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Safran crée un nouveau site de R&T à Paris-Saclay …

Défense>Aéronautique>France>Investissements>R&D
22-01-2014 14:50:38 :

Le groupe Safran annonce la création d’un centre dédié à la recherche et technologie et à l’innovation situé dans les Yvelines pour permettre une symbiose accrue avec le plateau de Saclay, premier pôle scientifique et technologique de France. Dès la fin de l’année, il regroupera les équipes Innovation et R&T centrales de Safran, au service du développement de nouvelles technologies destinées à l’ensemble des activités du groupe …
 
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Le nouvel établissement accueillera à terme 1500 personnes dont 300 scientifiques et technologues, ainsi que des ingénieurs et techniciens d’autres entités du groupe aujourd’hui installées en région parisienne (notamment Safran Engineering Services et Aircelle). Le centre a vocation, à terme, à héberger des organismes de recherche extérieurs travaillant sur des thématiques complémentaires à celles de l’industriel, constituant ainsi un ensemble scientifique de premier plan.

Le nouveau centre de R&T doit permettre à Safran d’accélérer ses percées technologiques dans les domaines des systèmes avancés aéronautiques, le numérique, et les matériaux et procédés et capteurs.

« En créant ce nouveau centre, Safran donne une nouvelle dimension à sa R&T en favorisant les synergies technologiques entre les différentes sociétés du groupe, et en accroissant de 25% son investissement dans les disciplines clefs pour ses activités d’aéronautique, de défense et de sécurité », a déclaré Jean-Paul Herteman, p-dg de Safran.

Safran consacre 12% de son chiffre d’affaires à la R&D (1,6 milliard d’euros en 2012) dont le tiers pour la R&T. Le groupe est classé troisième déposant de brevets en 2013 en France (750 brevets/ an en moyenne).

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Redressement judiciaire pour AEG Power Solutions à Lannion

Industriel>France>Restructurations
16-01-2014 09:34:52 :

Le tribunal de commerce de Saint-Brieuc, qui avait en rejeté la demande de la maison-mère d’AEG Power Solutions de placer son entité de Lannion en liquidation judiciaire, a finalement décidé sa mise en redressement judiciaire avec période d’observation de six mois. Un sursis pour les 70 salariés du site …

Spécialisé dans les produits de conversion et de régulation de puissance pour les secteurs de l’énergie, des télécommunications, de l’éclairage, des transports et de l’industrie en général, AEG Power Solutions estime qu’il n’a plus les moyens de renflouer les pertes de l’ex-Alcatel Converters : l’entité de Lannion aura accumulé 27 millions de pertes (EBITDA) au cours des cinq dernières années, dont 11,1 millions au cours des seules deux dernières années. Le site nécessiterait un besoin de financement de 6 millions d’euros pour le premier semestre 2014 que le groupe ne veut pas consentir.

Affecté par son exposition au marché du photovoltaïque, AEG Power Solutions, qui a changé récemment de direction, déclare que son exercice 2013 devrait être déficitaire avec un chiffre d’affaires en chute de 25% par rapport à 2012, année où ses ventes avaient déjà reculé de 11%.

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La TNT de 2020 saura-t-elle s’adapter aux nouveaux usages ?

Filière électronique>Télécoms>Grand public>France>Stratégie
16-01-2014 06:46:55 :

La télévision numérique terrestre est de moins en moins utilisée, au profit de la TV sur ADSL et de la TV sur tablette ou sur smartphone. Elle peut par ailleurs se faire économe en fréquences grâce aux progrès de la technologie. Du coup, les Pouvoirs Publics sont très tentés de revendre- à prix d'or- aux opérateurs téléphoniques certaines fréquences qui lui sont réservées. Mais ces opérateurs souhaiteront probablement utiliser ces fréquences entre autres pour mieux diffuser des programmes de télévision sur mobiles en 4 ou 5G et offrir ainsi ce que notre TNT ne sait toujours pas faire, à savoir arriver partout sur des antennes intégrées aux récepteurs, y compris à l’intérieur des bâtiments. Ce qui reviendrait, à terme, à faire payer la réception du « bouquet national » aux consommateurs au travers d'abonnements. Il serait beaucoup plus logique, du moins du point de vue des consommateurs, que la TNT s'adapte elle-même à la réception sur mobiles, en particulier sur les tablettes. D'autant que les propriétés de ses fréquences et l'évolution actuelle des possibilités technologiques constituent une véritable opportunité. Qualité et mobilité, arguments choc de la TNT ? Peut-être une question de survie, à terme. Par Jean-Pierre Della Mussia

La seule question que devraient se poser actuellement les acteurs de la TNT pour défendre leur patrimoine est la suivante : « pouvons-nous faire évoluer ses possibilités techniques pour mieux répondre aux besoins des consommateurs et maintenir sa vocation de gratuité auprès d’un très grand public ? » La réponse est positive mais la tâche n’est malheureusement pas simple.

Répondre aux besoins croissants des téléspectateurs en mobilité : le grand enjeu
Aux États-Unis, 30% des téléspectateurs regardent déjà leurs programmes de télévision sur un appareil portable- tablette (en Wifi) ou smartphone (en 3G). L'Europe a pris du retard, mais l'évolution des usages, ici aussi, est inéluctable : les jeunes en particulier poussent à la roue et veulent leur indépendance télévisuelle.



Or la TNT arrive essentiellement aujourd'hui sur des antennes de toit, et pénètre très mal à l'intérieur des bâtiments (sauf près des émetteurs) du fait de la façon d’exploiter nos normes et de la configuration du réseau des émetteurs. Ces choix historiques s'expliquent, mais il faudrait aujourd'hui, sans remettre en cause l'existant, avoir le courage de ne pas les sanctuariser. À défaut, la TNT risque de ne plus être utilisée à terme que pour 30 % des réceptions télévisuelles; le nombre de chaînes diffusées gratuitement par ce moyen risquerait en outre de se réduire puisqu'il faut un minimum de téléspectateurs (quelques dizaines de milliers simultanément dans le cas d’une chaîne à petit budget) pour amortir les coûts d’exploitation de la diffusion d’un programme.

La solution consiste, schématiquement, à utiliser les progrès de la technique en compression et en transmission non pas seulement pour améliorer encore la qualité des images ou pour faire des économies, mais avant tout pour rendre les diffusions plus robustes, capables de passer à travers les murs sans détérioration inadmissible des signaux (les fréquences utilisées le permettent). Ce qui implique des changements de normes. Par chance est née il y a quelques années la norme de transmission dite DVB-T2 qui, en fait, est plus qu'une norme : c'est une boîte à outils de normes de base qui permet de démultiplier les performances des transmissions dans le sens que l'on veut : par exemple envoyer des signaux HD avec la plus faible puissance possible, ou des signaux capables de traverser les murs sans dégradation. Le tout avec un gain d'efficacité globale d’au moins 40 % par rapport à la norme DVB-T actuelle (ce gain s'ajoute à celui des nouvelles normes non pas de transmission mais de compression d’images). D'où la possibilité de faire arriver les signaux sur des antennes intégrées aux récepteurs, par exemple dans de futures tablettes capables de recevoir la TNT (Archos l'a déjà fait).

La combinaison des nouvelles normes devrait permettre à une émission d’être reçue en définition maximale dans les cas normaux, mais aussi en définition réduite pour les cas difficiles. Une adaptation automatique de la définition de l'image pourrait se faire en fonction de la tablette pour les cas intermédiaires. Tout ceci signifie aussi malheureusement au moins une transition matérielle chez les téléspectateurs (avec un boîtier décodeur transitoire- ou une clé HDMI-, comme lors du passage de la télévision analogique à la télévision numérique). Donc un très gros effort de gestion de la part des acteurs de la TNT, d'autant que les fréquences libres sont moins nombreuses qu'autrefois et qu'il serait peut-être utile de partager certaines fréquences VHF (et non plus UHF) avec la future radio numérique.

Malgré tout, avec cette technique, la TNT mobile ne pourrait pénétrer correctement à l'intérieur des habitations que dans 70 % des cas environ si, pour une question de coût, l’emplacement des émetteurs n'est pas modifié (peut- être plus, en fonction des compromis adoptés). Cela rappellerait la réception de la FM d’aujourd'hui à l’intérieur des bâtiments, mais avec une haute qualité d’image et une antenne de réception non « pendante ». Nous proposons pour les autres téléspectateurs, condamnés à utiliser leur antenne de toit (avec un signal beaucoup plus robuste il est vrai) d'adopter un boîtier TNT qui se brancherait sur la prise de réception principale de l'antenne, et qui rediffuserait, dans toute la maison, par exemple jusqu’à quatre signaux « Wifi audiovisuels » (correspondant à quatre programmes différents sélectionnés par télécommandes). Ces signaux seraient semblables aux signaux Wifi que l'on connaît, mais avec une qualité de service (pas de microcoupure) et une bande passante la plus adaptée possible à l'audiovisuel. La mobilité Wifi serait ainsi assurée au moins à l’intérieur des habitations. Ce boîtier pourrait d’ailleurs être relié en Wifi normal à la boxe Internet du foyer, pour conférer une éventuelle interactivité à la télévision: ce serait donc aussi un périphérique informatique comme un autre, piloté par télécommandes pour la voie retour(1). (Nous n’aborderons pas ici les retombées normalement positives de la création de ces matériels sur l’industrie française).

Un nouvel usage : la portabilité
Notons au passage que cette TNT mobile ou ce Wifi audiovisuel permettrait un nouvel usage, appelé portabilité et non mobilité : il deviendrait en effet possible d'installer des récepteurs TV là où il n’y a pas de prise TV, comme dans une salle de bain par exemple. Cette réception pourrait se faire, tant qu'il n'existera pas de téléviseurs adaptés, par l’intermédiaire d'une prise HDMI contenant soit un tuner pour réception directe en mobilité, soit une interface Wifi audiovisuelle (associée à une télécommande pour le choix des chaînes).

Aucune fréquence à proposer aux télécoms à court terme
Le réseau d'émetteurs actuels est-il adapté à une TNT mobile, éventuellement appelée à remplacer complètement la TNT MPEG2/ MPEG4 d'ici cinq à sept ans ? Assez peu, malheureusement, car les émetteurs sont souvent placés loin des villes (en fait, au point le plus haut de chaque région). Mais, pour une question de coût, il faudrait faire avec, du moins à moyen terme. Ce qui est possible, quitte à augmenter légèrement la puissance des émetteurs (cette puissance avait été considérablement abaissée lors du passage de l'analogique au numérique. Il se trouve qu’une augmentation de puissance est possible, dans de très nombreux cas, sans aucun investissement) (2).

Si la mise en place d’une TNT mobile devait être envisagée, il serait trop tôt pour proposer des fréquences de la TNT aux opérateurs des télécoms : trop de compromis conduisant à une couverture « acceptable » du territoire en TNT mobile seraient encore à définir. Soulignons que cette TNT mobile n'a rien à voir avec le projet de l'ancienne télévision mobile (connue sous le nom de sa norme de transmission, DVB-H) qui devait conduire à un nouveau réseau d'émetteurs, indépendant de celui de la TNT. Ce projet avait à l’époque été refusé par les chaînes de télévision car il représentait un investissement trop élevé pour justifier les retombées attendues. (Ici, nous ne proposons pas de nouveau réseau mais un changement de modulation sur le réseau actuel.)

Pourquoi le sujet de la TNT mobile est-il tabou ?
Les actuels acteurs de la TNT sont silencieux sur le sujet de la mobilité et il n’est pas facile de savoir pourquoi. Observons simplement que deux groupes d’opérateurs sont ici face à face, celui de la télévision, peu riche, qui a d’autres soucis, et qui n’est donc pas spécialement demandeur d’un nouveau média (mais si quelque chose de quasi gratuit pour lui et qui augmente ou fidélise son audience se présente, il suivra, bien entendu); d’autre part celui des télécoms, plus de dix fois plus riche, qui cherche par contre à proposer de nouveaux services pour justifier d’éventuelles futures augmentations de prix d’abonnements. Entre les deux, le CSA semble muet sur le sujet et n’a probablement guère envie de gérer un projet « mobilité » fatalement complexe. Le gouvernement, lui, est focalisé sur les recettes générées par la revente de fréquences et n’est probablement pas conscient que l’avenir de la TNT est en jeu, la gratuité des programmes avec.

JP Della Mussia
Si vous souhaitez réagir à cet article, vous pouvez contacter Jean-Pierre Della Mussia à l’adresse suivante : jpdmjp@yahoo.fr

(1) Deux autres options sont possibles : brancher sur la prise antenne un micro réémetteur (puissance de l’ordre de 10 mW) retransmettant toutes les chaînes sur les mêmes fréquences que celles d’origine. La solution est très simple pour les utilisateurs mais heurte les règles habituelles (ces fréquences sont en principe interdites d’émission aux produits grands publics).
Il serait aussi possible que la boxe d’antenne utilise un réseau Wifi normal. Mais quitte à saturer des bandes avec des signaux TV émis en continu, pourquoi ne pas le faire sous une norme Wifi audiovisuelle taillée sur mesure, entre autre optimisée au niveau bande passante ? Seul vrai obstacle de court terme: les tablettes devraient devenir compatibles avec une réception Wifi audiovisuelle. Mais gageons que ces tablettes arriveraient sur le marché avant les signaux à exploiter…

(2) Les réseaux télécoms ont, eux, un maillage beaucoup plus serré que celui de la TNT, donc mieux adapté à la mobilité. Mais leurs normes de transmission de données sont nettement moins efficaces pour l’audiovisuel que le DVB-T2 et leurs fréquences ne se prêtent qu’à des portées limitées. Ce qui se traduit par des coûts de transmission élevés…qui ne peut que se refléter dans des prix d’abonnements. Directement ou indirectement.

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Thales Alenia Space reçoit un contrat d’Astrium pour Ariane 5 ME

Aéronautique>Europe>Contrats
15-01-2014 19:50:34 :

Thales Alenia Space Belgium vient de signer avec Astrium, maître d’œuvre du lanceur Ariane 5 ME (Midlife Evolution) pour le compte de l’Agence Spatiale Européenne (ESA), le contrat de développement de l’électronique de pilotage du système d’orientation de la tuyère du moteur Vinci. Ariane 5 ME, dont le premier vol est attendu pour mi-2018, est une version plus performante du lanceur européen Ariane 5 …

La principale évolution est le nouvel étage supérieur cryotechnique (ESC), plus puissant, qui sera propulsé par le nouveau moteur Vinci, développé sous la responsabilité de Snecma. Ce moteur offrira la particularité d’effectuer des allumages multiples optimisant la mise en orbite des satellites ou engins spatiaux.

En plus du développement de l’ECPU (Electronic Control Power Unit), Thales Alenia Space Belgium travaille sur le développement d’une nouvelle version du BDP (Boîtier de Distribution de Puissance) alimentant en électricité tous les équipements à bord du lanceur.
Avec ces deux nouveaux produits, Thales Alenia Space Belgium fournira 21 équipements pour chaque Ariane 5 ME.

Ce nouveau contrat confirme la confiance accordée par Astrium envers Thales Alenia Space Belgium, partenaire depuis plus de 40 ans. Thales Alenia Space Belgium fournit des équipements pour la famille des lanceurs Ariane (de 1 à 5) depuis le début des années 1970.
Thales Alenia Space Belgium est le plus important constructeur belge d’électronique spatiale et le leader mondial en alimentations électriques pour satellites. Près de 180 satellites ont déjà été mis en orbite avec des équipements de la société à leur bord. La société produit également la majorité de l’électronique fonctionnelle du lanceur Ariane 5 ainsi que la chaîne de sauvegarde pour Soyouz. Près de 600 personnes travaillent sur son site de Mont-sur-Marchienne (Charleroi).

Leader européen des systèmes satellitaires et acteur majeur des infrastructures orbitales, Thales Alenia Space est une joint-venture entre Thales (67 %) et Finmeccanica (33 %).Thales Alenia Space a réalisé un chiffre d’affaires de 2,1 milliards d’euros en 2012 et emploie 7500 personnes en France, Italie, Espagne, Allemagne, Belgique et Etats-Unis.

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Google parie 3,2 milliards de dollars sur une start-up de thermostats connectés

Télécoms>Industriel>Etats Unis>Fusions Acquisitions
15-01-2014 15:22:53 :

Google ne lésine pas sur les moyens sur s’imposer comme un futur acteur majeur de la maison connectée. En témoigne, le montant de 3,2 milliards de dollars déboursé pour le rachat de la start-up américaine Nest Labs, spécialisée dans les thermostats et les détecteurs de fumée connectés …

Certes, le fondateur de la start-up aurait été l’un des concepteurs de l’iPod d’Apple. Mais tout de même : Nest Labs, qui ne publie pas de chiffre d’affaires, n’a commercialisé son premier thermostat connecté intelligent qu’en octobre 2011, et son détecteur anti-incendie qu’en octobre 2013.

« Grâce à Google, Nest Labs sera encore mieux positionné pour concevoir des produits simples, intelligents, qui rendent la vie plus facile à la maison et qui ont un impact sur le monde », a déclaré Tony Fadell, fondateur de Nest Labs, qui continuera de diriger la société.
Une menace pour la confidentialité des données de l’usager ?

A l’automne dernier, lors d’un séminaire organisé par Freescale Semiconductor sur l’Internet des Objets, les intervenants, et Schneider Electric en particulier, assuraient que le suivi fin de la consommation électrique d’un foyer permettait de déterminer avec précision l’activité de l’usager à l’intérieur de son domicile (voir notre article). Nul doute qu’avec ce type d’acquisitions, Google saura bientôt tout de nos vies. A moins que de ce côté-ci de l’Atlantique (les produits de Nest Labs ne sont pas commercialisés chez nous), le législateur se décide à cloisonner fournisseurs d’objets connectés et opérateurs indépendants de places de marché de données partagées et ouvertes pour l’IoT. Ces prestataires garantiraient alors l’intégrité de l’information et la sécurité et la confidentialité des données. Les débats ne font que commencer.

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Alcatel-Lucent réduit à 700 postes ses suppressions d’emplois en France

Télécoms>France>Accords>Restructurations
15-01-2014 15:21:32 :

Dans un entretien au quotidien Le Monde, Michel Combes, directeur général d’Alcatel-Lucent, annonce que le nombre de suppressions d’emplois en France ne sera plus de 900 postes, mais de moins de 700 emplois. Un partenariat industriel a notamment été trouvé avec Altran, qui reprend 170 ingénieurs, experts en 4G du site d’Orvault (483 personnes) …

La mobilisation des pouvoirs publics a donné des résultats concrets, souligne Michel Combes, qui fait référence au patriotisme économique réclamé par Arnaud Montebourg auprès des opérateurs et qui a conduit à divers contrats (Orange, SFR) pour l’équipementier franco-américain. D’autres contrats pourraient d’ailleurs être annoncés, laisse entendre le dirigeant.

Mais l’accord qui permet de réduire le nombre de suppression de postes concerne principalement le groupe de conseil en innovation Altran. Les groupes Altran et Alcatel-Lucent annoncent en effet officiellement un projet de partenariat industriel, en vue de créer un centre d’expertise et de services télécom sur le bassin d’emplois nantais. Dans le cadre de cet accord, ce sont environ 170 ingénieurs, experts en 4G du site d’Orvault d’Alcatel-Lucent qui seraient intégrés aux équipes de l’industrie télécoms et médias d’Altran.

« C'est une grande satisfaction pour nous de signer ce projet de partenariat avec Altran, leader mondial du conseil en innovation et de permettre ainsi à nos collaborateurs hautement qualifiés de poursuivre leur carrière dans le bassin d’emplois nantais. Par sa présence internationale et sa couverture de très nombreux secteurs d’activités, Altran apportera entre autres à nos équipes un accès à de nouvelles opportunités de développement dans l’univers des télécoms et plus largement des systèmes intelligents », a précisé Loïc le Grouiec, Directeur Opérationnel d’Alcatel-Lucent en France.

De son côté, Cyril Roger, directeur général délégué du groupe Altran en charge de la France et de l’Europe du Sud, déclare : « Ce projet de partenariat avec Alcatel-Lucent concrétise notre stratégie de développement visant à mettre à disposition de nos clients des compétences uniques, sur des sujets complexes, pour des marchés mondiaux. Avec l’apport des experts d’Alcatel-Lucent du site d’Orvault, nous complétons notre présence sur le marché d’avenir que représente la 4G et nous donnons de l’avance à nos clients avec une offre sans égale sur le marché ».

Mobilisation syndicale à Orvault

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