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FRANCE : 979 article(s).
Le président du directoire de Saft est décédé

Sous systèmes>France
25-09-2014 13:56:57 :

Le groupe Saft a l’immense tristesse d’annoncer la disparition soudaine de John Searle, président du directoire de Saft, survenue hier matin. Bruno Dathis, directeur financier du groupe depuis 2008, assurera la présidence du directoire par intérim …
 
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Agé de 60 ans, John Searle avait rejoint Saft en 1990 en tant que directeur commercial de Saft UK. Il avait ensuite assuré diverses fonctions de direction au sein du groupe avant d’être nommé en 2002, Président du Directoire. Sous son impulsion, le groupe s’est fortement développé, notamment en menant à bien son entrée en bourse, en accélérant son expansion à l’international, et en déployant la technologie lithium-ion pour les marchés industriels.

Saft, leader mondial de la conception et de la fabrication de batteries de haute technologie pour l’industrie, a réalisé en 2013 un chiffre d'affaires de 624,2 millions d’euros, soit une augmentation de 4,4% en données publiées par rapport à 2012. A périmètre et taux de change constants, la croissance en 2013 a été de 7,5 %. Son bénéfice net a atteint 36,5 millions d’euros, en hausse de 5,2 % par rapport à l’exercice 2012.

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Chiffre d’affaires annuel en baisse de 8,2% pour Jabil Circuit

Filière électronique>France>Etats Unis>Résultats financiers>Financement>Revue de presse
25-09-2014 13:55:00 :

Alors que le quotidien régional Le Télégramme nous apprend que l’Américain Jabil Circuit a recapitalisé fin août Jabil Brest à hauteur de 25 M€ pour permettre à l’entité française de financer sa restructuration incluant 70 licenciements, le quatrième sous-traitant mondial publie des résultats annuels en baisse. Jabil vient en effet de clore son année fiscale sur un chiffre d’affaires de 15,8 milliards de dollars, en baisse de 8,2% par rapport à l’exercice précédent. Son bénéfice net recule à 241,3 M$, contre 371,5 M$ un an plus tôt …

Rappelons que durant l’exercice, Jabil a cédé ses activités de service-après-vente et de réparation à iQor Holdings. Le montant de la transaction a atteint 725 millions de dollars pour cette activité qui a représenté un chiffre d’affaires annuel de 1,1 milliard de dollars.

Pour son quatrième trimestre fiscal 2014, Jabil a réalisé un chiffre d’affaires trimestriel de 4,1 milliards de dollars, en baisse de 8,9% par rapport au CA de 4,5 milliards du même trimestre de l’exercice précédent, pour une perte nette de 26,2 M$, contre un bénéfice 127 M$ un an plus tôt.

Pour le premier trimestre de son nouvel exercice, Jabil vise un CA compris entre 4,2 et 4,4 milliards de dollars. Son bénéfice d’exploitation pour ces activités « cœur » devrait se situer entre 135 M$ et 165 M$, contre 79,5 M$ pour le trimestre qui vient de s’achever.

A Brest, si les salariés sont satisfaits de cette recapitalisation « qui permet à l'usine d'afficher un niveau de fonds propres de nature à permettre la confiance de futurs nouveaux clients et des fournisseurs », ils restent néanmoins vigilants et n’oublient pas les difficultés du passé, ont-ils confié au quotidien régional. Rappelons que Jabil avait été contraint de reprendre son site de Brest début 2011, après l’avoir cédé, ainsi que deux autres usines au fonds d’investissement américain Mercatech. Jabil avait alors expliqué qu’il comptait établir des activités viables sur ces sites, accusant les repreneurs de malversations et de détournement de fonds qui étaient spécifiquement alloués au fonds de roulement. Jabil avait acquis pour la première fois cet ancien site d’Alcatel en 2002.



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Altran veut transformer le big data du monde industriel en nouveau business

Filière électronique>Industriel>France>Stratégie
25-09-2014 13:53:51 :

Comment transformer le big data du secteur industriel en nouveau business ? Dans les secteurs industriels tels que l’automobile, la santé, le ferroviaire ou encore l’énergie, les machines, de plus en plus connectées, donneront en effet progressivement accès à leurs données. Ces données de masse sont issues des nombreux capteurs installés au cœur des voitures, trains, avions, appareils médicaux. On estime à plusieurs dizaines de milliards le nombre de machines connectées d’ici 2020 …

Le groupe Altran a développé pour le monde industriel une solution complète, VueForge, permettant de collecter, transporter, transformer en informations puis en services ces données, afin d’ouvrir la voie vers de nouveaux marchés.

Le monde industriel fait face aux enjeux de la connectivité avec une double difficulté : celle de collecter les données au meilleur coût et avec une architecture adaptée, mais aussi celle d’analyser ces données recueillies afin de créer de la valeur pour les industries et générer de nouveaux services pour les utilisateurs finaux.

Evoluant au cœur d’un environnement technologique complexe, VueForge se compose d’une plateforme qui collecte les données issues des systèmes embarqués, les transporte et les stocke dans le cloud, les analyse en toute sécurité pour finalement leur donner du sens grâce à l’informatique décisionnelle. VueForge va au-delà d’une simple solution technologique : elle inclut la création de nouveaux services grâce à des techniques d’idéation et de prototypage rapide. Afin de transformer ces nouveaux services en revenus, VueForge inclut aussi l’exploration de nouveaux modèles économiques et la mise en place d’écosystèmes (partenariats, stratégies make or buy, etc.).

« C’est grâce à une profonde connaissance du monde industriel et à une expertise pointue en systèmes d’informations que le groupe Altran est à même d’accompagner les industries dans le virage incontournable vers l’Internet des machines », déclare Pascal Brier, directeur général adjoint du groupe Altran. « Tous savent qu’il faut y aller, tous se questionnent sur la façon de le faire, qu’il s’agisse du standard technologique à adopter ou du modèle économique vers lequel se diriger. Nous leur proposons une solution de bout-en-bout pour leur permettre de se concentrer sur l’essentiel : la définition d’une stratégie et la vision à se forger des prochaines générations de services et de produits », poursuit-il.

Plus d’infos en vidéo

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Le marché français des semiconducteurs a progressé de 1,2% au deuxième trimestre

Semiconducteurs>Distribution>France>Conjoncture>Etude de marché
25-09-2014 13:53:03 :

Au deuxième trimestre 2014, le marché français des semiconducteurs affiche en euros une hausse de 1,2% sur le trimestre précédent, à 450,9 M€, selon les statistiques d’Acsiel. De ce fait, les ventes du premier semestre 2014 avec un total de 897 M€, s’avèrent sensiblement supérieures à celles du premier semestre 2013 (890 M€). L’automobile, la distribution et les puces pour encarteurs continuent de tirer la croissance du marché français (TAM France) pour ce deuxième trimestre 2014 …
La répartition des ventes du deuxième trimestre en France entre les « ventes directes aux OEMs » et les « ventes de la distribution » a été respectivement de 72,9% et de 27,1%, chacun enregistrant une légère hausse voire un maintien par rapport au trimestre précédent. En particulier, bien qu’enregistrant une certaine stabilité sur le trimestre précédent, le canal de vente que représente la distribution continue sa progression et se place juste derrière le segment automobile en affichant pour ce deuxième trimestre, un total de 122 M€ s’alignant ainsi sur son meilleur chiffre depuis le deuxième trimestre 2011.

Pour ce qui concerne les prises de commandes OEMs déclarées par les membres du club semiconducteurs d’Acsiel (156,0 M€), le book-to-bill s’établit à 0,96. « Après un premier trimestre assez exceptionnel réalisé essentiellement grâce aux MOS Micro et aux produits analogiques, il convient toutefois de noter que ce deuxième trimestre reste supérieur aux 3ème et 4ème trimestres 2013 », souligne l’organisation professionnelle.

Les principaux facteurs explicatifs de cette croissance du marché proviennent des secteurs d’application les plus représentatifs des ventes directes aux OEMs, dont le premier reste encore pour ce trimestre l’automobile (29,1% du total). Les nouvelles fonctionnalités de la voiture passant par l’électronique et les logiciels embarqués, celles-ci continuent de jouer un rôle moteur pour l’automobile du futur avec notamment la gestion de la recharge électrique, le contrôle moteur, la connectivité du véhicule à son environnement extérieur ou encore les systèmes d’assistance à la conduite.

Le secteur des puces pour encarteurs reprend la seconde place en augmentant sa représentativité à 21,1% du marché total (contre 19 % au trimestre précédent) et en enregistrant la plus forte hausse d’un trimestre sur l’autre, soit +12,5%. L’expansion de ce domaine « très français » est principalement due au développement des smartphones et des tablettes auxquels il convient désormais d’ajouter le marché des phablets, ainsi qu’à l’élargissement des moyens de paiements « sans contact » (bancaire, transports, passeport, etc) auprès des populations.

Le segment regroupant l’industriel et l’aéronautique-défense voit sa part de marché passer de 20,4% à 18,8%. Cependant, malgré des fluctuations dues aux programmes initiés dans les domaines de l’aviation civile, du spatial ou de la défense – et après une excellente année 2013 -, ce secteur reste un domaine « phare » pour l’industrie du semiconducteur français.


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Une initiative pour promouvoir l'écosystème régional des systèmes embarqués en Midi-Pyrénées

Filière électronique>France>Politique
24-09-2014 14:27:12 :

A l'occasion de l'Innovation Connecting Show, le Cluster d'entreprises numériques de Midi-Pyrénées DigitalPlace et le pôle de compétitivité aéronautique, espace et systèmes embarqués Aerospace Valley, ont présenté l'initiative Embedded System Market Place (ESMP). L'initiative ESMP poursuit un objectif simple : faire de Midi-Pyrénées, à horizon 2017, la référence européenne de l'intelligence embarqué afin d'attirer de nouveaux industriels sur le territoire et de réaliser de grands projets …

Selon les promoteurs de l’initiative, la région Midi-Pyrénées préseente plus forte concentration de cerveau en systèmes embarqués de l'hexagone. Les systèmes embarqués sont au cœur des grandes réussites industrielles régionales, tous domaines confondus et notamment chez Airbus. Ils sont pourvoyeurs de milliers d'emplois hautement qualifiés, mobilisent des centaines de chercheurs. « Cependant, ils ne sont pas clairement identifiés et structurés comme l'un de ces « systèmes locaux de compétences » à même d'offrir un changement de paradigme de développement à une économie locale, encore trop focalisée sur un seul domaine industriel », constatent DigitalPlace et Aerospace Valley.

C'est ainsi que l'initiative ESMP a vu le jour, déclinaison dans la région de Embedded France.
Eric Bantegie, président de l'association Embedded France explique l'importance de la filière : « Avec la création d'Embedded France, nous visons à développer l'emploi dans la filière des systèmes et logiciels embarqués « made in France », à contribuer à la compétitivité de l'industrie française et à structurer des projets de développement pour la filière ».

Gérard Ladier, directeur général adjoint d'Aerospace Valley, poursuit : « L'initiative ESMP a été lancée par Aerospace Valley, DigitalPlace et le Syntec Numérique en particulier, pour donner de la visibilité au domaine des systèmes embarqués, aux compétences locales sur le sujet et identifier quelques axes stratégiques forts de développement de l'écosystème ».

Et Jean-Pierre Bayol, Directeur Général du Cluster DigitalPlace de renchérir « Au croisement des systèmes embarqués et du web se trouve l'internet des objets. De 3 milliards d'objets connectés à ce jour, nous passerons à plus de 40 milliards en 2020. ESMP a pour objectif de mettre en valeur les expertises historiques et uniques de la région dans les systèmes embarqués mais également dans la collecte, le traitement, la sécurisation et la visualisation de ces gigantesques masses de données communément appelées le « Big Data ». Une formidable opportunité pour l'écosystème numérique et l'industrie régionale ! ».


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DMS va prendre le contrôle d’Alpha MOS, qui sort du redressement judiciaire

Industriel>Médical>France>Fusions Acquisitions>Restructurations
23-09-2014 14:31:01 :

Le Français Alpha MOS, spécialiste mondial de la fabrication de systèmes de numérisation des sens humains (nez, langue, œil électroniques), annonce la fin de sa procédure de redressement judiciaire par la mise en place d’un plan de continuation, homologué par le Tribunal de commerce de Toulouse. Ce plan prévoit un rapprochement d’Alpha MOS avec DMS, leader français dans le développement, la conception et la fabrication de systèmes d’imagerie dédiés à la radiologie numérique et conventionnelle ainsi qu’à l’ostéodensitométrie …

A cette occasion, DMS prendra le contrôle d’Alpha MOS en investissant entre 5 et 6 millions d’euros dans le cadre d’augmentations du capital de ce dernier. Les fonds levés seront utilisés pour le développement des métiers historiques d’Alpha MOS (yeux, langues et nez électroniques), de la nouvelle activité (micro-capteurs) mais également pour apurer une quote-part du passif de la société.

A l’issue de ces augmentations de capital, et en cas de souscription à 100% de l’augmentation de capital avec maintien du DPS, DMS devrait détenir environ 65,51% du capital et 61,42% des droits de vote d’Alpha MOS avant exercice des BSA (et 60,07% du capital et 56,62% des droits de vote post exercice des BSA), et la part du flottant devrait représenter environ 21,83% du capital et 20,57% des droits de vote (24,64% du capital et 23,31% des droits de vote post exercice des BSA).

Alpha MOS et DMS vont mettre en commun leurs savoir-faire technologiques et commerciaux pour capitaliser sur les innovations d’Alpha MOS dans le domaine du diagnostic médical. En effet, les deux sociétés ont des équipes de R&D ayant des compétences technologiques communes (électronique, traitement du signal et d’image, micro mécanique, et informatique) mais pour des applications différentes.

Alpha MOS est plutôt positionnée sur les métiers de la sécurité alimentaire et environnementale par l’intermédiaire de ses produits (nez et langue électroniques) alors que DMS est dans le domaine du diagnostic par l’imagerie médicale.

Depuis fin novembre 2013, Alpha MOS. a mis en œuvre un plan de restructuration qui lui a permis tant d’adapter sa structure opérationnelle et financière aux besoins de son activité, que de se recentrer sur ses activités les plus rentables et bénéficier du potentiel de ses technologies dans les micro-capteurs. Grâce à ces évolutions, Alpha MOS, qui avait généré 8,9 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2013, en augmentation de 3,3% par rapport à l’année précédente, a réussi, malgré l’arrêt d’une partie de ses activités et l’impact négatif de la procédure de redressement judiciaire, à limiter le recul de son chiffre d’affaires sur les 9 premiers mois de l’année 2013/2014. Ce dernier s’établit à 5,53 millions d’euros en repli de 10% par rapport à l’année précédente.

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