L'essentiel Mercredi 07 Mars @ VIPress.netSEMI se diversifie dans l’électronique imprimée
SEMI, l’organisation professionnelle des fournisseurs d’équipements et de matériaux pour la fabrication des semiconducteurs, des écrans plats et du photovoltaïque, poursuit sa diversification sur les créneaux porteurs d’avenir, en rachetant la manifestation « Plastics Electronics Conference and Exhibition » dédiée à l’électronique imprimée ou OLAE (Organic and inorganic Large Aera Electronics) ; un thème porteur : en France, Lagoa vous donne rendez-vous à Paris le 21 mars prochain pour les Deuxièmes rencontres de l’électronique imprimée.
D’après la Bank of America, Merrill Lynch et d’autres instituts de recherche, l’électronique imprimée offre un potentiel de marché de plus de 50 milliards de dollars d’ici 2020. Les technologies multiples de l’électronique imprimée constituent des réponses aux nombreux défis de notre société dans des domaines variés tels que les énergies renouvelables, la protection de l’environnement, l’information, le divertissement, la communication, l’e-mobilité ou la santé. L’OLAE couvre cinq secteurs applicatifs majeurs — l’éclairage OLED, la photovoltaïque organique et inorganique, les écrans OLED, l’électronique organique et les systèmes intelligents intégrés.
La Plastics Electronics Conference accompagne le salon Semicon Europa depuis 2010. La 8 édition de l’Electronic Conference and Exhibition sera conjointement organisée avec le SEMICON Europa à Dresde (du 9 au 11 octobre 2012) et se développera dans d’autres régions à l’avenir. L’organisation professionnelle annonce parallèlement la naissance du « Plastic Electronics Special Interest Group » pour la promotion de la commercialisation des produits électroniques organiques.
En France, se tiendront à Paris le 21 mars les [L]http://www.rencontreselectroniqueimprimee.com/|Deuxièmes rencontres de l’électronique imprimée[/L] ; cette manifestation, organisée par Lagoa, a vocation à apporter, en une seule journée, toutes les informations stratégiques et prospectives de la chaîne de l’électronique imprimée, un secteur à la croissance exponentielle qui constitue une opportunité à saisir pour l’industrie française. VIPress.net et ses autres publications ([L]http://www.lechodusolaire.fr/index.html|l’Echo du Solaire[/L], [L]http://www.europelectronics.net/index.html|Europelectronics[/L]) sont partenaires de la première heure de cette manifestation dont vous pouvez consulter le [L]http://www.rencontreselectroniqueimprimee.com/programme-des-rencontres-electroniques-imprimees_12.htm|programme ici[/L].
Le FSI et ses fonds associés ont investi 2,5 milliards d'euros dans 850 entreprises en 2011
Société anonyme détenue à 51% par la Caisse des Dépôts et Consignations et 49% par l’Etat français, le FSI, Fonds Stratégique d’Investissement, a procédé en 2011 à 38 investissements directs dans des entreprises pour un montant total engagé de 1,3 milliard d’euros ; ces prises de participation ont concerné tant des PME de croissance que des ETI et des grands groupes.
L’investissement réalisé par les fonds public-privés créés par le FSI, (FMEA pour l’automobile, notamment) a concerné 61 entreprises pour un montant de 215 millions d’euros. Les engagements des fonds partenaires FSI France Investissement ont concerné, pour leur part, environ 750 entreprises pour un montant de 1 milliard d’euros.
Ainsi, en 2011, le FSI, les fonds qu’il a créés et les fonds qu’il contribue à financer ont investi 2,5 milliards d’euros dans environ 850 entreprises.
Malgré la crise financières, le bénéfice consolidé du FSI pour 2011 s'élève à 629 M€, soit un niveau proche de celui de l’année 2010 où il s’établissait à 646 M€. Compte tenu de la conjoncture économique du second semestre, le FSI a dû déprécier son portefeuille de titres pour -229 M€, dépréciation toutefois compensée par les plus-values de cession de titres réalisées essentiellement au premier semestre pour un montant de 222 M€.
Le FSI a avancé en 2011 sur trois chantiers prioritaires :
- La politique de filières, avec la finalisation de 18 études filières et la mise en place de rencontres systématiques des entreprises identifiées comme clefs dans leur secteur.
- Les PME en régions avec le lancement de FSI Régions, décentralisation de tous les investissements du FSI inférieurs à 4 M€ et la reconduction pour une durée de 8 ans du programme FSI France Investissement 2020.
- L’investissement socialement responsable avec la définition d’objectifs d’amélioration pour chaque participation du FSI et une attention particulière portée à l’emploi.
Depuis début 2009, le FSI, les fonds qu’il a créés et les fonds qu’il contribue à financer ont investi 7,1 milliards d’euros dans plus de 1 800 entreprises, dont 3,7 milliards investis en direct dans 64 entreprises , 700 M€ investis par les fonds qu’il a créés dans 124 entreprises et, enfin, ,2,7 milliards investis dans plus de 1 600 entreprises par les fonds qu’il finance dans le cadre de FSI France Investissement.
Seulement 200 000 abonnements en fibre optique jusqu’à l’abonné en France
Au 31 décembre 2011, le nombre d'abonnements Internet à haut et très haut débit sur réseaux fixes a atteint 22,8 millions en France, soit une croissance nette de 380 000 abonnements en un trimestre et une progression de 7% sur un an, selon le bilan annuel de l’Arcep.
22,1 millions de ces abonnements sont des abonnements haut débit (+310 000 en un trimestre). Parmi eux, les abonnements xDSL (21 millions à la fin 2011) ont augmenté de 290 000 en un trimestre. Le nombre des autres abonnements haut débit, tels que les abonnements par le câble, les abonnements en Wi-Fi, par le satellite ou la boucle locale radio (BLR), croît de 20 000 sur le trimestre et s'élève à 1,1 million à la fin 2011.
Le nombre d'abonnements très haut débit atteint 665 000 à la fin de l'année 2011 (+70 000 environ sur le trimestre) dont 200 000 abonnements très haut débit en fibre optique jusqu'aux abonnés ou jusqu'aux immeubles (leur nombre a augmenté d'un peu plus de 25 000 au cours du trimestre et de 70% sur un an), poursuit l’autorité de régulation des télécoms. En outre, 465 000 autres abonnements très haut débit, dont les accès en fibre optique avec terminaison en câble coaxial ; leur nombre s'accroît de 40 000 sur le trimestre et de 35% sur un an.
Vers une hausse de 7% du marché mondial des semiconducteurs en 2012 ?
IC Insights prévoit une hausse de 3,4% de la croissance économique mondiale en 2012 et une progression de 7% du marché mondial des semiconducteurs ; le cabinet d’études américain rappelle que la tenue des élections présidentielles aux Etats-Unis a toujours coïncidé avec un excellant crû pour la consommation mondiale de circuits intégrés…sauf en 1996 et 2008.
Pour autant, l’économie américaine devrait perdre de la vigueur en 2013 après l’élection, avant de se reprendre en 2014. IC Insights anticipe donc une période de « basses eaux » pour l’industrie du semiconducteur en 2013.
Thales a dégagé un bénéfice net de 566 M€ en 2011
Thales est sorti du rouge, affichant en 2001 un bénéfice net, part du groupe, de 566 M€, contre une perte de 45 M€ en 2010 ; un exercice marqué par la stabilité du chiffre d’affaires à 13,03 milliards d’euros et des prises de commandes (+1%, en croissance organique, à 13,21 milliards d’euros).
Malgré une dégradation de l'environnement économique plus marquée qu'escompté, notamment en défense, nos prises de commandes progressent et nos revenus résistent bien. Le redressement marqué de nos résultats est désormais engagé, grâce à une meilleure exécution de nos contrats, à la dynamique du plan de performance Probasis et à notre présence renforcée sur les zones en croissance. Forts de ces bonnes performances, qui confirment la pertinence de notre stratégie, nous sommes confiants dans notre capacité à poursuivre l'amélioration de nos résultats en dépit des fortes incertitudes économiques en Europe », a déclaré Luc Vigneron, p-dg du groupe.
La situation budgétaire des principaux clients du groupe conduit Thales à s'attendre en 2012 à une baisse des commandes militaires (hors éventuel contrat export exceptionnel), qui ne devrait être que partiellement compensée par la progression des commandes civiles, notamment dans l'aéronautique et le transport terrestre. Dans ces conditions, le groupe retient pour cette année l'hypothèse d'un ratio de book-to-bill légèrement inférieur à 1, en raison également de revenus qui devraient s'inscrire en hausse avec l'écoulement du carnet de commandes.
Sur la base du redressement des résultats enregistré en 2011 et de la poursuite du bon déploiement du plan de performance Probasis, le groupe confirme se fixer un objectif d'une marge opérationnelle courante de 6% en 2012.
Grâce à une présence internationale forte et à une exposition sur des marchés civils porteurs (transport terrestre, sécurité, aéronautique, espace) en complément de la défense, Thales s’estime bien positionné pour capter la croissance en misant sur l’innovation, les technologies duales et les briques technologiques de base.
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