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R&D : 234 article(s).
Bruxelles approuve une aide de 400 millions d’euros à STMicroelectronics pour le programme Nano2017

Semiconducteurs>France>Europe>R&D>Financement>Politique>Grands Programmes
26-06-2014 13:05:50 :

La Commission européenne a conclu que l'aide octroyée par la France à STMicroelectronics pour le développement de nouvelles technologies dans le secteur nanoélectronique était conforme aux règles de l'Union relatives aux aides d'État. La France a notifié fin 2013 son projet d'octroyer une aide à ST pour la réalisation du programme Nano2017 qui ambitionne notamment de positionner la technologie FD-SOI comme alternative à la technologique FinFET sur le marché mondial …
 
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Porté par STMicroelectronics et par le LETI - laboratoire du CEA dédié à la nanoélectronique- ce programme de R&D combine les efforts de multiples partenaires, privés et publics, en région grenobloise. Le montant des dépenses prévues, sur la période 2013/2017, s’élève à 1,8 milliard d’euros

Ce programme vise à développer de nouvelles technologies pour la conception et la production des prochaines générations de circuits intégrés, ainsi qu’à renforcer la structuration de la filière européenne en micro-nanoélectronique, en positionnant le cluster de Crolles - Grenoble comme un leader au niveau mondial dans le domaine des technologies CMOS numériques avancées.

Deux technologies permettent actuellement d’aller au-delà de la filière 28 nm : la technologie FinFET, issue des laboratoires de la DARPA aux Etats-Unis, industrialisée pour la première fois par Intel, puis par TSMC d’une part ; et la technologie FD-SOI ("Fully Depleted Silicon On Insulator"), dont les performances et la potentialité à remplacer les transistors CMOS sur substrats massifs pour le nœud technologique 28 nm ont été démontrées dans le cadre de l’alliance ISDA avec IBM et du projet Nano2012, et dont le développement au-delà du 28 nm est au cœur du programme Nano2017 d’autre part. Nano2017 ambitionne ainsi de repositionner la technologie FD-SOI comme alternative à la technologique FinFET sur le marché mondial.

Le programme Nano2017 est réalisé par un consortium de dimension européenne rassemblant 174 partenaires de 19 pays (62 appartiennent aux 3 grands clusters européens) et dont ST sera le chef de file. Il sera en partie financé par l’entreprise commune ENIAC (en particulier les nouveaux projets de Lignes Pilotes pour les technologies clés génériques), et s’inscrit ainsi pleinement dans les objectifs d’Horizon 2020, le nouveau programme de l’UE pour la recherche et l’innovation.

« Le programme Nano2017 ambitionne des avancées majeures dans le domaine de la nanoélectronique. Il porte en lui une dimension européenne inédite qui permettra de renforcer les synergies entre les trois grands clusters européens et structurer la filière », a déclaré Joaquín Almunia, vice-président de la Commission chargé de la concurrence. La Commission considère, en particulier, que le projet contribuera à la réalisation des objectifs de l'UE en matière scientifique et environnementale, sans fausser la concurrence de manière indue.

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L’Europe se mobilise pour le graphène

Filière électronique>Europe>R&D>Grands Programmes
24-06-2014 14:31:55 :

A l'occasion de la semaine du graphène, la Commission européenne annonce que le projet phare Graphène, l'une des plus grandes initiatives européennes de recherche qui représente un investissement de 1 milliard d'euros, a doublé d'envergure. À l'issue d'un appel à propositions doté d'une enveloppe de 9 millions d'euros, 66 nouveaux partenaires ont été invités à rejoindre le consortium. Le projet de R&D, qui compte désormais plus de 140 organisations participantes issues de 23 pays, vise à faire sortir du laboratoire ce matériau prometteur qu'est le graphène, ainsi que d'autres matériaux bidimensionnels, pour les faire entrer dans notre quotidien …

Le graphène a été fabriqué et testé en Europe, ce qui a valu en 2010 le prix Nobel de physique à Andre Geim et Konstantin Novoselov, de l’université de Manchester. Le graphène offre une combinaison inédite de propriétés physico-chimiques : ce matériau, le plus mince qui soit, est bien meilleur conducteur d'électricité que le cuivre, il est 100 à 300 fois plus solide que l'acier et possède des propriétés optiques uniques. Il pourrait notamment à terme remplacer le silicium dans les composants électroniques.

Grâce au projet phare Graphène, qui représente un investissement de 1 milliard d'euros, l'Europe compte passer de la recherche scientifique de pointe à la fabrication de produits commercialisables.

Les 66 nouveaux partenaires sont issus de 19 pays, dont six pays nouveaux au sein du consortium: la Biélorussie, la Bulgarie, la République tchèque, l’Estonie, la Hongrie et Israël.
Avec 16 nouveaux partenaires, l'Italie est maintenant, avec l'Allemagne, l'un des deux pays qui comptent le plus grand nombre de partenaires dans le projet phare Graphène (23 chacun), suivis de l’Espagne (18), du Royaume-Uni (17) et de la France (13).

Ces 66 nouvelles recrues apporteront de nouvelles capacités scientifiques et technologiques au projet. Plus d'un tiers des nouveaux partenaires sont des entreprises, principalement des PME, ce qui montre l’intérêt grandissant des acteurs économiques pour le graphène. Les entreprises ne représentaient au départ que 20% des partenaires du consortium.

L'appel à propositions pour un budget de 9 millions d’euros, qui s'inscrit dans une phase de «montée en puissance» de 54 millions d’euros (2014-2015), a attiré au total 218 propositions, ce qui représente 738 organisations issues de 37 pays. 21 propositions ont été sélectionnées en vue de bénéficier d’un financement.

Si la plupart sont des universités ou des instituts de recherche, les entreprises, principalement des PME, représentent une part croissante des participants, ce qui montre l’intérêt grandissant des acteurs économiques pour le graphène.



Liste des nouveaux partenaires invités à rejoindre le projet phare Graphène
Autriche : Guger Technologies
Biélorussie : Institute for Nuclear Problems
Belgique : Université de Namur, Université libre de Bruxelles, Interuniversitair Micro-Electronica Centrum
Bulgarie : Bulgarian Academy of Sciences, Nano Tech Lab
République tchèque : J. Heyrovsky Institute of Physical Chemistry
Estonie : Tartu Ülikool
Finlande : University of Eastern Finland
France : Université Montpellier 2 Sciences et techniques, Laboratoire national de métrologie et d'essais, Horiba scientific, Pixium Vision, Université Pierre et Marie Curie, Polymem, Atherm
Allemagne : Karlsruhe Institute of Technology, Technische Universität München, Bielefeld University, Ulm University, BASF, CNM Technologies, Fraunhofer-Gesellschaft zur Foerderung der angewandten Forschung, Epcos, TU Dortmund, University of Augsburg
Grèce : University of Crete
Hongrie : Research Centre for Natural Sciences, Hungarian Academy of Sciences
Israël : Technion Israel Institute of Technology
Italie : University of Padova, Breton, Università degli Studi di Roma Tor Vergata, Italcementi, Alma Mater Studiorum-Università di Bologna, Selex ES, University of Pisa, Istituto Nazionale di Fisica Nucleare, University of Salerno, Consorzio Nazionale Interuniversitario per le Telecomunicazioni, Libre, Grinp, Dyesol Italia, Centre Ricerche Fiat, Nanesa, Delta-Tech
Pologne : Université de Varsovie
Espagne : Universidad de Zaragoza, Biomedical Research Networking Center in Bioengineering, Biomaterials and Nanomedicine, Consorci Institut d'Investigacions Biomèdiques August Pi i Sunyer, Tecnalia Research and Innovation, nVision Systems & Technologies , Instituto de Tecnologias Quimicas Emergentes de la Rioja
Suède : Ericsson
Suisse : École Polytechnique Fédérale de Lausanne
Pays-Bas : Eindhoven University of Technology, DSM Ahead BV
Royaume-Uni : University College London, Imperial College London, Amalyst, G24 Power, The University of Nottingham, University of Sheffield, University of London, BAE Systems (Operations), University of Sunderland

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Sharp libère la forme de l’écran LCD

Afficheurs>Japon>R&D
19-06-2014 13:00:23 :

Fini les traditionnels rectangles pour les afficheurs LCD. Le Japonais Sharp vient de dévoiler un prototype d’écran LCD qui épouse la forme de l’application à laquelle il est destiné, comme, par exemple, un tableau de bord automobile. Une innovation permise par une nouvelle façon de commander l’afficheur LCD …

Dans les LCD traditionnels, les circuits de commande de l’afficheur LCD sont placés à la périphérie sur le pourtour de la dalle, ce qui oblige à respecter une forme rectangulaire. Avec son nouveau concept, Sharp intègre la commande à la surface de l’écran autorisant tout type de formes.

Les applications visées vont des tableaux de bord automobiles aux afficheurs des dispositifs électroniques portés sur soi (wearables). Dans son communiqué, le Japonais indique que cette technologie entrera en production de masse le plus tôt possible, sans toutefois fixer de date …


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Nouvelle France industrielle : les plans « objets connectés » et « santé-médical » en ordre de bataille

Filière électronique>Télécoms>Médical>France>R&D>Politique
19-06-2014 12:58:21 :

Réuni le 18 juin sous l’égide du Ministre de l’économie, le comité de pilotage de la Nouvelle France industrielle a validé cinq nouvelles feuilles de route des 34 plans de reconquête industrielle. Parmi elles, celles concernant les plans « objets connectés », « santé numérique » et « dispositifs médicaux et nouveaux équipements de santé ». Une première « Cité de l'objet connecté » va notamment être créée à Angers …

Issues des travaux pilotés depuis l’automne par les chefs de projet industriels, ces feuilles de route fédèrent les investissements des acteurs industriels et les leviers de la puissance publique autour d’objectifs communs : des nouveaux produits, des nouveaux services, des nouveaux investissements et de l’emploi.

Parmi les 5 plans validés hier :
« Objets connectés » : Avec des entreprises telles que Medissimo, Myfox, Netatmo, Parrot, Sen.se, Sigfox ou Withings, la French Tech dispose de précurseurs des « objets connectés ». Le plan vise à renforcer et développer cette offre « made in France » de lieux de création et d’industrie dédiés. L’action-phare est en effet la création à Angers d’une première « Cité de l'objet connecté » qui rassemblera designers, assembleurs et sous-traitants de la plasturgie et de la mécanique, pour mettre au point les nouveaux objets de cette révolution numérique. 15 M€ d’investissement et 50 personnes seront nécessaires au fonctionnement de cette cité d’un nouveau type, propice au croisement des expertises électroniques et mécaniques, et créée sous l’impulsion d’Eolane et d’industriels locaux.

« Santé numérique » : l’accès universel aux soins subit la pression d’un double effet : l’augmentation des dépenses de santé, liée notamment à l’allongement de la durée de vie et des contraintes budgétaires qui pèsent sur les dépenses publiques. L’innovation par les outils numériques peut nous faire gagner en efficacité à qualité égale voire supérieure. En mettant l’accent sur la télémédecine, le traitement par le big data des données de santé ou la médecine personnalisée, le plan propose des voies concrètes pour mieux soigner à moindre coût, tout en développant de nouvelles activités économiques en France.

« Dispositifs médicaux et nouveaux équipements de santé » : les industries de santé vivent actuellement une révolution technologique. Pour s’assurer qu’elle s’accompagnera de créations d’emplois en France, il nous faut convertir notre excellence au stade de la recherche en innovations et réussites industrielles, ce, autour d’Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) à même de consolider les talents.

Cette nouvelle étape porte à 21 le nombre de plans opérationnels. D’ici le 14 juillet, les 13 autres derniers les rejoindront.
Consulter le détail des feuilles de route des 34 plans de reconquête industrielle.

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Alstom contribuera à l’intégration d’énergies renouvelables dans le projet Smart Grid Vendée

Industriel>France>R&D>Stratégie>Contrats
17-06-2014 12:49:15 :

Alstom a remporté un contrat pour la fourniture de son système de gestion de ressources énergétiques distribuées (Distributed Energy Resources Management System - DERMS) au département de la Vendée. Lancé en juin 2013, Smart Grid Vendée est un projet expérimental de 28 millions d’euros dirigé par un consortium avec une mise en œuvre sur cinq ans …

Ce projet pilotera un éventail de technologies smart grid en vue de répondre aux évolutions du paysage énergétique, notamment par l’intégration des énergies renouvelables et par la modernisation du réseau de distribution électrique.

Le réseau de distribution connait une augmentation de la production d’énergie à petite échelle, comme les énergies éoliennes et photovoltaïques, ainsi que de nouveaux modes de consommation électrique, comme les véhicules électriques. Tous sont connus sous le terme de ressources énergétiques distribuées (DER). « L’intégration des DER dans le réseau de distribution à un coût d’infrastructure optimal nécessite le déploiement de nouvelles technologies d’information et de gestion. Ces technologies permettent de lisser l’intermittence de la production ou les pics de consommation et de fiabiliser le réseau », explique Alstom.

Alstom participe à plus de 30 projets smart grid dans le monde, financés par des fonds privés et publics, tel que le projet de quartier solaire Nice Grid. Ces solutions smart grid, testées au sein de projets pilotes de recherche et développement dans le monde entier, ouvrent la voie au réseau électrique du futur.

Voir notre article sur Smart Grid Vendée.

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CS Communication & Systèmes signe un accord avec Sopra

Filière électronique>Sous traitance>France>Accords>R&D
09-06-2014 20:02:59 :

CS Communication & Systèmes annonce la signature d’un accord industriel et commercial avec Sopra, société de conseil, de services technologiques et éditeur de logiciels, partenaire de longue date de CS. L’objectif principal de cet accord industriel est l’amélioration et le renforcement des performances, notamment, le développement des coopérations industrielles et commerciales établies dans les domaines de l’aéronautique et de la défense, et leur extension à de nouveaux champs de collaboration pour les activités sécurité, spatial et énergie …

Cet accord industriel est assorti d’un accord capitalistique entre Sopra et Duna, actionnaire de contrôle de CS Communication & Systèmes. Dans ce cadre, Sopra va souscrire à une émission d’obligations convertibles de 12 millions d’euros ouverte aux actionnaires de CS, avec conclusion d’un accord avec l’actionnaire majoritaire de CS Communication & Systèmes à des conditions usuelles. Au terme de l’opération, Sopra, qui, il y a quelques semaines, a racheté la SSII Steria, pourrait avoir entre 7,5 et 16% du capital de CS. Sopra siégera au conseil d’administration de CS en qualité de censeur. Le groupe CS, présidé par Yazid Sabeg, est spécialisé dans la conception, l'intégration et l'exploitation de systèmes critiques.

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