Thales, en consortium avec ses partenaires G4S et Onet Sécurité, a été retenu par le ministère de la Justice pour la conception, la mise en place et l’opération du nouveau bracelet électronique, le système de surveillance électronique pour les personnes bénéficiant d’une mesure judiciaire alternative à l’incarcération. Le déploiement est prévu dès cette année …

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A ce jour, plus de 10 000 personnes sont équipées d’un bracelet électronique. Le ministère de la Justice souhaite augmenter significativement ce nombre au cours des prochaines années.

Thales assurera le pilotage du programme, l’intégration système, la maîtrise des réseaux de communications, la logistique et l’infogérance de l’infrastructure informatique. G4S fournira la dernière génération de ses dispositifs et logiciels de surveillance électronique, et Onet Sécurité assurera les prestations de télésurveillance, de téléassistance et de formation du personnel de l’administration pénitentiaire.

Le ministère de la Justice a choisi de s’appuyer sur un groupement capable de livrer une solution industrielle performante dans un calendrier contraint, le déploiement étant prévu dès 2013. Les innovations technologiques proposées apportent de meilleures performances et de nouvelles fonctionnalités, telles que la continuité du service de localisation des bracelets électroniques. L’architecture système ouverte et modulaire retenue garantit une solution interopérable et évolutive à long terme.

L’an passé, 1,71 milliard de téléphones mobiles ont été vendus dans le monde, soit un recul de 0,2% par rapport à 2011, selon IDC. Le seul marché des smartphones a progressé de 10,1%, à 545,2 millions d’unités. Pour sa part, Strategy Analytics estime que le marché des smartphones a progressé de 43%, à 700,1 millions d’unités. De son côté, ABI Research avance une progression de 36% du marché des smartphones, à 653 millions d’unités, tandis que le marché mondial des téléphones mobiles aurait progressé de 2%, à 1,6 milliard d’unités …

Si les chiffres des trois sociétés d’études de marché diffèrent, tous s’accordent pour mettre en avant l’emprise des smartphones sur le marché des mobiles. Au quatrième trimestre, sur les 482,5 millions de téléphones vendus (+1,9% sur un an), 219,4 millions étaient des smartphones (+36,4% sur un an), soit une part de marché jamais égalée de 45,5%, selon IDC. Pour Strategy Analytics, les ventes de smartphones du quatrième trimestre ont progressé de 38% sur un an, à 217 millions d’unités. Enfin, pour ABI Research, 196 millions de smartphones sur 451 millions de téléphones mobiles ont été vendus lors des trois derniers mois de 2012.

Tous saluent la performance de Samsung en 2012. Pour Strategy Analytics, par exemple, le Coréen a vendu 213 millions de smartphones l’an dernier, soit une part de marché de 30%. Il devance Apple qui décroche 19% du marché avec 135,8 millions d’iPhones vendus.
Avec des ventes annuelles de téléphones mobiles en recul de 19,5%, à 335,6 millions d’unités selon IDC, le Finlandais Nokia recule au deuxième rang mondial. Nokia n’aurait vendu que 35,1 millions de smartphones en 2012 (-54,6%), soit à peine plus que le Taïwanais HTC et le Canadien RIM (le fabricant du Blackberry).

Saft, groupe français spécialisé dans la conception et de la fabrication de batteries de haute technologie pour l’industrie, vient d’inaugurer une usine d’envergure mondiale à Bidadi, près de Bangalore, en collaboration avec son partenaire Amalgamations, afin de répondre à la demande croissante des marchés de l’énergie et de l’électricité en Inde …

Cette usine de 7 000 m2 produira des batteries rechargeables au nickel, doublant ainsi les capacités de production locales de Saft pour le marché des batteries industrielles.

La Commission européenne a annoncé aujourd'hui un ambitieux ensemble de mesures visant à mettre en place, dans toute l'Europe, des stations de recharge pour véhicules électriques, et à fixer des normes communes encadrant leur conception et leur utilisation. Une prise commune à toute l'Union représente un élément indispensable au déploiement de ce carburant. Pour dissiper les incertitudes du marché, la Commission annonce que la prise de «type 2» servirait de prise standard commune dans toute l'Europe …

« D'ici 2020, le nombre de véhicules électriques en circulation en Chine et aux États–Unis devrait atteindre plus de 6 millions au total, selon les projections de ces deux pays. C'est pour l'Europe une excellente occasion de se positionner solidement sur un marché mondial en plein essor », commente Siim Kallas, vice-président de la Commission européenne chargé des transports.

La situation en matière de points de recharge pour véhicules électriques varie considérablement d'un État à l'autre. Les pays à la pointe sont l'Allemagne, la France, les Pays-Bas, l'Espagne et le Royaume-Uni. La proposition de la Commission prévoit d'imposer, dans chaque État membre, un nombre minimum de points de recharge, utilisant une prise standard. Le but est de mettre en place un nombre suffisant de points de recharge pour que les constructeurs automobiles puissent se lancer dans une production de masse, à des prix raisonnables.

Ces mesures concerne également des objectifs contraignants en matière d'infrastructures destinées aux carburants propres tels que l'hydrogène et le gaz naturel, et d'établir des normes communes applicables aux équipements dans toute l'Union européenne.

Objectifs de points de recharge électrique pour les principaux Etats membres

Netgem, fournisseur français de technologies et solutions pour la maison connectée, va lancer une offre publique d’achat sur Videofutur, avec l’approbation du conseil d’administration de l’ancien loueur de DVD, reconverti en opérateur de services pour la télévision connectée. Le montant maximal payé en numéraire par Netgem s’élèverait à 5,9 millions d’euros …

En France, marché historique du groupe, Netgem s’est fixé comme objectif de renouer avec la croissance en se déployant dans le domaine de la télévision connectée. Videofutur a entrepris ces dernières années une mutation profonde de son activité, évoluant du métier de distributeur de DVD locatifs vers celui d’opérateur de services pour la télévision connectée. Ses offres de vidéo à la demande, rendues disponibles grâce à sa plateforme cloud sur un large éventail d’équipements connectés (PC, Mac, smartTV, tablettes, smartphones), sont aujourd’hui distribuées principalement à travers son réseau direct (Internet et magasins en propre).

L’opération envisagée permet à Netgem d’acquérir une offre et une expertise en télévision connectée dont elle peut rapidement élargir la distribution, au-delà du réseau propre de Videofutur, à d’autres opérateurs en France. Sa mise en œuvre est facilitée par la proximité des deux entreprises qui travaillent ensemble depuis plusieurs années.

Au-delà du marché français, la plateforme cloud de services développée par Videofutur pour la distribution multi-écrans de services vidéo sera progressivement intégrée dans l’offre standard de Netgem à l’international.

En 2012, Netgem a réalisé un chiffre d’affaires de 81,2 millions d’euros (dont près des deux tiers réalisées à l'international), soit un recul de 4% par rapport à 2011.

Faurecia, sixième équipementier automobile mondial, Supélec et l'Esigelec viennent de signer une convention de partenariat d'une durée de cinq ans pour créer une chaire dans le domaine de la mécatronique automobile. Cette chaire, dispositif de recherche, d'enseignement, et de diffusion des connaissances, a pour ambition de constituer un pôle de compétence, formant des ingénieurs et chercheurs en conception de solutions électroniques pour l'automobile …

Ses travaux porteront sur des innovations de rupture en matière de conception, simulation, architecture et développement des systèmes complexes intervenant notamment dans les produits et solutions techniques de Faurecia.

Grâce au partenariat avec Supélec et l'Esigelec, Faurecia souhaite développer de fortes synergies entre sa R&D industrielle et la recherche académique et bénéficier d'un accès privilégié aux avancées de la recherche dans les domaines de l'électronique et de la mécatronique, en particulier pour la conception de systèmes embarqués.

« L'introduction de nouvelles fonctions, et la décentralisation croissante de l'électronique vers les sous-systèmes du véhicule, constituent une opportunité pour Faurecia de rendre ses systèmes plus intelligents, tout en créant plus de valeur », précise Christophe Aufrere, directeur de la stratégie technologique de Faurecia.

« Cette démarche de conception », souligne Alain Bravo, directeur général de Supélec « est l'un des éléments qui fédèrent plusieurs équipes de recherche de Supélec, notamment au travers de l'Equipe E3S (Supélec Sciences des Systèmes) » et des équipes de l'Esigelec, à Rouen, et de son Institut de recherche IRSEEM (Institut de Recherche en Systèmes Electroniques Embarqués), au travers de son Campus Intégration des Systèmes Embarqués (CISE) qui dispose de moyens d'essais permettant de reboucler entre les phases de design et d'expérimentation.