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FRANCE : 979 article(s).
Chiffre d’affaires semestriel en hausse de 26,8% pour Lacroix Electronics

Sous traitance>France>Résultats financiers
03-07-2014 13:30:34 :

Pour son premier semestre fiscal clos fin mars, le groupe Lacroix publie un chiffre d’affaires de 171,8 millions d’euros, en progression de 9,5% par rapport au premier semestre de l’exercice précédent, pour un bénéfice net (part du groupe) de 4,3 M€ contre 1,1 M€, un an plus tôt …
 
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Sa division Electronique a enregistré une forte croissance de l'activité (+26,8%), notamment en Pologne. Bien que pénalisé par les résultats de l'Allemagne et de son activité études, le Résultat Opérationnel Courant (ROC) de Lacroix Electronics est en nette amélioration et cette tendance devrait se confirmer au cours du second semestre, selon l’avis financier du groupe.

En Télégestion, la forte progression du CA (+21,2%) est due notamment au décalage d'affaires initiées l'exercice précédent, qui s'est logiquement accompagnée du hausse important du résultat (+45% comparé au S1 2013). Le second semestre, ne bénéficiant plus de ces reports, restera cependant bien orienté avec un CA et un résultat supérieur à celui de l'exercice précédent.

En Signalisation, la baisse du CA est principalement liée à la non récurrence du marché Ecotaxes (8 M€ en S1 2012-2013) et à un attentisme des collectivités, pénalisant le résultat. Malgré un contexte restant très difficile, le résultat du second semestre devrait s'afficher en hausse par rapport au S1.

L'ensemble de ces éléments permet au groupe Lacroix de confirmer sa prévision sur l'exercice, à savoir une hausse modérée de chiffre d'affaires et plus significative de son résultat.

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Renouvellement de la période d’observation pour Alpha MOS

Industriel>Capteurs/mems/Opto>France>Restructurations>Résultats financiers
03-07-2014 13:29:18 :

Placé en redressement judiciaire le 10 décembre 2013 par le tribunal de commerce de Toulouse, le Toulousain Alpha MOS, spécialiste de la numérisation de l’odorat, du goût et de la vue, vient d’obtenir le renouvellement de sa période d’observation pour six mois, soit jusqu’au 10 décembre 2014 en vue de l’élaboration d’un éventuel projet de plan de continuation …

Au cours du premier semestre de son exercice 2013/2014 (octobre 2013 –mars 2014), Alpha MOS a réalisé un chiffre d’affaires hors taxes de 3,57 M€, en retrait de 16% par rapport à la même période de l’exercice précédent, dégageant une perte nette consolidée de 1,20 M€.

Le carnet de commandes au 31 mars 2014 s’établissait à 1,37 M€, en baisse sensible par rapport à la même période de l’exercice précédent (2,15 M€). Les prises de commandes ont représenté 3,8 M€ sur le semestre (contre 4,2 M€ sur la même période de l’exercice précédent).

Alpha MOS, spécialiste de la numérisation de l’odorat, du goût et de la vue, est leader mondial de la fabrication de nez, langue et œil électroniques à usage industriel. Créé en 1993, Alpha MOS est implanté au Japon, en Chine et aux Etats-Unis et détient un parc de plus de 2.000 instruments installés à travers le monde.

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Six plans de la Nouvelle France industrielle prennent leur envol

Filière électronique>France>Politique
03-07-2014 13:25:56 :

Réuni le 4 juillet sous l’égide du ministre de l’économie, le comité de pilotage de la Nouvelle France industrielle a validé six nouvelles feuilles de route des 34 plans de la Nouvelle France industrielle, dont les plans « Véhicule autonome », « TGV du futur », « Big Data », « Robotique » et « e-éducation ». Dans le cadre du plan « Véhicule autonome », des premiers essais en route ouverte auront lieu dès 2015, en parallèle du lancement de projets de recherche et développement …

27 des 34 plans de la Nouvelle France Industrielle sont désormais opérationnels. Les 7 autres le seront le 9 juillet. Ces feuilles de route sont le fruit d’un peu plus de 9 mois de travaux pilotés par des chefs de projet industriels. Associant engagements publics et privés, elles sont censées réunir les conditions pour faire émerger des nouvelles offres, des nouveaux investissements et des nouveaux emplois.

Parmi les 6 plans présentés le 4 juillet, retenons :

• « Véhicule autonome ». Avec ce plan, la France compte développer les technologies qui s’intègreront d’ici 2020 dans la voiture pour améliorer la sécurité routière (90% des accidents sont causés par des erreurs humaines), optimiser et démocratiser les transports publics (seulement 45% de la population française disposent d’un accès à un transport urbain collectif) et améliorer la qualité de vie du conducteur (un francilien passe 78 minutes par jour dans sa voiture). L’Etat actionnera les leviers réglementaires nécessaires tout en garantissant la sécurité routière, pour des premières expérimentations sur route ouverte dès 2015.
• « TGV du futur ». Un train à grande vitesse plus modulaire, transportant plus de passagers tout en consommant moins d’énergie tel est l’ambition de ce plan piloté par Alstom, dont l’Etat va faire prochainement son entrée au capital.
• « Big Data » : La multiplication des objets connectés génère des quantités inédites de données, souvent décrites comme l’or noir du XXIème siècle. Le gouvernement souhaite que les nouveaux services issus de leur exploitation, au cœur de la transformation numérique de l’économie, soient portés par nos ingénieurs et nos start-up, dans le respect de la vie privée des concitoyens. Des premières initiatives seront lancées dès le second semestre dans le secteur de l’énergie, des assurances et de la traçabilité.
• « Robotique ». La densité de robots dans l’industrie hors automobile est 4 fois moins élevée en France qu’en Allemagne. Après le lancement de France Robots Initiative en mars 2013, les pouvoirs publics comptent amplifier cette démarche de manière coordonnée avec le plan Usine du futur et ses investissements dans la modernisation des PME. L’objectif : accélérer le rattrapage et restaurer la compétitivité de notre tissu industriel avec des robots innovants « made in France ».
• « e-éducation ». Le but est de consolider la filière industrielle française du numérique éducatif et d’ouvrir un potentiel de renouveau pédagogique, notamment pour les élèves les plus en difficulté. Plus qu’un changement de support du livre au numérique, l’objectif préparer les nouvelles générations au monde numérique de demain, en équipant 70% des élèves de primaire et de collège à l’horizon 2020.

Consulter le détail des feuilles de route des 34 plans de reconquête industrielle.

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Grandes séries en France, moyennes séries en Tunisie et conception en Chine : le tiercé gagnant du sous-traitant All Circuits

Sous traitance>France>Stratégie
03-07-2014 13:25:12 :

Bruno Racault, président du groupe de sous-traitance All Circuits implanté à Meung-sur-Loire, Bayonne et en Tunisie, a présenté à l’occasion de la JTE qui s’est tenue à Paris à la mi-juin (voir notre compte-rendu) une vision à contre-courant du métier de sous-traitant. Loin des gémissements habituels sur les distorsions de concurrence avec la Chine, le dirigeant développe un discours volontairement offensif vis-à-vis de la mondialisation …

All Circuits, l’alliance née en 2012 du regroupement des sous-traitants BMS Circuits (Bayonne), MSL Circuits (Meung-Sur-Loire) et TIS Circuits (Tunis), a réalisé un 2013 un chiffre d’affaires de 296 millions d’euros, en croissance de plus de 22% par rapport à 2012, avec un effectif de 1550 salariés. Disposant de 20 lignes de production CMS, le groupe français est classé sixième sous-traitant européen et 33e mondial. Encore très orienté automobile (l’usine de Meung-sur-Loire rachetée à Jabil en 2009 état à l’origine une unité de production de Valeo), All Circuits réalise 42% de son chiffre d’affaires dans ce domaine, mais accentue sa diversification vers d’autres marchés, tels l’énergie et l’industriel (27% du CA), les produits connectés (17%), l’électroménager (7%), les télécoms (5M) et le médical (2%).

Surtout, si 50% de son chiffre d’affaires est livré à des usines en France, 30% concernent des clients dans d’autre pays européens, 10% aux Etats-Unis et même 10% en Chine.
La recette de ce succès, outre un service achats et logistique en liens directs avec les fabricants de composants : produire les grandes séries en France, confier les petites et les moyennes séries à son implantation tunisienne et ne pas hésiter, quand c’est nécessaire, à effectuer la conception en Chine de produits grand public (tablettes Android notamment) qui seront fabriqués en France.

Pour tenir cet équilibre, le sous-traitant a choisi d’automatiser au maximum sa production en France, pour s’affranchir du différentiel du coût de main-d’œuvre.

« En France, le coût de la main-d’œuvre représente environ 6% du coût de fabrication d’une carte ; en Chine c’est 0,6% ou plutôt 1,2% car, du fait de leur avantage concurrentiel de coût de main-d’œuvre, les fabricants chinois n’hésitent pas à doubler les équipes par rapport à ce qui se pratique en Europe. Nous avons donc un écart de coût d’environ 5% en notre défaveur pour des grandes séries produites dans l’Hexagone. A nous de convaincre les donneurs d’ordre que ce surcoût est acceptable, en regard des avantages en terme de « time-to-market », de qualité, de réactivité et de respect de l’environnement dont ils bénéficieront », explique le dirigeant.

Rien d’étonnant donc que pour des séries moins importantes, où le coût de la main-d’œuvre peut représenter 20% du coût de production, la fabrication soit réalisée en Tunisie.
Quant à la conception en Chine de cartes pour tablettes Android, elle s’explique par la proximité des fournisseurs de composants. « Pour avoir accès au dernier jeu de circuits de MediaTek ou Qualcomm, mieux vaut être sur place en Chine, là où tout se décide », explique Bruno Racault.

Concernant la mise en place d’un service de conception en France, pour des produits moins grand public, le p-dg avoue qu’il n’a pas encore d’opinion tranchée entre les avantages d’un tel service et le fait de ne pas vouloir concurrencer les clients. Quoi qu’il en soit, All Circuits a récemment déjà augmenté sa palette de prestations à l’autre bout de la chaîne en s’alliant avec le groupe de réparation et de SAV Anovo, leader européen de la gestion durable du cycle de vie des produits électroniques (voir notre article).

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Lacroix Electronics Tunisie certifié automobile

Automobile>Sous traitance>France>Europe>Stratégie
02-07-2014 14:34:41 :

A la demande de son client Valeo, le sous-traitant Lacroix Electronics a entamé une démarche de certification qualité dédiée au secteur de l’automobile pour son site en Tunisie, qui a la charge de la production d’un ensemble électronique de climatisation pour véhicule pour l’équipementier. Un an après, la certification ISO/TS 16949 a été obtenue. Le marché de l’électronique automobile représente plus de 26% du chiffre d’affaires de Lacroix Electronics …

Construit en 2005, le site de production tunisien réalise des ensembles électroniques pour les secteurs de la domotique, de l’industrie, de l’aéronautique & défense.

Ainsi, le système de management de la qualité déployé dans l’ensemble des sites de production de Lacroix Electronics est conforme aux exigences de l’industrie automobile.
Spécialiste de la sous-traitance électronique pour les secteurs électronique industrielle, domotique, médical, automobile, aéronautique et défense, Lacroix Electronics a réalisé en 2013 un chiffre d’affaires d’environ 180 millions d’euros avec plus de 2000 collaborateurs.

Historiquement basée en France, Lacroix Electronics a construit une usine de production à Kwidzyn (Pologne, 1998) puis à Zriba (Tunisie, 2005), et a ensuite fait l’acquisition en 2008 du site de Willich (Allemagne, Production et R&D).

En plus de son centre R&D basé en Allemagne, Lacroix Electronics dispose de 4 bureaux d’études en France ; à Vern-sur-Seiche (Rennes), Ramonville (Toulouse), Fontaine (Grenoble) et Quimper.

Lacroix Electronics a également annoncé en mars dernier la création d’une joint-venture avec le groupe Ausy, spécialiste en conseil & d’ingénierie en hautes technologies. Les deux entreprises combinent leurs moyens afin de présenter une solution industrielle globale depuis la conception en bureau d’études jusqu’à la production en série d’ensembles et sous-ensembles électroniques.

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Le Simalevec dénonce la gabegie de la radio numérique terrestre

Grand public>France>Politique
02-07-2014 14:34:07 :

« Dans les conditions actuelles, la RNT (radio numérique terrestre), ce sera sans nous ! », grondent les industriels réunis au sein du Simavelec. Dans un communiqué cinglant, l’organisation professionnelle dénonce l’obligation qui sera faite aux industriels d’intégrer la RNT dans leurs appareils, avec un calendrier s’étalant sur 18 mois, quand 20% de la population sera couverte en réception …

Pour l’organisation professionnelle, cela revient à appliquer un surcoût sur 100% de la population, alors qu’elle ne bénéficierait, pour 80%, d’aucun service supplémentaire.

Au vu du démarrage actuel de la RNT, le risque semble aujourd’hui très limité, tant le projet de RNT s’est réduit comme peau de chagrin. Les grandes radios ne veulent pas entendre parler de la RNT et, après l’appel d’offre du CSA, seuls quelques éditeurs de moindre notoriété vont émettre en numérique sur 3 villes (Paris, Marseille et Nice). Après ces 3 villes, rien de prévu, aucune visibilité, aucun calendrier.

Aujourd’hui, les quelques éditeurs « partants » peuvent utiliser deux technologies d’émission : le DAB+ ou le T-DMB. Les industriels auront des obligations, si 20% de la population est couverte ; alors, avec un calendrier s’étalant sur 18 mois, 100% des gammes audio – au sens large – devront intégrer le DAB+ ET le T-DMB (technologie spécifique à la France)... même si aucun éditeur n’émet en T-DMB.

Le Simavelec rappelle la montée en puissance des services de streaming audio, de la 4G et autres web radio, alors que le réseau FM continu à se densifier (ce sont plusieurs centaines de fréquences qui ont été trouvées) et, que surtout, il n’y a aucune date de prévue pour l’extinction de la FM.

Dans les conditions actuelles, les industriels demandent de laisser faire le marché, et s’il y a un engouement du public, ils s’engagent alors à mettre à disposition des terminaux.

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