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Le marché européen de la distribution de semiconducteurs a chuté de 9% au quatrième trimestre

Semiconducteurs>Distribution >France>Europe>Conjoncture>Etude de marché
16/02/2012 14:50:49 :
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br> Le marché européen de la distribution de semiconducteurs a représenté 1,35 milliard d’euros au quatrième trimestre, soit une chute de 9,3% par rapport au troisième trimestre 2011 et un recul de 9,1% par rapport au quatrième trimestre 2010, selon la DMASS, Distributors’ and Manufacturers’ Association of Semiconductor Specialists ; mais grâce à un bon premier semestre, les ventes sur l’ensemble de l’année 2011 on progressé de 7,6%, à 6,37 milliards d’euros, par rapport à 2010.

« Comme prévu, l’année 2011 a été malgré tout une année de croissance. 2011 a été très contrastée avec un premier semestre en hausse de 23%, suivi d’un deuxième semestre en chute de 7%. Même s’il est hasardeux de faire des prévisions actuellement, je ne serais pas surpris que 2012 nous réserve un scénario opposé : un mauvais premier semestre suivi d’un deuxième semestre plus fort», commente Georg Steinberger, président de la DMASS.

Par pays, seuls l’Europe de l’Est et les pays nordiques ont poursuivi leur progression au quatrième trimestre par rapport au quatrième trimestre 2010 : respectivement +3%, à 209 millions d’euros et +4,8%, à 142 M€. Le marché allemand de la distribution de semiconducteurs affiche, pour sa part, une chute de 12,7%, à 434 M€. Le marché français de la distribution de semiconducteurs recule, de son côté, de 14,5%, à 96 millions d’euros. L’Italie enregistre une chute de 17,7%, à 118 M€, le Royaume-Uni et l’Irlande une baisse de 7,5%, à 117 M€. Pour les autres pays, la palme de la baisse incombe à l’Autriche, avec un effondrement de 25%. Les pays Baltes bénéficiant des délocalisations de production de la Scandinavie, la DMASS intégrera dorénavant leurs statistiques de marché dans les pays nordiques.

Côté produits, les ventes trimestrielles de circuits analogiques et de composants micro MOS (microcontrôleurs, microprocesseurs, DSP), -les deux principales familles de produits du marché européen de la distribution de semiconducteurs-, ont reculé respectivement de 14,2% (à 359 M€) et de 13,2% (à 279 M€) par rapport au quatrième trimestre 2010. Le marché des circuits de puissance a chuté de 10,1%, à 137 M€ ; celui des circuits optoélectroniques de 9,9%, à 114 M€ et celui des circuits logiques programmables de 7,9%, à 125 millions d’euros. Les ventes de mémoires ont reculé de 5,8%, à 119 M€ ; à l’autre extrémité, les ventes trimestrielles de circuits logiques standards ont fait un bond de 21,8%, à 24 M€.


Fondée en 1989, la DMASS compte à ce jour 36 membres actifs (dont, pour les distributeurs, Anglia, Arrow, Avnet et ses filiales, dont Silica, Avnet Memec, Avnet SCS, EBV Elektronik, Future Electronics, MSC Gleichmann et Rutronik) et représente, suivant les pays, entre 80% et 85% du marché européen de la distribution. L’organisation professionnelle, - rappelons-le-, ne prend en compte que les semiconducteurs hors composants pour PC.

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Samsung songe sérieusement à externaliser son activité écrans LCD

Afficheurs>Corée>Stratégie
16/02/2012 14:51:40 :

Le Coréen Samsung a confirmé officiellement mercredi qu’il réfléchissait à l’externalisation de son activité LCD ; bien qu’aucune décision n’ait été prise à l’heure actuelle, Samsung annonce qu’il informera des suites de cette réflexion d’ici trois mois au plus tard ou dès qu’une décision aura été prise.

En 2011, l’activité LCD de Samsung a représenté un chiffre d’affaires de 22 700 milliards de wons (20,18 milliards de dollars), en baisse de 11% par rapport à 2010. L’activité LCD appartient à la division afficheurs du Coréen, qui a représenté un chiffre d’affaires de 29 240 milliards de wons en 2011, en baisse de 2%, pour une perte d’exploitation de 750 milliards de wons, contre un bénéfice de 1990 milliards en 2010. Rappelons que l’an passé, Samsung a également repris la participation de 50% de Sony dans leur société commune de production d’écrans LCD S-LCD, dans une transaction évaluée à 1080 milliards de wons (720 millions d’euros).

Cette possible externalisation est perçue par certains analystes comme la volonté de Samsung de se focaliser sur les écrans Oled, qui représentent l’avenir dans l’affichage. Mais l’on voit mal comment se débarrasser d’une activité de plus de 20 milliards de dollars, alors que les Oled n’en sont encore qu’à leur balbutiement. D’autres estiment qu’en externalisant l’activité, « Samsung LCD » éviterait ainsi que sa maison-mère se retrouve en concurrence frontale avec ses clients. Une troisième piste serait de préparer un rapprochement avec un autre acteur des LCD pour réaliser des économies d’échelle. Mais l’activité est déjà suffisamment imposante et selon NPD DisplaySearch, le cycle pourrait redevenir favorable aux fabricants de LCD dès l’an prochain (voir notre article de la veille).

Quoi qu’il en soir, tous les grands fabricants d’écrans de LCD perdent actuellement de l’argent. Pour le quatrième trimestre 2011, LG Display, éternel rival de Samsung, affiche, par exemple, une perte nette trimestrielle de 6 milliards de wons (5,3 M$), contre une perte de 688 milliards trois mois plus tôt et de 268 milliards au quatrième trimestre 2010. LG Display a publié un chiffre d’affaires trimestriel de 6610 milliards de wons (5,9 milliards de dollars), en hausse de 5% en trois mois et de 2% sur un an. Sur l’ensemble de 2011, le chiffre d’affaires de LG Display a été à peu près stable, à 24 291 milliards de wons (21,6 milliards de dollars).

Un équilibre fragile entre l’offre et la demande pénalise actuellement les fabricants de LCD

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49 unités de production de semiconducteurs ont fermé entre 2009 et 2011

Semiconducteurs>Monde>Etude de marché
16/02/2012 14:52:46 :

Selon IC Insights, 49 unités de production de semiconducteurs ont été fermées entre 2009 et 2011 ; il s’agit généralement d’unités d’ancienne génération sur des tranches de petit diamètre : 43% des fermetures concernent en effet des unités de production sur tranches de 150 mm de diamètre.

Ce phénomène de fermeture d’usines devenues quasiment obsolètes devrait s’amplifier au cours des prochaines années, de plus en plus de fournisseurs de semiconducteurs adoptant une stratégie « fab-lite », sinon entièrement « fabless ».

Outre les 21 usines sur tranches de 150 mm fermées entre 2009 et 2011, IC Insights recense également 13 fabs 200 mm, 7 fabs 125 mm, 5 fabs 300 mm et 3 fabs 100 mm. Le fabricant de Drams Qimonda ayant cessé ses activités début 2009, pour la première fois des unités de production sur tranches de 300 mm de diamètre ont ainsi arrêté leur activité. Pour l’usine 300mm de Sony au Japon, la démarche est différente puisqu’elle va être reconditionnée pour produire des capteurs d’images.

Sur les 49 unités de production fermées sur la période, 17 l’ont été au Japon, 17 également en Amérique du Nord, 12 en Europe et 3 en Corée.


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L'Union européenne va doubler ses investissements dans le calcul à haute performance

Informatique>Europe>Politique
16/02/2012 14:53:32 :

La Commission européenne propose un plan visant à inverser la tendance au déclin relatif du calcul à haute performance (CHP) pour ce qui est de son utilisation et des capacités disponibles dans l'Union européenne ; en application de ce plan, l'Union va doubler ses investissements dans le CHP (de 630 millions d'euros à 1,2 milliard d'euros) et compte héberger des ordinateurs capables d'effectuer 1 000 000 000 000 000 000 opérations par seconde («échelle exa») d'ici à 2020.

La moitié des investissements serait destinée au développement et à la formation ainsi qu'à de nouveaux centres d'excellence, ce qui permettra de créer des milliers d'emplois.

Le calcul à haute performance (CHP) est vital pour les secteurs d'activité qui ont besoin de précision et de vitesse, comme les industries automobile et aéronautique ou le secteur de la santé. « Disposer de simulations rapides, effectuées par des supercalculateurs en progression constante, peut faire pencher la balance entre la vie et la mort, entre la prospérité et la faillite », s’enthousiasme la Commission. Par exemple, des hôpitaux allemands ont recours au CHP pour éviter de prendre à la dernière minute des décisions en cours d'accouchement et il est possible de diagnostiquer des maladies à un stade beaucoup plus précoce grâce aux images en 3D du cerveau fournies par le CHP. Celui-ci a également permis aux constructeurs automobiles de développer de nouveaux véhicules en 2 ans au lieu de 5, faisant ainsi économiser près de 40 milliards d'euros à l'industrie automobile européenne. Enfin, 97% des entreprises industrielles qui recourent au CHP considèrent que celui-ci est indispensable à leur capacité d'innovation, leur compétitivité et leur survie.

Un supercalculateur peut coûter plus de 100 millions d'euros à fabriquer et 20 millions d'euros en maintenance annuelle. Les supercalculateurs les plus puissants d'Europe sont le système CURIE (n° 9 dans le Top 500 des supercalculateurs) en France et le système HERMES (n° 13 dans le Top 500) en Allemagne.

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