions de véhicules dans le monde en 2013, dont 42% hors d’Europe. Deuxième constructeur automobile européen, il a réalisé un chiffre d’affaires de 54 milliards d’euros en 2013.

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Les implantations internationales en France ont progressé de 9% en 2013

Filière électronique>France>Conjoncture>Etude de marché>Investissements
27-05-2014 12:53:53 :

Avec 514 investissements étrangers tous secteurs industriels confondus en 2013 (contre 471 en 2012), la France semble inverser la tendance à la baisse observée depuis 2010, selon le baromètre de l’attractivité de la France publié par EV (ex- Ernst and Young). Cette augmentation de 9% constitue néanmoins une performance relative. Le pays reste à la troisième place sur le podium européen et se laisse distancer par la Royaume-Uni (799 implantations, +15 %) et l’Allemagne (701, + 12%) qui bénéficient plus nettement du redressement de l’Europe, destination rassurante pour les investisseurs internationaux face aux oscillations des économies émergentes, commente l’étude …

En Europe, on recense 3 955 investissements dans 42 pays, qui ont généré plus de 165 000 emplois, dont 14 122 en France (pour 10 542 en 2012, soit + 34%).

« Il est indéniable que la France a réussi à se maintenir comme l’une des trois destinations majeures en Europe pour les investissements étrangers. En renouant avec ses niveaux de 2010, la perspective s’avère plutôt encourageante. Cependant, elle ne parvient pour l’instant pas à convaincre autant que l’Allemagne et le Royaume-Uni qui incarnent la flexibilité, la compétitivité et la capacité exportatrice, que recherchent les investisseurs en ce moment. Sans être perçue comme une destination totalement défaillante, la France n’est pas considérée comme une destination déterminante », analyse Marc Lhermitte, Associé EY, et auteur du baromètre attractivité.

Comme dans le précédent baromètre, la France reste à la première place européenne pour les implantations industrielles qui connaissent une légère hausse (166 projets en 2013 contre 127 en 2012). Face au spectre de la désindustrialisation, la destination France conserve son attrait logistique et sa forte concentration de donneurs d’ordres mondiaux. Mais ces implantations génèrent peu d’emplois : la France se classe huitième pour les emplois industriels avec 29 postes par projet, contre 86 au Royaume-Uni et 32 en Allemagne, mais aussi 230 en Roumanie par exemple.

L’énergie, les transports, le numérique sont, pour les 206 dirigeants interrogés sur l’attractivité future de la France, des secteurs moteurs de croissance. Cependant, malgré un fléchissement qui suit la reprise européenne (39 projets de R&D en 2013 contre 26 en 2012), la France ne parvient pas à se démarquer du Royaume-Uni et de l’Allemagne pour les activités innovantes, ni pour les sièges sociaux (5e place européenne avec 18 projets en 2013).

Avec plus de la moitié des projets, ce sont d’abord les entreprises européennes qui misent sur l’Hexagone, suivis par les américaines (26% des projets). Cette confiance européenne et la tempérance américaine ne masquent pas une autre réalité : les choix des investisseurs en provenance des BRIC. Ces économies à croissance rapide font preuve de réserve à l’égard de la destination France. Leurs implantations ont peu progressé (19 en 2013 contre 14 en 2012), alors qu’elles ont fortement augmenté en Allemagne (107 en 2013 contre 64 en 2012) et poursuivi leur croissance au Royaume-Uni (87 en 2013 contre 71 en 2012).

Pour Marc Lhermitte, ce choix stratégique des BRIC est révélateur : « ces acteurs, qui incarnent la globalisation et sont les nouveaux clients de l’Europe, distinguent clairement l’Allemagne et la Royaume-Uni comme têtes de pont de leur conquête européenne, et ce au détriment de la France. Leurs décisions cristallisent la perception d’une France moins ouverte à la globalisation et en déficit de compétitivité.

Si 34% des investisseurs interrogés en février 2014 considèrent que l’attractivité française va progresser, ce résultat demeure bien en retrait face à ceux de nos voisins britanniques (54%) et allemands (49%). Là où le Royaume-Uni se différencie par son coût du travail et son hyper flexibilité, l’Allemagne par sa force industrielle et sa puissance exportatrice, la France reste perçue comme un pays à fiscalité et coût du travail trop élevés (respectivement pour 43% et 34% des investisseurs) et un environnement des affaires trop complexe (32%).

Mais dans leur analyse de la France, les investisseurs révèlent aussi les avantages concurrentiels du pays. A commencer par la capacité d’innovation de la France (39% et 1er atout pour les investisseurs), mais aussi de ses champions sectoriels (32%). Ensuite, la vitalité des régions françaises est soulignée. Parallèlement, les métropoles (le Grand Paris étant à part avec son statut de région-capitale) qui conjuguent des pôles universitaires, scientifiques, industriels et culturels à l’image de Lyon, Marseille, Lille ou Toulouse sont des destinations remarquées par les investisseurs et semblent en partie échapper à la crise.


Consulter le baromètre attractivité

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Atos compte racheter Bull pour 620 millions d’euros

Informatique>France>Fusions Acquisitions
26-05-2014 11:30:53 :

Atos, société internationale de services informatiques dirigée par Thierry Breton annonce son intention de lancer une offre publique d’achat sur Bull, qui valorise le champion français de l’informatique à 620 millions d’euros. Avec un chiffre d’affaires 2013 de 1,262 milliard d’euros, des activités dans plus de 50 pays, Bull est aujourd’hui l’un des principaux acteurs dans le cloud, la cybersécurité et le big data et revendique le rang de leader européen des supercalculateurs (HPC) …

Le conseil d’administration de Bull a exprimé à l’unanimité son soutien plein et entier à la transaction.

Cette alliance renforcera la position d’Atos en tant que N°1 du cloud européen avec près de 400 millions de chiffre d’affaires dans les services du cloud. Atos a l’intention de créer une entité dédiée au Big Data et à la cybersécurité sous la marque Bull avec un chiffre d’affaires d’environ 500 million d’euros. L’objectif est, dans ces secteurs, de faire bénéficier les opérations existantes d’Atos de l’expertise de Bull dans les solutions de sécurité et des supercalculateurs (HPC).

« Je salue ce rapprochement comme une étape majeure pour ancrer notre leadership en Europe dans le cloud, le big data, et la cybersécurité et nous permettre de réaliser notre ambition de devenir un acteur de premier plan et la marque préférée de l’IT en Europe à l’horizon 2016. Les équipes de Bull dont la compétence est hautement reconnue dans des technologies de pointe, tels que la puissance de calcul, la gestion et l’analyse des données, et la cybersécurité complètent les capacités d’Atos de déploiement à très grande échelle. Grâce à notre expérience d’intégration et notre culture d’efficience opérationnelle, cette transaction bénéficiera grandement aux clients, collaborateurs et actionnaires de Bull et d’Atos », a déclaré Thierry Breton, p-dg d’Atos.

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