Logo Vipress
ARCHIVES VIPRESS.NET - VIPRESS.NET - NOUVEAUX PRODUITS - PUBLICITE - CONTACT NEWSLETTER GRATUITE
publicité
   
VIPRESS.NET : ARCHIVES TECHNO
DISTRIBUTION
Accords de distribution
PRODUITS
Semiconducteurs
• Circuits analogiques
• Circuits logiques
• MOS Micro
• Mémoires
• Discrets
Capteurs/Opto/Mems
Passifs
Afficheurs
Logiciels
Modules & Cartes
Energie
Développement
Mesure
Production
Newsletter gratuite
Tarifs pub, lectorat
PAYS : 3600 article(s).
Les microcontrôleurs sécurisés de STMicroelectronics obtiennent le label « France cybersécurité »

NP/MOS Micro
22-01-2015 13:01:01 :

STMicroelectronics a reçu le label « France cybersécurité » pour ses microcontrôleurs sécurisés lors du Forum International de la Cybersécurité (FIC) qui s'est tenu à Lille. ST est le premier fournisseur de composants électroniques à obtenir ce tout nouveau label « France cybersécurité », qui a été présenté par Axelle Lemaire, Secrétaire d'État chargée du numérique …
 
publicité


Au total, vingt‐quatre solutions de cybersécurité se sont vues décerner un label, portées par dix‐sept entreprises (dont Thales, Ingenico, CS, etc). La liste complète est accessible en ligne sur le site http://www.francecybersecurity.com.

Régi par l'Alliance pour la Confiance Numérique, ce label a pour objectif de sensibiliser les utilisateurs et donneurs d'ordre à l'importance de l'origine d'une offre de cybersécurité, en particulier s'agissant de l'offre française, et de leur fournir une information claire et objective sur la qualité et les fonctionnalités des produits ainsi labélisés. Ce label permet ainsi, à qualité équivalente, de choisir une solution issue de l’offre de cybersécurité française, reconnue tant par les pouvoirs publics que par les utilisateurs.

Selon l’Observatoire de la Confiance Numérique publié par l’Alliance pour la Confiance Numérique (ACN), la filière de cybersécurité représente en France plus de 600 acteurs et emploie 90 000 personnes dans le monde dont 40 000 en France. Les grandes entreprises à stature internationale et le très grand nombre de PME innovantes françaises apparaissent souvent dans le Top 5 mondial de leur métier.

Présents dans de multiples objets du quotidien, les microcontrôleurs sécurisés de STMicroelectronics assurent depuis plus de 20 ans la sécurité des services numériques, que ce soit dans les applications du secteur bancaire, de la sûreté informatique, de l'e-gouvernement, des transports publics ou des communications mobiles. Les microcontrôleurs sécurisés de ST sont principalement conçus et fabriqués à Rousset (Bouches-du-Rhône) ainsi qu'à Crolles et Grenoble (Isère), Sophia Antipolis (Alpes Maritimes) et Rennes (Ille-et-Vilaine).

« Ces familles de microcontrôleurs sécurisés ST23, ST33 et ST31 ont été conçues pour satisfaire les plus hauts niveaux d'exigence en matière de sécurité ; elles supportent de multiples standards cryptographiques, et ont obtenu les certifications sécuritaires les plus exigeantes comme celles des Critères Communs EAL6+ ou EMVCo. Ce label vient récompenser des années d'expertise et de confiance accordées par nos clients pour leurs applications stratégiques » a déclaré Marie-France Florentin, Directrice générale de la division Microcontrôleurs Sécurisés de STMicroelectronics.

Retour en haut

64,4 M€ de chiffre d’affaires pour le Français HF Company

Télécoms>Grand public>France>Résultats financiers
22-01-2015 13:00:20 :


HF Company, groupe français spécialisé dans l'univers du numérique personnel, de la technologie CPL (courants porteurs) et des solutions large bande, a réalisé un chiffre d'affaires de 64,4 millions d'euros en 2014, intégrant la contribution du pôle confortique jusqu'à sa cession survenue le 16 mai. Retraité des activités confortique, le chiffre d'affaires 2014 est ressorti à 48,9 millions d'euros, en retrait de 16,9% en comparaison de l'exercice précédent …

Au quatrième trimestre, ses ventes ont baissé de 6,6% pour s'établir à 12,7 M€, un repli nettement plus modéré que les trimestres précédents grâce aux effets confirmés du plan de reconquête commerciale sur le pôle « résidentiel numérique ». Ce dernier affiche une croissance de 4,3% au dernier trimestre avec le niveau d'activité le plus élevé enregistré sur un trimestre au cours des deux derniers exercices (7,3 M€).

Dans le pôle « Numérique large bande », l'activité en recul de 1,2 M€ au dernier trimestre, est toujours pénalisée par un marché du haut débit atone, mais elle devrait bénéficier du démarrage de nouveaux contrats à la fin premier semestre de l'exercice 2015, selon l’entreprise. Dans ce contexte, HF Company espère globalement renouer avec la croissance organique cette année.

Retour en haut

Chiffre d’affaires annuel record en hausse de 16% pour Amphenol

Composants passifs>Etats Unis>Résultats financiers
22-01-2015 12:59:45 :

Amphenol, deuxième fabricant mondial de connecteurs, termine son exercice 2014 sur un CA annuel de 5,346 milliards de dollars, en progression de 16% par rapport à 2013, pour un bénéfice net de 709,1 M$, contre 635,7 M$ en 2013. Durant le quatrième trimestre 2014, l’Américain a procédé à la finalisation de l’acquisition de Goldstar Electric Systems (40 M$ de CA annuel), une entreprise implantée en Chine et spécialisée dans les prestations d’assemblage d’interconnexion, qui renforce sa présence sur le marché chinois de l’industriel …

Pour le quatrième trimestre 2014, Amphenol publie un chiffre d’affaires trimestriel record de 1427 M$, en hausse de 15% par rapport au quatrième trimestre 2014 et de 5% par rapport au trimestre précédent, pour un bénéfice net de 193,5 M$, contre 167,9 M$ un an plus tôt. Le connecticien salue ce trimestre record dont il attribue le succès à ses performances sur les marchés de l’automobile, de l’industriel et des réseaux mobiles, ainsi qu’à sa croissance externe.

Pour le premier trimestre 2015, Amphenol vise ainsi un CA compris entre 1286 M$ et 1326 M$. Pour l’ensemble de 2015, l’Américain vise un chiffre d’affaires compris entre 5,493 et 5,653 milliards de dollars, soit une hausse de 3% à 6% par rapport à 2014.

Retour en haut

Radio numérique terrestre : le CSA souhaite la poursuite du déploiement

Grand public>France>Politique
22-01-2015 12:58:54 :

Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel a remis le 21 janvier au Parlement et au gouvernement, un rapport de 96 pages qui vise à livrer une analyse et des orientations actualisées sur la question de la place de la radio numérique terrestre (RNT), de ses apports et des conditions de sa réussite …

En tout état de cause, le Conseil souhaite engager les procédures en vue d’un déploiement de la radio numérique terrestre dans une première série de nouvelles zones et, dans le même temps, la concertation avec les acteurs en vue du choix des zones pour les déploiements à venir, selon un rythme adapté à la capacité des acteurs à assumer un tel déploiement.

Au terme de cette réflexion, le Conseil constate en effet que tous les modes d’accès (hertziens analogique et numérique, radio sur internet) ont une légitimité à contribuer à l’avenir de la radio et qu’il importe que les acteurs de la radio disposent autant que possible du choix des plateformes de diffusion les mieux adaptées à leur développement.

Il considère que dans cette perspective la radio numérique terrestre constitue un facteur d’enrichissement de l’offre radiophonique, qu’elle peut se développer sous certaines conditions sans fragiliser l’équilibre économique des acteurs et en offrant des possibilités de développement.

Le Conseil constate que de nombreux acteurs ont manifesté leur intérêt pour un déploiement de la radio numérique terrestre et que la ressource hertzienne existe à cette fin. Dès lors, la poursuite de ce déploiement, commencé avec les zones de Marseille, Nice et Paris, doit être envisagée, affirme le CSA.

S’agissant de la radio numérique terrestre, il souhaite, sans exclure les autres modalités, allouer une ressource suffisante à des appels à candidature locaux, tels que souhaités par plusieurs acteurs, et cadencés de telle sorte qu’ils induisent une dynamique de développement de la RNT tout en préservant la capacité d’investissement des éditeurs.

De même, la question de la capacité des réseaux mobiles à pouvoir offrir des services de radio avec une permanence de qualité de service, notamment par la mise en œuvre de techniques de radiodiffusion (« broadcast »), qui fait l’objet d’analyses contradictoires, doit également être approfondie, souligne le CSA.

Le choix des zones retenues pour les appels à candidatures locaux doit se faire en donnant la priorité aux zones déterminées selon trois critères : zones où se sont déployées des expérimentations ayant eu des résultats positifs (Nantes, Lyon), zones frontalières dans lesquelles la ressource hertzienne en FM est rare (Lille, Strasbourg…), zones de pénurie de l’offre en radio analogique.

Dès 2015, les procédures (consultation publique et étude d’impact si nécessaire, appel à candidatures) seront ainsi lancées sur les zones où des expérimentations sont en cours et donnent pleinement satisfaction, et dans les principales agglomérations frontalières où l’offre de radios est manifestement limitée au regard de l’importance de ces zones. L’identification d’autres zones devra donner lieu à une concertation préalable avec les acteurs avant lancement des procédures.

Le choix des zones et leur nombre, le rythme des appels à candidatures, ainsi que les obligations de couverture des autorisations seront notamment fixées au regard d’un objectif à définir sur le calendrier de franchissement du seuil de 20% de couverture de la population, à partir duquel des obligations de réception de la RNT s’imposent aux terminaux neufs de réception de la radio.

Télécharger le rapport du CSA

La réflexion sur la RNT a été alimentée par une série d’auditions techniques, menée lors des mois de septembre et d’octobre 2014, avec des éditeurs de services radiophoniques et leurs représentants, des opérateurs de multiplex, des diffuseurs, des représentants de constructeurs d’équipements de radio, des opérateurs de communications électroniques, des industriels du secteur automobile et des porteurs de projets pour la RNT. Elle s’est également nourrie de pratiques et de retours d’expérience, en France et à l’étranger, notamment en Europe, ainsi que des compétences des comités territoriaux de l’audiovisuel. Enfin, une consultation publique ouverte par le Conseil le 11 décembre 2014 a recueilli 38 contributions, qui sont venues enrichir la réflexion du Conseil.


Retour en haut

Marché mondial des semiconducteurs : +8,5% en 2015 ?

Semiconducteurs>Monde>Conjoncture>Etude de marché
22-01-2015 12:58:01 :

Fidèle à son inébranlable optimisme, Malcolm Penn, président du cabinet d’études Future Horizons, prévoit que le marché mondial des semiconducteurs progressera cette année de 8,5%, à 364 milliards de dollars, après une hausse de 9,9% en 2014. Mieux, l’analyste britannique n’exclut pas un bond de 15% si toutes les conditions favorables sont réunies …

Malcolm Penn ne voit pratiquement que des signes positifs pour l’industrie des semiconducteurs : 12 trimestres de suite de hausse de la demande en nombre de pièces et 7 trimestres de suite de hausse du prix moyen de vente des puces. S’y ajoutent, selon l’augure britannique, des taux élevés d’utilisation des capacités de production, des niveaux d’investissement somme toute assez faibles et des stocks excédentaires négligeables. Le seul problème, selon Malcomm Penn, est le manque de confiance dans le marché. L’analyste en veut pour preuve les prévisions excessivement pessimistes de la SIA, l’association américaine des fabricants de semiconducteurs : +3,4% en 2015 ; +3,1% en 2016. Une prévision que Future Horizons espère voir démentie par les faits…

Bill McClean, président d’IC Insights, est comme toujours, quant à lui, beaucoup plus mesuré dans ses prévisions. Sans s’engager encore sur une prévision de croissance pour l’année 2015, il prévoit une hausse annuelle moyenne de 4,1% sur l’ensemble de la décennie jusqu’à 2019.

IC Insights, fidèle à sa grille d’analyse, remet cette prévision en perspective face à l’histoire de l’industrie des semiconducteurs dont la croissance a été en moyenne de 9% au cours des 30 dernières années.

Dans la décennie 80, la croissance annuelle moyenne a été de près de 17%, grâce à l’essor du marché des PC et des besoins en mémoires Drams. La croissance moyenne a été 13,6% dans la décennie 90, toujours marquée par la prédominance des PC aux performances améliorées d’année en année. La décennie 2000 avait bien commencé avec l’envolée de 30% en 2000, mais a connu deux récessions : le plongeon de 2001 lié à l’éclatement de la bulle Internet et les récessions de 2008-2009 suite à la crise financière mondiale. Il en a résulté une croissance annuelle moyenne de seulement 0,5%.

La décennie 2010 est marquée par le repli des PC traditionnels et la prise de pouvoir des smartphones et des tablettes, sans compter l’essor de l’Internet des objets. Toutes considérations qui laissent espérer à IC Insights une croissance annuelle moyenne de 4,1% par an sur la période.


Retour en haut

Samsung et Apple consomment 17% du marché des semiconducteurs

Filière électronique>Semiconducteurs>Achats>Monde>Etude de marché
22-01-2015 12:57:14 :

Les dix premiers acheteurs mondiaux de semiconducteurs ont augmenté leur consommation de puces de 9,4% en 2014, à 125,6 milliards de dollars, soit 37% du marché mondial, rapporte Gartner. Pour la quatrième année de suite, Samsung et Apple ont été les deux premiers acheteurs mondiaux …

Les dix premiers acheteurs mondiaux ont ainsi consommé des puces à un rythme plus rapide que celui du marché des semiconducteurs (+7,9%, à 339,9 milliards de dollars, selon Gartner).
Si Samsung a conservé son rang de premier acheteur mondial de semiconducteurs, la progression de ses achats (+5,1%, à 32,1 milliards de dollars) a été inférieure à celle du marché, en raison de ses difficultés sur le marché des smartphones face aux fabricants chinois (voir notre édition de la veille) et l’abandon de certaines activités dans les PC.

A contrario, le Chinois Lenovo, grâce à ses acquisitions (Motorola dans les smartphones, IBM dans les serveurs x86), a vu ses achats de puces progresser de 33,9% en 2014, confortant ainsi son quatrième rang mondial. Le Chinois Huawei gagne, pour sa part, deux places pour se retrouver 7e acheteur mondial, le Coréen LG gagne une place (9e rang mondial), tandis que le Japonais Toshiba perd deux places pour descendre au dixième rang mondial. Notons que les 10 premiers acheteurs mondiaux sont toutefois les mêmes qu’en 2013.


Retour en haut

<<-Précédent Page 22 sur 600 Suivant->>
  ARCHIVES BUSINESS
publicité
  CONJONCTURE
  ETUDES DE MARCHE
  ENTREPRISES
  SEMICONDUCTEURS
  PASSIFS
  AFFICHEURS
  AUTRES COMPOSANTS
  CAO- MESURE
  PRODUCTION
  SOUS-TRAITANCE
  DISTRIBUTION
  OEM
  THEMES
  FUSION-ACQUISITION
  ACCORDS
  RESTRUCTURATIONS
  INVESTISSEMENTS
  R&D
  FINANCE
  PAYS
  FRANCE
  EUROPE
  ETATS-UNIS
  JAPON
  CHINE
  ASIE HORS CHINE
  RESTE DU MONDE
  ECONOMIE
  Politique INDUSTRIELLE
  GRANDS PROGRAMMES
  EMPLOI
  NOMINATIONS
 


© VIPRESS - Soyez le premier informé !
Mentions légales