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Automobile : 54 M€ pour l’Institut pour la Transition Energétique VeDeCoM

Automobile>France>Accords>R&D>Politique
14/02/2014 15:08:06 :

Cette semaine a été signée par l'Agence nationale de la Recherche (ANR) la convention du nouveau projet VeDeCoM "Véhicule décarboné et communicant et sa mobilité". L'ITE (Institut pour la Transition Energétique) VeDeCoM, doté de 54 millions d'euros du programme d'investissements d'avenir, déclinera ses projets de R&D suivant trois programmes stratégiques: électrification des véhicules ; délégation de conduite et connectivité ; mobilité et énergie partagées …
 
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Les acteurs académiques et industriels regroupés au sein de l'ITE VeDeCoM, dont PSA, Renault, Safran et Valeo, ont la volonté de créer en France un écosystème qui permette de travailler ensemble au déploiement, sur le terrain, de nouveaux systèmes de mobilité et de nouveaux véhicules.

L’ITE VeDeCoM prévoit un budget de 67 millions d’euros sur la période 2014-2016 financés à 54% par les apports de ses membres et par des contrats de collaboration externe, à 34% par l’Etat, première tranche d’une dotation de 54,5 millions d’euros dans le cadre des « Investissements d’Avenir » gérée par l’ANR, et à 12% par le Conseil Général des Yvelines qui pourrait apporter 20 M€ sur 10 ans.

Devenir l’Institut n°1 de recherche et formation en Europe sur le véhicule décarboné et sa mobilité, VeDeCoM a pour ambition de devenir l’organisme de référence dans trois domaines principaux :
• L’électrification des véhicules en termes de machines électriques et d’électronique de puissance, de fiabilité, d’intégration et de test de sources d’énergie électrique (accumulateurs, piles), de gestion thermique, de plateformes de conception virtuelle et de compatibilité électromagnétique.
• La délégation de conduite et la connectivité des véhicules, avec en ligne de mire les véhicules autonomes, les communications sécurisées et coopératives, la sécurité et la robustesse des architectures systèmes, et l’acceptabilité de ces nouveaux véhicules par les conducteurs et les usagers en fonction des cas d’usages et du contexte réglementaire approprié.
• La mobilité et l’énergie partagées s’appuyant sur des infrastructures et des services numériques répondant à de nouveaux usages à explorer (covoiturage, auto-partage, parking automatisé, transport multimodal).

VeDeCoM réunit des membres de différentes filières industrielles et de services (automobile, aéronautique, ingénierie de systèmes, composants électroniques, TIC et simulation numérique, gestionnaires d’infrastructures et opérateurs de transport, de réseaux numériques et d’énergie électrique), plusieurs organismes de recherche et d’enseignement supérieur, et des collectivités territoriales. Le projet VeDeCoM, basé sur le site de Satory à Versailles, a été labellisé par le pôle de compétitivité Mov’eo et porté par la fondation Mov’eoTec depuis 2010. La fondation Mov’eoTec, récemment renommée « Institut VeDeCoM », est une fondation partenariale de l’Université de Versailles Saint-Quentin comprenant 9 autres fondateurs : Cetim, Esigelec, Estaca, IFP Energies Nouvelles, Ifsttar, PSA Peugeot-Citroën, Renault, Safran, Valeo. Á ces 10 fondateurs se sont joints 35 autres partenaires, dont 12 donateurs associés : Atos, CEA, INRIA, Nexyad, ParisTech, Université de Cergy-Pontoise, Utac-Ceram et Transdev, ainsi que les deux communautés d’agglomération de Versailles Grand Parc et de Saint-Quentin-en-Yvelines et l’Etablissement Public Paris-Saclay.


ARTICLE EN ENTIER

Division par division, les projets de STMicroelectronics en 2014

Semiconducteurs>Europe>Stratégie
13/02/2014 14:04:37 :
STMicroelectronics évalue à 139 milliards de dollars le marché des semiconducteurs sur lequel il est présent, soit un peu moins de la moitié du marché total (plus de 300 milliards de dollars selon le WSTS). Ce marché adressable ayant reculé de 1,7% en 2013, ST estime avoir gagné des parts de marché avec des ventes en progression de 3,2% en excluant les anciens produits de ST-Ericsson. Pour 2014, ce marché adressable devrait progresser de 4,2%. Entré dans l’ère post-« ST-Ericsson » (ne reste plus qu’à vendre les brevets), le fabricant de puces nourrit cette année de grandes ambitions pour chacune de ses six grandes familles de produits que nous allons passer en revue …

Globalement, ST estime avoir fait passer sa part de marché mondiale (hors ST-Ericsson) de 5% en 2012, à plus de 5,2% en 2013. Chacune de ses six grandes familles de produits a augmenté sa part de marché en 2013, à l’exclusion de la branche DCG (Digital Convergence Group) qui regroupe les circuits numériques pour les boîtiers décodeurs TV, les systèmes client-serveur et les passerelles résidentielles type box Internet. La plus forte croissance concerne les microcontrôleurs (d’usage général et les processeurs sécurisés) pour lesquels ST revendique le deuxième rang mondial en 2013, contre un quatrième rang mondial il y a encore quelques années.

L’an passé, aucun des dix premiers clients de ST n’a dépassé 10% du CA total. Une situation à comparer à celle d'il y a cinq ans où Nokia représentait 18% des ventes du premier fabricant européen de semiconducteurs. L’an passé, les 10 premiers clients de ST (hors ST-Ericsson), qui représentent 35% des ventes totales du groupe, ont été, par ordre alphabétique : Apple, Bosch, Cisco, Continental, HP, Nokia, Oberthur, Samsung, Seagate et Western Digital. STMicroelectronics compte également de plus en plus sur la distribution pour commercialiser ses produits (27% de ses ventes au quatrième trimestre). Arrrow Electronics, Avnet, ainsi que Wintech et Yosun en Asie, constituent ses quatre premiers distributeurs.

Grâce aux mesures prises pour accroître ses ventes (ST vise 2,25 milliards de dollars par trimestre contre 2,01 milliards au quatrième trimestre 2013), à l’amélioration de sa marge brute (meilleur mix-produits, optimisation de la production) et à la réduction de ses dépenses opérationnelles dans une fourchette de 600 M$ à 650 M$ par trimestre (656 M$ au quatrième trimestre), ST pense pouvoir réaliser une marge d’exploitation de l’ordre de 10% à la mi-2015. Pour atteindre cette marge, la branche EPS (Embedded Processing Solutions) devra atteindre une marge de 5% à la mi-2015. Au quatrième trimestre, la branche a enregistré une perte d’exploitation de 66 M$. Quant à la branche SP&A (Sense, Power & Automative), elle devra atteindre une marge opérationnelle de 10% à 15% à cette échéance (contre 7,7% au quatrième trimestre).

Branche EPS : Solutions de traitement embarqués (Embedded Processing Solutions) :

DGC (Digital Convergence Group) : 9% du CA en 2013 (-17,2% par rapport à 2012).
Cette division a perdu des parts de marché en 2013, en raison de la baisse de ses ventes de circuits d’entrée de gamme pour les décodeurs en Inde et en Chine. Grâce à la technologie FD-SOI (voir notre article, qui lui a permis de remporter 15 « design wins » au cours des derniers mois, ST prévoit de doubler le chiffre d’affaires de la division DGC d’ici fin 2015. Cela concerne notamment des circuits pour décodeurs câble et satellite et passerelles résidentielles ultra haute définition (2K,4K) qui vont entrer rapidement en production de masse. Même si le parc de téléviseurs UHD est quasi-inexistant (sauf en Chine), les opérateurs Internet intègrent dès aujourd’hui l'UHD dans leurs projets de boîtiers-décodeurs, car la durée de vie commerciale d’une box est de 6 à 8 ans. Ils équiperont donc rapidement leurs abonnés de telles passerelles résidentielles, sans attendre la conversion du parc de téléviseurs.

IBP (Imaging, BiCMOS Asic & Silicon Photonics) : 6% du CA en 2013 (+5,7% par rapport à 2012).
La division va notamment accélérer la diversification de son portefeuille de produits vers les marché de l’automobile, des appareils-photos numériques, du jeu et du médical. Elle développera en 2014 son portefeuille de capteurs de proximité, ainsi qu’une nouvelle génération de processeurs de signal d’imagerie.

MMS (Microcontrollers, Memory & Security) : 17% du CA en 2013 (+19,2% par rapport à 2012).
C’est la division produits qui a le plus progressé en 2013 et qui permet à ST de revendiquer le deuxième rang mondial pour les microcontrôleurs d’usage général et les éléments sécurisés. En particulier, les ventes de microcontrôleurs 32 bits STM32 ont bondi de plus de 60%, à 350 M$. Concernant les microcontrôleurs sécurisés ST33, les volumes ont été multipliés par cinq par rapport à 2012. Cette année, l’accent sera mis sur les microcontrôleurs ultra basse consommation, le M2M pour l’automobile et l’Internet des objets avec de nouveaux tags EEPROM NFC d’entrée de gamme.

Branche SP&A : composants de détection et de puissance (Sense & Power) et composants pour l’automobile (Automotive products) :

AMS (Analog, Mems & Sensors) : 16% du CA en 2013 (-1% par rapport à 2012).
La division va amplifier sa diversification de capteurs mems en dehors des marchés des accéléromètres et des gyroscopes pour les smartphones et les tablettes (microphones, capteurs de pression, capteurs d’environnement, mems pour l’automobile, le « wearable », etc.). Démarrage de la production de contrôleurs d’écrans tactiles et grande initiative pour le marché de masse de circuits analogiques d’usage général sont également au calendrier de 2014.

IPD (Industrial & Power Discrete) : 22% du CA en 2013 (+3,1% par rapport à 2012).
Les ventes de la division pour le marché de masse via la distribution ont progressé de plus de 10% en 2013. La hausse des ventes en 2014 devrait être tirée par l’amélioration de la conjoncture dans l’industriel et le résidentiel.

APG (Automotive Product Group) : 21% du CA en 2013 (+7,3% par rapport à 2012).
La division réalise 25% de ses ventes via la distribution. Les microcontrôleurs 32 bits pour l’automobile ont représenté plus de 100 M$ de revenus en 2013 et plus de 2,5 milliards de dollars de revenus à venir grâce aux « design wins » remportés. Cette année, ST compte doubler ses revenus et continuer à gagner des parts de marché en MCU 32 bits pour l’automobile. Le groupe va se focaliser sur les produits à forte marge (info-divertissement, sécurité active, positionnement).

Présentation de STMicroelectronics

ARTICLE EN ENTIER

Google, concepteur de puces, développe des robots pour les usines de Foxconn

Télécoms>Semiconducteurs>Production>Sous traitance>Etats Unis>Stratégie>Revue de presse>Rumeur
14/02/2014 15:09:09 :

On ne prête qu’aux riches. Sur son nom, Google attire toutes les rumeurs. Dernières en date, -et non des moindres-, Google aurait l’intention, -s’il ne l’a pas déjà fait-, de concevoir ses propres circuits intégrés, selon EETimes, tandis que le Wall Street Journal croit savoir, pour sa part, que le géant du net développe des robots pour remplacer les opérateurs dans les usines de Foxconn

Le remplacement des humains par des robots dans les unités d’assemblage du premier sous-traitant mondial en électronique n’est pas une information nouvelle. Foxconn avait annoncé lui-même, il y a maintenant quelques années, sa volonté d’y parvenir un jour. Les gigantesques besoins de capacités de production du premier sous-traitant mondial, la hausse du coût de la main-d’œuvre chinoise et les trop nombreux suicides des employés en réponse aux conditions de travail infernales imposées par Foxconn donnent du crédit à cet objectif. On prête également l’intention de Foxconn d’investir en Indonésie pour faire baisser ses coûts de main-d’œuvre. Ce que l’on savait moins, c’est l’implication de Google dans le développement de robots, via notamment le rachat de Boston Dynamics. L’article du Wall Street Journal comble cette lacune…

Que Google ait la velléité de concevoir ses propres circuits intégrés, à l’instar d’Apple pour ces processeurs d’iPhone et de tablettes, paraît encore plus vraisemblable. En décembre dernier, le cabinet d’études de marché Ovum avait déjà analysé l’intention prêtée à Google de développer ses propres processeurs pour serveurs, afin d’équiper ses centres de données. Indirectement, Google serait déjà le cinquième plus grand client d’Intel, au titre de ses besoins en processeurs pour centres de données. Son ambition serait de développer ses propres processeurs, vraisemblablement à base de cœur ARM. L’article d’EETimes appuie cette thèse, en listant notamment les offres d’emplois d’ingénieur de conception d’Asic proposées par le maître de la toile …

Saint-Valentin ou cœur d’IP ?

ARTICLE EN ENTIER

Circuits GaN : MACOM acquiert Nitronex

Semiconducteurs>Etats Unis>Fusions Acquisitions
14/02/2014 15:10:59 :

Spécialiste américain des composants et sous-ensembles pour applications RF et hyper, M/A-COM Technology Solutions vient d’annoncer le rachat de son compatriote Nitronex dans une transaction de 26 millions de dollars en numéraire. Après s’être acheté une compétence dans les technologies SiGe grâce au rachat de Mindspeed fin 2013, MACOM s’offre cette fois-ci une expertise sans les solutions RF à base de nitrure de gallium (GaN), domaine de compétence de Nitronex …

« La technologie GaN est depuis longtemps considérée comme le moteur de la prochaine génération de solutions RF et hyper. Avec l’acquisition de Nitronex, nous pensons que MACOM dispose désormais du plus large portefeuille de composants GaN », explique John Croteau, président et CEO de MACOM. Le fabricant renforce ainsi son portefeuille de technologies de GaN sur silicium et de GaN sur SiC pour répondre aux besoins de ses clients en communications large bande (réseau câblé TV, radio large bande, infrastructures sans fil, etc.).

MACOM conçoit et fabrique des dispositifs standard et personnalisés, des circuits intégrés, des composants, des modules et des sous-systèmes pour de nombreux marchés, y compris les satellites, les radars, les réseaux câblés et sans fil, la télévision par câble, l'automobile, et les dispositifs industriels, médicaux et portables. Le fabricant propose un portefeuille étendu de plus de 3000 produits, incluant des diodes, des circuits MMIC GaAs, des transistors au silicium et au nitrure de gallium. Ces produits couvrent des fréquences s'étendant de DC à 110 GHz.

Fin décembre, MACOM avait finalisé le rachat de son compatriote Mindspeed Technologies, un fabricant de semiconducteurs pour infrastructures de réseaux télécoms. Le montant de l’acquisition, qui apporte à M/A-COM une compétence dans les technologies SiGe atteint 272 millions de dollars. M/A-COM a clôturé son exercice annuel sur un chiffre d’affaires de 318,7 M$ contre 302,2 M$ lors de l’exercice précédent, avec un bénéfice net de 27,7 M$ contre une perte de 1 M$ lors de l’exercice 2012. L’Américain estime qu’avec Mindspeed devrait réaliser un chiffre d’affaires annuel de 451 M$.

ARTICLE EN ENTIER

Sequans inverse enfin la tendance

Télécoms>Semiconducteurs>France>Résultats financiers
14/02/2014 15:11:49 :

Le Parisien Sequans Communications, spécialisé dans les circuits intégrés 4G LTE et WiMAX, vient de publier un chiffre d’affaires annuel de 13,7 millions de dollars, en chute de 38% par rapport à 2012, année où son chiffre d’affaires s’était effondré de 76,3% par rapport aux 93,7 millions de dollars de 2011. Mais au quatrième trimestre, ses ventes ont représenté 5 M$, en hausse de 23% en trois mois et de 60% sur un an, grâce à l’essor des ventes de circuits LTE qui ont commencé à devenir significatives à la mi-2013 …

Jusqu’ici, Sequans devait gérer une transition qu’il devait trouver bien longue entre le WiMAX qui s’étiolait et le LTE qui tardait à se déployer. Pour le premier trimestre en cours, Sequans table sur un chiffre d’affaires compris entre 4,5 M$ et 5,5 M$, une performance honorable étant donné la saisonnalité des ventes.

Dans ce contexte de démarrage du LTE, les pertes de la start-up sont classiques : une perte nette de 35,6 M$ en 2013, contre une perte de 33 M$ en 2012.

Rappelons qu’en novembre dernier la banque publique d’investissement avait investi 8,6 millions de dollars dans Sequans Communications, cette nouvelle opération portant la participation de Bpifrance autour de 10% dans son capital.

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ÉDITION du 14/02/2014
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