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Chiffre d’affaires en hausse de 11,9% pour Actia en 2014

Télécoms>Automobile>Sous traitance>France>Résultats financiers
12-02-2015 12:27:21 :

Le Toulousain Actia Group, spécialisé dans les systèmes embarqués électroniques à haute valeur ajoutée, destinés aux marchés des véhicules et des télécommunications, a réalisé en 2014 un chiffre d’affaires de 339,9 millions d’euros, en progression de 11,9% par rapport à 2013 …
 
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Au quatrième trimestre 2014, Actia a réalisé un chiffre d’affaires de 92,8 M€, en hausse de 7,9% par rapport aux trois derniers mois de 2013.

La branche Automobile enregistre un chiffre d’affaires trimestriel de 84,0 M€ en hausse de 12,5% par rapport au 4e trimestre 2013. Cette performance est portée par la forte dynamique des produits télématiques dans le segment des camions et leurs premiers déploiements dans les véhicules légers premium. Par ailleurs, les systèmes embarqués pour les voitures électriques ont confirmé leur potentiel. Ainsi, sur l’ensemble de l’année 2014, les ventes de la branche Automotive s’élèvent à 300,7 M€, en augmentation de 11,3% par rapport à 2013. Cette branche représente 88,5% de l’activité globale du groupe.

Au quatrième trimestre, la branche Télécommunications affiche un chiffre d’affaires de 8,7 M€, en retrait de 22,4%. Le rattrapage de la facturation au 4e trimestre 2013 entraîne une base de comparaison défavorable qui masque la meilleure répartition de l’activité Télécommunications sur l’ensemble de l’exercice 2014. En cumulé sur l’année 2014, son chiffre d’affaires atteint en effet 39,1 M€, en progression de 17,3% grâce à des facturations militaires exceptionnelles et un rebond du marché des équipements de réseaux télécoms, selon l’avis financier du groupe. La branche Télécommunications représente 11,5% de l’activité globale.

Fort de la bonne orientation de ses commandes, Actia anticipe en 2015 un nouvel exercice en croissance.


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2,1 milliards de connexions machine-to-machine en 2022 ?

Filière électronique>Télécoms>Etude de marché
11-02-2015 20:00:29 :

Le nombre de connexions M2M (machine-to-machine) devrait passer de 368 millions en 2014, à 2,1 milliards en 2022, selon une étude de Strategy Analytics. La vitesse des débits sera alors primordiale puisque 75% des connexions feront appel à des réseaux 3G ou 4G, assure le cabinet d’études …

55% des connexions M2M en 2022 devraient s’effectuer dans la zone Asie-Pacifique qui devancera alors l’Europe de l’Ouest et l’Amérique du Nord. Le déploiement des compteurs d’énergie en Chine sera l’une des sources principales de l’essor du M2M, selon Strategy Analytics.

Globalement, la santé, les compteurs d’énergie intelligents, l’électronique grand public et le résidentiel connecté seront les principaux débouchés du M2M cette année et chacun de ces segments affichera une croissance annuelle moyenne à deux chiffres entre 2014 et 2022. Cette croissance ira de 18% par an en moyenne pour les compteurs intelligents à 29% pour l’automatisation de la maison. L’automobile et le commerce de détail seront également de grands consommateurs de connexions M2M.

Concernant les connexions M2M haut débit, elles progression de 32,7% par an en moyenne dans le transport entre 2010 et 2022, affirme Strategy Analytics. Ainsi, le nombre de connexions large bande dans les applications de transport devrait passer de 0,3 million en 2015, à 2,6 millions en 2022.

Plus de détails sur l’étude

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Le Français Sigfox lève 100 M€ comme une plume

Filière électronique>Télécoms>France>Stratégie>Financement
11-02-2015 13:24:36 :

Avec son réseau spécifique pour les communications bas débit de l’Internet des objets, la start-up française Sigfox part à l’assaut du monde en levant 100 millions d’euros auprès d’investisseurs judicieusement choisis. Un investissement de seulement 5 à 10 M€ pour couvrir un pays comme la France de 1400 antennes et pouvoir gérer plus de 1 milliard d’objets connectés, pour un prix facturé aux clients de 1 euro par objet et par an, à partir d’un million de pièces : il n’en faut pas plus pour convaincre les investisseurs de dupliquer la recette au niveau mondial …

Plus de 130 millions d’euros ont été souscrits pour l’augmentation de capital de la start-up (*) qui avait déjà réussi à lever 27,5 millions d’euros depuis sa création en juin 2012 jusqu’à fin 2014. La personnalité et l’expérience d’Anne Lauvergeon qui a rejoint Sigfox en avril dernier au poste de présidente du conseil d’administration auront certainement compté pour réunir cette somme. « Elle a une vision des barrières qu’il nous reste à franchir », reconnaît Ludovic Le Moan, fondateur de la start-up.

Il leur a fallu choisir ces investisseurs avec pour seul objectif : faire décoller très vite le marché des objets connectés à la technologie Sigfox à l’échelle mondiale. Le tour de table constitué par la start-up reflète cette ambition : rejoignent les investisseurs présents au capital de la société dont Intel, des opérateurs internationaux (Telefonica, SK Telekom en Corée, NTT Docomo au Japon), un fonds américain (Elliot Management) pour implanter dès cette année un réseau aux Etats-Unis (la FCC vient de donner son accord), des partenaires industriels clients (GDF Suez, Air Liquide) et enfin Eutelsat, pour apporter une dimension « spatiale » à la technologie brevetée du Français. Des antennes Sigfox ont été embarquées dans le dernier satellite Spot 7 d’Astrium avec l’idée d’étendre la couverture du réseau Sigfox aux océans et aux zones montagneuses non couvertes par les réseaux terrestres.

On est loin de la perplexité initiale des opérateurs vis- à-vis de la technologie bas débit du Français : « on est passé du doute, à la phase où nous étions perçus comme des concurrents, à celle maintenant où nous sommes considérés comme des partenaires », se félicite Ludovic Le Moan. Actuellement le réseau couvre 2 millions de km2 dans cinq pays, France, Espagne, Pays-Bas, Belgique, Grande-Bretagne. L’objectif est d’atteindre le plus rapidement une quarantaine de pays, dont le marché stratégique des Etats-Unis. Pour aller vite dans le déploiement de son réseau, Sigfox a mis en place une stratégie de partenariat avec des opérateurs télécoms locaux baptisée SNO (Sigfox Network Operator), livrant des équipements à l’opérateur pour lui permettre de déployer le réseau sous licence et partager par la suite les revenus de son exploitation. Il faut environ 1500 antennes pour couvrir un pays de la taille de France, pour relier plus d’un milliard d’objets avec un investissement de 5 à 10 M€. Il faut environ 6 mois pour implanter le réseau dans un pays en passant un accord SNO avec un opérateur.

Les partenariats de Sigfox avec les grands opérateurs qui entrent à son capital lui permettront également de peser dans la définition du futur standard 5G. « C’est une erreur de penser que la 5G, ce sera seulement la 4G en plus rapide ; il y a aura tout une partie de la norme qui concernera les communications bas débit qui nous intéresse », rectifie Ludovic Le Moan.

La technologie bas débit de Sigfox rend en effet possibles des applications en terme de coût et de consommation d’énergie impensables avec les technologies conventionnelles (GSM, WiFi, etc.). Les mastodondes américains (Apple, Google, Amazon, etc.) ont une vision sommaire de l’IoT, selon le dirigeant : ils considèrent que l’on peut tout relier en Wi-Fi, ce qui est incompatible avec la charge des batteries. « Ce qui compte, ce n’est pas tant le coût de la connexion de l’objet au réseau que l’on rend marginal, que les économies que l’on peut réaliser sur les interventions liées aux défaillances et la maintenance de l’objet », renchérit, pour sa part, Anne Lauvergeon. Ainsi, l’intervention d’un opérateur sur un compteur d’eau serait facturée de 100 à 200 euros. Si la durée de vie de l’accumulateur du compteur connecté est de 20 ans au lieu de 5 à 10 ans, les économies réalisées par la compagnie de distribution de l’énergie sont gigantesques.

Avec un prix annuel de 1euro par objet connecté à partir d’un millions de pièces, Sigfox estime qu’il divise par dix le prix de la mise en réseau d’un objet connecté par rapport aux technologies concurrentes, avec une puissance d’émission maximale de 25 mW. Si l’on considère que l’objet ne communique pas la plupart du temps, sa consommation lissée sur un temps long est même ramenée aux microwatts. La R&D de l’entreprise est d’ailleurs concentrée sur la réduction de la consommation des objets connectés pour passer du milliwatt au microwatt ou se passer carrément de batterie, l’objet tirant dans le futur son énergie des ondes électromagnétiques, de la chaleur, de la lumière, etc.

400 000 objets connectés reliés, 5 millions en carnet
Les applications du réseau Sigfox sont potentiellement infinies ((l’entreprise travaille actuellement sur 1 millier de projets émanant d’entreprises souvent naissantes). Cela va du capteur de démarrage de feu de forêt que l’on cloue sur un arbre, sans souci de sa consommation ou de la portée du réseau (une transmission radio à plus de 100 km d’une antenne a déjà été obtenue), à l’automobile (eCall pour les zones non couvertes par les réseaux de téléphonie mobile), en passant par la sécurité incendie (prévenir en cas de disfonctionnement d’un détecteur de fumée), la sécurité intrusion (envoyer une alarme en cas de détection d’un brouilleur GSM, nouveau compagnon des cambrioleurs pour annihiler la protection par alerte GSM). Dans le Loiret, le Conseil Général va également équiper 15 000 foyers d’un boîtier relié au réseau Sigfox (bouton alarme, etc).

Actuellement entre 300 000 et 400 000 objets sont déjà connectés au réseau Sigfox et l’entreprise a en carnet des commandes représentant environ 5 millions d’objets. « Contrairement aux applications Internet où il suffit de se connecter au réseau pour exister, le frein principal à notre développement, c’est le temps de fabrication des objets connectés pour passer du prototype de l’objet avec émetteur-récepteur RF aux volumes », reconnait Ludovic Le Moan. C’est aussi un atout. « Si un concurrent apparaît, il lui faudra 18 à 24 mois pour arriver où nous en sommes aujourd’hui en nombre d’objets gérés. Nous aurons le temps de le voir grandir ». « L’Internet des objets ramène le barycentre de l’innovation vers l’Europe », assure Ludovic Le Moan. Espérons-le.

(*) Cette levée de fonds comprend un tour de table initial de 81 M€ et une réserve de surallocation de 19 M€ qui permettra au gré des besoins de Sigfox de faire entrer de nouveaux partenaires stratégiques au capital de la société dans les prochains mois. Ensuite, Sigfox envisage une introduction en Bourse à la mi-2016.



Au rang de ses partenaires, Sigfox compte Texas Instruments, Silicon Labs, Atmel, Axsem, Thingworx, Plat.One, Telit et Telecom Design.

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Beijing Shenan va investir près de 100 M€ dans une usine de DEL près de Verdun

Industriel>Capteurs/mems/Opto>France>Chine>Accords>Investissements
10-02-2015 14:32:19 :

Lors de la visite de Manuel Valls au Premier ministre chinois Li Keqiang à Pékin, le Conseil Général de la Meuse et le groupe Beijing Shenan ont signé un accord pour la création d’ici au deuxième semestre 2016, d’une usine de produits d’éclairage à DEL de 60 000m² employant à terme 200 personnes sur la zone d'activité des Souhesmes, près de Verdun. Un investissement de près de 100 millions d’euros sera réalisé afin d’alimenter le marché européen en éclairage à faible consommation énergétique …

Beijing Shenan emploie plus de 40 000 personnes, réalise plusieurs milliards de chiffre d’affaires à travers le monde en particulier dans le secteur des DEL.

Parallèlement, à l’occasion du voyage de Manuel Valls en Chine, le groupe Arelis, spécialisé en conception électronique, a signé, en présence des Premiers ministres chinois et français, un protocole d’accord avec le groupe chinois Beijing Shenan pour la création sur le site TGV Meuse d’un centre européen de recherche et de développement commun.
Ce projet Arelis/Shenan, avec le soutien du Conseil Général de la Meuse, présidé par le Sénateur Namy, contribue à réindustrialiser la région en s’appuyant sur les points forts technologiques de la Lorraine.

Cette annonce fait suite à celle de mai dernier : la création du pôle de recherche de 6200m² labellisé Pacte Lorraine présenté par le Conseil général de la Meuse et le groupe Arelis. Le département de la Meuse et l’industriel français présentaient à cette occasion ce pôle favorisant le développement de nouvelles solutions en radiofréquence / hyperfréquence et en gestion de l’énergie. Ce centre R&D d’Arelis sera situé sur la zone d’activités de TGV MEUSE (90ha) jouxtant la gare TGV à 59 minutes du cœur de Paris et de l’aéroport Charles De Gaulle.

Devenue une ETI industrielle, Arelis réalise 45% de son chiffre d’affaires à l’export avec notamment de grands projets d’infrastructures d’équipements de la nouvelle télévision numérique au standard DVB-T2 en Russie, Israël et dernièrement en Ouganda. Le groupe investit plus de 15% de son chiffre d’affaires en R&D pour concevoir, industrialiser et fabriquer des équipements pour les filières de l’industrie aéronautique et spatiale, de la défense, du transport et des télécommunications.

Arelis prévoit de réaliser 57M€ de chiffres d’affaires en 2015 contre 47M€ réalisés en 2014 dont plus de 45% à l’export. Un chiffre d’affaires multiplié par 2 par rapport à 2013.


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La DGA a passé 11,5 milliards d’euros de contrats en 2014

Défense>France>Conjoncture>Contrats>Politique
10-02-2015 14:02:18 :

Principal investisseur de l’État dans l’industrie de défense et les PME de haute technologie, la DGA a passé 11,5 milliards d’euros de contrats pour l’équipement des armées et investi 782 millions d’euros dans la recherche de défense en 2014, selon le bilan dressé par Laurent Collet-Billon, délégué général pour l’armement …

« Ce résultat est conforme à la Loi de programmation militaire, dès sa première année. Il préserve tous les secteurs industriels de défense et permet de développer les technologies et les compétences dont nous aurons besoin demain », a déclaré Laurent Collet Billon.

Parmi les équipements majeurs, la DGA a livré aux forces armées 4 avions de transport A400M, 11 Rafale, 3 hélicoptères de combat Tigre HAD, 9 hélicoptères NH90, 212 systèmes d’armement air sol AASM, 77 véhicules blindés VBCI, 4 036 équipements du fantassin FELIN, 13 Lances roquettes unitaires (LRU), ainsi que les 20 premiers équipements de communication par satellite COMCEPT associés au satellite ATHENA FIDUS. La DGA a commandé les premiers blindés du programme Scorpion, les avions ravitailleurs MRTT, la nouvelle version du missile M51, ainsi que le 4e sous-marin nucléaire d’attaque Barracuda.

Les PME ont également bénéficié des investissements de la DGA. Le dispositif RAPID a atteint 45 millions d’euros. Deux clubs Rapid ont été lancés en 2014 : photonique et cyberdéfense. Ces clubs favorisent le développement des PME par la mise en relation avec les grandes entreprises.

Concernant la coopération, 2014 a vu les avancées les significatives en franco-britannique avec le lancement des études de faisabilité du futur drone de combat FCAS DP et la notification du programme de missile anti navire léger ANL. Pour Laurent Collet-Billon « FCAS DP est un pas majeur pour l’industrie européenne de l’aviation de combat».

Evoquant les défis 2015, Laurent Collet-Billon a souligné l’intérêt des méthodes innovantes, que ce soit dans le domaine financier avec la mise en place des sociétés de projet, ou pour l’évolution de la DGA avec la généralisation de l’ingénierie système.

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Quatre lauréats pour le 1er concours national de robotique collaborative

Industriel>France>Politique
09-02-2015 15:08:00 :


Organisé par la Direction générale des entreprises, en partenariat avec le CEA LIST, ce premier concours dédié à la robotique collaborative a récompensé quatre lauréats. Cet événement constitue l’une des actions du plan Robotique pour la Nouvelle France Industrielle, dont la feuille de route a été validée par le gouvernement le 2 juillet dernier …

Le thème retenu pour ce premier concours - la robotique collaborative dans le domaine professionnel - constitue une évolution émergente mais majeure de la robotique, qui devrait permettre d’améliorer la compétitivité des entreprises, de diminuer la pénibilité de certaines tâches et de contribuer à répondre avec plus d’efficacité à certains défis sociétaux (santé, autonomie, mobilité, etc.).

Vingt-trois équipes ont présenté des démonstrations sur le thème de la collaboration entre l’homme et le robot, dans des domaines aussi divers que la production industrielle, la robotique médicale ou la robotique agricole.

Le jury a choisi de distinguer les quatre lauréats suivants :
Percipio Robotics, pour le prix de l’innovation destiné à récompenser un nouveau produit, en l’occurrence pour « Chronogrip », cobot de micro-assemblage compact.
Université Pierre et Marie Curie – ISIR, Endocontrol, Institut Mutualiste Montsouris et Haption, pour le prix de l’Intégration, destiné à récompenser une cellule ou un scénario utilisant des produits et technologies existants sur le marché ; pour « Jaimy », instrument cobotique pour la laparoscopie
Naio Technologies remporte pour sa part le prix spécial du jury, qui a choisi d’attribuer ce prix pour « OZ », robot d’assistance et de désherbage mécanique pour les agriculteurs. Naio avait déjà remporté le prix spécial du jury dans le cadre des Trophées de l’Embarqué 2014.
Ces trois candidats remportent chacun 60 000 €.

Enfin le prix Vidéo, réservé aux candidats ne pouvant déplacer leur démonstration, doté de 5 000 €, est remporté par PSA Peugeot Citroën pour sa cellule d’assistance à l’ébavurage de carters bruts avec cobot d’assistance et robot collaboratif.

3 accessits ont également été décernés à :
• Balyo, pour son chariot de manutention automatique
• Neoditech, pour son bras manipulateur « Scara »
• RB3D, pour son exosquelette « Hercule » v3

Cette remise de prix est un tremplin pour faire évoluer tous ces projets vers de futures versions industrielles et commerciales : l’ensemble des équipes candidates ont été invitées à prendre contact avec les services de l’Etat et les opérateurs, pour étudier les modalités possibles d’accompagnement futur de leur projet.

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